La Lectrice
Cette histoire sest passée quand jétais bien plus jeune
Au lycée, à cette période, pour aider les étudiants à mieux maitriser les langues étrangères, le proviseur avait décidé de nous octroyer pour chaque language,un lecteur, cest à dire, un ressortissant de chaque pays qui viendrait nous exercer à parler, pour que nous devenions plus « fluides » dans ces langues
En anglais nous avions William, un jeune prof australien pur jus, très marrant et en Allemand Mme Liselote Muller, une dame denviron 35 ans.
Les relations entre les étudiants et les lecteurs étaient décontractées. Il ny avait pas de véritable enjeu, si ce nest de nous faire pratiquer le plus possible. Nous le faisions lors de cours, bien sur, mais nous sortions voir des films en VO. William nous accompagnait parfois en boite de nuit, et nous passions parfois de longues soirées avec lui.
Pour Lise (elle tenait à ce quon lappelle Lise) cétait un peu différend. Son âge devait nous impressionner un peu, et nous la rangions inconsciemment dans la catégorie des profs, bien quelle fit tout son possible pour nous mettre à laise.
Nous étions, plus relax quavec un prof normal, mais pas aussi copains quavec William.
Elle organisait des sorties dans des musées ou à des expos sur la culture allemande.
Alors que nous approchions de la fin de lannée scolaire, elle nous annonça quelle allait rentrer en Allemagne et ne serait pas là lannée suivante. Comme elle avait passé une bonne année en notre compagnie, elle avait décidé dinviter les étudiants en Allemand (nous nétions quune petite douzaine, les autre faisaient Espagnol) pour une soirée musique chez elle.
Bien quelle nous ait invités, nous nous étions cotisés pour participer, et avions acheté des boissons, et tout un tas de biscuits apéritifs et autres charcuteries.
Le soir dit, Nous étions un groupe de quatre à nous présenter à sa porte, Corinne ma copine, Frank un bon pote, et Isabelle qui avait des vues sur Franck , métais-je laissé dire.
Lise nous accueillit avec un grand sourire et nous remercia pour les victuailles. Elle nous devança dans un couloir, qui menait visiblement aux chambres, et ouvrit la porte de lune delles en nous enjoignant dy déposer nos manteaux. Dans la chambre, un tas de vêtements encombraient déjà le lit, et nous y ajoutâmes les notres, avant de ressortir pour suivre notre hotesse. Je découvris, en la suivant , quelle avait troqué ses habituels jeans, ou robes informes, pour un pantalon de cuir rouge et un Chemisier en soie à motifs rouges et noirs, le tout complété par des escarpins noirs vernis à semelle rouge. Cétait la première fois que je me rendais compte que cette femme pouvait être sexy.Dans le salon, une pièce de taille moyenne, mais agrandie par une déco minimaliste, dautre membres de notre petite classe étaient déjà arrivés : Fabien, un linguiste émérite, Claire et Laurence qui formaient avec Corinne un trio inséparable, Lulu et Lionel deux types rigolos toujours prêts a faire la fête, Kevin, un grand type dorigine anglaise, Sophie, une brune magnifique, dotée dune superbe paire de seins et dun caractère pas facile, et Nicole, sa copine blonde plus sympa.
Un punch antillais nous attendait et nous avons rapidement levé nos verres à la santé de notre hôte. La stéréo diffusait les derniers tubes, en sourdine. La sonnette retentit, et bientôt, Lise fit entrer deux filles qui étaient dune autre section que la notre, avec lesquelles elle nous dit avoir sympathisé. Je les connaissais de vue pour les avoir déjà repérées. Il y avait une brune piquante, assez rieuse qui se prénommait Axelle, et une Blonde aux yeux verts, plus réservée, Elise. Les deux étaient grandes et longiligne, ce qui était souvent le cas de ces filles en section « Tourisme » qui se destinaient à des carrières de guides, ou dhôtesses. Tout le monde étant là, nous nous installames, qui sur des chaises, qui sur le canapé ou les fauteuils, ou encore des poufs, et Lise fit passer les plats damuses-gueules.
Une des filles alla monter la musique et se mit à danser, vite rejointe par dautres.Les garçons tournaient autour des filles qui se déhanchaient sur la piste en riant. Les tenues étaient « casual ». Ma copine, Corinne portait un jean, et un top à bretelles, sans soutien, laissant sa poitrine remuer sans entrave. Ses deux amies avaient fait un choix différent avec une jupe longue et un tee-shirt « fruits of the loom » pour Claire, et une robe plutot bleu marine plutot classique pour Laurence. Sophie, ne portait que des pantalons ; elle avait opté pour un pantalon noir, moulant son cul bombé, et un pull près du corps qui faisait ressortir sa poitrine orgueilleuse. Nicole, habituellement discrète était vétue dune robe crayon sans manche, qui sarretait au dessus-du genou. Les « touriste », comme nous les appelions entre nous, étaient de loin les plus sexy. Axelle portait une très courte minijupe en cuir beige, souple, et un perfecto fauve, entrouvert qui laissait voir un soutif noir en dentelle.
Elise portait, elle, une robe chemise Kaki, resserrée par une ceinture en serpent, dont les pans arrivaient au dessus du genou, mais les échancrures découvraient une partie de ses cuisses de chaque côté. Pour les gars cétait plus simple, Pantalons de toile ou jeans, et chemises ou tee-shirts.
Une série de rock arriva. Les deux touristes furent prises dassaut par les gars, et je me retrouvai à danser avec Corinne. Javis déjà des automatismes avec elle, et je fus fier de provoquer des cris approbateurs au passage de quelques passes. Comme nous étions moins nombreux que les filles, Laurence se retrouva à danser avec Sophie. Lionel dansait avec Axelle, et la microjupe remonta les long des cuisses de cette dernière dévoilant une culotte aussi noire que son soutien gorge. Elise virevoltait dans les bras de Fabien et sa chemise laissait voir une partie de ses cuisses. Claire avait rejoint les bras de Fabien.
-« Changement de cavalière ! »
La chance voulut que je me retrouve dans les bras dElise, avec qui je discutai tout en tournant en rond. Je sentais sa peau chaude sous la chemise. Par dessus son épaule, je découvris Corinne qui était maintenant dans les bras de Lulu. Celui-ci la serrait de près et lui murmurait à loreille, des choses qui la faisaient sourire. Ses mains se baladaient lur son dos et descendaient même sur ses fesses, sans quelle sen offusque. Je connaissais le caractère chaud de ma copine, et sa réactivité aux caresses. Une pointe de jalousie senfonça dans mon cur, mais je savais que je ne pouvais rien faire.
-« Tiens, tu te rends compte que jexiste ? » ironisa telle
Je ne dis rien, mais fis courir une de mes mains dans son dos, sans sentir le moindre soutien-gorge, ce qui eut un effet immediat sur moi. Je lembrassai légèrement dans le cou et la plaquai contre moi. Elle ne put éviter de sentir un début dérection, et, au lieu de sécarter, se frotta un peu contre moi, contribuant à aggraver la situation.
-« Je constate que tu es venu armé » me murmure telle, toujours ironique.
Ma main franchit la ceinture et vient se poser sur une fesse, sentant au passage lélastique dune culotte, Je la caresse doucement.
-« Hé là, ne dépasse pas la mesure » me réprimande telle sans toutefois enlever ma main. Du coin de lil je surveille Corinne mais elle est à des lieues de moi. Lulu dépose de petits baisers sur son front , son nez, sa bouche. Une main est maintenant dans la poche arrière du jeans de ma copine. Je vois clairement lautre posée sur sa taille qui remonte et passe devant pour empaumer un sein. Le mouvement tournant ne me permet pas de voir la suite.
Dans mes bras Elise se frotte à moi. Ses mains sont sur ma taille, mais la droite sinfiltre entre nous et vient se poser sur mon jean, mesurant lampleur de mon désir.
-« Je crois quune bonne douche froide va simposer » glisse telle avant denlever sa main.
-« Je comptais un peu sur toi » reponds-je en me prenant au jeu
-« Je ne couche pas, jeune homme »
-« Voilà ce que cest, on allume et on éteint pas »la provoquai-je
-« Il y a dautres moyens » dit elle
-« je demande à voir, ou plutôt à tester »
Elle me sourit, et nous nous séparons. Elle me prend par la main et nous nous approchons du buffet pour boire un verre de punch. Face à moi, elle a les yeux qui pétillent. Elle fait demi-tour et emprunte le couloir qui mène aux chambres. Je ly rejoins et la plaque contre le mur pour lembrasser. Sa bouche sentrouvre, et nos langues se cherchent, et senroulent. Elle aspire ma lèvre inférieure pour la mordre. Aie ! ça fait mal, mais elle part dun petit rire. Toujours concée entre le mur et moi, je pose mes mains sur ses seins, quelle a petits, mais bien ronds..Je déboutonne un, puis deux boutons de sa chemise. Au troisième je découvre sa poitrine, et ses tétons bien pointus. Pas le temps dy poser la main, elle se dégage et mentraine vers la chambre vestiaire. Nous entrons précipitamment et restons figés. Au milieu du tas de vêtements, deux jambes fuselées à genoux, et un fessier découvert par une jupe de cuir tirebouchonnée à la taille. Un pied dépasse du lit, avec une culotte de dentelle noire accrochée à la cheville. Une main sagite entre les cuisses et plusieurs doigts coulissent dans un sexe féminin orné dune toison brune. Une tête apparaît au dessus des manteaux, celle de Fabien, qui nous regarde , étonné, et une voix de fille clame :
-« Cest occupé, revenez plus tard ! »
Nous battons en retraite, et dans le couloir, nous éclatons de rire.
-« Désolée, mais là, ce ne sera pas possible » me dit Elise
Nous rejoignons le Salon, où les rangs se sont clairsemés.
Quelques uns dansent encore au rythme dun zouk endiablé, tandis que dautres se désaltèrent.
Elise ne fume pas, aussi je pars seul sur le balcon, franchissant la large baie vitrée, et sors mon paquet pour men griller une. Je tire sur ma cigarette, contemplant les lumières de la ville. Cet appartement est vraiment bien, avec ce grand balcon, qui prend toute la longueur.
A lautre bout je devine quelquun dautre dans le noir. Je vais pour mapprocher, mais un mouvement marrête.
A quelques mêtres de moi, Franck est appuyé à la ballustrade, et Isabelle, accroupie devant lui, est en train de lui prodiguer une pipe magistrale.
Je me recule dans lombre et me prépare à rentrer, quand elle se relève, et tourne le dos à Franck,. Elle retrousse sa robe sur ses hanches et fait glisser une petite culotte sexy à ses pieds (à cette époque le string ne se portait pas encore), dégage un pied de la culotte et écarte les jambes en sappuyant sur la balustrade, cambrant les reins vers Franck, qui ne se fait pas prier et vient planter une queue de belle taille, dans la chatte de la donzelle.
Je les laisse à leur coît, et rejoins les autres à lintérieur. Fabien et Axelle sont assis dans un fauteuil profond, et, en passant, je note que la brune a oublié de remettre sa culotte.
Elise est en train de se trémousser sur la piste. Corinne y est aussi. Je me joins au groupe et nous dansons un moment. Quand je vais me désaltérer, Corinne me rejoint et me demande si je viens chez elle ce soir.
-« Tu tes fait peloter par des mecs toute la soirée, et tu voudrais que je vienne chez toi ? »
-« Arrêtes un peu, cest juste du flirt léger en dansant, et tu ne tes pas privé non plus ! »
-« Je lai fait pour te rendre jalouse, pour que tu réalise ce que ça peut faire. » expliquai-je
-« Allez, tu sais bien que cest un jeu ; »
-« Tu peux continuer à jouer, alors. Tu nauras quà te faire raccompagner par un de tes chevaliers servants. » conclus-je
La jolie Corinne me fait la tête. Au bout dun moment, elle va saluer Lise, et après avoir récupéré son manteau, sen va, seule.
Franck et Isabelle sont revenus, entre-temps. Franck, qui ma vu à lextérieur me fait un sourire géné, mais Isabelle est resplendissante. Elle ne le lâche plus dune semelle.
Sophie et Claire sont maintenant dans le canapé, et je constate que la main de Sophie a disparu sous la jupe de Claire, qui semble planer. Il faut dire quà un moment, jai cru voir tourner un joint.
Petit à petit, les invités prennent congé. Fabien part avec Axelle, Lulu et Lionel partent ensemble et ramènent Laurence et Nicole. Lionel est lheureux possesseur dune voiture.
Claire et Sophie, sen vont en même temps. Franck est parti avec Isabelle.
Il ne reste plus que Elise et moi.
Liselotte nous dit que cest OK, mais je pense que Elise ne se voit pas partir avec moi.
-« Lise, on ne va pas vous laisser comme ça. On va vous aider à ranger ! »
-« Daccord » dit la lectrice « mais jai trop mal aux pieds »
Elle envoie valdinguer ses escarpins, puis sans soccuper de notre présence, elle dégraffe son pantalon et fait glisser le cuir, comme une épluchure, pour sen débarrasser.
Le chemisier recouvre ses fesses, mais nous avons pu constater, au passage, quelle ne porte rien sous son cuir.
Nous échangeons un regard avec Elise qui hausse les sourcils, en signe détonnement.
Nous commençons à ramasser tout ce qui traine, verres, bouteilles, plats divers, , et faisons quelques voyages pour tout ramener à la cuisine. Lise est déjà en train de faire la vaisselle, penchée dans lévier, et jai une vue sur la moitié basse de ses fesses, et son sexe, parsemé de poils blonds. Pendant quElise regroupe la nourriture restante, et lemballe pour la mettre au réfrigérateur, jai pris un torchon et jessuie la vaisselle propre. Une fois la nourriture et les boissons rangées, Elise prend une éponge et un torchon, et part dans le séjour, nettoyer les dernières traces de la fête. Quand elle revient, nous sommes en train de ranger tout dans les placards.
-« Houlà ! » sexclame telle « Déjà deux heures, je vais devoir y aller. Cest quasiment fini ; vous pourrez vous débrouiller » dit elle en madressant un clin dil
Lise la raccompagne, et je vais minstaller dans un fauteuil du salon.
Quelques secondes et elle revient. Met en sourdine un disque de Jazz, allume une cigarette et se met à onduler légèrement au rythme de la musique..
Elle passe la baie et va saccouder au balcon , profitant de la douceur de la nuit.
Je mapproche delle doucement. Je sais quelle ma entendu. Elle continue à tortiller son joli popotin. Jy pose mes mains, arrêtant son mouvement
-« Vous êtes terriblement sexy, ce soir » dis-je tout bas, en me félicitant pour lintelligence de mon approche.
Elle ne dit rien. Je retrousse la chemise, dévoilant son cul tout bronzé. Elle ne doit pas dépenser des fortunes en maillot de bain.
-« Tu as lair choqué » fait elle en se tournant vers moi « mais cest parce que les Français sont trop pudiques. Nous allemands, sommes à laise avec le corps, comme avec la sexualité. »
Un a un elle déboutonne les boutons de son chemisier et lenlève, pour le jeter sur un fauteuil, non loin de là. Ma lectrice dAllemand est à un mêtre de moi, entièrement nue, un petit sourire sur ses lèvres fines, ses yeux bleus tranchent avec sa peau hâlée intégralement. Sa poitrine, un peu lourde a des attaches hautes sur son buste étroit. Les abdos sont visibles, juste au dessus du petit renflement de son ventre . A la fourche de ses cuisses longues mais musclées, sa pilosité blonde comme ses cheveux coupés court, ne peut masquer, une fente, légèrement ouverte. Elle vient contre moi et me tend sa bouche que je dévore comme un mort de faim.. En longeant le balcon, elle mentraine vers sa chambre où nous entrons par la baie ouverte. La lumière est éteinte, mais la clarté extérieure suffit. Elle entreprend de me deshabiller. Je me laisse faire, impressionné par cette femme, bien plus expérimentée que moi. Sans un mot, elle sagenouille à mes pieds et prend mon sexe dans sa bouche. Jai connu peu de fellations, mais celle-ci, est la meilleure de toute ma courte vie.
Mon sexe est, léché, suçoté, aspiré, englouti. Elle lèche aussi mes bourses avant de les absorber, les tenant prisonnières de ses lèvres.. Je ne peux résister longtemps. Je la préviens, mais elle saccroche à moi, et elle avale tout ce que gicle dans sa gorge..
-« A toi, »me dit elle, en se laissant tomber sur le lit, jambes écartées. Jenfouis aussitôt ma tête dans sa fourche et lèche sa chatte. Je détecte son petit bouton que je titille du bout de la langue. Elle gémit et relève les jambes pour les placer sur mes épaules .Jai maintenant une vue dégagée sur son sexe ouvert et, un peu plus bas son petit trou étoilé. Je commence par les lécher partout, avant de fureter du nez dans sa vulve , puis dans son cul, avant dy planter plusieurs doigts, et de lastiquer jusquà ce quelle se mette à gémir puis à crier, en minondant de son liquide .
Je viens embrasser ses seins. Mes mains et ma bouche se concentrent sur ces deux globes maléables . Les aréoles sont larges et brunes, t leur centre gonfle et deux framboises en émergent, deux petits fruits qui ne demandent quà être croqués. Je les mordille et ils durcissent. Lise gémit « ya ! » et sarque vers ma bouche gourmande. Je pince maintenant les deux excroissances et les étire, come pour les cueillir. Elle se tortille et geint, la bouche ouverte. Elle tend le bras et att mon sexe qui a repris de la vigueur (cest le privilege de la jeunesse) et lattire vers sa fourche. Mon gland sent une source chaude et dun coup de rein je my enfonce jusquà la garde. Elle replie les jambes et glisse un coussin sous ses reins, dégageant complètement laccès à sa vulve. On sent la femme dexpérience. Je la pistonne fort, en appui sur les bras, tantôt vite, tantôt plus doucement, ressortant à peine mon gland pour le replonger aussitôt dans son antre tapissé de miel. Comme je viens de jouir, je peux me retenir longtemps. Elle jouit une fois en criant, puis une autre, avant de sécrouler vaincue. Elle roule sur le côté . Je viens me coller derrière elle, et elle ne peut ignorer mon sexe bandé contre son dos.
-« Encore ? » me demande telle après un temps de répit.
Sans répondre, je me contente de la guider pour la positionner, à quatre pattes. Elle saccroche à la tête de lit. Je viens dans son dos, à genoux, et je dirige ma queue qui entre sans difficulté dans sa chatte encore ouverte. Je la lime ainsi. Au début, elle est assez passive, mais le plaisir revient et elle saccorde sur mon tempo pour venir au devant de mon sexe. Je caresse son petit trou en y déposant nos sécrétions avant dy enfoncer un doigt. Lillet froncé se détend et laisse passer un second doigt La magie opère , et elle jouit une fois de plus avec force. Lorsque je me retire, elle passe sa main derrière elle et saisit ma queue quelle positionne contre son anus
-« Tu veux là ? » demande telle
-« Et toi tu veux ? »
-« A ton avis » répond elle en poussant ses fesses vers moi, et en forçant pour que mon gland entre en elle.
Je suis entré sans une plainte de sa part. Peut-être pratique telle la sodomie souvent. Pour ma part, cest la deuxième fois, et les sensations sont nouvelles pour moi. Cest moins sensuel, moins lubrifié que devant, mais cest aussi plus étroit, plus serré. Je sens les muscles qui résistent un peu avant de capituler, et , javance doucement dans ce conduit qui semble sans fin. Je suis stoppé par ses fesses qui reçoivent mon pubis, comme un butoir. Sous moi, devant moi, je la vois se cambrer, se tendre, avant dosciller le long de mon sexe, darrière en avant, davant en arrière, venant claquer son cul contre mon pubis « tap, tap, tap ». Nos respirations saccélèrent. Cest comme une course qui semballe et saccélère au fur et à mesure quon approche du finish. Je vois ses seins lourds qui se balancent sous elle, mais elle nen a cure.
Elle hoquette, gémit , pleure même, mais narrête pas, et se secoue sur ma bite de plus en plus fort. Elle nest quun cul tendu vers moi qui ne suis plus quune queue, un pointeau qui la perfore. Jai limpression de la remplir, et je me dis que même en faisant 1 mêtre je narriverais pas à la combler. Pourtant ses cris sintensifient. Elle crie son plaisir comme une louve qui hurle sous la lune
« AHHH ! ich komme !, ich komme ! »
Mon sexe grossit dans son etroit fourreau et je sens la montée de lave qui gonfle en moi et se libère soudain dans une apothéose brûlante.
Lise, se détend peu a peu, et sallonge, à plat ventre, en me gardant en elle, alors que je débande peu à peu.
-« Les hommes aiment nous enculer. Cest une forme de domination pour eux, mais de nombreuses femmes y prennent du plaisir. Je te sens de moins en moins dur en moi. Finalement, cest peut-être moi qui tai vaincu. » me fait elle remarquer
-« En tout cas, tu ma épuisé »
-« Javais envie depuis un moment. Presque trois mois sans baiser
Et puis, je vais partir. Il fallait bien que je ramène un souvenir de France. » ajoute telle en riant « Tu peux rester si tu veux » murmure telle avant de sendormir
Le soleil du matin vient nous sortir des bras de Morphée. Je suis nu à coté dune superbe femme de 17 ans mon ainée, et jai limpression, en une nuit, davoir franchi plusieurs étapes sexuelles. Elle entrouvre les yeux et étend bras et jambes en baillant, avant de membrasser. Elle se lève et je ne peux mempêcher dadmirer son petit cul qui roule sur ses hanches. Je lentends sagiter dans la cuisine, et elle revient bientôt.
-« Jai préparé le café, mais il faut attendre un peu. Que pourrait on faire en attendant ? » demande telle en lorgnant sur une partie de mon individu qui semble éveillée et volontaire.
Lise vient me chevaucher dans un réveil en fanfare.
Elle est partie trois jours plus tard, et je ne lai jamais revue.
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