Collection Histoire Courte. Grosse, Surtout Grosse (1/1)
À 19 ans on peut dire que jaime faire ma vie.
Jaime sortir et chaque fois que je le peux jaime ramener des devoirs à la maison.
Ma vie sexuelle a commencé à 16 ans quand jai quitté ma mère frustrée du cul dans une petite ville de province près de Lyon.
Cest à la suite des vacances à Lorient chez mon père que jai fait la connaissance de ma future patronne à Paris.
Elle était sur la plage avec monsieur Louis son mari.
Monsieur Louis et Maryse sont devenus des amis et quand ils mont proposé un emploi dans le prêt-à-porter avec une paye au smic, jai rapidement dit oui.
Surtout que je disposerais dune chambre de bonne au-dessus de la boutique.
Les études et moi me dirigeaient directement dans la case chômage dans ma région alors jai fait ma valise et je les ai rejoints dès la rentrée.
Travail sympa et parie de baise dès le premier soir.
Cétait un puceau, jétais pucelle, le lendemain je reprenais mon boulot et lui ses étudiait en fac.
Deux puceaux de moins mais la pucelle frustrée elle sétait juste fait sauter son hymen sans jouir, il avait déchargé dès le travail fait.
Ce soir chou blanc dans la boîte où jai mes habitudes.
Pourtant mon ventre bouillonnait de se faire prendre.
Je marche dans la rue désabusée quand je vois un bar encore ouvert.
Jy prends un café à mon côté un grand black.
On engage la conversation.
Le patron nous fiche dehors, il marche à mes côtés les mains dans les poches.
Passant devant une impasse bien noire, il me saisit et mentraîne dans ce trou noir.
Ma mini est loin de lui poser un problème ainsi que mon string.
Lattaque a été si fulgurante que je me retrouve accrochée à son cou sa verge me défonçant.
Jouissance, non jouissance, sous cette attaque mon cerveau est incapable de me rappeler si jai pris du plaisir.
Lui oui quand il décharge au fond de mon vagin et quil me laisse reposer mes jambes au sol appuyé sur ce mur sentant la crasse.
Le lendemain après une nuit blanche qui ma fait prendre conscience que ce noir m'a violé.
Je prétexte un besoin de médecin pour me rendre au commissariat.
- Cest pour un dépôt de plainte.
- Cest pourquoi.
- Jai été abusée en rentrant de boîte hier au soir par un noir que javais rencontré dans un café.
- Violé comme vous y allez mademoiselle, tatouage, piercing, jupe ras la minette et les nichons en bataille, si je vous avais rencontré cest moi qui vous aurais fait passer un moment dont vous vous souviendrez toute votre vie.
Bref, jai quitté le commissariat étant coupable dêtre une jeune fille canon.
La jupe, dans la ruelle, jen ai parlé.
Quand jai quitté ma province, jétais habillée classique, maman y tenait et jévitais de la contrarier.
Madame Maryse ma relooké afin que ça plaise à sa clientèle sans oublier de me faire 10 % de retenue sur salaire.
Cest mon deuxième amant tatoueur qui ma initié aux tatouages et aux piercings.
Jai été faible mais jai réussi à ce que ce soit discret dans les motifs ayant évité « À toi pour la vie » ou à « Bob que jaime. »
Ça cest vrai, il sappelait Robert et il se faisait appeler Bob.
Les piercings, la poitrine, sur mes pointes de seins.
Dans mes oreilles mais des diamants, il me les a offerts.
Ça a duré deux mois et cest pour ça que le policier a vu ce quil me restait de cette période métant habitué.
Après il y en a eu dautres, les piercings sur la pointe de mes seins ils aimaient.
Le patron aussi qui essaye de me coincer dans la réserve chaque fois que possible surtout quand Maryse est partie chez son amie.
Amie avec un grand E.
Myriame vient fréquemment à la boutique et cest madame Maryse qui est allée dans la cabine entrant avec elle ce quelle minterdit.
Lesbienne certainement, mais ça je men fiche mais je comprends que monsieur Louis cherche à me coincer si sa femme passe son temps à brouter des minettes.
Ce matin, je suis bougonne, jai fait un rêve que javais déjà fait, grosse et noire, il men faut des grosses et noires.
À partir de ce constat de rêves érotiques, je traîne vers des bars dans le quartier où des types baraqués peuvent correspondre à mes besoins.
Quand jen repère un, je me frotte à lui jusquà le faire bander.
Je sens rapidement le volume de ce quil a à moffrir.
Quand je trouve chaussure à mon pied, plutôt grosseur susceptible de me remplir la chatte la distendant au maximum, ainsi que ma bouche quand je les pompe je les entraîne chez moi ou chez eux.
Chez eux cest rare car il faudrait que je me couche sous des tentes au canal saint Martin surtout que lon parle de démantèlement.
Baiser avec des bâtons énormes, oui, prendre froid à la chatte et au risque dun mal de dos non.
Bien sûr il y a la levrette ou je monte dessus.
Ça je le fais souvent mais pour les préliminaires, une couverture au sol cest bien insuffisant pour une jeune femme aimant son nid douillet que je me suis fait au-dessus de la boutique.
Ma quette aux grosses bites, me font aller plusieurs fois dans les mêmes bars à blacks.
Ce soir au bar, aucune proie possible sauf un homme blanc comme moi, bien mis dans son costume trois-pièces.
- Je vous offre un verre ?
Je le regarde, un rien dédaigneuse.
Est-ce le trois-pièces ou le type, je lignore il faut reconnaître que le mec est beau gosse.
La trentaine maxi, les cheveux déjà poivre et sel, il sapproche à me toucher.
- Cest parce que je suis blanc, sentez, moi aussi jen ai une impressionnante.
- Pour qui me prenez-vous ?
- Une jeune femme que jai vue deux fois partir avec des hommes de couleur ayant contrôlé quils en avaient dans le pantalon.
Je vous offre un verre.
Est-ce ce que jai senti ou le regard de chien battu, mais jaccepte.
Je finis par le suivre jusquà quelques centaines de mètres passants mêmes devant la ruelle où tout a commencé.
Et là, là, là, là je découvre un trésor.
Non, pas dans la ruelle, dans limmeuble où il me fait pénétrer et sur la porte de laquelle est marqué « Luc C. Orthophoniste. »
Dans son salon où nous prenons un dernier verre, je lembrasse lui caressant ce que dès que je lai sortie de son enveloppe sexpose à moi dans toute sa splendeur.
Je me prosterne devant ce monument de chaire et de sang dans limpossibilité de la faire entrer dans ma bouche.
Ma langue sursoit et jai limpression que ça se développe encore plus.
Mes affaires enlevées, il me prend dans ses bras et m'entraîne vers sa chambre.
Nous tombons sur le lit nos bouches toujours soudées.
Dès quil entre en moi, je jouis.
Je sais que cette verge disproportionnée est de celle que je cherchais mais cest mon cur qui est pris dans les romans on appelle ça un coup de foudre.
Coup de foudre surtout quaprès mavoir rempli par de longs jets de sperme il me câline dans ses bras.
- Tu as aimé, je dois te dire que jai eu une seule femme dans ma vie Ginette 70 ans.
Elle ma dépucelé mais surtout elle a accepté ce machin que toutes les autres filles mont refusé.
Quand je tai vu draguer des noirs bien bâtis, jai vu mon salut en toi.
Jai attendu que tu reviennes pour tenter ma chance et tu es là.
Je suis là bien que nous ayons déménagé.
Luc par un autre fait du hasard est dune petite ville non loin de la mienne.
Il voulait depuis longtemps faire un retour dans son pays et je ly ai encouragé.
En ce moment, je suis sur la terrasse de la villa que nous avons acheté.
Jadmire les coteaux où les vignes sétendent à perte de vue.
Je donne le sein à petit Luc sous le regard de maman venue nous dire bonjour.
Elle vient de le changer sans savoir que petit Luc prend le chemin de son papa du côté de son sexe.
Je regarde mon alliance, elle regarde mon alliance.
Qui serais-je si un soir rentrant chez moi une grosse bite mavait ignoré.
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