La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1350)

soumise Calypso au Château - (suite de l'épisode N°1349) -

‘‘Recevez, Maitre Vénéré, toute ma gratitude la plus sincère, ainsi que toute ma dévotion. Votre chienne soumise salope, tellement heureuse à Vos pieds…’’

Ca fait presque 2 semaines que j’ai rencontré Monsieur le Marquis en réel. Et depuis que j’ai quitté le Château, le seul message du Maitre que j’ai reçu est celui sur la route du retour et donc depuis une quinzaine de jours, je n’ai aucune nouvelles du Noble Châtelain. C’est très dur pour moi, car le Maitre représente tout pour moi, je dépends entièrement de Lui, et je n’ai jamais passé autant de temps sans qu’on soit en contact, que ce soit par de simples messages ou des vidéos. Parfois la peur que je ressens de Le perdre me fait dire que je n’ai pas été à la hauteur, et même si j’ai tout donné mon maximum à notre rencontre, que ce n’était pas assez, et que je n’ai pas réussi à satisfaire entièrement le Maitre tant Vénéré, même si le Châtelain m’a toujours dit que la qualité première d’une soumise est la patience. Mais je sais aussi très bien que mes peurs sont inutiles, infondées, injustifiées et n’ont pas lieu d’exister car le Maître est un homme d’une grande droiture et quand Il prend une soumise sous Son Joug, il l’a garde, l’éduque, protège et Son engagement à en faire une soumise parfaite est sans faille. Cela me rassure, car sauf faute extrêmement grave de la soumise, je sais qu’Il ne me laissera jamais tomber, même si autant de temps sans le Maitre reste une épreuve très dure. Donc malgré le manque de réponse depuis presque 2 semaines, je n’ai pas perdu mes habitudes de tous les matins Lui envoyer un message pour lui dire bonjour, ainsi qu’un message tous les soirs pour lui souhaiter une bonne soirée et nuitée. Et c’est seulement après 2 semaines complètes que je reçois, enfin, un mail de Sa part :

« Bonjour Ma belle chienne, mardi tu auras à nouveau la chance d’être à Mes pieds, mais cette fois ci, ça ne sera pas dans Mon Château, tu recevras l’adresse exacte où te rendre mardi matin par message.

J’exige que tu t’habilles avec une jupe assez courte, et un t-shirt qui laisse l’accès facile à tes seins, et bien sûr, interdiction de mettre des sous-vêtements, culotte, comme soutien-gorge. Te connaissant et sachant que tu vas être excitée à l’idée de Me revoir, tu es autorisée à avoir un orgasme ce soir, après ce sera interdiction de jouir, jusqu’à que tu sois à Mes pieds, si bien sûr je te l’autorise, car pour rappel je suis Le Seul à décider de ton plaisir. Par ailleurs, j’ai bien réfléchi ces derniers jours, et j’ai une surprise pour toi ! Le Maitre qui t’embrasse, à Mardi Ma petite putain de salope en chaleurs »

Je ne pose pas de question sur l’endroit du rendez-vous, étant soumise, je n’ai pas à savoir ce que le Noble a prévu. Mais je Lui renvoie un message Lui exprimant mon infini bonheur d’avoir la chance de me retrouver à nouveau à Ses pieds, et le fait qu’il m’ait tant manqué, mais j’écris cela en choisissant mes mots afin que ça ne ressemble surtout pas à un quelconque reproche. Je Le remercie de me vouloir à nouveau à Ses pieds, et de s’occuper de moi. Le Mardi matin comme prévu, je reçois un message du Châtelain avec l’adresse précise, me disant d’y être à 12h30. En cherchant sur internet, je découvre que c’est un magasin d’animalerie situé à Lyon… Je vais donc me préparer pour m’y rendre. Je vérifie que je suis bien épilée de partout, mais surtout à mon sexe, je m’habille comme Monsieur le Marquis l’a exigé, une jupe en jean qui m’arrive un tout petit peu plus bas que les fesses, avec un t-shirt décolleté noir et profond dégageant ainsi la chute de mes seins. J’enfile des bas résilles ultra-sexy et comme chaussures, je choisis des talons hauts, je vais voir le Maitre alors je souhaite être la plus aguicheuse possible, la plus ‘pute’ au niveau vestimentaire, comme toute bonne soumise doit l’être en présence du Maitre, mais aussi pour Lui donner envie de Sa chienne. N’ayant pas reçu d’instructions spécifiques pour mes cheveux, et sachant que le Maitre aime me prendre en levrette, je décide de les attacher avec une queue de cheval…

Une fois prête, je prends la route.
Durant tout le trajet, j’ai mouillé d’excitation à la pensée d’être à nouveau aux pieds du Maitre et de cette nouvelle journée qui m’attend avec Lui. L’orgasme que le Noble m’a accordé n’a pas suffi à calmer la forte excitation de Le revoir... C’est après quelques heures de route que j’arrive enfin à destination, à 12h28. Une fois garée, sur le trottoir devant l’animalerie, ma joie est sans borne quand je vois le Maitre en train de parle avec son Majordome Walter. Instinctivement, un sourire immense sur mes lèvres prend place en voyant Monsieur le Marquis, alors je me précipite en dehors de la voiture, pour vite traverser la rue et enfin avoir la chance d’être à nouveau à Ses pieds, à cette place qui m’a tellement manqué... Arrivée devant le Maitre, je reste debout devant Lui, tête baissée, sans parler, je ne sais pas trop comment agir pour Lui dire bonjour. Nous sommes en pleine rue, dans un milieu vanille et je ne peux pas m’agenouiller ou me prosterner. J’ose relever un peu ma tête pour Lui faire comprendre mon trouble, et la rebaisse bien vite n’ayant pas reçu l’autorisation de le regarder. Si nous n’étions pas en plein rue, je me serais déjà mise à genoux et j’aurais fait sans hésitation le rituel imposé par le Maitre à notre première rencontre, mais là je ne sais pas comment le Châtelain veut que j’agisse. C’est après quelques secondes où le Noble m’a laissé dans mon trouble, sans dire un mot, qu’il prend la parole :

- Bonjour Ma belle chienne, je comprends ton trouble à ne pas savoir quoi faire à cause de l’endroit vanille où on se trouve. Alors, quand ce genre de situation arrive, sache que pour remplacer la position de soumission habituellement exigée, tu attends tête baissée que je daigne te tendre la paume supérieure de Ma main afin que tu puisses embrasser le bout de Mes doigts, en signe de totale dévotion.

Suite à Ses mots, je vois sous mon visage baissé, Sa main que j’att délicatement et ainsi j’embrasse le bout de Ses doigts avec allégeance et gratitude alors que mon cœur bat à 100 à l’heure d’une vive émotion de bonheur et de bien-être.


- Bien Ma belle salope de chienne, tu restes derrière moi, un pas en arrière, tête toujours baissée

Je suis donc Monsieur le Marquis, comme exigé en restant derrière Lui la tête baissée, en faisant attention à Ses pas pour ne pas Le percuter. Nous entrons donc dans l’animalerie, le Châtelain se dirige directement vers le rayon des colliers et des laisses. Il prend plusieurs colliers qu’il essaye autour de mon cou sans même prêter attention aux quelques clients médusés se trouvant dans l’allée, alors que je reste immobile toujours la tête baissée. Et il finit par en choisir un magnifique, en bleu et en cuir, légèrement épais, et de prendre la laisse assortie, qu’Il essaie aussi en l’accrochant au collier à mon cou. Ainsi, Il me promène dans le magasin en tirant sur la laisse, et même si je suis en position debout, je suis menée comme un animal de compagnie. J’avoue de ne pas être très à l’aise dans cette environnement vanille. Monsieur le Marquis se dirige ensuite vers le rayon des gamelles, et me choisit 2 gamelles en inox. Pour finir, nous nous dirigeons vers le rayon jouets, le Maitre prend des balles de tennis, mais aussi un os en plastique. Une fois, à la caisse, le Noble demande à faire faire une plaque en forme de cœur avec une pâtée de chien, et de graver quelque chose dessus qu’il écrit sur un bout de papier. Il demande aussi à la caissière de graver le même texte sur les deux gamelles. Elle nous dit que la plaque et les gamelles seront prêtes dans environs 1h… Le collier et la laisse laquelle le Maître tient une extrémité dans Sa main, l’autre étant toujours accrochée à mon collier à mon cou, me fait vraiment rougir devant la caissière. Malgré ma tête baissée, la caissière sourit et à ma grande surprise, je l’entends dire au Noble :

- Oui Maître, je vous confirme bien que dans 1h, tout sera prêt.
- Parfait soumise Christiane, j’aime quand mes employées sont efficaces dans Mon propre magasin

Je comprends alors, médusée, surprise même, que cette animalerie appartient au Maître et que la caissière fait partie de Son Cheptel de chiennes… Juste avant de sortir le Maitre décide de me retirer mon collier et ma laisse en les mettant dans Sa poche, par discrétion afin de se déplacer dans la rue d’un environnement vanille.
Alors je le suis toujours à pied et derrière Lui quand Il m’annonce de le suivre pour aller manger. Nous faisons ainsi une centaine de mètres quand nous arrivons dans un restaurant un peu plus loin. Une fois entrés à l’intérieur et assis, le Noble pose Sa main sur ma cuisse, et Il commence doucement à l’approcher de mon sexe mais sans le toucher, Il me caresse l’entrecuisse et le pubis juste autour pour enfin arriver au bout d’un moment à ma chatte déjà bien trempée de l’humiliation que je viens de subir de me faire caresser ainsi devant les clients assis aux tables tout autour de la nôtre. Le Maitre remonte vers mon clitoris qu’Il commence à branler avant de redescendre vers mon vagin, et d’y faire rentrer Ses doigts.

- Tu as aimé cette humiliation, Ma chienne ? Inutile de répondre, ta chatte de salope est trempée et parle pour toi, il s’ouvre tout seul à Mes doigts, il se dilate bien sous Mes petits va-et-vient, chienne en chaleurs ! Tu as les cuisses pleines de ta mouille de chienne …

La Maitre sort Ses doigts de mon sexe, et me les présente à ma bouche pour me les faire lécher. Le serveur arrive juste à ce moment, je baisse la tête de honte pendant que le Noble commande pour nous deux. Je remarque discrètement que le serveur baisse aussi la tête et est en train d’embrasser le bout des doigts de Monsieur le Marquis quand ce dernier, Lui dit d’un ton directif.

- Parfait, chien Didier. Toutes Mes directives ont été exécutées, je présume ?…
- Oh oui Maître Vénéré, tous les clients, ici présents, sont du même monde que nous. Et comme Vous pouvez le constater, tous ont obéis à Vos ordres, en ne faisant pas attention à Votre arrivée, comme de si rien n’était.
- Oui comme tu as su aussi jouer le parfait serveur lorsque, tantôt, je viens de te passer la commande des menus. Maintenant tu vas aller fermer la porte à clé de Mon restaurant et nous préparer les plats.
- Oui Maître, tout de suite Maître Vénéré.

Je reste encore une fois médusée de surprise apprenant que le restaurant, à l’instar de l’animalerie appartient à Monsieur le Marquis… Une fois le serveur parti, Monsieur le Marquis prend la parole :

- Bien Maintenant, il est temps pour toi d’avoir l’entrée avant le plat, descend sous la table pour Me sucer car Ma grosse queue bien dure t’attend. Et j’ai vraiment envie de jouir alors je veux que tu t’actives à Me faire jouir avant la prochaine arrivée de chien Didier et dans le cas où tu ne M’a pas fait jouir, tu seras punie, en plus de Me décevoir

Je lève donc la longue nappe retombant jusqu’au sol et de chaque côté de la table et je me glisse en dessous, pour y découvrir la noble Verge du Châtelain déjà sortie et en effet droite à la verticale et bien dure. Je me mets à genoux au plus vite et commence à sucer le Maitre, qui bien vite m’att la tête pour m’imposer Son rythme. J’essaye de m’appliquer le plus possible ne souhaitant pas être punie, mais surtout ne souhaitant pas décevoir le Noble. C’est le Maitre qui mène cette fellation, il m’enfonce Sa grosse bite bien profonde et me maintient la tête avec Sa volumineuse queue bien au fond de ma gorge, avant de me la retirer de la bouche pour me laisser respirer. Et il recommence ainsi plusieurs fois ces gorges profondes, prenant ma cavité buccale pour un simple trou chaud et humide, pour un simple vide-couilles à s’y soulager dedans. Alors je m’applique le plus possible, je produis tout ce qui est possible en salive, je suce le Maitre avec toute l’Adoration pour Son Joyau, dans l’espoir que Monsieur le Marquis décide de me faire l’honneur de Sa semence.

C’est seulement quand j’entends chien Didier arriver, que le Noble m’att et me maintient encore une fois la tête avec Sa rigide bite au fond de ma gorge, qu’il commence à jouir, en plusieurs saccades de sperme chaud, que j’avale entièrement avec délectation et un immense honneur pendant que le Maitre me caresse la tête. Une fois tout le sperme avalé, je nettoie la Verge du Châtelain, et délicatement la rentre dans Son pantalon, et je reste en dessous de la table à attendre la permission du Maitre de revenir m’assoir. Je ne sais pas si j’ai réussi à ne pas décevoir Monsieur le Marquis car il a joui quand le serveur et arriver. Après quelques secondes sous la table où le Châtelain me caresse la tête, Il me donne la permission de revenir m’assoir à côté de lui, tout en me précisant que je l’ai fait jouir à temps car si j’avais mis quelques secondes de plus, j’aurai était puni. Je suis donc très soulagée de ne pas avoir déçu le Maître. Quand je suis sortie de dessous la table, qu’elle fut ma surprise de découvrir le serveur, chien Didier, entièrement nu et portant juste un collier, une laisse et une cage de chasteté. Nous mangeons ensuite dans une ambiance détendue et servis par un serveur dénudé. Le Maitre m’a autorisé la parole, et nous nous sommes beaucoup amusés.

Après avoir mangé, nous quittons Son restaurant et nous nous dirigeons vers l’animalerie où nous récupérons les objets choisis par le Maitre, avant de se diriger vers la Roll Royce où Walter nous attend au volant. Avant de rentrer dans la luxueuse voiture, le Maitre m’explique que Walter reviendra chercher ma voiture qu’il ramènera au Château. Walter descend de la voiture et retire sa casquette de chauffeur pour ouvrir la porte au Maitre. Ensuite il me fait passer devant. Walter appuie alors sur un bouton et toutes les vitres ainsi que le pare-brise deviennent opaques par l’abaissement de rideaux sombres. Une lumière du plafonnier intervient alors pour donner de la clarté dans l’habitacle du véhicule subitement devenu noir. Le Maître assis à l’arrière exige alors que je me déshabille, chose que je fais bien vite toujours en étant installée sur le siège avant. Une fois fait Monsieur le Marquis, me dit de passer entre le vaste espace des deux sièges avant pour venir à Ses côtés derrière, quand je vois sur la moitié de la banquette arrière, juste à côté du Maître, une cage grillagée pour chien ouverte où il y a visiblement place pour un être humain allongé en chien de fusil. Je comprends alors tout de suite que cette cage m’est destinée, avec une couverture dans le fond. Monsieur le Marquis m’exige de rentrer dedans, ce que je fais de suite. Le Maitre ferme la porte de ma cage, tout en m’expliquant qu’une cage, c’est le meilleur moyen pour transporter une chienne en voiture. Il finit par me dire qu’au Château, je recevrais la surprise dont il m’a parlé. Tout d’un coup, les rideaux se relèvent et de suite la Roll Royce démarre très discrètement. Etant couchée en chien de fusil, je devine que personne ne peut me voir de l’extérieur de la rue, surtout avec les vitres teintées, ce qui me fait dire que les rideaux étaient une précaution supplémentaire de discrétion absolue envers un mode vanille pouvant être hostile aux pratiques de notre monde de la Domination/soumission. Durant le trajet, le Maitre m’a très souvent caressé la tête, ce qui m’a endormie, c’est seulement arrivé au Château que le Maitre me réveille. Il ouvre ma cage, et me met de nouveau mon nouveau collier ainsi que ma nouvelle laisse au cou avant de tirer pour me faire sortir de la voiture à quatre pattes. Le Châtelain se dirige dans une aile arrière donnant sur l’arrière du Château avec moi en quadrupédie derrière lui...

(A suivre …)

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