Le Cadeau De Mariage 13
Résumé
Agnès et Antoine forment un couple idyllique, ils se sont promis de vivre un amour parfait.
Ils tombent sous lemprise dun vieil homme pervers qui, sous le prétexte de leur apporter le cadeau de leur futur mariage, les entraîne, lun puis lautre et enfin tous les deux, dans une spirale de débauche extrême. Les jeunes tourtereaux innocents au départ, découvrent leur propre sensualité et comptent bien exploiter, pour leur propre compte, les différents aspects de cette découverte qui leur sont révélés à loccasion dune soirée très chaude dans un hôtel.
Agnès si timide et réservée dordinaire, se retrouve à sexhiber dans une grande surface quand soudain, elle ressent le désir brutal dêtre touchée, caressée et doffrir son corps. Etrangement, cest à son futur beau-père auquel elle pense, attirée par sa perversité et sa manière de la traiter et dr de sa naïveté. Elle décide de le rejoindre sur le champ dans son antre, un bistrot situé non loin du domicile dAntoine son jeune fiancé
Agnès. Les plaisirs de la chair.
Agnès se presse pour rejoindre le bistrot où le beau-père dAntoine lattend. Elle avance aussi vite quelle le peut, comme si elle redoutait de rater un rendez-vous important. Elle a bien conscience quelle même a décidé de se jeter dans la gueule du loup. Personne ne ly obligeait, si ce nest cette pulsion qui emprisonne son libre arbitre et la pousse à vivre ses envies. Son exhibition dans cette grande surface la tellement excitée en lui révélant un aspect caché de sa personnalité, que lenvie de sentir des mains sur son corps sest soudain manifestée.
Frustrée, elle sest précipitée dans les griffes de son beau-père. En cet instant, elle a envie dun homme. Un homme capable de la prendre comme la salope quelle se sent devenue. Le plaisir charnel qui lui a été révélé dans cet hôtel lui colle maintenant à la peau, et ne labandonne plus. Quil est loin ce sentiment amoureux quelle sétait promise de conserver dans son couple idéalisé.
En marchand dans la rue, elle décide de retirer sa veste pour découvrir ses épaules et laisser le bas de sa robe voler sous leffet du vent. Cette sensation de se sentir nue sous le fin tissu de cette robe, livrée aux caprices du vent, la transporte dans cet univers de luxure et en même temps de liberté quelle vient déprouver dans la grande surface. Elle ne fait rien non plus pour empêcher sa robe de bailler sur sa poitrine, sachant bien que ses seins se dévoilent
en toute innocence !
Elle a encore en mémoire le frottement de lélastique de sa culotte en train de glisser le long de ses cuisses pour choir sur ses chevilles en délivrant sexe et fesses de toute entrave.
En marchant vers sa débauche, elle saperçoit que la sensation de nudité sous sa robe, si forte encore, quelques minutes auparavant, sestompe pour laisser place au désir de saccoupler, de se faire baiser. Elle a envie de plus. Sexhiber ne lui suffit plus, elle souhaite le contact. Sa sensibilité est extrême, presque compulsive.
Quand elle débouche dans la rue, en face du bistrot où son futur beau-père lattend, elle reçoit une décharge dadrénaline. Ses jambes se mettent à trembler et veulent se dérober. Elle respire très vite pour reprendre la maîtrise de la situation et, sereine et en parfait accord avec elle même, elle sélance pour traverser la rue.
Elle marque une pose devant la façade du bar et scrute lintérieur au travers des vitres opaques. Elle distingue dans lombre, une table avec trois hommes qui sirotent visiblement des pastis. Elle ne voit pas le beau-père dAntoine.
La main tremblante, elle presse la poignée vers le bas et pousse la porte du bar. Derrière le comptoir un gros bonhomme dont elle ne voit que le haut du corps, alerté par le bruit dune clochette, se retourne et lui fait face. Il porte une marcel au blanc passé, traversé de haut en bas par des bretelles aux couleurs vieillottes qui sarrondissent de part et dautre dun ventre quon devine bien gonflé.
La jeune femme perçoit de la convoitise dans le regard de son vis à vis, son adversaire et immédiatement cela la rassure. La cupidité du monstre le trahit, il est sous le charme et Agnès sait maintenant quelle va pouvoir dominer léchange.
Dans la salle, outre la table aux trois hommes, il y a, à lécart, une femme âgée qui, assise devant un verre de bière, la regarde et la déshabille des yeux. Agnès ne la voit pas mais elle perçoit le message adressé, imprégné de mépris et de dédain. Mais cela ne latteint pas !
Dans le fond de la salle, les trois hommes ont cessé de parler. Ils la reluquent ouvertement avec insistance, comme sil sagissait dune apparition divine.
Agnès est prise soudain de panique réalisant quelle a été folle dêtre venue dans ce bar, attirée par la débauche. La maison des parents dAntoine est bien à quelques mètres de là. Mais elle se voit mal aller demander de laide, et cela la rend encore plus fragile, encore plus nue.
Toute cette scène se déroule dans un silence pesant, et ne dure que quelques longues secondes.
Lentement elle dépose sa veste sur une chaise et sapproche à pas lents du comptoir derrière lequel la bête, en arrêt, est prête pour la dévorer. Il sadresse à elle avec arrogance et impertinence, certain de vaincre la femelle. Son regard concupiscent est une insulte à sa dignité de femme.
Forte de sa beauté et de sa jeunesse, le front haut, elle lui sourit et linterpelle.
- Je suis la fiancée dAntoine, et jai rendez-vous avec son beau-père.
Les yeux vicieux de lhomme silluminent quand il lui répond.
- Je sais ! Jai déjà vu des photos de toi.
Il accompagne cette phrase dun rire gras tout en se tournant vers la salle pour prendre à témoin les clients. Des ricanements humiliants sélèvent qui troublent un peu la jeune femme quand elle réalise quel genre de photos le beau-père dAntoine a dû leur montrer. Agnès sent le rouge lui monter aux joues. Un mélange de honte et dexcitation.
Un bruit de chaise quon déplace attire son regard sur le côté de la salle. La vielle sorcière soudain sest levée et sapproche delle, un sourire aux lèvres plein de sous-entendus.
- Tu es la belle dAntoine ?
Agnès ne trouve pas la force de répondre, surprise. Elle est subjuguée par la personnalité et la voix rauque de la vieille femme.
- Comme ça tu as perdu ta langue, ma chérie ?
Ces propos familiers déstabilisent Agnès. Elle est tétanisée. La peur, lexcitation le désir, tout se mélange. Elle perd de sa superbe, si bien quelle ne refuse pas la main de la femme qui se saisit dun de ses seins et en pince le téton par dessus le fin tissu de sa robe. Ça lui fait mal mais vite un trouble envahit toutes les cellules de son corps. Elle entend des rires et des quolibets salaces qui proviennent de la table au fond de la salle. Cest seulement à cet instant quelle réalise quelle na toujours pas vu le beau-père dAntoine.
En continuant de lui pincer fortement la pointe du sein, la femme glisse sa main sous la robe et découvre que sa chatte est nue. Agnès ne se contrôle plus, sa respiration saccélère dévoilant son excitation.
- Mais cnest pas vrai ! Elle est venue ici sans culotte, la salope. Regardez les gars !
En disant ces mots, elle soulève le bas du vêtement pour prendre à témoins les trois hommes vautrés sur leurs chaises.
Dun geste ferme et autoritaire, elle la fait tourner sur elle même et, relevant le bas de la robe, expose à lassemblée la rondeur de son cul.
- Putain cest encore plus chaud quen photo, sexclame-t-il. Il doit bien se régaler le petit jeune.
- Je crois bien que son beau-père a bien dû sen occuper aussi, rugit une voix provenant de la table du fond.
Agnès est sidérée, incapable de la moindre résistance. Subjuguée par la fermeté des propos de la femme, humiliée, honteuse elle se laisse conduire, consciente que toute son âme réclame cette soumission. Elle ne peut éviter la chaleur quelle ressent au bas de son ventre. Puis son sexe se met à laisser séchapper ses liquides intimes alors que sa respiration saccélère. Elle sent quelle ne pourra pas résister longtemps à la jouissance quelle sent monter en elle. La vérité est quelle se moque de tous ces juges. Elle ne peut plus résister à lenvie de se faire baiser, baiser pour baiser.
La femme la tourne face au zinc du bar, et immédiatement le patron lui plaque ses grosses paluches sur la poitrine. Elle maintient relevé le bas de la robe découvrant le cul de la belle à la devanture de la boutique.
La sonnette de la porte qui souvre interrompt la scène érotique. Agnès tente dabaisser le bas de sa robe et se couvrir. Cest son beau-père ! La vieille dame len empêche, et lui claque même une fesse dune main ferme. Dune voix forte le nouveau venu lance :
- Salut ma petite pute ! Tu nas pas perdu ton temps pour montrer ton cul, à ce que je vois !
Agnès sent la brûlure sur sa fesse sétendre à lensemble de son corps. Elle a du mal à cacher son excitation. Il ajoute.
- Patron, on peut fermer la boutique ? Je crois quon va pouvoir senvoyer la petite sans difficulté.
Le patron derrière son zinc ne tarde pas à répondre par laffirmative.
A lécoute de ces mots, la jeune femme est envahie par une envie folle de baiser. Oui, de baiser ! Elle ne sinterroge même pas de savoir comment elle a pu en arriver là ! Une envie de sexe, de bite. Tout en elle nexiste maintenant que pour le désir qui la submerge, un désir de cette autre nature qui fait delle une femme épanouie, libre, et quelle redécouvre en cet instant. Rien de comparable à cette fameuse soirée où elle nétait pas linstigatrice de son plaisir. Maintenant, elle noppose aucune résistance quand le patron lui saisit la tête de ses grosses mains dhomme préhistorique, lattire à lui pour lui plaquer ses lèvres sur les siennes. Soumise, Agnès ne refuse pas non plus la langue qui envahit sa bouche pour en lécher le moindre recoin. Lhaleine de lhomme est forte, insupportable, mais elle découvre un plaisir salace à ce baiser profond.
Dans le même temps elle sent les mains de la vieille lui écarter les fesses et lui toucher son sexe dans lequel elle introduit un, puis deux et enfin trois doigts. Elle a envie de crier sa jouissance, de dire combien elle aime, mais bâillonnée, aucun son ne peut sortir de sa bouche. Alors, submergée de plaisir, elle se libère de la langue du patron pour laisser exploser un cri quand elle sent un sexe pénétrer le sien. Quand le ventre velu vient frapper ses fesses, elle réalise que son beau-père vient de sintroduire en elle, dans son intimité. Il est gros et la remplit bien. Elle tend même sa croupe au devant de la bite qui la bourre.
- Je vais te travailler à ten faire hurler ma chérie. Je te promets quaprès ce traitement, tu ne pourras plus te passer dune grosse bite. Celle de ton Antoine te semblera bien petite.
Il entreprend des va et viens, lents dabord puis, de plus en plus rapide. Et Agnès doit bien en convenir, sa bite la ramone bien plus que ce quelle a déjà ressenti avec Antoine ce fameux soir. Il ne faut pas longtemps au beau-père pour pousser un cri de jouissance en se plantant bien profondément pour remplir le vagin de la jeune fille de son sperme.
Repu, il se maintien en place et attend que son organe se replie lentement pour le laisser sortir et libérer le sexe dAgnès.
- Putain, que tu es bonne ma salope. Epouse mon beau-fils et je te promets des parties de cul qui combleront ta libido et ta sexualité débordantes.
La jeune femme repend lentement son souffle, la tête appuyée sur le zinc du bar. Elle sent la liqueur séchapper de son vagin et sécouler lentement le long de ses cuisses. Elle glisse une main entre ses jambes, recueille cette épaisse liqueur et la porte à sa bouche pour la goûter et en avaler quelques gouttes, sans cacher son plaisir. La vieille femme lui claque la fesse et lui abaisse sa robe couvrant son cul.
Rouge de honte et de plaisir, finalement elle se redresse lentement. Elle ne veut pas affronter les regards des témoins de ses débordements. Les yeux posés sur ses pieds, elle va reprendre sa veste et sans un mot ni un regard pour lassistance, elle sort du bar.
Une fois dans la rue, elle se sent envahie dun dégoût de sa personne. Seulement à cet instant, elle prend la mesure de son comportement, de sa débauche et immédiatement elle a envie de voir son « Toine », envie de le retrouver pour exprimer son amour, cet amour si pur quils se sont promis.
Elle le contacte et lui demande de venir la rejoindre chez elle. Quand il arrive, elle se jette dans ses bras en sanglots.
- Je suis une catin. Je viens de te tromper dune manière abjecte et honteuse. Et avec ton beau-père ! Je ne sais pas ce qui ma pris, mais cétait une pulsion irrésistible, comme si Satan avait pris le pouvoir sur ma volonté. Protège-moi, je taime.
Antoine reste silencieux. Il est choqué, mais il sait ce que sa bien-aimée a pu ressentir car lui aussi sétait aperçu que cette soirée avait débridé chez eux deux des envies si longtemps refoulées. Des envies de sexe pur et dur, indépendant des sentiments amoureux.
Il séloigne delle pour prendre le temps de comprendre et finaliser sa réponse. Il est tout pâle et Agnès sent langoisse lenvahir avec la peur de le perdre. Après quelques minutes de silence, il se tourne vers elle, prend son visage entre ses deux mains et la fixe droit dans les yeux, des yeux pleins de larmes. Sa voix tremble quand il sadresse à elle.
- Je taime Agnès et je sais maintenant que je taimerai toujours malgré ce que nous avons vécu tous les deux. Depuis toujours tu es la femme de ma vie. Je ne te reproche rien. Je ne me sens pas le droit de te condamner. Nos corps nous appartiennent. Ma chérie, je te comprends. Il faut sauver notre amour et faire en sorte que notre couple en sorte encore plus fort. Promettons-nous de ne plus nous trahir et de vivre notre sexualité et notre amour sans plus nous mentir. Donne-moi lopportunité de satisfaire mes propres fantasmes les plus fous et toi de vivre les tiens mais en ma présence désormais. Ensemble.
A peine a-t-il terminé de parler quils sétreignent tous les deux soudés dans un baiser intime.
Agnès comprend que si elle se sent devenir femme, son « Toine » est devenu un homme, fort de son pouvoir et de leur amour.
- Nous allons nous marier pour recevoir cet que je tai promis. Je te serai fidèle dans nos amours et dans nos débauches. Sois en sûr !
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Agnès et Antoine se sont mariés. Couple heureux, épanouis. Le bébé promis est attendu. Ils vivent un amour intense, sincère et profond. Tous deux ressentent tous les jours leur complicité dans cet amour. Leurs sentiments sont si forts quils suffisent pour alimenter leur sexualité. Pour autant ils savent ensemble quun jour ou lautre, resurgiront ces pulsions qui leur ont donné tant de plaisirs et de jouissances.
Ce jour là, Antoine téléphone à son épouse pour lui annoncer quil a invité un collègue à venir dîner chez eux. Agnès comprend vite. Et cest avec une douce chaleur au ventre et un léger picotement entre ses cuisses, quelle décide de shabiller jolie pour recevoir cet « invité » surprise. Elle sempresse de déposer la petite chez la voisine, complice du couple.
Leurs pulsions désormais ils les vivent de concert, dans une complicité absolue.
Ils vont pouvoir profiter de leur cadeau de mariage, convaincus quils lont bien mérité.
FIN
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