Rien Que Nous Deux ( 3 )
Cest quelque chose de voir Paulo faire la cuisine ! Il se débrouille dailleurs très très bien avec beaucoup de recettes de son pays - le Brésil -, bourrée de légumes et dépices. Excellent. Non ce qui est rigolo cest de le voir sactiver en slip dans lappart, on est toujours en slips toute la journée -, à chaque allée et venue, il vient quémander un bisou, une caresse
Il se met à danser sur la musique, à chanter, bref une vraie petite fée du logis. Je laide comme je peux, sous ses conseils. Pour ce midi, il nous a concocté une « Feijoada », sûrement le plat le plus connu du Brésil. Ce qui minquiète ce sont les quantités quil prépare. Je lui dis.
« -How about inviting the neighbours tonight ? ( Et si on invitait les voisins , ce soir ? )
Ouh là ! Ca sent le traquenard à plein nez, ça ! Mais je dois dire que jai rien contre, bien au contraire ! Aussitôt dit, aussitôt fait, Paulo a déjà téléphoné à Paul et à Fabrice. Ils ont OK pour ce soir. Pour ce midi, Paulo propose quon goûte déjà un peu à la feijoada. On se met à table. Les repas avec Paulo sont toujours loccasion dune partie de rigolade sans fin. Je nai jamais rencontré quelquun avec un caractère aussi positif et enjoué que lui. Toujours porté à la plaisanterie, en toutes circonstances. Cest vraiment revigorant dêtre à son contact.
« -May be we should rest a little
We are going to have a
tiring evening, no ? » ( On devrait peut être se reposer un peu
On va avoir une soirée
fatigante, non ? )
Je le vois venir lui, question repos
On se dirige quand même vers le lit pour y faire une sieste réparatrice.
« -You sleep fully dressed ? « ( Tu dors tout habillé ? ) me lance-t- il, perfide et rigolard. Tu parles, je nai quun slip sur moi, lui aussi dailleurs.
« -Exactly ! You dont see im already sleeping ? » ( Exactement ! Tu vois pas que je dors déjà ?)
Le voilà parti dans une longue rigolade. Lair de ne pas y toucher, il se met à me chatouiller très légèrement les fesses
Je lui réponds en lui envoyant un grand coup doreiller.
« -Love technology. Dont worry ! » ( Sextoy, ne tinquiète pas !)
Je sais Paulo très friand de ce genre de trucs. Il a encore du dégoter ce truc dans ses périgrinations
Il pousse et ça finit par entrer sur 8 à 10 centimètres. Un peu comme un gode mais en moins long. Il me dit que ce sont des boules de geisha. Cest pas désagréable du tout. Il la fait coulisser en tirant ou poussant sur la partie restée à lextérieur. Agréable ! Je rampe dans le lit pour venir me mettre tête bêche avec lui. Moi aussi je pose ma joue sur son slip. Je ne peux que sentir la dureté de son barreau. Quest ce que je vais bien pouvoir lui faire pour le surprendre ? Jai trouvé, je vais lui redécorer sa toison ! Je file chercher un rasoir mécanique et je regagne ma place dans le lit.
Voyons voir le plat de résistance. Paulo me débarrasse de mon mini slip et lui du sien, me fait me mettre à plat ventre jambes écartées, me glisse deux oreillers sous le ventre, me retire voluptueusement les boules de geisha et présente son dard dans ma raie ; Il se frotte, se frotte longuement dans de doux allers et retours puis vient se présenter à lentrée de ma rondelle. Comment va-t-il me pénétrer ? Il choisit la douceur. Ce sera très très lent. Au point que je vais le supplier de me forcer tellement jai envie de lui ! Ce faisant, il me masse les épaules, le dos, les globes, se colle à moi et cherche ma bouche. Il se relève, me tire le bassin vers sa bite et mentre dedans dans un doux glissement. Ooooooh ! Sûr quil sait y faire, le gaillard ! Je gémis daise. Il recommence la manuvre plusieurs fois de suite. Je la sens se glisser, se faufiler en moi, comme si elle explorait mon antre. Il va ainsi me limer un super long moment, sans jamais changer de rythme. Il me dit des mots doux à loreille comme quoi jai un joli cul, quil aime bien être dans mon ventre, si je sens bien sa bite, si jaime ça
Non, non pas du tout ! Je voudrais que ce moment dure éternellement. Cest du plaisir doux avec la promesse dun plaisir plus grand encore.
Mais il ne veut pas conclure trop vite. Il prend ma place et me propose de lui rendre la pareille exactement de la même façon.
« -I can ? » (Je peux ? )
« -Of course ! » ( Bien sûr !)
Alors, sans transition, le sang bouillant dans mes veines, je me mets à le trombonner de toute ma bite, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je le malmène dans toutes les positions. Je le tirevers moi en levrette, je le relève à genoux, je le retourne face à moi. Je suis déchaîné et il adore ça. On se dévore des yeux et on ne se quitte plus du regard. Ca passe aussi par les yeux. Il mencourage de la voix, me dit daller encore plus vite, encore plus au fond, de le déchirer. Jai la bite en feu mais quimporte. Plus rien ne pourrait marrêter jusquà lexplosion finale. Finalement, il décide dessayer de jouir en même temps que moi. Il se met à se branler de plus en plus vite, de plus en plus fort, à deux mains. Il a une façon bien à lui de branler ou de se branler. Il enserre la bite ou sa bite mais sans jamais la serrer, laissant quelques millimètres despace entre sa main et la queue. Bizarrement, ça fait encore plus deffet que sil serrait très fort
Il se pince les tétons. Il joue avec ses boules. Il a encore accéléré sa cadence. Jai perdu complètement mon souffle. Je le tire, le tire vers moi à chaque coup de reins, mes couilles claquent, claquent, ça chuinte, il gémit de plus en plus fort. Finalement, pour une fois, cest lui qui va jouir en premier. Ses deux jets vont jusquà son visage et ses cheveux.
Ah ben, pour une sieste réparatrice, tu parles dun truc. Nous voilà sur le flanc tous les deux. Quimporte, on a toute laprès midi pour récupérer. On sendort ainsi, collés lun à lautre, sans même se laver, collants, dans une odeur de sperme qui envahit tout. On va ainsi plonger plusieurs heures.
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