La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1346)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1345) -

Ensuite, Il ordonna à Lucie d’aller se coucher et Il passa le reste de la nuit avec Sa favorite et Ses amis… Quelques jours après, Louis-Etienne et sa famille arrivèrent au Château ainsi que Enguerrand et Alix, un peu plus tard. Après des retrouvailles conviviales voire émouvantes et une nuit de repos (pour certains) et plus mouvementée pour d’autres. En effet les jeunes, qui pour fêter leurs retrouvailles entre cousins, improvisèrent une soirée orgiaque, avec l’accord du Seigneur d’Evans. Quant à Adam, ayant tout juste 18 ans, il devait précisément passer son initiation en tant que switch, une première pour ses parents. Et donc le lendemain le Seigneur d’Evans reçut, pour en discuter et organiser cette initiation, Louis-Etienne, Manon, Enguerrand, Alix, Ronan, Clémence et enfin Antonin et Chloris.

- Bien nous sommes tous là, inutile de vous rappeler le pourquoi de cette réunion. Louis-Etienne, lors de ta dernière visite, tu devais essayer de savoir exactement ce qu’il en était pour Adam et donc quelles sont ses tendances, celle de ton fils. Quel est le résultat de tes observations ?, questionna le Seigneur d’Evans
- Je pense que nous avions raison, il est switch, répondit le comte Louis-Etienne.
- Très bien ! Nous en étions arrivés à la même conclusion. Donc aujourd’hui, il s’agit de savoir comment organiser une initiation switch. Pour Ma part, je pense que la meilleure solution est qu’il fasse une séance avec deux personnes soit avec une soumise et une switch ainsi il pourrait suivre son inspiration profonde, naturelle. Par exemple, s’il Domine, elles peuvent être toutes les deux soumises ou alors avec la switch ils forment un couple Dominant et dans ce cas elle peut éventuellement le guider. Et si elle Domine uniquement avec lui afin d’être totalement dans l’initiation en donnant à la soumise l’autorisation de lui donner des conseils si elle voit qu’il doute ou hésite, annonça le Maître des lieux.



Ce fut Manon (ex soumise et désormais mariée à Louis-Etienne) qui répondit au Seigneur d’Evans.

- Maître, je pense que c’est en effet la meilleure solution pour Adam.
- Adam est certes très différent de son frère, physiquement il ressemble plus à son père et à sa grand-mère et au niveau du caractère il tient de vous deux. Et même s’il était soumis il n’y a aucune honte à cela car les tendances de chacun sont à respecter, ce qui ne dévalorise en rien la valeur de la personne humaine que nous sommes tous, rajouta le Seigneur d’Evans.
- Vous avez tout à fait raison, mon oncle, dit Alix. Nous sommes tous ici des couples de Dominants et soumises et il est normal que nos s tiennent de l’un et de l’autre suivant sa propre Nature.
- Très bien, nous donc sommes tous d’accord sur la façon de procéder, reste à trouver avec qui, j’ai déjà une idée assez précise de la soumise, en revanche question switch, c’est plus compliqué pour la trouver, répliqua le Maître.
- Ne pourriez Vous pas éventuellement ordonner à la soumise que Vous choisirez de Dominer également, cela s’est déjà produit, intervient Chloris…
- Non, j’y ai pensé aussi mais pas pour une initiation car si par malchance elle n’y arrive pas ou s’y prend mal. Je ne peux prendre le risque avec un jeune homme inexpérimenté.
- Oui en effet, c’est un peu risqué.
- Bien, ce sera tout pour aujourd’hui, réfléchissez tous si vous connaissez des switch dignes de Ma confiance et de celle des parents ca personnellement je ne vois pas qui pourrait faire l’affaire dans mon entourage, concluait le Seigneur d’Evans.

Tous sortirent vaquer à leurs occupations. Louis-Etienne emmena Manon (sa femme) dans leur chambre dans laquelle se trouvait une jeune soumise occupée à nettoyer et ranger leurs affaires.

- Qui es-tu, toi ?, demanda-t’il.

Humblement, elle s’agenouilla, tête baissée et mains derrière le dos.

- Je m’appelle Louise j’ai été acceptée au Château par le Maître, le Seigneur d’Evans, comme soumise.
Voulez-vous que je vous laisse, je peux terminer plus tard.
- Tu termineras ton travail plus tard mais reste ici j’ai bien envie de profiter d’une belle petite chienne de ton espèce.
- Tout ce que vous voudrez, Monsieur le Comte, le Maître m’a affecté à votre service et ordonné de satisfaire toutes vos exigences.
- Fort bien ! Pour l’instant tu restes la, il se peut que tu entendes certaines choses mais rien que tu entends ne doit sortir d’ci. Est-ce clair ?
- Tout à fait, Monsieur le Comte, cela va de soi.
- Et toi, que fais-tu encore habillée et debout ? A genoux et met-toi nue, dépêche-toi, lança Louis-Etienne à Manon.
- Bien Maître, tout de suite.
- Tiens, tu te souviens que je suis le Maître qui te soumet ?

Manon étonnée répondit :

- Bien sûr, vous êtes le seul.
- On en a déjà parlé, je suis le seul que tu es autorisé à appeler Maître. Je sais que mon oncle fut le Maître à qui tu appartenais, mais en m’épousant Il t’a rendu ta liberté et maintenant tu es à moi. Ce n’est pas la 1ère fois que ça arrive.
- Je vous présente mes excuses Maître, tout à l’heure devant le Seigneur d’Evans ma langue a fourché, l’habitude vous comprenez ?
- L’habitude ? Te moquerais-tu de moi ? Ça fait 20 ans ! Tu comprends donc que je suis obligé de te punir ?

Manon savait qu’elle avait commis une faute en appelant le Seigneur d’Evans par ‘Maître’. Et comme le disait le comte Louis-Etienne, ce n’était pas la première fois. Elle trouvait donc juste d’être sanctionnée, mais elle aurait préféré que ce ne soit pas devant cette jeune soumise. Car qu’allait-elle penser de cette attitude indigne d’une ancienne soumise du Seigneur d’Evans ? Elle s’en voulait car elle avait déçu son mari qui était aussi le Maître qui la soumettait et l’éducation qu’elle avait reçue du Seigneur d’Evans.

- Je comprends, Maître.
- Etant donné que ce n’est pas la première fois, je serai assez sévère. Debout mains sur le mur.
Pour commencer ce sera 20 coups de martinet, tu comptes et tu me dis à haute et intelligible voix «pardon Maître» et pour chaque coup également un «merci Maître». Compris ?
- Oui Maître
- Un … pardon Maître… merci Maître.

- 20, … … pardon Maître… merci Maître.

Manon se dit dans sa tête, qu’il était temps car il n’a pas retenu ses coups, mais paradoxalement cela l’avait tant excitée, qu’elle en coulait littéralement.

- Bien maintenant au coin, à genoux, mains derrière la nuque et tu regardes par ici.

Puis s’adressant à la jeune et nouvelle Louise qui attendait toujours en silence :

- A toi, petite chienne, je vais bien m’occuper de toi, dit-il avec un sourire pervers.

Louise s’avança à quatre pattes et humblement se prosterna devant lui. Pendant un moment, il tourna autour d’elle admirant ses courbes bien dessinées, ses beaux petits seins pendant dans le vide et sa belle croupe de femelle, ferme et arrondie. Il lui donna une première claque, elle ne brocha pas.

- Ceci n’est pas une punition et j’aime entendre gémir une soumise sous mes coups alors ne te retiens pas, dit-il avec une seconde claque plus prononcée sur les fesses blanches.

Louise gémit de plaisir, voyant qu’elle appréciait cela, il continua jusqu'à ce que son cul soit légèrement bien rosi.

- En levrette, salope, tu m’as bien excité.

Louise s’exécuta tandis que Louis-Etienne se déshabilla rapidement. Il bandait déjà fortement et c’est d’un coup de reins puissant, qu’il entra dans sa chatte avec une facilité déconcertante, comme dans du beurre, tant elle était excitée et il adorait cela, trouver une chatte bien humide, fort chaude et si accueillante pour son gros membre dur.

- Hummmmm, tu es bien trempée, la chienne, j’aime ça, salope !

Tout en continuant ses va-et-vient à un rythme de plus en plus rapide sous les gémissements et les cris de plaisirs de Louise, il lui donnait encore quelques fortes claques tout en la pilonnant vivement à grands coups de boutoirs puissants, virils et profonds alors qu’il la tenait fermement par les hanches pour bien l’amener à lui.
Quand il lui murmura à l’oreille, mais assez haut pour que Manon l’entende, car pour lui cela faisait partie de sa sanction.

- Jouit, petite chienne, je l’exige.

Louise qui se retenait déjà depuis un bon moment et luttait pour ne pas craquer, car c’était pour elle, la première fois que le Maître qui la soumettait la confiait à quelqu’un d’autre sans Sa présence et elle tenait à Lui faire honneur et prouver qu’elle était digne de Lui appartenir, laissa échapper son orgasme assez puissant tout en lâchant des cris orgasmiques.

- Maintenant, à genoux entre mes jambes, je vais voir si ta bouche de salope est aussi savoureuse que ta chatte de chienne.

(A suivre …)

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