Et Toujours En Été 02 Un Jour D'Office Religieux
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 02
UN JOUR D'OFFICE RELIGIEUX
C'était agréable de bouger, marcher, se déplacer, monter à cheval, enfin
C'était agréable de ne pas porter de sous vêtements quand on fait tout cela. Pas uniquement à cause de la chaleur moite, mais aussi parce que j'aime bien sentir ma queue se balancer, mes couilles rouler contre mes cuisses. J'aime bien cette pression que je sens naître entre mes jambes, à tous ces moment ou ma queue est prête à se relever, ce risque de me faire remarquer, ce côté mauvais genre qui en découlerait
A cet instant on sent une sorte de poids, juste quand la petite bite se transforme en grosse molle et que sur le pantalon une forme se profile. J'adore ça et je me sens en éveil, car là il faut faire attention à ce que ça ne se voit pas.
Ce matin à l'église, j'étais comme à mon habitude
Beau comme un prince !
Je portais une tenue en toile légère comme d'habitude mais avec une coupe plus travaillée. Il n'y avait pas toutes ces poches tellement utiles sur les vêtements de travail, j'avais une chemise blanche, une veste crème, une ceinture noire et un pantalon crème comme la veste. Un lacet décoré autour du cou en guise de cravate, nous étions très présentables. Par dessus tout ça un chapeau souple de la couleur de ma veste. Les vêtements étaient ajustés et je savais que si je bandais ça se verrait.
Nous arrivions à cheval mon cousin et moi, le reste de la famille était venu en calèche. Un jeune cousin et sa sur étaient venus avec ma mère. Mais nous, presque adultes, nous préférions nous faire un peu remarquer. Nos chevaux étaient magnifiques, il faut dire que notre famille avait certainement le plus bel élevage du pays.
Quand mon cousin posait le pied à terre, je vérifiais sa tenue par réflexe. Il avait fière allure mais on devinait une forme que je trouvais élégante au niveau de son entre jambe, ça allait, c'était encore tout à fait présentable.
Beau comme un dieu !
Les filles qui s'approchaient par groupe ou avec leur parents nous jetaient des regards pleins de curiosité, elles nous connaissaient toutes, on était allé à la même école mais depuis quelques temps leurs regards changeaient, elles devenaient plus charmeuses et cachaient leurs yeux derrière des éventails, on entendait des rires joyeux qui se taisaient quand elles arrivaient à notre niveau.
J'ai senti une légère pression entre mes cuisses contre la toile de mon pantalon à ce moment, j'étais en éveil, je me sentais bien et je contrôlais la situation. Rien d'anormal ne devait paraître. Pendant la cérémonie c'est dans le plus grand silence que les regards se croisaient, se cherchaient et semblaient se trouver. À la sortie de l'office, ma mère discutait avec ses amies d'autres familles de la bonne société.
Les hommes se retrouvaient dans une taverne. Oh pas n'importe laquelle je vous rassure, pas celle qui avait des filles en tenues légères pour servir à boire
Non ça c'était pour les soirées, pas pour les jours d'office religieux
Mon cousin et moi y étions invités pour la première fois.
Pour la première fois nous avions le droit de goûter de la bière, le vin on en avait déjà bu depuis déjà longtemps, enfin quelques temps, un petit verre pendant le repas. Mais là c'était juste pour le plaisir de boire de l'alcool et de s'enivrer légèrement. La tête ne tardait pas à me tourner, c'était agréable mais le voyant mon oncle mettait fin au service
Pour nous !
Mon oncle : Il faut savoir rester sage les jeunes.
Moi : Mais on est sage tonton!
Samuel : Dis moi papa, pourrions nous repartir vers la maison sans attendre. J'aimerais passer par les Rochers du diable.
Mon oncle : Vas y fils, Tu l'accompagnes Jonathan ? J'avertirai tes parents.
Finalement c'était une bonne idée de repartir avant tout le monde, je n'y pensais plus mais quand j'enfourchais mon cheval je constatais que ce n'était plus une petite mince ni même une grosse molle qui remplissait mon pantalon mais presque une grosse dure.
J'étais légèrement ivre, très légèrement je vous rassure et je pouvais encore conduire
Et puis de toutes façons l'animal connaît la route, il suffit de pouvoir tenir dessus sans tomber et on est sûr d'arriver à destination.
Je sentais mes couilles qui roulaient entre mes cuisses sur le cuir de la selle, la sensation était tellement géniale que là je bandais bien ferme subitement. Il était temps, j'étais bien installé et plus personne ne pouvait plus rien remarquer. Là je ne contrôlais plus rien.
Nous avions bien avancé en direction de la falaise.
Samuel : Je ne sais pas si c'est la bière ou les regards des filles qui me fait ça ?
Moi : Tu bandes ?
Samuel : Mais comment as-tu deviné ?
Moi : Moi pareil, ça m'a pris, mais vraiment pris au moment ou je suis monté sur ce cheval.
Samuel : Je pense que ça avait commencé un peu avant.
Moi : Pour toi ?
Samuel : Non ! ( il pouffait de rire ) Pour toi, ça commençait à se voir !
Il continuait en rigolant. Je le rattrapais.
Moi : Tu te moques, ça ne se voyait pas tant que ça ?
Samuel : Disons que c'était encore acceptable mais limite !
Nous arrivions aux Rochers du diable, le nom faisait peur à entendre comme ça mais en fait il n'y avait pas de quoi avoir peur, c'était seulement un ensemble de gros rochers entre lesquels il y avait l'entrée d'une grotte. La grotte n'était pas bien profonde mais juste à l'ouverture les anciens habitants avaient cru voir l'entrée des enfers et avaient surnommé ce tas de cailloux comme ça !
On mettait pieds à terre.
Moi : Mais pourquoi tu voulais venir ici ?
Samuel : Tu me suis ?
Sans attendre ma réponse il se mettait à grimper sur la falaise, ça ne représente pas de grandes difficultés, il y a plein de trou ça fait presque des escalier et on arrivait rapidement au sommet.
Tout en haut, on pouvait voir très loin, on apercevait la maison, de l'autre côté de l'horizon on voyait très bien le clocher de l'église et on devinait que le second office n'était pas terminé car il n'y avait aucune agitation dans les rues.
Il m'agrippait par le col et me tirait vers lui, il m'embrassait sans prévenir, comme ça. Je me laissais faire et je lui rendais même son baiser, il se laissait tomber sur le sol, je perdais mon équilibre et me retrouvais allongé sur lui. Ma cuisse appuyait sur son sexe et il bandait, ça ne faisait aucun doute, il bandait ferme même. J'étais dans le même état.
Il n'était pas question de rentrer dans cet état, il fallait faire baisser la tension.
Samuel : Suce moi !
Ça ne faisait pas longtemps qu'on avait exploré ce plaisir, on ne l'avait fait qu'une seule fois mais ça avait été tellement bon que je ne le faisais pas répéter. Je lui ouvrais son pantalon et avec envie je prenais sa queue dans ma bouche, je le masturbais, je le suçais. Je parvenais rapidement à prendre sa queue en entier dans ma bouche mais je ne tenais pas bien longtemps. Son gland appuyait sur ma glotte et me donnait envie de vomir. Je relevais la tête et reprenais mon souffle avant de recommencer.
Je l'entendais gémir, il me caressait les cheveux mais sans chercher à appuyer sur ma tête, ça nous avait paru un peu violent la dernière fois. Puis sans prévenir, il me repoussait me retournait sur le dos et c'est lui qui à son tour ouvrait mon pantalon avant de me sucer la queue.
Mais qu'est-ce que c'est bon, je ne sentais pas ses dents, il s'améliorait. C'est vrai que moi aussi j'avais fait très attention à ce détail. La première fois on avait pu voir à quel point ça peut être désagréable. Mais si le mec qui te suce le fait bien , c'est vraiment agréable. Je gémissais, j'en redemandais.
Il était à genoux entre mes jambes écartées, il relevait la tête et me lançait.
Samuel : Attends, j'ai une idée !
Il se relevait, se retournais et s'allongeait à côté de moi mais dans l'autre sens. La il pouvait prendre ma queue dans sa bouche et moi je pouvais en faire de même.
C'est avec une certaine passion que je le suçais pendant qu'il me suçait également. Je lui caressais les fesses, je glissait un doigt entre et m'attardais longuement sur le trou de son cul. Je n'osais pas aller plus loin, je n'y pensais même pas. Ça devait faire mal et je ne voulais pas lui faire mal.
Je lui suçais la queue, je le masturbais. Au moment ou je le masturbais je lui gobais les couilles. C'est lui qui avait commencé ! Et pendant que je lui suçais la queue je lui massais les couilles, l'idée venait de moi et il faisait pareil.
On faisait une pose, il se retournait et on partageait un long moment de tendresse, de câlins, de caresses
Puis on reprenait, il se retournait de nouveau et on recommençait, c'est goulûment que je prenais sa queue dans ma bouche, c'est avec passion qu'il prenait la mienne dans sa bouche. C'est avec sa langue que chacun tentait de faire plaisir à l'autre.
Je sentais sa langue qui me chatouillait le gland, j'en faisais de même. Puis sa langue s'attardait sur la petite ouverture au bout de ma queue comme pour s'y introduire, avec la langue il poussait, c'était divin.
C'est à ce moment que je jutais dans sa bouche, je gémissait c'était bon, tellement bon. C'est sans doute ma réaction qui provoquait la sienne. Il jutait à son tour dans ma bouche.
Aucun d'entre nous ne reculait sa tête et on avalait. On ne s'était pas concerté et on le faisait ensemble, en même temps. Puis on ne bougeait plus, je continuais à sucer un peu comme si je tétais, il faisait comme moi. On n'insistait pas trop longtemps car les cloches de l'église nous indiquait que l'office suivant prenait fin. Il fallait penser à reprendre la route et tant que nous étions dans cette position on ne débandrait pas.
On se relevait, on bandait autant qu'au début de cette histoire mais on se sentait mieux, décontracté, apaisés. On se rhabillait, on réajustait nos vêtements. Je ne vous dis pas mais nos vêtements du dimanche avaient changé de couleurs, ils étaient couleur terre, avec des traces suspectes de couleur vertes, il y avait un peu d'herbe grasse.
C'est dans cet état que nous arrivions à la propriété.
Mamata : Mon dieu, mon dieu ! Mais dans quel état vous êtes les s. Monsieur Samuel, Monsieur Jonathan, c'est pas sérieux ça. Monsieur et Madame ne vont pas tarder, vous ne pouvez pas vous présenter dans cet état devant les invités.
Elle poussait quelques cris quelques ordres et nous disait de monter dans notre salle de bain, en effet nos deux chambres se touchaient et nous partagions un grand balcon et une salle de bain. Les autres femmes de ménage sortaient de la salle de bain au moment ou nous y entrions, il ne leur avait pas fallu bien longtemps pour qu'on ait de l'eau tiède. Tiède c'est suffisant, chaude ce serait trop.
C'est ensemble qu'on se glissait dans la baignoire, nus mais je vous jure que ça ne nous dérangeait pas. Quelques instant plus tard Mamata frappait à la porte et entrait. Elle a été notre nounou et nous a vu nus tous les jours pendant notre enfance et plus même. Aujourd'hui si aux yeux de tous nous sommes des hommes, à ses yeux nous sommes toujours des s et elle n'aurait pas pensé à mal si on lui avait demandé de nous sécher.
Elle déposait une pile de vêtements propres, tout ce qu'il fallait pour nous deux. Un peu plus tard nous descendions dans le salon, nos parents arrivaient.
Ma mère : Vous êtes déjà arrivés les s.
Ma tante : C'est parfait vous allez pourvoir vous occuper de recevoir nos invités.
Je me sentais terriblement bien à ce moment, c'était la douche, c'était le câlin, ma queue était restée, non pas une grosse molle mais un moyenne molle qui se balançait sous l'étoffe de mon pantalon, mes couilles roulaient contre mes cuisses. C'était agréable, j'adore ne pas porter de sous vêtements, c'est toujours un plaisir.
Une autre famille, une grande famille de la région arrivait, Monsieur et Madame Lafeuille et leurs deux filles arrivaient devant l'entrée principale, nous les connaissions bien et de longue date. On accourait pour les accueillir. On faisait la bise à Madame Lafeuille, on serrait la main à Monsieur Lafeuille qui rajoutais une tape sur l'épaule
Mr Lafeuille : Mais vous êtes des hommes maintenant, vous connaissez nos deux filles
La question était idiote, nous étions allé à l'école ensemble mais c'était seulement une manière d'attirer notre attention vers elles. Elles arrivaient, nous saluaient par une génuflexion rapide et discrète, puis venaient nous faire la bise.
Je sentais toujours ma queue qui manifestait sa présence. Mais c'était juste pour moi, juste pour que je ne l'oublie pas. Elle ne tentait pas de se manifester et se contentait de se balancer lourdement en laissant apparaître une bosse discrète juste derrière la toile de mon pantalon.
Nous passion à la terrasse. Très discrètement Mamata s'assurait que tout le monde avait une place confortable et que les rafraîchissements était servis. En passant devant nous par réflexe elle ajustait mon col d'un geste affectueux et d'un regard elle s'assurait que Samuel
Bon lui il était bien ! Puis elle disparaissait.
La famille Lafeuille, nos voisins, faisait partie de nos habitués, des amis que nous recevions souvent, très souvent même. Le dimanche après l'office nous dînions souvent ensemble chez les uns ou chez les autres.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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