Madame Leconte (1) : Un Coup De Téléphone

Je m’appelle Thomas. J’ai 19 ans. Je suis apprenti plombier. J’adore le bricolage depuis que je suis tout petit et je touche à tout. J’aime aussi rendre service et je ne suis pas fainéant, si bien que maintenant je suis connu dans mon quartier : ça fait des années que j’aide les voisins, et ma réputation n’est plus à faire. Au début, on me filait la pièce, puis, au fil des années, à force de devenir de plus en plus compétent, j’ai augmenté mes tarifs, si bien qu’aujourd’hui, je me fais un vrai petit salaire « au black ». À mon âge, c’est pas mal.
J’ai aussi découvert récemment que les « petits boulots » pouvaient apporter beaucoup plus, et qu’on pouvait facilement joindre l’utile à l’agréable. Du coup, je suis super motivé pour continuer. Tiens, je vais vous raconter comment tout ça a vraiment commencé.
(…)
On n’est encore qu’au mois de mai, mais il fait super chaud depuis deux ou trois jours. Je suis chez les Leconte. Ils ont une super baraque avec jardin et piscine, mais ils sont incapables de l’entretenir, alors ça les arrange que ce soit moi qui le fasse. Aujourd’hui, je m’occupe de nettoyer la piscine, vérifier les filtres, passer l’aspirateur au fond.
Pendant que je m’affaire, Mme Leconte se prélasse tranquillement au soleil sur son transat. J’en profite pour me rincer l'œil discrètement car c’est une femme superbe, et même franchement bandante. Femme au foyer, mariée à un homme riche (et très occupé), une fille de 18 ans à l’université. Je suppose qu’elle doit avoir dans les quarante ans, mais elle ne les fait pas. Plus je la regarde à la dérobée et plus je me dis que ça doit être un vrai bonheur de faire des galipettes avec une femme de ce genre. Comme on dit familièrement, elle a tout ce qu'il faut là où il faut, et avec l’art de le mettre en valeur : les seins volumineux, mais fermes et appétissants ; la chute de reins qui met en valeur des fesses à la fois imposantes et gracieuses ; des cuisses harmonieuses et attirantes ; des hanches prononcées ; un visage ravissant encadré par de long cheveux blonds et soyeux ; des lèvres sensuelles et des yeux verts pleins de mystère … Quand j’avais treize ans elle me faisait déjà fantasmer et je me branlais le soir en pensant à elle, mais c’est presque pire maintenant.

Allongée sur son transat, offerte au soleil en très petite tenue, avec juste un mini maillot deux pièces pour cacher bien peu de son anatomie, c’est un régal pour les yeux et un supplice par ailleurs : femme inaccessible, si proche et pourtant si lointaine …
Ah, la salope ! Voilà maintenant qu’elle se tartine de crème bronzante. Elle s’en passe sur les bras, les épaules, les cuisses. Mmmm … J’attends avec impatience qu’elle en mette sur son ventre, puis plus haut. Oui, c’est bon, ça vient. Je me trompe ou elle vient de me jeter un coup d’œil amusé ? Oui, c’est évident, elle doit bien se rendre compte que son petit jeu ne peut passer inaperçu et me laisser froid. Elle le fait exprès ou quoi ? Putain, de pire en pire ! Elle se fait le ventre comme prévu, remonte vers le buste, s’occupe de ses flancs, de son cou ; elle fait le tour de ses seins mais passe quand même un peu sur les côtés (son haut de maillot n'est vraiment pas bien grand). Ah, la vache ! Heureusement que mon bermuda n’est pas trop ajusté, parce que je commence à bander. Voilà qu’elle se tourne franchement vers moi :
- Dites-moi, Thomas, ça vous dérangerait de me passer un peu de crème sur le dos ? Je n’y arriverai pas seule.
Oh, bon sang, c’est trop beau ! Je ne me fais pas prier, j’abandonne mon aspirateur pour piscine et je me dirige vers elle, essayant de ne pas courir, de prendre un air aussi naturel, détaché et professionnel que possible. J’ai le cœur qui bat la chamade, comme un puceau face à sa première fille dénudée. Pourtant non seulement je ne suis plus vierge, mais Mme Leconte est simplement en maillot de bains. Décidément, cette femme me fait un effet dingue que j’ai du mal à expliquer et à maîtriser.
Elle me tend la bouteille d’huile avec un petit sourire coquin et se met sur le ventre. Quelle vue ! Subrepticement, profitant de ce qu’elle me tourne le dos, j’arrange mon sexe déjà dur dans mon slip. Sans rien manquer du spectacle qui s’offre à mes yeux écarquillés, je me décide à m’acquitter de ma tâche.
Qu’est-ce que c’est beau, une femme allongée sur le ventre, avec ces courbes majestueuses qui toutes explosent de féminité. Je me sens lyrique et poétique quand je vois ça. Non seulement je peux regarder, mais je vais pouvoir toucher : que du bonheur !
Au bout de quelques secondes, je me dis que ça va pas être du bonheur du tout, mais plutôt de la frustration : c’est trop doux, trop chaud, trop sensuel, trop excitant. Quand je commence à sentir la douceur et l’élasticité de sa peau sous mes mains (j’en suis seulement aux épaules), je me dis que je vais devoir me branler trois fois ce soir avant de réussir à dormir, rien que pour faire baisser la pression du moment que je suis en train de passer.
Bon, là, je descends. C’est super, ça devient encore plus excitant, mais d’un autre côté ça me rapproche du moment où j’aurai fini. De toutes façons, je n’ai pas vraiment le choix, je ne vais pas non plus y passer deux heures (même si je dois reconnaître que ça me tenterait assez).
Tiens, coup de téléphone. C’est son portable. Elle tend la main et répond sans changer de position. Elle est toujours sur le ventre et moi je lui tartine le dos.
- Allo, oui … Ah, c’est toi chéri ? … Non, rien de spécial, je profite du soleil, je me fais bronzer au bord de la piscine … Comment ? … Non, ne t’inquiète pas, j’ai demandé à Thomas de le faire … Quand ? Mais maintenant, voyons … Mais si, je t’assure, il a déjà changé les filtres et en ce moment il est en train de nettoyer le fond de la piscine …
C’est marrant, mais d’entendre parler ainsi de moi me trouble. Je ne suis pas en train de nettoyer la piscine, je suis en train de m’occuper de son dos, alors pourquoi ment-elle ? Certes, elle ne va quand même pas dire qu’elle se fait caresser le dos par un mec qui bande comme un bouc en rut ! J’ai peut-être trop d’imagination mais … Elle doit bien se rendre compte que la situation n’est pas si innocente que ça, non ? Si je suis excité comme c’est pas permis, peut-être qu’elle aussi est émoustillée par la situation ; après tout, c’est bien elle qui a fait appel à mes services, non ?
Tout en pensant à ça, il me vient une idée toute simple et logique, comme une illumination.
Je suis en train de lui passer de la crème dans le dos, mais la bretelle de son soutien-gorge fait obstacle, alors le mieux est encore de la dégrafer, me semble-t-il ? Si elle me reproche ce geste d’une familiarité excessive, je pourrai toujours dire que je fais ça pour ne pas tacher son maillot de bains et pour que la peau de son dos soit protégée de façon uniforme. Je ne vais pas lui dire que ça m’excite de faire semblant de la déshabiller, même si c’est la vérité. Et puis, tant qu’elle est sur le ventre, ça ne prête pas à conséquence, n’est-ce-pas ?
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je dégrafe son haut et j’écarte la lanière, dévoilant un peu plus de peau. C’est plus symbolique que significatif, car il s’agit à peine plus que d’une ficelle, mais, bizarrement, ça m’excite énormément. Elle tourne imperceptiblement la tête, comme pour signifier qu’elle se rend bien compte de ce qui se passe, mais elle ne va pas au-delà. Pour moi, pas de réaction signifie : « qui ne dit mot consent », donc tout va bien. J’en profite pour continuer mon passage de crème très professionnel sur son dos pendant qu’elle converse avec son mari.
- Comment ça ? … Alors je vais encore t’attendre pendant des heures … Mais, tu m’avais promis …Tu sais, j'en ai assez de passer mes soirées en solitaire ...
Bon, il y a apparemment de l’eau dans le gaz, mais ça ne me regarde pas. Il ne faut pas que je me laisse distraire. Je continue donc à m’occuper de son dos qui est maintenant entièrement nu. Même son dos est excitant, c’est pas possible, cette femme me rend fou !
Oh, et puis zut, après tout, si on ne profite pas de l’instant présent … Je m’aventure un peu sur les côtés, je lui masse les flancs. Je m’approche même de ses seins que j’essaie d’attaquer très timidement par les côtés. Elle sursaute un peu et se raidit. Merde ! J’exagère, il faut que je fasse machine arrière, sinon ça va mal finir. Je reviens sur le dos, mais bon, je ne vais pas y passer l’après-midi, alors je descends un peu sur les reins.

Ouh, là là ! Là, ça devient torride. Sa chute de reins est un bonheur pour les yeux, mais si en plus on a le droit de toucher … Allez, je suis parti, j’en profite : le bas du dos, la taille, les hanches. Pendant ce temps, elle continue sa conversation téléphonique avec des « Oui … D’accord … Ah bon ? ». Apparemment, son mari lui raconte des trucs qu’elle n’écoute que d’une oreille distraite.
Bon, je crois que c’est fini, je lui ai fait les épaules, le dos et même un peu plus, il va falloir que je m’arrête. Je contemple une dernière fois sa chute de reins et son splendide fessier. Non décidément, ça ne devrait pas exister des nanas comme ça : comment peut-on garder le contrôle de soi devant un tel spectacle ? Et puis … après tout, si je continuais ? Je peux toujours faire l’idiot qui n’a pas tout à fait compris les instructions. Je vais m’occuper de ses jambes.
Pour pas que ça paraisse trop gros, je commence chastement par les mollet, puis je remonte progressivement. Ouais, ça me plait, tout ça. Si elle n’est pas d’accord, elle pourra toujours me le signaler. Mais non, elle ne dit rien et ça ne m’étonne pas : elle parle à son mari et moi je suis censé nettoyer la piscine. Faut que j’en profite, même si ça risque de mal finir.
Ça y est, je suis passé au-dessus des genoux. On va bientôt arriver à l’instant de vérité : le haut des cuisses et les fesses. Non, ça, je peux pas. Je ne suis pas du genre timide, mais quand même ! Je me concentre pour l’instant sur ses jambes, mais il va falloir que je prenne une décision : ou j’arrête, ou je continue.
« Qui ne risque rien n’a rien ». Je ne sais pas qui a dit ça mais je crois que ça s’applique à l’instant présent. Allez, c’est parti : j’ose. Je lui masse, lui palpe et lui caresse les cuisses de plus en plus haut, à la limite de son maillot. C’est pas tout à fait un string, mais c’est quand même un tout petit maillot, alors ça me permet d’aller loin, très loin, là où normalement on ne laisse pas s’aventurer les étrangers …
Elle se cambre légèrement, accentuant encore la courbure de ses reins et mettant en valeur ses fesses. Elle voudrait m’allumer qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Bon, ben … Je n’ai pas de raison de m’arrêter, alors je continue. Le haut et l’intérieur des cuisses, la naissance des fesses, la lisière du maillot. Pas de rejet … Pourquoi se priver ? J’appuie pour faire rentrer la crème et j’en profite pour passer subrepticement sous le maillot, de quelques centimètres seulement. Bon, ça c’est la bonne technique : tout doucement. On avance un peu, on revient … On y retourne en allant un tout petit peu plus loin et on recommence.
De fil en aiguille, millimètre par millimètre, j’arrive à glisser mes mains sous son maillot pour lui masser un peu les fesses. Oh, c’est trop fort ! J’ai le souffle court et je crois que ma bite va exploser dans mon bermuda. Je me rends bien compte que je devrais arrêter, mais j’ai l’impression que je n’ai plus la capacité de réfléchir. Qui a dit que les mecs pensaient avec leur queue ? Quelqu'un qui connaissait la vie, assurément …
Bon, j’ai presque tout exploré et elle est toujours immobile sur le ventre, se laissant palper les fesses sans rien dire. Si je m’arrête maintenant, ou je meurs d’un arrêt cardiaque, ou je vais le regretter jusqu’à la fin de mes jours.
Dans la vie, il y a des moments où il faut savoir prendre une décision, même si elle peut paraître incongrue. Je vais jouer mon rôle jusqu’au bout, je vais continuer avec la crème bronzante, mais devant cette fois-ci, même si ça a déjà été fait.
Alors qu’elle est toujours en discussion avec son mari, je la prends doucement, mais fermement par les épaules et entame un retournement sur le dos. Elle semble d’abord prise au dépourvu, se raidit et essaie de résister, mais, avec une main tenant le téléphone, ce n’est pas pratique. Très vite elle se concentre sur l’urgence : le haut de son maillot est dégrafé et risque de dévoiler ses seins. Elle tient donc son téléphone d’une main et son soutien-gorge de l’autre, si bien que je n’ai aucun mal à la mettre sur le dos. Le calme revient, elle ajuste son haut pour qu’il reste en place et poursuit sa conversation, mais semble déstabilisée.
- Oui … Non, non, je t’écoute … Si, si, je t’assure … Oui, alors, tu disais ? …
Moi, l’air de rien, je reprends mon passage de crème avec le même principe : tant qu’elle ne m’arrête pas, je continue !
Mais très vite je me rends compte que ça ne va pas pouvoir durer éternellement, ce petit jeu-là. Je suis tellement excité que même mon bermuda bouffant n’arrive pas à cacher ma monstrueuse érection. D’ailleurs, Mme Leconte, tout en écoutant son mari, a les yeux rivés sur la bosse significative qui s’offre à son regard.
Bon, j’en peux plus, c’est plus possible, faut y aller : je vais lui retirer son soutien-gorge et m’occuper de ses seins. Si je prends une claque, tant pis, le jeu en vaut la chandelle !
Ça ne se passe pas tout à fait comme prévu : quand je fais mine de lui retirer son haut, elle met sa main dessus pour me signifier qu’elle n’est pas d’accord et que je ne dois pas aller plus loin. Misère ! Vais-je m’arrêter si près du but ?
Je réfléchis à toute vitesse : elle est au téléphone avec son mari, elle a une main prise, elle est moins forte que moi, elle se laisse étendre de la crème depuis plusieurs minutes sans réagir, elle cache tout ça à son mari et moi je devrais tout abandonner brutalement sous prétexte qu’elle résiste un peu ?
J’en ai marre ! La fortune sourit aux audacieux, alors j’y vais. Tout doucement, mais avec autorité et fermeté, je lui prends la main qui protège sa poitrine, je l’écarte (elle semble vouloir s’y opposer un instant, mais, rapidement, s’avoue vaincue) et, délicatement, avec mon autre main, je lui retire son soutien-gorge. Elle est coincée, incapable de résister, tenant toujours son téléphone portable d’une main pendant que j’immobilise sa deuxième main. Sa poitrine s’offre à présent à ma vue et, comme je m’y attendais, j’en suis émerveillé.
Avec ma main disponible, je commence à lui caresser les seins. Ils sont ronds, pleins, fermes, ce qui semble étonnant pour une femme de quarante ans. Les mamelons pointent en avant et durcissent encore plus quand je les effleure. Mmm … C’est magique. Elle ferme les yeux, frissonne un peu et frémit sous mes caresses. Une partie d’elle est obligée de suivre la conversation avec son mari, l’autre partie semble ne plus avoir la force de résister. Sa main immobilisée cesse de lutter. Je vais donc avoir mes deux mains disponibles pour m’occuper de ses seins.
Faux jeton jusqu’au bout, comme si j’étais tout simplement en train de m’acquitter de ma tâche avec obéissance et application, je prends de la crème et me décide à l’étaler sur ses seins.
Je ne sais pas si tous les hommes sont comme moi, mais les seins, c’est un truc qui me rend fou : je serais prêt à père et mère pour contempler ou caresser une belle poitrine. Cette fois, c’est encore mieux : j’étale la crème, je masse, je palpe, j’effleure, je caresse, … Je donne tout ce que je peux et, ma foi, je ne dois pas trop mal m’y prendre parce qu’elle ne se défend plus vraiment. Je sens bien que sa respiration s’accélère. À un moment, elle me saisit l’avant-bras qu’elle sert très fort, mais sans faire mine de vouloir arrêter mes caresses. Je m’interromps un instant, puis repars de plus belle. Quand j’effleure la pointe de ses seins, elle accentue la pression sur mon bras et ses ongles me rentrent dans la peau. Ça veut dire quoi ? Qu’elle aime ça ? Peut-être, parce que je la vois qui ferme les yeux et qui se mord les lèvres, mais qui ne fait aucun geste particulier pour m’éloigner de ses seins. Et puis, elle est toujours coincée avec son mari au bout du fil :
- Non, chéri, je t’écoute … Si, si, mais tu pourras me dire tout ça demain, non ? … Non, ce n’est pas ça, mais … Bon, si tu veux, vas-y, raconte …
Son mari a l’air d’avoir plein de trucs à lui dire et ça m’arrange. J’ai comme une vague impression qu’elle m’a laissé aller trop loin et qu’elle ne pourra pas me repousser tant qu’elle sera en train de lui parler. Si ça se trouve, dès qu’elle aura raccroché, je vais me prendre une baffe monumentale. Plus j’y pense et plus je me dis que si je veux profiter de la situation, c’est maintenant ou jamais. Après lui avoir caressé les fesses, je suis en train de lui peloter les seins et elle ne peut pas m’empêcher de le faire. Je n’ai pas beaucoup d’expérience avec les femmes, mais j’ai l’impression qu’elle apprécie. Pourquoi s’arrêter ? De toute façon, je suis trop excité, le seul moyen de me faire hésiter serait de m’envoyer une bonne gifle, et encore !
Bon, ça suffit, j’en peux plus, je veux la voir à poil, même si je me fais poignarder dans la seconde qui suit. Je me décide à quitter ses seins et à lui retirer son bas. Aussitôt elle met une main pudique sur son pubis, pour me signifier qu’elle n’est pas consentante. Trop tard, ma jolie, j’ai trop envie de voir ton joli minou. J’insiste, je lui écarte sa main de force et commence à lui retirer son slip en le faisant glisser le long d’une cuisse, puis de l’autre. Ah, la vache, elle résiste, la bougresse ! Mais je suis plus fort qu’elle, j’ai deux mains et je suis motivé, alors qu’elle est toujours en train de parler à son mari. D’ailleurs, la conversation est plutôt décousue :
- Non, chéri, je t’écoute mais … non, c’est pas ça, mais j’ai fait tomber un truc, une minute … attend, je ramasse … mais … si, si, ça m’intéresse, mais … bon, bon, d’accord, si tu veux … non, non, il n’y a rien de spécial, je t’assure …
Je deviens fébrile. Je veux lui arracher son bas de maillot et j’y arriverai ! Maintenant, j’y mets les deux mains et elle a beau essayer de me retenir, je gagne du terrain : le tissu glisse le long de ses cuisses. Oui, ça y est, elle abandonne son bas de maillot et cache son sexe avec sa main. La voie est libre et je peux faire glisser le slip au-delà des genoux, puis des chevilles et des pieds. Mmmm … j’adore ça, maintenant je sais qu’elle est totalement nue et sans défense. Je finis de lui retirer son ultime rempart et je contemple mon œuvre.
Bon, c’est pas gagné malgré tout : elle tient son portable en mettant son bras devant ses seins, et, de l’autre main, elle se cache le sexe. C’est drôle, mais cette réticence et cette pudeur m’excitent et me la rendent encore plus désirable. J’ai envie de la déguster comme un fruit défendu. J’ai une idée qui s’impose à moi et je la mets aussitôt à exécution. Profitant de mon avantage (moi motivé et avec mes deux mains disponibles, elle allongée, nue et au téléphone), je me décide à poursuivre mes explorations. Je réussis -non sans mal- à éloigner la main qui cache son sexe et à glisser un doigt dans sa fente. Elle résiste avec plus de vigueur, mais j’arrive à mener mon entreprise à bien. Elle a beau serrer les cuisses, je réussis à m’introduire entre ses lèvres pour atteindre cet endroit magique et convoité. Oh, oui, c’est tout bon : comme je l’espérais, je sens son sexe chaud, doux et humide. Je parts à la recherche du clitoris. Je manque encore d’expérience, mais je sais qu’une femme qui mouille, c’est bon signe. Si j’arrive à atteindre son bouton d’amour, toutes les chances seront de mon côté. Ce combat dure encore quelques secondes pendant lesquelles l’issue n’est pas du tout évidente. Elle sert les cuisses, essaie de lutter avec sa main libre.
Et puis tout à coup je sens sous mon doigt un renflement qui, aussitôt que je le touche, provoque comme une secousse dans tout son corps. Oh, putain ! Je crois que j’y suis. Elle semble mollir brutalement, comme si elle manquait de force. J’insiste et commence à titiller doucement son bouton. Oui, j'ai bien l'impression que j’ai trouvé son clito. Je le caresse, l’agace, tourne autour, le fais rouler sous mon doigt. Déjà ses cuisses se desserrent. Elle abandonne la lutte. Je vais peut-être gagner.
Profitant de ce moment de faiblesse de sa part, je tente le tout pour le tout. Je plonge ma tête entre ses cuisses et, rapidement, essaie de remplacer mon doigt par ma langue. Dans un premier temps, surprise lorsque je réussis à lui écarter les jambes, elle tente de les refermer à nouveau mais je suis déjà dans la place : je réussis à pointer ma langue le long de sa fente. Je ne peux m’empêcher de penser « Je vais te déguster, ma belle, au propre comme au figuré ». Cette odeur de femme m’enivre et me motive. Ma langue s’affaire, avance, cherche son clitoris. Quand je réussis enfin à l’atteindre, elle a un sursaut spectaculaire dans tout son corps et j’entends un gémissement étouffé qu’elle ne peut réprimer. J’ai encore gagné une bataille car je sens tout son corps qui s’abandonne ; apparemment j’ai un autre allié : son mari au bout du fil semble me venir en aide puisqu’elle doit reprendre la conversation :
- Non, non, chéri, ce n’est rien, j’ai juste failli éternuer … mais non, je t’assure, il n’y a pas de problème … mais non, je ne fais rien de spécial, je t’écoute … mais si … vas-y, continue …
Maintenant je suis bien installé entre ses cuisses et je fais rouler son clito sous ma langue. Je crois que je suis sur la bonne voie, car avec sa main libre, elle me caresse les cheveux au lieu de me les arracher. J’en profite pour avancer encore mes pions. Ce n’est pas parce que j’ai remporté une bataille que je vais gagner la guerre. Il faut toujours se méfier. Avec mes deux mains libres, je pars à la recherche de ses seins. Je les trouve rapidement et me mets à les caresser. Je pince délicatement les tétons et j’obtiens des frissons qui semblent très encourageants, car ils s’accompagnent d’une crispation de sa main sur ma tête.
- Oui, oui … oui mon chéri, c’est ça … oui, c’est bien, tu as raison … mais oui, tu dois continuer ainsi …
J’ai beau savoir qu’elle parle à son mari, je me mets à rêver qu’elle s’adresse aussi à moi. Au vu de ses réactions et de la façon dont sa chatte est inondée, je n’ai peut-être pas entièrement tort, d’ailleurs. Je continue ainsi pendant plusieurs dizaines de secondes. Je suis encouragé et enivré par son goût et son odeur. Elle est parcourue de frissons, elle agrippe mes cheveux chaque fois que j’arrive à toucher un endroit sensible entre ses seins ou son clitoris, elle a de plus en plus de mal à contenir ses gémissements. Heureusement, son mari semble être un vrai moulin à paroles car elle se contente d’acquiescer, toujours avec cette façon suggestive, comme si elle m’encourageait :
- Mmmm … oui … oui … Mmm … oui, c’est ça … non, non, continue …
Plus j’arrive à l’exciter, plus je me sens moi-même au bord de l’apoplexie. J’ai beau être jeune et en bonne santé, il va falloir que je trouve le moyen de faire baisser la pression si ne veux pas avoir un malaise et je ne vois qu’un moyen. Je me décide donc tout à coup et j’agis en conséquence. Je me relève, je retire précipitamment mon tee-shirt, mon bermuda et mon slip. Mme Leconte est toujours allongée sur le dos, offerte. Je suis donc nu et lui présente mon anatomie triomphante. Son regard se porte sur mon sexe dressé et gonflé de désir.
Pas d’hésitation, de l’action. Je m’assois devant elle, sur le transat, je lui écarte les jambes et présente ma queue raide devant sa fente. Je me positionne correctement, puis la prends par les jambes, sous les genoux. Elle est immobilisée, totalement à ma merci. Mon gland est juste contre sa chatte humide et chaude. Je vais la baiser. L’instant est magique.
- Écoute, mon chéri, on pourra en reparler demain …
J’ai l’impression qu’il faut que je la pénètre avant qu’elle ne raccroche. J’avance donc mon bassin très doucement et ma bite raide et gorgée de désir glisse dans son fourreau avec délectation. C’est prodigieusement agréable, cet instant de la pénétration. Mme Lecompte exhale un long soupir pendant toute ma progression. De mon côté, je ne m’arrête que quand je l’ai pénétrée jusqu’à la garde.
- Non, ce n’est rien, je soupire simplement parce que je me sens bien. C’est si agréable ici, il fait si bon, c’est si chaud … C’est divin ! … Oh, oui, mon chéri, j’aime …
Je suis trop excité : conversation ou pas, faut que je la baise et tout de suite. Je commence à aller et venir en elle, très doucement au début, très progressivement. Je ne voudrais pas rompre le charme.
- Écoute mon chéri, il faut que je te quitte maintenant, on a sonné à la porte et il faut que j’y aille. Oui, oui … d’accord, … je t’aime ... comment ?
J’accélère un peu plus, ça suffit maintenant, ce coup de téléphone qui n’en finit pas. Faut que je la bourre, cette salope, elle m’excite trop.
- Oui … Oui chéri … à ce soir …
Elle éteint alors son portable et le laisse tomber par terre, les bras en croix, définitivement offerte à mon regard et à mes assauts. Pour moi, c’est comme un signal : je vais enfin pouvoir la baiser pour de bon, aller et venir en elle plus vite, plus fort, plus profond.
Maintenant qu'elle est libérée de son coup de téléphone, je crains un instant qu'elle ne me repousse brutalement, mais c'est le contraire qui se produit : elle se laisse aller et pousse des gémissements à chaque fois que je la pénètre. Du coup, je me sens d'autant plus motivé et c'est l'escalade : je vais et je viens en elle avec toujours plus de fougue et de vitesse, et ce sont maintenant des cris de plaisir qu'elle pousse.
Oh que c'est bon, que c'est beau une femme qui jouit ! Je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi merveilleux. Je me sens pousser des ailes. Maintenant je suis tout simplement en train de la bourrer et elle est apparemment submergée par un orgasme qui n'en finit pas : elle gémit et elle crie de façon ininterrompue pendant que je la besogne en poussant des grognements de bucheron. Ces préliminaires interminables m'ont excité au delà du raisonnable et je n'arrive que difficilement à me retenir d'éjaculer. Je veux tenir le plus longtemps possible, la faire jouir comme une dingue, mais c'est trop dur, trop fort, trop excitant. Même si je voudrais que ce moment magique dure toujours, mon excitation est montée trop haut et j'atteins le point de non retour. Je vais donc me vider en elle alors que nous partageons la même frénésie.
Je la pénètre comme un forcené, à une vitesse qui m'étonne moi-même, et je jette mes dernières forces dans cet acte bestial, à la fois merveilleusement doux et étonnamment brutal. Et puis finalement je me bloque en elle et pousse un long grognement en me vidant de tout mon air (et de tout mon foutre), terrassé par une jouissance comme je n'en avais jamais connue d'aussi intense.
Les instants qui suivent nous permettent de retourner l'un et l'autre doucement à la réalité et au calme. Je ne sais que faire ni que dire. Mon sexe encore profondément planté dans son vagin, je me décide finalement à bouger timidement. Je me retire tout doucement sans rien dire. Je me sens timide, gêné, incapable de trouver quoi dire, ne sachant que faire. Je cherche des yeux de quoi essuyer mon sexe. J'aperçois une boîte de mouchoirs sur la table. Je me lève et vais en prendre un, mais quand je me retourne, Mme Leconte s'est déjà levée, a pris son maillot de bains et file vers la maison sans rien dire.
Je me retrouve seul comme une cloche. Elle est contente ou fâchée ? Mystère. Qu'est-ce que je dois faire ? Je n'en sais rien. Oh, bon sang, que c'est compliqué, la vie !
Bon, ben, je vais retourner nettoyer la piscine, et quand j'aurai fini, on avisera ...

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