Collection Sm. Soumission De La Baronne (1/1)

- Bonjour cher ami, tu connais ma femme, je te présente mon fils, il revient d’un tour du monde, il va commencer au ministère la semaine prochaine.
- Oui, bonjour monsieur le ministre, j’ai toujours plaisir de vous voir.
- Laisse le ministre où il est, Jules nous avons fait l’ENA ensemble promotion Kleber.
Judith bonne soirée, tu embellis de jour en jour chaque fois que je te rencontre.
Ma chère, allons manger.
- Monsieur le ministre votre table vous attend.

C’est ainsi que je rencontre le ministre et sa femme sans connaître son nom.
Il est vrai que je viens de faire le tour du monde depuis deux ans après mon diplôme retardant le moment de me retrouver dans la vie active.

- Tu vois fiston, ce couple est étrange, j’ai toujours vu cette femme, fille du baron de l’Écluse, toujours hautaine.
Elle a un prénom étrange, Lucia, on dirait qu’elle nous prend de haut, je l’ai vue trois fois depuis leur mariage sans entendre le son de sa voix.

Le couple s’installe à une table non loin de nous, mes parents étant de dos ils leurs étaient cachés.
Dans ce tour du monde, je me suis éclaté, car je dois dire que sans être un apollon, que je suis beau gosse.
J’ai rarement été seule les nuits, il faut dire que mon père ayant de nombreuses relations à l’étranger, j’ai souvent fait appel à lui pour trouver gîte et couvert.
J’ai retrouvé le logement que mes parents me louent.

Lorsque je suis passé à Lomé au Togo, c’est une femme ayant d’étrange pouvoir que j’ai eu l’honneur de rencontrer.
Elle m’a appris la séduction par le regard, je décide de mettre en pratique ce qu’elle m’a enseigné.
En peu de temps la baronne placée face à moi a le malheur, ou le bonheur de mettre ses yeux dans les miens.
Elle lutte un moment, mais comme chaque fois que j’ai eu l’occasion de mettre en pratique mes connaissances, j’arrive à pénétrer son cerveau.


Il faut dire que cette femme de ministre me fait envie, grande élancée, une classe folle et des fringues de grands couturiers rêvant de lui arracher.
Allée poupée écarte ta jambe, même si je vois mal si je sens que tu fais ce mouvement ce sera la première étape de ta soumission.

C’est à l’ambassade du Brésil lors d’une soirée en mon honneur par l’ambassadeur et sa femme que j’ai réussie la première fois à dominer la belle métisse placée en face de moi.
C’était la femme d’un des plus grands joailliers de la ville.
Elle aussi suivait son mari comme le ferait un petit toutou.
Je devais apprendre plus tard qu’elle venait d’une favela de la ville où elle avait vécu dans la pauvreté.
Il l’avait rencontré quand-il s’était rendu dans ce quartier dangereux pour régler une affaire.
Bien sûr, des gens spécialistes de la sécurité, tous plus armés les uns que les autres.
C’est elle qui les avait reçus et le coup de foudre qu’il avait pour elle, a bouleversé sa vie.
J’ai tout de suite compris que mon regard la marquait. J’ai mis en pratique le pouvoir acquis et j’ai pu vérifier que cela marchait quand enlevant mon mocassin, mon pied est venu en contact de sa chatte.
Je m’attendais quelle face scandale, mais j’ai senti que cela lui plaisait.
Je l’ai caressé en toute impunité et dès le lendemain, je l’ai retrouvé au bord de la piscine de la villa de son mari.
C’est elle qui a fait de moi un Maître, un dominant, elle m’a appris à satisfaire les femmes que je convoitais avec cravache et chat à neuf queues.
Je pense que si mon charme opère sur la baronne, cette femme hautaine bientôt me léchera les pieds.

Voyons si je vais arriver à mes fins, avant le dessert, je me lève, pose ma serviette sur la table.

- Excusez, je me suis taché, je vais vers les toilettes.

La tache est une excuse, qui ira contrôler ?
Je regarde la baronne qui essaye de lutter avec mes yeux, j’adore, plus elle lutte et plus elle est à moi, je passe près d’elle.

Le ministre s’adresse à sa femme qui semble l’ignorer me fixant.
Voilà ce qu’il lui dit.

- Que pensez-vous faire demain, très chère ?
Je vous rappelle que je m’envole dès neuf heures avec le président pour une visite à Mayotte où il y a des problèmes.
Après ce sera l’Inde où il pense signer plusieurs contrats.

Je passe, j’ignore si elle a répondu, j’ai appris que j’ai une semaine pour faire de cette femme une serpillière, à partir de neuf heures.
Aux toilettes, j’attends, faisant semblant de me laver les mains.
La porte à battants s’ouvre, elle est là, son baise-en-ville à la main, je la plaque au mur, lui mettant directement la main à la chatte, l’autre lui glissant un bristol.

« Baronne, c’est mon adresse Mail, envoi moi un message à 10 heures précis, quelques minutes de retard et les plaisirs que je peux t’apporter disparaitront à jamais. »

Je la lâche, je tourne les talons et retourne vers la table de mes parents, je passe près du ministre qui est au téléphone.

- Olga, je t’appelle, laisse-moi parler, elle est aux toilettes, elle est partie ajuster son maquillage.
Je lui ai fait croire que je partais une semaine avec le président, je vais être tout à toi, j’ai…

Je suis passé sans tourner la tête sans entendre la fin de la phrase qui semble explicite, la baronne est cocue, dans une semaine, tu seras intégralement ma soumise, et lui aussi cocu.
Mon pouvoir de séduction a-t-il agi, j’attends peu quand mon portable reçoit un SMS.

« Je suis là. »
« C’est bien, tu es à l’heure !
« J’aimerais en savoir plus ! »
« J’adore ton silence quand tu es en public, il en sera ainsi en ma présence, je suis ton Maître. »
« J’ignore la soumission, mon mari me trompe avec sa secrétaire de cabinet, j’aimerais essayer, il m’a fait croire qu’il partait avec le président, mais je sais regarder l'agenda officiel, le président sera en vacances une semaine au fort en mer de Méditerranée.
»
« Quatorze heures à l’adresse que je vais te donner.
Tu seras nue sous ton imper, tu dois avoir cela dans ta garde-robe. »

Je coupe le portable.
Elle est à l’heure.

- Enlève ton imper, laisse-moi voir ton corps, tu es superbe baronne, vient dans ma chambre.

Cette chambre, je l’ai insonorisée et j’ai quelques engins de s glanés à travers le monde.

- À quatre pattes baronne !

Elle le fait, j’ai une cravache à la main qui pourrait la faire fuir quand elle la voie.
Je l’abats sur son fessier, je vois qu’elle serre les dents, c’est très bon, elle fait tout pour éviter de se plaindre.

- Dégage, demain dix heures même tenues.

L’art dans la soumission c’est de donner l’impression à la soumise que l’on va la baiser.
Mais la première fois il faut lui refuser ce plaisir.
C’est ce principe que j’utilise avec la baronne.

- C’est tout, vous me laisser sur ma faim Maître, voulez-vous que je vous suce.

Un grand coup de cravache, vous vous retournez et vous quittez la pièce, vous entendez la porte claquer, le lendemain quand elle arrive il vous suffit de profiter de ce corps qui il y a peu semblait inaccessible.
Que pourrais-je de plus, parler d’un de mes plaisirs ?
La fessée.
Coucher cette grande bourgeoise sur mes genoux et lui claquer les fesses à m’en faire mal à la main mais bandant sur son ventre chaque fois que ses fesses tressautent, me donne une puissance jamais atteinte.

- Divorce.
- Oui maître dès demain.

Je la domine, mais je lui rends son indépendance c’est là la soumission suprême.
Je la redresse, elle s’assoit sur ma bite, quel pied quand j’éjacule et qu’elle a un orgasme.

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