Collection Cocu. Le Poulain. Saison Ii (7/8)

Poupette la jolie gendarmette me pose la main sur ma cuisse dénudée par ma robe.

- Marie, tu es libre demain soir, je fête mon anniversaire, Sonia m’a dit pour vous deux.
Ça te brancherait une soirée à trois, nous en avons parlé cette nuit, elle aimerait beaucoup.

J’ai dit oui, si Sonia est là pourquoi refuserais-je.

- Isabelle, belle-maman, recevez-vous ce soir ?
- Non, Marie, c’était hier.
Tu as quelque chose à redire quand des amis viennent me voir.
- Isabelle, je sais qu’elle a été votre vie, quand le Duc me faisait connaître l’histoire du haras, j’ai vite compris qu’entre vous et lui tout a été loin d’être rose.
- Il t’a dit que c’était mon cousin ?
- Non, je l’apprends de votre bouche, ça explique quelques soucis que vous avez eus dans votre vie.

Je sais tout, mais c’est leur problème.
De toute façon pourquoi me mêler de son histoire ?
Mon principal souci c’est Jules et à le voir grandir, il semble avoir échappé aux tares de ces mariages consanguins.

- Si vous êtes libre, pouvez-vous garder Jules, il sera couché.
Je voulais vous demander de m’aider à remplacer Lucrecia mais Jules refuse d’être pouponné.
- Tu sors, tu recommences à vivre.
- Seulement avec Sonia, nous allons au restaurant et après au cinéma, elle m’a parlé d’un bar de nuit où nous finirons la soirée.
- Partez tranquille mamy veille.

Je me prépare, je suis comme une midinette, je me souviens de notre premier soir avec Louis.
Dire qu’en ce temps-là il jouait la comédie pour plaire à ses parents et que j’ai été la cruche de service.
C’est drôle, quand je me suis rendue à ce rendez-vous je savais exactement quels vêtements mettre.
Tailleur et chaussures à talons hauts manquant de me casser la figure par manque d’habitude.
Je me suis bien rattrapée depuis que le Duc m’a mis le pied à l’étrier.
C’est le cas de le dire dans un haras où j’ai appris à monter les pieds bien calés dans des étriers.


Deux copines, une soirée entre amies, jeans baskets comme dans la journée mais le dernier que j’ai acheté avec Jules quand nous sommes sorties faire quelques emplettes.
Il a décidé de se vêtir sport anglais.
Ça a surpris ses copains quand il est retourné à l’école mais comme c’est le petit-fils du Duc même là, ça a fini par passer.
Surtout que Jupiter a encore gagné la semaine dernière prouvant que c’est un des cracks de sa génération.

- Marie, tu es belle, l’amour avec Cromwell te rend resplendissante.
Avant que le scandale que mon père a réussi à , j’avais l’impression que je te voyais te flétrir comme un pruneau.
Là, c’est un pruneau bien en chaire que j’ai devant moi.

J’ai pris la berline du Duc à la place du 4x4 que je conduis pour aller dans les chemins défoncés.
Sonia que je suis allée chercher dans mon ancienne demeure, est montée à mes côtés.
J’en profite pour embrasser ma fille qui vit la plupart du temps avec Ashley la nurse anglaise que belle-maman a engagée par l’intermédiaire d’une amie.
Croyez-moi, c’est bien une femme pas comme Lucrecia, l’autre matin venant voir ma fille, j’ai vu cette demoiselle de 20 ans fille au père nue sous sa douche.
Quand je suis entrée dans la chambre voisine de celle de Duchesse, j’ai entendu l’eau coulée.
La porte était entrouverte et quand je suis entrée et que l’eau s'est arrêtée après un temps où elle a dû se sécher, elle est sortie nue, comme je le fais quand je suis seule au manoir.
Elle arborait une toison brune comme ses cheveux bien taillés mais très fournis.
Nul trace de verge ce qui me changeait de ce que j’avais vu entraînant mes rapports avec le Duc.

Sonia toujours dans ses éternelles robes noires cachant sa féminité me guide jusque chez Poupette.
Je connais le chemin car Poupette a un logement dans la gendarmerie nationale de notre ville.
J'ai déjà mangé aux chandelles, mais seulement en tête à tête avec mon mari.

Pardon ex-mari.
Ce soir les chandelles sont là, mais ce sont trois couverts qui entourent la table.
Cerise sur le gâteau, Poupette a mis une robe longue blanche soulignant sa plastique impeccable.
Mon dieu, que l’uniforme peut gommer la féminité d’une femme et surtout les cheveux.
J’ai toujours vu Poupette avec son chignon, même quand elle est venue aux courses avec nous.
Là ses cheveux sont libres et entourent son visage la faisant ressembler à une poupée.

- Marie, j’aime beaucoup ton chemisier et jean.
Il te manque une seule chose.

Elle ouvre mon chemisier blanc et passant une main dans mon dos détache mon soutien-gorge.
Quand je me suis préparée, je me suis regardée dans ma glace et ce morceau de tissu m’est apparu en transparence.
J’ai failli l’ôter mais j’ai trouvé que c’était trop osé.

- Voilà c’est mieux, noue ton chemisier sous tes seins, mais avant.

Contre toute attente, Poupette avance sa bouche et me prend le téton droit en même temps qu’elle le caresse.

- Sonia donne ses cadeaux à notre amie.
- Le plus beau cadeau c’est vous.

Elle quitte mon sein pour me parler me frustrant de cette caresse.
Je referme mon chemisier et je le noue sous mes seins.

- Attends Marie, une dernière touche, tu es très bandante.
J’aurais mis une petite culotte, tu me l’aurais fait mouiller.
- Salope, Marie, tu sais que lorsque Poupette est en service, sous son pantalon elle est toujours nue.
- Oui, Marie, avoir la chatte à l’air quand j’interpelle un contrevenant ou devant mon supérieur me fait bander le clitoris.
- À table.

Elle est belle en gendarmette ou en femme fatale mais la bouffe c’est loin d’être son truc, elle a tout fait livrer par un traiteur même son gâteau.
Musique d’ambiance pendant que nous dégustons.
Sonia se lève, s’approche de Poupette lui prend la main et la fait danser.

Voir ces deux femmes danser lascivement me rend toute chose.
Je me lève et je les rejoins.
Nos bouches chacune leur tour prend la bouche des autres.
Poupette nous prend par la main et nous entraîne vers sa chambre.
Qui déshabille qui, impossible de le dire, nous sommes nues et ce sont nos seins et nos chattes qui se trouvent le centre de nos intérêts.
J’aime mais au fond de moi, le sexe de John depuis que je me suis donnée à lui m’intéresse plus que les vagins de nos deux amies.
La jouissance que m’apporte mon amant, espérant le retrouver vite, est plus importante que les langues de mes deux amies.

Je quitte les deux amantes sans bruit quand repues d’amour surtout entre elles, elles dorment dans les bras l’une de l’autre.
C’est presque arrivée au haras que je me rends compte que j’étais venue avec ma belle-sœur.
Bof, Poupette la reconduira avec la voiture de gendarmerie.
L’autre jour elle aurait déjà pu monter dedans pour subordination.
Là elle sera passagère.
Quand je gare la voiture dans le garage, je vois de l’effervescence dans les écuries.
La voiture du vétérinaire est garée devant.

Lorsque j’entre, Wanda est placée là où j’étais quand Ludo est venu me baiser.

- Que se passe-t-il ?
- Fadette, la pouliche d’un de nos clients parisiens est en train de mettre bas et ça se passe mal.
C’est pour cela que Loris a appelé Christian le vétérinaire pour l’aider.
- Qu’arrive-t-il ?
- Le poulain arrive la tête en avant sans les pattes qui quand tout va bien sortes en premier.
Lorsque tout va bien, nous attachons les pattes et nous aidons la mère en tirant.
Ici impossible mais je crois qu’ils y arrivent.

J’entends un bruit quand le poulain tombe au sol avec sa poche d’eau.
Rapidement le vétérinaire la dégage de la poche et essaye de la mettre debout.
Je dis là car c’est une petite pouliche.

- Loris remplace-moi, il faut que je recouse Fadette.


La petite se met sur ses pattes et cherche à téter sa mère.
Quand je vois cette mère et sa fille, je regrette presque d’avoir manqué de lait pour Duchesse, la mettant au biberon dès sa naissance.
Je vois Christian le vétérinaire sortir une boîte et prendre du fil et une grosse aiguille.

- Je m’excuse, je rentre, il va recoudre la pouliche et moi tourner de l’œil.

En plus de l’argent qui va rentrer au haras grâce à cette naissance, je suis fatiguée et mon lit va être le bienvenu après un bon bain.

- Wanda, lorsqu’il y aura une autre naissance, appelez, à toute heure du jour ou de la nuit, je voudrais voir une naissance dès le début.

C’est cinq jours plus tard que Wanda m’appelle.
Il est un peu plus de 22 heures.
Devant la porte de la maison une Audi coupée sport est garée.
Ma belle-mère reçoit…

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