Bikers (Juillet 1987)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Préface
Claire à 20 ans lorsqu’elle rencontre très physiquement des bikers allemands.

Claire, née en 1966, a vécu intensément de sa puberté à sa grossesse, de 1979 à 1997, sa « libération sexuelle » avec de la délectation mais aussi maintes déconvenues. Le plus original c’est qu’à partir de 1983 elle a en permanence été en couple avec François « le cocu magnifique ». Ami de ce couple sulfureux mais incroyablement attachant, je tente de retracer au travers d’une quarantaine d’épisodes les expériences amoureuses réelles mais aussi « fantasmées » de Claire. Dans cet épisode c’est son témoignage à elle.

Claire…

Je n’ai pas encore parlé de sodomie. François avait essayé mais je n’aimais pas ça, ce faisait mal et je n’y voyais aucun intérêt. Les jouissances apportées par le titillage de mon clito, les caresses, palpations de seins et pénétration vaginale me suffisaient. J’ai compris – je lis style Union à l’époque – que je suis à dominante clitoridienne mais bien vaginale aussi. Donc pourquoi l’anus ?

Cet été 1987 je suis totalement épanouie. Très bien avec François et en sus quelques échappées softs pour agrémenter mon quotidien et me prouver que je plais à d’autres. Je me considère comme une jeune fille libre, émancipée et bandante, qui contrôle la situation et n’est plus l’objet méprisé de mes débuts.

Avec François, pour ses vacances de juillet, nous décidons de passer une semaine dans les Pyrénées. Premier vraie vacances que son salaire permet enfin. Nous avons trouvé à un très bon prix un grand chalet divisé en plusieurs chambres à l’étage et salle de restauration commune au rez-de-chaussée.

Je me trimbale alors en jeans ou en jupette blanche très courte et surtout avec une chemisette que François adore. Mes petits seins y pointent bien et on les devine largement par transparence. François aime que je la déboutonne pour laisser passer un téton.

C’est donc dans cet appareil que je débarque au gite.

Il y a parmi les autres résidents deux couples sans grand intérêt et deux bikers allemands, le père et son fils. Ils sont branchés rock et en mauvais anglais on communique. Le père, un bel homme très tatoué me mate beaucoup et son fils est très timide. On boit ensemble des bières le soir. Mis à l’aise par ces gars que je trouve cool, le matin quand je descends pour le petit dej, je débarque la première fois en culotte, les poils de ma furieuse touffe, dépassant de tous côtés, et seins à l’air comme sur la photo…

Là, même François est franchement gêné. Je n’ai pas recommencé mais le mal était fait : les boches n’arrêtent pas de me mater.

Bref le dernier matin du séjour, François est parti se promener et m’a laissé à la chambre me reposer car on avait un peu trop bu la veille et j’étais schlass. Vu la chaleur je suis, comme à la maison, à poil sans drap dessus…

Allongée sur le ventre, je suis encore dans le cirage lorsque j’entends la porte s’ouvrir. Pensant au retour de François, je ne bouge pas. Puis je sens une main me caresser les fesses, j’ai le cul à l’air et ma vulve au cœur de mon bosquet intime est clairement exhibée. François apprécie me retrouver en ce genre de position et me prendre ensuite. Moi aussi j’aime beaucoup. Des doigts se mettent à fouiller dans ma chatte.

Toujours sur le ventre, ensuquée, fermant les yeux, je commence à mouiller et m’ouvrir, poussant des petits soupirs. Puis je suis prise brusquement par les hanches, un peu relevée et pénétrée brutalement. Sous l’effet, j’ouvre les yeux et ébahie je découvre le jeune allemand se branlant devant mon visage à gauche du lit et comprend aussi sec que celui qui me grimpe n’est pas François mais le père boche…

Il s’exclame (je retranscris au mieux mais ce n’est pas aussi correct) : « Suck my son and let it go, bitch. If you say something to you boyfriend we’ll both kick ».
Au vu de ma position et entouré de deux males déterminés j’obtempère.

La majorité des filles dans mon cas auraient certainement réagit autrement mais pour ma part, le sexe, même , n’étant pas une catastrophe, je préfère me soumettre que risquer des coups et au-delà. La situation se reproduira et ma réaction fut la même… Pas du tout maso : il vaut mieux un coup de bite qu’un coup de bâton.

Je réagis, prends la queue du fils de ma main gauche et la dirige vers ma bouche pendant que le père continue à me tringler. Puis ce dernier retire son engin de mon minou et le déplace à l’étage au-dessus sur mon petit trou. Il s’affaire laborieusement, car c’est mon dernier espace vierge, puis arrive à l’introduire. Là je lâche brusquement la zézette du fils et me met à hurler de douleur. Mais la maison est vide, ils ont bien planifié le viol. « Keep sucking on my son, you little whore ! ».

Mais sans pitié le vieux continue à m’enculer à sec. Le gamin vient se placer sur le haut du lit, me prends la tête et la remet sur son sexe m’indiquant que la pause était finie. Tout ça a dû être très court mais pour moi ça n’en finissait pas. Je reprends le machin du môme et me décide à le finir. Peu habitué et éjaculateur précoce - certainement puceau - il jouit vite dans ma bouche en plusieurs saccades.

Les goulées étaient énormes et je manque de m’. A son tour le père éjacule bruyamment dans mon anus et me serre si fort aux hanches que j’en ai gardé les marques quelques jours. Ils me laissent étalée sur le lit, du sperme me coulant de la bouche et de l’anus… « Hi! All the sluts, the French, you got what you were looking for ».

Après mon agression bien que toute ahurie et le trou du cul en feu, il faut que je fasse vite avant le retour de François. De toute façon on doit partir avant midi. Quand il revient, il est tout étonné, connaissant ma traînaillerie habituelle : toutes nos affaires sont prêtes et on attend le bus. Les bikers ne nous quittent pas des yeux.
Je ne dis rien dit à François mais pendant une semaine je prétexte que je ne suis pas bien pour qu’il ne me prenne pas et que surtout qu’il ne voit pas les marques du sauvage sur mon corps.

L’épisode m’a calmé un moment pour mes « échappées ». J’en pris le parti positif. Il m’avait ouvert (c’est le cas de le dire) de nouvelles perspectives : ce sont les débuts qui sont toujours difficiles.

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