Rien Que Nous Deux...
Lautre week end, jétais seul. Rémi avait prévu daller voir ses parents pendant trois jours. Cela fait déjà quelques temps que Paulo nest pas repassé par lappart
Toujours par monts et par vaux
Je suis tenté de téléphoner à Patrice ( voir « rouge le piment « ) et finalement cest Paulo que jappelle. Il décroche aussitôt. Il me dit quil est en Allemagne et quil comptait rentrer ce week end.
« -Vena depressa, meu coraçao ! » ( viens vite mon cur ).
A mes heures perdues, je me mets un peu au portugais, je sais que ça lui fait plaisir. En lattendant, je passe la soirée du vendredi à me préparer à sa venue. Je me rase, me douche, me retaille la toison sur les côtés ( maintenant je la laisse venir très rase et striée comme la sienne), me parfume
Bref, une vraie cocotte ! Jhésite très longtemps avant de décider quel slip enfiler. Finalement, je prends un tanga en nodal jaune citron qui moule super bien. Je me balade dans lappart « vêtu » de ce seul « emballage »
Une heure du mat. Enfin ! Jentends la clef tourner dans la serrure, cest LUI ! Je me poste direct juste derrière la porte dentrée. Il entre doucement, croyant que je dors déjà. Il ne ma pas vu car il na pas allumé mais il ma senti. Je me colle doucement à lui, dans son dos. Mes mains se glissent déjà sous son sweat pour mieux le coller à moi. Les siennes se posent sur mes fesses et me caressent le slip.
« -somo eu senti sua falta ! » ( comme tu mas manqué !) . Je lui souffle dans loreille.
« -voce tamban ! » (toi aussi !)
Doucement, tendrement, je me mets à le déshabiller
Le blouson, je lui passe le sweat par-dessus, je dégrafe lentement son jean, bouton par bouton
Il a glissé ses mains sous le tissu de mon slip et me caresse doucement les fesses. De lui-même, il se défait de ses mocassins - il ne porte jamais de chaussettes -. Je lui fais glisser très lentement son jean, en caressant ses jambes. Il porte un string blanc qui se détache dans le noir sur sa peau foncée Je fais durer la descente du jean.
« -Você chera bem
» ( tu sens bon ) me chuchote-t-il.
« -e para você meu amor » ( cest pour toi mon amour )
Je me mets à le branler tout doucement, du bout de trois doigts. Il souffle et cherche ma bouche en basculant sa tête en arrière. Je lui agace le gland qui est complètement trempé. Je sais bien comment il aime être branlé. Il me la dit de nombreuses fois. Jessaie de le combler. Sa langue est sucrée. Elle senroule sur la mienne. Nos dents sentrechoquent. Doucement, en restant collé à lui, je le pousse vers la chambre. En face, de lautre côté de la rue, Paul et Fabrice sont à la fenêtre. Ils me font un signe de la main. Comme tout reste allumé chez nous et quil ny a pas de rideaux, ils vont encore être aux premières loges. Paulo adore ça : être vu entrain de faire lamour. Il a un côté très exhib. Je lallonge sur le dos et, avec mes dents, jentreprends de lui faire glisser son string. Sa bite mexplose littéralement au visage. De mes doigts, je lui agace les tétons. Je reviens, à petits coups de langue le long de ses jambes vers son bas ventre
La nuit est à nous !
A la lueur de léclairage tamisé de la chambre, je peux admirer le splendide corps de Paulo.
« -Suck me. Suck me hard, please
» ( suce moi, suce moi à fond ).
Je me mets en 69, mon paquet encore emballé dans le slip juste sur son visage et je rampe littéralement vers sa pine dressée, tendue, vibrante qui attend ma bouche, ma langue, ma salive
je lengloutis lentement.
Le changement de position nous permet de constater, quen face, Paul et Fabrice, sont en action, eux aussi ; en levrette, dans leur chambre bien éclairée. Exhibs eux aussi, à fond. Cest un jeu entre nous. Nos apparts sont au même étage tous les deux, au dernier. Ni lun ni lautre navons de rideaux. Tout est toujours éclairé et on peut parfaitement voir nos chambres respectives . Dailleurs avec Paul et Fabrice, on a déjà fait des parties à quatre mémorables
Paulo menduit le trou pendant que je lui graisse sa bite.
Jaime beaucoup Rémi ( voir « une infinie douceur ») mais il ny a que Paulo qui me fasse cet effet là quand je fais lamour avec lui. Je suis bouleversé à chaque fois. Au bord des larmes, de bonheur. Parfois, il me remonte complètement et cest lui qui en soulevant son pelvis vient coulisser en moi. Pour le moment, tout ceci reste très contrôlé. Ni lun ni lautre navons envie de jouir trop vite. Je sais aussi Paulo très très endurant. Miammm ! Alternativement, on prend linitiative du rythme. Quand cest moi qui descends, jondule aussi du bassin pour lui donner encore plus de sensations. Il adore. Parfois, quand cest lui, il se déchaîne sur mon trou, donnant limpression de vouloir jouir de suite. Pour moi, le connaissant très bien, je sais quil en est très très loin. Re miammm ! on nentend plus que le chuintement de sa bite et nos souffles courts. Jai toujours aimé avoir sa bite en moi. Qui détesterait ça ? Personne ! Il a lâché mon cul et me branle doucement du bout de trois de ses doigts tout en jouant avec mes bourses. Jenserre sa main avec les deux mienne, accompagnant son mouvement. Sa bite coulisse parfaitement bien en moi, me donnant des sensations terribles de plein, de vide, de chaleur, de vie. Elle est chez elle !
« -Oh ! Meu Paulo ! Meu Paulo ! » ( mon Paulo ! Mon Paulo !)
Quelquefois, il redresse son buste et vient membrasser à pleine bouche. Alors, je membroche à fond sur lui, jusquaux couilles et je ne bouge plus. Cest lors dun de ces moments quil me bascule sur le dos tout en restant enchâssé en moi. Jen profite pour relever mes jambes très haut et les écarter. Il vient se glisser entre elles. Je repose larrière de mes pieds sur ses épaules et le tire vers moi. Il se met à me labourer délicatement, délicieusement. Mes mains se perdent dans sa chevelure abondante et le caresse furieusement. Il a glissé un coussin sous mes reins pour me pénétrer plus à fond. Encore meilleur ! Par hasard, japerçois son string sur le lit, à proximité. Je le prends et me recouvre le visage avec, me noyant dans son odeur. Toujours prêt à la plaisanterie, il me lenfile sur la tête, comme un bonnet. On rit tous les deux. De bonheur.
Au bout dun très long moment de pistonnage, Paulo semble décidé à prendre son plaisir maximum. Il passe à la vitesse supérieure, me défonçant puissamment. Or, je sais bien quil peut encore avoir pas mal de ressources avant de minonder. Trop bien pour moi ! Il a encore accéléré. Son souffle se fait plus court, haletant. A chaque coup de bite, ses couilles tapent. Ca chuinte à donf !
« -Fuck me hard ! Fuck ! Fuck !! Fuck !!! » ( Baise moi à fond ! Baise moi
)
Je laccompagne de la voix dans ses va et vient. Son torse se couvre dune fine sueur qui brille dans la douce lumière, le rendant encore plus craquant. Je lui ai empoigné le cul et le tire violemment vers moi à chacun de ses coups de reins. Trop trop bon ! Il pousse des « Han ! » comme un bûcheron chaque fois quil me défonce. Maintenant, je sais quil est au bord de lexplosion.
« -Cum Paulo ! Cum !! » ( Jute Paulo ! Jute !! )
Ce quil fait dans un long cri rauque. Je sens un, deux, trois longs jets de sperme brûlant minonder le ventre. Son visage reflète lextase. Je suis content de lui avoir donné tout ce plaisir, à mon Paulo. Il continue à coulisser en moi, sur sa lancée mais moins vite. Il ralentit et finit par retomber sur moi, repus, brisé. Cela fait plus de quarante cinq minutes que nous nous étreignons. Quel pied ! Je le garde en moi, lenserrant de mes bras, lui caressant les cheveux, le dos, le cul, les cuisses. Je le laisse sombrer doucement dans sa « petite mort ». Il peine à reprendre son souffle. Je suis heureux pour lui mais ma bite dressée entre nous deux réclame elle aussi sa part
Je nai aucune appréhension. Je sais que durant les deux jours qui viennent, elle sera à la fête de nombreuses fois. La sienne aussi.
Cest lors dun de ses orgasmes que je lui avouerai ma rencontre et ma relation avec Patrice. Je lui donne tous les détails. Il me demande comment Rémi a pris cela. Je lui avoue quil ne sait rien. Il ne maccablera pas. Il sait quil est bien trop souvent absent pour son boulot. Dans un de ces moments dintense communion, juste après avoir joui, il mavouera même que lui aussi
avec un de ses amis, top lui aussi
Jai ressenti un picotement dans la poitrine
Je ne veux pas que cela le rende malheureux, mais je préfère encore la franchise totale.
Totale.
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