La Pulpeuse Nathalie : La Suite Dans Les Idées, Elle Parvient À Baiser Qui Elle Veut (Partie 4/9)

Merci de prévoir pour le jeudi 2 avril 12 h

Nathalie la pulpeuse aimait séduire, après son Bac, elle fit trois années d’étude pour obtenir son BTS compta, à 21 ans, elle avait déjà eu un grand nombre de partenaires mais elle ne se jugeait pas salope comme certains de ses camarades de jeux le prétendaient. En effet, si son corps était celui d’une jeune femme de son âge, elle était d’une grande maturité, la faisant passer pour une femme bien plus âgée. Elle avait pris l’habitude de coucher avec des hommes d’une dizaine d’années plus âgés. C’était simplement une manière à elle de se sentir adulte, en couchant avec ces hommes d’un âge mûr.

Elle avait toujours préféré de loin, coucher avec son prof de gym ou avec les maitres-nageurs ou les même les papas amenant leurs s à la piscine municipale qui était son terrain de chasse préféré. Le dicton qui disait : « L’homme propose la femme dispose », ne lui correspondait pas, pour elle, c’était : « Nathalie propose et Nathalie dispose. » Elle abordait les hommes qu’elle choisissait en leur souriant puis dans la petite conversation, elle disait : « Je suis bien avec vous, j’aimerais vous connaitre un peu plus. » Ces hommes étaient plutôt surpris. Ils n’avaient pas l’habitude que cela se passe comme ça.

Très rare étaient ceux qui refusaient, Nathalie se trompait rarement, car dans le regard de ces garçons, elle avait deviné leur envie lorsqu’ils la regardaient et la dévisageaient, voire la déshabillaient sur place avec leurs yeux. Pendant ses années d’études, elle vécut ainsi mais avec son diplôme en poche, il était grand temps pour elle de travailler car bientôt, elle n’aurait plus de bourse ni d’appartement, sa mère avait une nouvelle fois déménagé suivant un nième amant. Elle avait donc un réel besoin d’argent. Avant de finir sa dernière année d’études, elle avait envoyé plusieurs cv et lettres de motivation. Par un pur hasard, elle fut convoquée chez Petit pour un entretien d’embauche où elle avait la possibilité d’être embauché.

Elle connaissait bien le fils, la quarantaine, un vrai coureur de jupons malgré qu’il soit marié. Elle s’était habillée très sexy pour l’occasion, ça ne l’aurait pas dérangé de baiser avec ce bel homme pour obtenir le poste.

Mais ce jour-là, ce fut Monsieur Daniel Petit qui l’avait reçu, elle s’installa sur le fauteuil en face du patron et non pas son fils, son adjoint. Monsieur Petit était de l’âge son père, un homme d’un mètre soixante-quinze, ayant un léger embonpoint mais était physiquement encore pas trop mal conservé malgré son front largement dégarni, les rides, les poches sous yeux et sa barbe courte mais entièrement blanche. Ayant connu son père, et étant même un de ses meilleurs amis à l’époque, il avait accepté de la recevoir personnellement dans son bureau pour en discuter. Il avait connu Nathalie gamine mais aujourd’hui dans son bureau, il l’avait trouvé très charmante, intelligente, dévouée mais mal en point. Pendant les explications sur son passé, la mort de son paternel, la vie avec Viviane et ses études, Daniel Petit écouta avec une très grande attention et avec compassion. Lui et son fils avait trois candidates, il était temps de faire leur choix car l’embauche était assez urgente et il le lui avait dit sans détour ni langue de bois.

Daniel Petit était veuf depuis plus de deux ans, il n’avait plus beaucoup de relation sexuelle, il se contentait de quelques gentillesses de la part de sa secrétaire. Il s’était levé et s’était placé derrière elle, il avait posé ses mains sur ses épaules et les massait délicatement, elle pensa tout de suite qu’il voulait profiter de la situation, il dit simplement :
— Le poste est à toi Nath, je ne te choisis pas seulement pour ton père mais pour tes compétences.

Les mains du patron descendaient de plus en plus. Nathalie fut surprise, elle s’attendait à cela avec le fils mais certainement pas avec Daniel. Cela faisait longtemps qu’un homme ne l’avait impressionné autant, elle ressentit du désir et un certain sentiment de valorisation, elle aimait être désirée ainsi.
Il était passé devant elle et la fit mettre debout, elle était restée immobile en espérant qu’il continue à la caresser mais il ne fit que de la prendre par la taille en lui demandant :
— Qu’en dis-tu Nath ? Ça ne te fait pas plaisir ?
— Sans contrepartie ? Répondit-elle.
— De quoi parles-tu ?
— Vous ne voulez pas r de moi ?
— Mais non ! Voyons, pourquoi c’est ce que tu penses de moi ?
— Je vous avoue, je n’ai plus rien et je ne sais même pas où dormir ce soir.

Elle ne bougeait pas et en son for intérieur, elle espérait presque qu’il lui propose. D’un autre côté, elle avait peur de passer pour une trainée qui accepte tout ce qu’homme lui impose. Daniel lui fit une bise sur le front et lui dit :
— Si tu veux, viens dormir à la maison, j’ai bien trop de chambres, tu peux t’y installer en attendant de trouver quelque chose.

Daniel la fixait en attendant sa réponse, son regard perçant et ses mains qui caressaient ses bras nus sans aucune mauvaise intention la mettait très mal à l’aise, pourtant elle s’apercevait qu’elle mouillait sa petite culotte. Elle prit la décision d’accepter, elle était prête à tout pour que son nouveau patron la prenne dans ses bras. Ce fut elle qui fit la démarche, elle entoura ses bras autour de ses hanches et reposa son visage de profil contre son torse en disant :
— Merci Monsieur, vous êtes vraiment un homme formidable.

Quinze jours s’étaient passé sans que Daniel fasse un geste mal placé, pourtant Nathalie faisait tout pour l’exciter les soirs, elle regardait la télévision habillée uniquement de sa petite nuisette. Elle s’apercevait sous son pantalon de pyjama qu’il bandait mais il ne voulait pas franchir le cap. Au travail, son fils n’avait pas tant attendu, il avait très vite succombé à ses charmes, elle avait envie de sexe et avait trouvé enfin un homme assez puissant pour lui donner du plaisir. Mais c’était le père qu’elle voulait.

Pourtant ce jour-là, Daniel n’avait pu résister une nouvelle fois, c'était l'été et ils étaient tous les deux à la piscine de sa demeure.
Daniel alla se baigner, elle était sur le transat en train de se faire bronzer en le regardant. Elle le trouvait très beau et recommençait à avoir de gros désirs, elle recommençait à mouiller pour lui. Lorsqu'il sortit de l'eau face à elle, son maillot de bain mouillé, laissait deviner un beau sexe, sa passion lui revint d'un coup, elle rougit et sentit sa fente s'ouvrir et ses seins pointés encore une fois.

Elle se disais « pourquoi pas aujourd’hui ? » après tout il était veuf et couchait avec sa secrétaire de 55 ans, il devait bien aimer les jeunes femmes bien salope ! Mais le problème, il évitait de la regarder, il vint s’installer à côté d’elle, Nathalie avait enlevé le haut de mon maillot et plongea dans l’eau un peu fraiche, ce qui fit ressortir ses tétons, lorsqu’elle sortit de l’eau. Il n’avait pu faire autrement que de la regarder, elle s’était dirigée face à lui avant de s’allonger. Elle avait décidé de passer à l'action : il fallait qu'il sache qu’elle le désirait. Elle se mit donc à se caresser la chatte tout en le regardant, il l’avait bien vu mais faisait semblant de dormir. Les jambes surélevées, elle continuait sans pudeur, enfin... Elle était toute excitée de la situation et toute trempée de cyprine, son regard s'attarda entre ses cuisses. Ses jambes étaient ouvertes, son sexe gonflé de désir, elle attendait, il se retourna pour s'allonger sur le ventre, la tête sur le côté face à elle. Lui aussi prit des lunettes et un bouquin et il l'observait ainsi un long moment, son regard à côté de son livre.

Nathalie savait qu’elle jouait un jeu un peu dangereux, c’était tellement excitant qu’elle s’en moquait. Elle voulait se faire baiser et elle avait très envie du contact de cet homme, ce vieux. Ce petit jeu dura plus d’un quart d'heure, pendant lequel, elle fit bouger légèrement ses jambes pour qu'il ait une belle vue, elle s’aperçut alors que sa queue était en érection ! Elle tremblait de désir et n'avait qu'une seule envie, de continuer à se masturber, jusqu’à la jouissance.
Daniel se leva enfin et s’assis à côté de son transat. Elle sentit sa main sur sa cuisse nue, il se pencha vers elle et passa la main sur sa poitrine fabuleuse. Elle regardait ses mains avec ses doigts immenses, belles, propres tout en commençant à lui caresser la cuisse tout doucement. Elle était de plus en plus excitée et ne bougeait plus, puis il remonta doucement jusqu'au pli de son haine, Nath était au bord de l'explosion :
— Attends Nath, je vais te remplacer.

Elle ressentit un doigt explorer son bas ventre afin de remplacer le sien, son doigt s'aventura sur son clitoris, gros et bien érigé. Là les choses allaient loin car elle le laissait faire avec bonheur ! Daniel aventura son doigt dans sa fente bien humide et le pénétra, en faisant un léger va et vient. Il tournait et retournait son doigt autour de son clito puis le plongeait dans sa vulve :
— Ce n’est pas mieux ? Tu aimes ? » Lui demanda-t-il.

Elle fit oui de la tête en écartant encore un peu plus les cuisses. Il plongea un deuxième doigt :
— C'est magique ! Continuez Daniel. C’était la première fois qu’elle l’appelait par son prénom.
Il écartait les grosses lèvres en même temps, il lui masturbait la chatte, elle ne voulait pas qu’il arrête, les cuisses de plus en plus écartée, elle jouit fortement, en lâchant un grand jet puis un deuxième à la suite. Elle se glissait en avant pour dégager son vagin, déjà bien ouvert et inondé. Il continuait ses caresses tout en lui suçant les seins, elle avait l'impression que ses tétons allaient exploser :
— Tu peux toi aussi me faire du bien, tu ne crois pas ?

Sans répondre et avec autorité, elle lui enleva son maillot pour sortir son pénis. Il était d’une bonne taille, sans être monstrueux, sa verge tendue était très raide et très dure, son gland suintait de désir. Elle le prit dans sa main, elle soupesait sa queue de sa main, en la masturbant doucement, pendant que la sienne fouillait sa petite chatte trempée. Elle se baissa pour le prendre en bouche et le suçait avec envie, lui comme elle, n’en pouvaient plus.

Soudain Daniel se leva, Nath écarta fortement les cuisses pendant qu’il s'allongeait sur elle sans peser de tout son corps. Il lui suçait les seins et son gland touchait son clito. Puis il s'agenouilla et se mit à la sucer de long en large et en travers, en lui maintenant les jambes rejetées en arrière :
— Tu veux ma queue maintenant ? Lui demanda-t-il, en la prenant dans sa main.
Elle fit un petit signe d’acquiescement de la tête, il se mit sur elle et fourra sa langue dans la bouche pendant que son gland la pénétrait tout en délicatesse. Il coulissa sans difficulté et il allait de plus en plus loin centimètre par centimètre à son grand bonheur, il lui tenait les jambes toujours en arrière et commença son va et vient, il poussa plus loin :
— Un pur bonheur Daniel, vas-y… Dit-elle les yeux révulsés.

Daniel en profitait pour faire de légers va et vient et faisait tourner son pénis dans son vagin. Folle de désir, elle serrait sa queue de son périnée, elle le sentait tout au fond de ses entrailles, elle était fière d'accueillir une bite de vieux et d'être ainsi écartelée, le souffle court, il continuait son va et vient en lui léchant le bout des seins et elle n’avait pas pu se retenir de crier sa jouissance :
— Oui !!! Daniel tu me défonce, je pars…Cria-t-elle en bandant tous ses muscles. Oh !!! Oui !!!

Daniel s'enfonça plus brusquement en lui disant qu’elle était belle et qu'il l'aimait, sa cadence était de plus en plus rapide, il devenait rouge écarlate. Elle s’était cambrée et en sueur, jouissant de ce sexe complètement enfoui en elle, elle sentait ses testicules taper contre mon anus. Il accéléra encore et le plaisir monta et s’évacua par saccades avec force, sous ses halètements et grognements de plaisir, puis il éjacula dans son ventre par cinq longs jets de sperme !

Elle avait joui avant lui, les bourses vidées, il s'effondra à moitié sur elle sans retirer son pénis. Reprenant ses esprits et en se dégageant, elle lui dit :
— J’ai honte Daniel d’avoir fait ça avec toi, cela ne se reproduirait plus.
— Il ne faut pas Nath, tu es la même salope que ta mère, tu n’y peux rien mais que tu es si belle. Bien entendu, j’aimerais recommencer mais il ne faut pas que cela se sache, tu le comprends n’est-ce-pas ?

Ce qui ne l’avais pas empêché de rester deux mois chez lui, jusqu’à ce qu’elle trouve un appartement. Car au bureau, il était hors de question de baiser avec lui. Elle profita alors du fils mais plus jamais du père.


Si comme Nathalie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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