L'Anomalie De Mère Nature 6

Désolé pour ce retard mais je vous avais promis de vous décrire quelques interludes, rares tellement j’étais fou de Lui, que j’ai vécus avant d’avoir pu être la « femme » fidèle et exclusive de François, mon cousin adoré et vénéré…

Même si la décision prise ensemble qu’il fonde une famille était la plus sensée, elle me fendait le cœur. J’étais tellement fou de lui, que j’avais du mal à supporter qu’une autre personne que moi puisse caresser, embrasser, profiter de son corps et de son sexe tant adulé.
François était réaliste aussi, et même s’il connaissait ma passion pour lui, il savait aussi que mon besoin sexuel était très fort, sans doute du fait de ma particularité.

Il me laissait libre de m’adonner de temps en temps à des plaisirs pour satisfaire mes sens avec d’autres que lui, convaincu, à juste titre, que mon cœur et mon âme n’appartenait qu’à lui seul.

Je me suis donc jeté à fond dans mes études, dans les 3 langues, donnant pas mal de cours particuliers, à la fois pour me perfectionner, mais aussi dans le but de me consti un pactole pour mes voyages linguistiques, mon ordinaire, très simple était assuré par ma famille.
Fin de première année de LEA en 1979, et mon choix s’est porté vers l’Allemagne pour 4 semaines, en immersion totale chez l’habitant, en relation avec ma Fac.

Berlin Ouest, bien sûr.

Je passe les détails sur la famille charmante qui m’a accueilli, partageant leur quotidien, mais aussi respectant mon envie de me retrouver souvent seul, aussi bien pour des passages à Check Point Charlie pour quelques heures à l’Est, que pour des déambulations au Kudamm ou ailleurs, et mes nombreuses heures à la Bibliothèque Centrale de la Ville.

J’aimais parler avec des gens de rencontre, de tout et de rien, et souvent, au vu de mon physique et de ma maîtrise de la langue sans accent, beaucoup restaient interloqués lorsque je leur avouais être français.


C’est lors d’un de mes après-midi en ville, qu’un peu fatigué et affamé, je me suis posé en terrasse d’un salon de thé un peu à l’écart du brouhaha, contemplant distraitement les passants déambuler devant mes yeux en songeant à mes visites touristiques du lendemain, Sans Soucis à Postdam avait ma préférence.

Soudain…. Le Choc… !!!

Un monstre de virilité devant moi, comme je les appréciais tant… (Je peux pas dire aimer… Réservé à François…) Il me faisait penser à Youssef, mon merveilleux Touareg du foyer niçois, encore plus grand et mince, d’environ 30 ans, barbe rasée de près mais hyper drue et très noire, des poils de partout, avec un bosse vraiment indécente dans son pantalon, descendant jusqu’à sa cuisse.

Il déambulait tranquillement, et m’a remarqué subitement. Ce n’était pas très difficile, je le regardais comme Jim Carrey dans « The Mask »… Il a continué, puis est revenu sur ses pas, dardant ses yeux sur moi, avançant encore et revenant. Ce salaud m’allumait à mort, mais nous étions en 1979 à Berlin.

Au moment où j’ai cru qu’il allait partir, il s’est approché de moi, et comme par chance, la terrasse était pleine et que j’étais seul à ma table, il m’a demandé s’il pouvait s’assoir pour prendre un thé à mes côtés, vu le peu de place, si cela ne me dérangeait pas bien sûr.

J’étais aux anges… Je n’avais pas fait l’amour depuis plus de trois mois, lors d’une nuit torride avec François, et ma chatte me démangeait furieusement, malgré mes masturbations multi quotidiennes.

Nous nous sommes présentés, Marc, Mehmet, Turc vivant en Allemagne depuis un peu plus de trois ans, et le dialogue entre nous deux s’est rapidement instauré, même s’il hésitait souvent sur les mots ainsi que sur cette horrible syntaxe et les non moins horribles déclinaisons allemandes.
Une franche sympathie s’est instaurée et je le sentais se rapprocher davantage de moi, collant sa jambe à la mienne, posant souvent ma main sur la sienne et sur ses bras velus, ma chatte s’humidifiait, protégée par ma coque, de par ses gestes de plus en plus sensuels.


« Il me faudrait un ami comme toi, Mark, jeune allemand doué, pour me donner des cours et m’améliorer dans ta langue. Avec ta douceur et ta maîtrise, je ferais des grands progrès, et je boirais tes paroles sorties de ta si belle bouche. »

Gonflé le mec… J’étais interloqué d’entendre ses mots et je suis parti d’un énorme éclat de rire qui l’a tellement surpris, qu’il s’apprêtait à partir, craignant m’avoir choqué de par son audace, même si mes regards avides et significatifs envers lui l’avaient bien encouragé, nous étions en 1979 quand même…
Une fois debout, je l’ai retenu avec mon plus grand sourire, non sans remarquer que son entrejambe présentait une bosse beaucoup plus volumineuse que lorsqu’il s’était assis à mes côtés.

« Mehmet, d’abord, je ne suis pas Mark avec un K, mais Marc, avec un C., je ne suis pas allemand, mais français, étudiant en littérature germanique. »

A lui de rester pantois, mais il s’est vite ressaisi…

« Tu ne voudrais pas me donner ton premier cours chez moi ? J’habite pas loin avec mon frère, il n’est pas là pendant 2 jours, en déplacement au Nord »

Il était encore tôt, je n’avais rien prévu de précis, et je n’allais pas lâcher ce symbole de virilité, même si je culpabilisais au fond de moi, j’allais tromper mon François vénéré pour la première fois et je craignais quand même sa réaction.

« Volontiers Mehmet, mais tu risques d’avoir une surprise, une très très grosse surprise et sache que je ne t’en voudrais pas si tu me demandes de partir après ça »

Je l’ai suivi jusqu’à son appartement, pas très loin effectivement, et le seuil à peine franchi, il s’est jeté sur moi, m’embrassant de partout, me caressant de haut en bas, mes mains se sont rapidement jetées sur sa chemise pour l’ôter et parcourir son torse hyper velu, exsudant cette terrible odeur de mâle brun. (Vous savez tous qu’elle me fait chavirer… !!!)
Ce qui devait arriver arriva, ses doigts entre mes cuisses ont écarté ma coque, mettant à nu ma fente.
Il s’attendait à une bite, et il a trouvé une chatte… Humide de désir.
Tétanisé pendant quelques secondes par sa découverte, ses doigts sont allés fouiller au plus profond possible mon orifice, tandis que je sentais son membre, incrusté sur mon ventre, prendre de plus en plus d’ampleur.

Il m’a dénudé très vite, pour contempler mon corps, pensant avoir à faire à un « travelo » et a très vite constaté que cela n’était pas le cas, laissant pour plus tard les explications.
Il m’a porté illico jusqu’à sa chambre, m’a allongé sur son lit et ses vêtements ont valsé en un tournemain. Son sexe, entouré d’une énorme broussaille de poils pointait jusqu’à son nombril, le dépassant même, un peu moins long que celui de mon François adoré, mais tout aussi large.
Il était tellement excité, qu’après avoir frotté son gland sur mes lèvres vaginales pendant quelques secondes, il s’est enfoncé d’un coup, me perforant en entier, de son pieu lubrifié par mes sécrétions jusqu’à la possession totale. Ce n’était pas l’homme de ma vie, certes, mais j’en avais tellement besoin. Je me suis promis de l’avouer à François, mais je savais qu’il serait heureux lui aussi, que je puisse prendre du plaisir sans lui, conscients, tous les deux, que cela était encore impossible pour le moment.
J’ai joui…. Encore et encore… Sous les coups de butoir du sexe de Mehmet, qui m’a pris et repris, plusieurs fois, se déversant en moi à grands jets, comme un affamé de sexe qu’il était, perforant même mon petit anneau qui s’est offert à lui sans résistance.

Une fois notre plaisir assouvi, je lui ai expliqué mon « Anomalie », mon souhait de conserver mon corps d’homme mais mon sexe de femme. Ce n’était pas très facile pour lui de tout comprendre, mais il m’a avoué qu’après la surprise passée, il adorait ça. C’est sûr qu’il ne pouvait pas imaginer une telle « Anomalie »…
Repus, en début de soirée, nous étions quand même affamés et Mehmet a voulu m’inviter dans un restaurant turc pas très loin de chez lui, en me demandant de rester avec lui pour la nuit.


Je me sentais tellement comblé, que je ne me voyais pas lui refuser ça, d’autant plus que j’avais encore trop envie de profiter de ce mâle hyper puissant. Arrêt à la cabine téléphonique en bas de chez lui, j’ai appelé ma famille d’accueil pour les prévenir que je ne rentrerai pas ce soir, que je restais chez des copains rencontrés à la bibliothèque. J’avais toujours été très sérieux avec eux, et donc, il ne se sont pas inquiétés, me remerciant de les avoir prévenus, ce qui était la moindre des politesses.
Après ce super repas partagé avec Mehmet et ses amis, apparence masculine reprise avec ma coque, nous nous sommes un peu promenés sur le Kudamm, proches mais sans plus… (1979 oblige) mais je voyais le désir pétiller dans ses yeux.

« On rentre…. J’en peux plus… Trop envie de toi Marc…. Encore et encore… »

(Bien sûr, tous ces dialogues étaient en allemand, mais je me vois mal vous les écrire tels quels, même si quelques mots m’échappent parfois)

Merci de bien vouloir m’encourager à vous révéler la suite de mon séjour berlinois…

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