Madame Leconte (1) : Un Coup De Téléphone
Je mappelle Thomas. Jai 19 ans. Je suis apprenti plombier. Jadore le bricolage depuis que je suis tout petit et je touche à tout. Jaime aussi rendre service et je ne suis pas fainéant, si bien que maintenant je suis connu dans mon quartier : ça fait des années que jaide les voisins, et ma réputation nest plus à faire. Au début, on me filait la pièce, puis, au fil des années, à force de devenir de plus en plus compétent, jai augmenté mes tarifs, si bien quaujourdhui, je me fais un vrai petit salaire « au black ». À mon âge, cest pas mal.
Jai aussi découvert récemment que les « petits boulots » pouvaient apporter beaucoup plus, et quon pouvait facilement joindre lutile à lagréable. Du coup, je suis super motivé pour continuer. Tiens, je vais vous raconter comment tout ça a vraiment commencé.
(
)
On nest encore quau mois de mai, mais il fait super chaud depuis deux ou trois jours. Je suis chez les Leconte. Ils ont une super baraque avec jardin et piscine, mais ils sont incapables de lentretenir, alors ça les arrange que ce soit moi qui le fasse. Aujourdhui, je moccupe de nettoyer la piscine, vérifier les filtres, passer laspirateur au fond.
Pendant que je maffaire, Mme Leconte se prélasse tranquillement au soleil sur son transat. Jen profite pour me rincer l'il discrètement car cest une femme superbe, et même franchement bandante. Femme au foyer, mariée à un homme riche (et très occupé), une fille de 18 ans à luniversité. Je suppose quelle doit avoir dans les quarante ans, mais elle ne les fait pas. Plus je la regarde à la dérobée et plus je me dis que ça doit être un vrai bonheur de faire des galipettes avec une femme de ce genre. Comme on dit familièrement, elle a tout ce qu'il faut là où il faut, et avec lart de le mettre en valeur : les seins volumineux, mais fermes et appétissants ; la chute de reins qui met en valeur des fesses à la fois imposantes et gracieuses ; des cuisses harmonieuses et attirantes ; des hanches prononcées ; un visage ravissant encadré par de long cheveux blonds et soyeux ; des lèvres sensuelles et des yeux verts pleins de mystère
Quand javais treize ans elle me faisait déjà fantasmer et je me branlais le soir en pensant à elle, mais cest presque pire maintenant.
Ah, la salope ! Voilà maintenant quelle se tartine de crème bronzante. Elle sen passe sur les bras, les épaules, les cuisses. Mmmm
Jattends avec impatience quelle en mette sur son ventre, puis plus haut. Oui, cest bon, ça vient. Je me trompe ou elle vient de me jeter un coup dil amusé ? Oui, cest évident, elle doit bien se rendre compte que son petit jeu ne peut passer inaperçu et me laisser froid. Elle le fait exprès ou quoi ? Putain, de pire en pire ! Elle se fait le ventre comme prévu, remonte vers le buste, soccupe de ses flancs, de son cou ; elle fait le tour de ses seins mais passe quand même un peu sur les côtés (son haut de maillot n'est vraiment pas bien grand). Ah, la vache ! Heureusement que mon bermuda nest pas trop ajusté, parce que je commence à bander. Voilà quelle se tourne franchement vers moi :
- Dites-moi, Thomas, ça vous dérangerait de me passer un peu de crème sur le dos ? Je ny arriverai pas seule.
Oh, bon sang, cest trop beau ! Je ne me fais pas prier, jabandonne mon aspirateur pour piscine et je me dirige vers elle, essayant de ne pas courir, de prendre un air aussi naturel, détaché et professionnel que possible. Jai le cur qui bat la chamade, comme un puceau face à sa première fille dénudée. Pourtant non seulement je ne suis plus vierge, mais Mme Leconte est simplement en maillot de bains. Décidément, cette femme me fait un effet dingue que jai du mal à expliquer et à maîtriser.
Elle me tend la bouteille dhuile avec un petit sourire coquin et se met sur le ventre. Quelle vue ! Subrepticement, profitant de ce quelle me tourne le dos, jarrange mon sexe déjà dur dans mon slip. Sans rien manquer du spectacle qui soffre à mes yeux écarquillés, je me décide à macquitter de ma tâche.
Au bout de quelques secondes, je me dis que ça va pas être du bonheur du tout, mais plutôt de la frustration : cest trop doux, trop chaud, trop sensuel, trop excitant. Quand je commence à sentir la douceur et lélasticité de sa peau sous mes mains (jen suis seulement aux épaules), je me dis que je vais devoir me branler trois fois ce soir avant de réussir à dormir, rien que pour faire baisser la pression du moment que je suis en train de passer.
Bon, là, je descends. Cest super, ça devient encore plus excitant, mais dun autre côté ça me rapproche du moment où jaurai fini. De toutes façons, je nai pas vraiment le choix, je ne vais pas non plus y passer deux heures (même si je dois reconnaître que ça me tenterait assez).
Tiens, coup de téléphone. Cest son portable. Elle tend la main et répond sans changer de position. Elle est toujours sur le ventre et moi je lui tartine le dos.
- Allo, oui
Ah, cest toi chéri ?
Non, rien de spécial, je profite du soleil, je me fais bronzer au bord de la piscine
Comment ?
Non, ne tinquiète pas, jai demandé à Thomas de le faire
Quand ? Mais maintenant, voyons
Mais si, je tassure, il a déjà changé les filtres et en ce moment il est en train de nettoyer le fond de la piscine
Cest marrant, mais dentendre parler ainsi de moi me trouble. Je ne suis pas en train de nettoyer la piscine, je suis en train de moccuper de son dos, alors pourquoi ment-elle ? Certes, elle ne va quand même pas dire quelle se fait caresser le dos par un mec qui bande comme un bouc en rut ! Jai peut-être trop dimagination mais
Elle doit bien se rendre compte que la situation nest pas si innocente que ça, non ? Si je suis excité comme cest pas permis, peut-être quelle aussi est émoustillée par la situation ; après tout, cest bien elle qui a fait appel à mes services, non ?
Tout en pensant à ça, il me vient une idée toute simple et logique, comme une illumination.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je dégrafe son haut et jécarte la lanière, dévoilant un peu plus de peau. Cest plus symbolique que significatif, car il sagit à peine plus que dune ficelle, mais, bizarrement, ça mexcite énormément. Elle tourne imperceptiblement la tête, comme pour signifier quelle se rend bien compte de ce qui se passe, mais elle ne va pas au-delà. Pour moi, pas de réaction signifie : « qui ne dit mot consent », donc tout va bien. Jen profite pour continuer mon passage de crème très professionnel sur son dos pendant quelle converse avec son mari.
- Comment ça ?
Alors je vais encore tattendre pendant des heures
Mais, tu mavais promis
Tu sais, j'en ai assez de passer mes soirées en solitaire ...
Bon, il y a apparemment de leau dans le gaz, mais ça ne me regarde pas. Il ne faut pas que je me laisse distraire. Je continue donc à moccuper de son dos qui est maintenant entièrement nu. Même son dos est excitant, cest pas possible, cette femme me rend fou !
Oh, et puis zut, après tout, si on ne profite pas de linstant présent
Je maventure un peu sur les côtés, je lui masse les flancs. Je mapproche même de ses seins que jessaie dattaquer très timidement par les côtés. Elle sursaute un peu et se raidit. Merde ! Jexagère, il faut que je fasse machine arrière, sinon ça va mal finir. Je reviens sur le dos, mais bon, je ne vais pas y passer laprès-midi, alors je descends un peu sur les reins.
Ouh, là là ! Là, ça devient torride. Sa chute de reins est un bonheur pour les yeux, mais si en plus on a le droit de toucher
Allez, je suis parti, jen profite : le bas du dos, la taille, les hanches. Pendant ce temps, elle continue sa conversation téléphonique avec des « Oui
Daccord
Ah bon ? ». Apparemment, son mari lui raconte des trucs quelle nécoute que dune oreille distraite.
Bon, je crois que cest fini, je lui ai fait les épaules, le dos et même un peu plus, il va falloir que je marrête. Je contemple une dernière fois sa chute de reins et son splendide fessier. Non décidément, ça ne devrait pas exister des nanas comme ça : comment peut-on garder le contrôle de soi devant un tel spectacle ? Et puis
après tout, si je continuais ? Je peux toujours faire lidiot qui na pas tout à fait compris les instructions. Je vais moccuper de ses jambes.
Pour pas que ça paraisse trop gros, je commence chastement par les mollet, puis je remonte progressivement. Ouais, ça me plait, tout ça. Si elle nest pas daccord, elle pourra toujours me le signaler. Mais non, elle ne dit rien et ça ne métonne pas : elle parle à son mari et moi je suis censé nettoyer la piscine. Faut que jen profite, même si ça risque de mal finir.
Ça y est, je suis passé au-dessus des genoux. On va bientôt arriver à linstant de vérité : le haut des cuisses et les fesses. Non, ça, je peux pas. Je ne suis pas du genre timide, mais quand même ! Je me concentre pour linstant sur ses jambes, mais il va falloir que je prenne une décision : ou jarrête, ou je continue.
« Qui ne risque rien na rien ». Je ne sais pas qui a dit ça mais je crois que ça sapplique à linstant présent. Allez, cest parti : jose. Je lui masse, lui palpe et lui caresse les cuisses de plus en plus haut, à la limite de son maillot. Cest pas tout à fait un string, mais cest quand même un tout petit maillot, alors ça me permet daller loin, très loin, là où normalement on ne laisse pas saventurer les étrangers
Elle se cambre légèrement, accentuant encore la courbure de ses reins et mettant en valeur ses fesses. Elle voudrait mallumer quelle ne sy prendrait pas autrement. Bon, ben
Je nai pas de raison de marrêter, alors je continue. Le haut et lintérieur des cuisses, la naissance des fesses, la lisière du maillot. Pas de rejet
Pourquoi se priver ? Jappuie pour faire rentrer la crème et jen profite pour passer subrepticement sous le maillot, de quelques centimètres seulement. Bon, ça cest la bonne technique : tout doucement. On avance un peu, on revient
On y retourne en allant un tout petit peu plus loin et on recommence.
De fil en aiguille, millimètre par millimètre, jarrive à glisser mes mains sous son maillot pour lui masser un peu les fesses. Oh, cest trop fort ! Jai le souffle court et je crois que ma bite va exploser dans mon bermuda. Je me rends bien compte que je devrais arrêter, mais jai limpression que je nai plus la capacité de réfléchir. Qui a dit que les mecs pensaient avec leur queue ? Quelqu'un qui connaissait la vie, assurément
Bon, jai presque tout exploré et elle est toujours immobile sur le ventre, se laissant palper les fesses sans rien dire. Si je marrête maintenant, ou je meurs dun arrêt cardiaque, ou je vais le regretter jusquà la fin de mes jours.
Dans la vie, il y a des moments où il faut savoir prendre une décision, même si elle peut paraître incongrue. Je vais jouer mon rôle jusquau bout, je vais continuer avec la crème bronzante, mais devant cette fois-ci, même si ça a déjà été fait.
Alors quelle est toujours en discussion avec son mari, je la prends doucement, mais fermement par les épaules et entame un retournement sur le dos. Elle semble dabord prise au dépourvu, se raidit et essaie de résister, mais, avec une main tenant le téléphone, ce nest pas pratique. Très vite elle se concentre sur lurgence : le haut de son maillot est dégrafé et risque de dévoiler ses seins. Elle tient donc son téléphone dune main et son soutien-gorge de lautre, si bien que je nai aucun mal à la mettre sur le dos. Le calme revient, elle ajuste son haut pour quil reste en place et poursuit sa conversation, mais semble déstabilisée.
- Oui
Non, non, je técoute
Si, si, je tassure
Oui, alors, tu disais ?
Moi, lair de rien, je reprends mon passage de crème avec le même principe : tant quelle ne marrête pas, je continue !
Mais très vite je me rends compte que ça ne va pas pouvoir durer éternellement, ce petit jeu-là. Je suis tellement excité que même mon bermuda bouffant narrive pas à cacher ma monstrueuse érection. Dailleurs, Mme Leconte, tout en écoutant son mari, a les yeux rivés sur la bosse significative qui soffre à son regard.
Bon, jen peux plus, cest plus possible, faut y aller : je vais lui retirer son soutien-gorge et moccuper de ses seins. Si je prends une claque, tant pis, le jeu en vaut la chandelle !
Ça ne se passe pas tout à fait comme prévu : quand je fais mine de lui retirer son haut, elle met sa main dessus pour me signifier quelle nest pas daccord et que je ne dois pas aller plus loin. Misère ! Vais-je marrêter si près du but ?
Je réfléchis à toute vitesse : elle est au téléphone avec son mari, elle a une main prise, elle est moins forte que moi, elle se laisse étendre de la crème depuis plusieurs minutes sans réagir, elle cache tout ça à son mari et moi je devrais tout abandonner brutalement sous prétexte quelle résiste un peu ?
Jen ai marre ! La fortune sourit aux audacieux, alors jy vais. Tout doucement, mais avec autorité et fermeté, je lui prends la main qui protège sa poitrine, je lécarte (elle semble vouloir sy opposer un instant, mais, rapidement, savoue vaincue) et, délicatement, avec mon autre main, je lui retire son soutien-gorge. Elle est coincée, incapable de résister, tenant toujours son téléphone portable dune main pendant que jimmobilise sa deuxième main. Sa poitrine soffre à présent à ma vue et, comme je my attendais, jen suis émerveillé.
Avec ma main disponible, je commence à lui caresser les seins. Ils sont ronds, pleins, fermes, ce qui semble étonnant pour une femme de quarante ans. Les mamelons pointent en avant et durcissent encore plus quand je les effleure. Mmm
Cest magique. Elle ferme les yeux, frissonne un peu et frémit sous mes caresses. Une partie delle est obligée de suivre la conversation avec son mari, lautre partie semble ne plus avoir la force de résister. Sa main immobilisée cesse de lutter. Je vais donc avoir mes deux mains disponibles pour moccuper de ses seins.
Faux jeton jusquau bout, comme si jétais tout simplement en train de macquitter de ma tâche avec obéissance et application, je prends de la crème et me décide à létaler sur ses seins.
Je ne sais pas si tous les hommes sont comme moi, mais les seins, cest un truc qui me rend fou : je serais prêt à père et mère pour contempler ou caresser une belle poitrine. Cette fois, cest encore mieux : jétale la crème, je masse, je palpe, jeffleure, je caresse,
Je donne tout ce que je peux et, ma foi, je ne dois pas trop mal my prendre parce quelle ne se défend plus vraiment. Je sens bien que sa respiration saccélère. À un moment, elle me saisit lavant-bras quelle sert très fort, mais sans faire mine de vouloir arrêter mes caresses. Je minterromps un instant, puis repars de plus belle. Quand jeffleure la pointe de ses seins, elle accentue la pression sur mon bras et ses ongles me rentrent dans la peau. Ça veut dire quoi ? Quelle aime ça ? Peut-être, parce que je la vois qui ferme les yeux et qui se mord les lèvres, mais qui ne fait aucun geste particulier pour méloigner de ses seins. Et puis, elle est toujours coincée avec son mari au bout du fil :
- Non, chéri, je técoute
Si, si, mais tu pourras me dire tout ça demain, non ?
Non, ce nest pas ça, mais
Bon, si tu veux, vas-y, raconte
Son mari a lair davoir plein de trucs à lui dire et ça marrange. Jai comme une vague impression quelle ma laissé aller trop loin et quelle ne pourra pas me repousser tant quelle sera en train de lui parler. Si ça se trouve, dès quelle aura raccroché, je vais me prendre une baffe monumentale. Plus jy pense et plus je me dis que si je veux profiter de la situation, cest maintenant ou jamais. Après lui avoir caressé les fesses, je suis en train de lui peloter les seins et elle ne peut pas mempêcher de le faire. Je nai pas beaucoup dexpérience avec les femmes, mais jai limpression quelle apprécie. Pourquoi sarrêter ? De toute façon, je suis trop excité, le seul moyen de me faire hésiter serait de menvoyer une bonne gifle, et encore !
Bon, ça suffit, jen peux plus, je veux la voir à poil, même si je me fais poignarder dans la seconde qui suit. Je me décide à quitter ses seins et à lui retirer son bas. Aussitôt elle met une main pudique sur son pubis, pour me signifier quelle nest pas consentante. Trop tard, ma jolie, jai trop envie de voir ton joli minou. Jinsiste, je lui écarte sa main de force et commence à lui retirer son slip en le faisant glisser le long dune cuisse, puis de lautre. Ah, la vache, elle résiste, la bougresse ! Mais je suis plus fort quelle, jai deux mains et je suis motivé, alors quelle est toujours en train de parler à son mari. Dailleurs, la conversation est plutôt décousue :
- Non, chéri, je técoute mais
non, cest pas ça, mais jai fait tomber un truc, une minute
attend, je ramasse
mais
si, si, ça mintéresse, mais
bon, bon, daccord, si tu veux
non, non, il ny a rien de spécial, je tassure
Je deviens fébrile. Je veux lui arracher son bas de maillot et jy arriverai ! Maintenant, jy mets les deux mains et elle a beau essayer de me retenir, je gagne du terrain : le tissu glisse le long de ses cuisses. Oui, ça y est, elle abandonne son bas de maillot et cache son sexe avec sa main. La voie est libre et je peux faire glisser le slip au-delà des genoux, puis des chevilles et des pieds. Mmmm
jadore ça, maintenant je sais quelle est totalement nue et sans défense. Je finis de lui retirer son ultime rempart et je contemple mon uvre.
Bon, cest pas gagné malgré tout : elle tient son portable en mettant son bras devant ses seins, et, de lautre main, elle se cache le sexe. Cest drôle, mais cette réticence et cette pudeur mexcitent et me la rendent encore plus désirable. Jai envie de la déguster comme un fruit défendu. Jai une idée qui simpose à moi et je la mets aussitôt à exécution. Profitant de mon avantage (moi motivé et avec mes deux mains disponibles, elle allongée, nue et au téléphone), je me décide à poursuivre mes explorations. Je réussis -non sans mal- à éloigner la main qui cache son sexe et à glisser un doigt dans sa fente. Elle résiste avec plus de vigueur, mais jarrive à mener mon entreprise à bien. Elle a beau serrer les cuisses, je réussis à mintroduire entre ses lèvres pour atteindre cet endroit magique et convoité. Oh, oui, cest tout bon : comme je lespérais, je sens son sexe chaud, doux et humide. Je parts à la recherche du clitoris. Je manque encore dexpérience, mais je sais quune femme qui mouille, cest bon signe. Si jarrive à atteindre son bouton damour, toutes les chances seront de mon côté. Ce combat dure encore quelques secondes pendant lesquelles lissue nest pas du tout évidente. Elle sert les cuisses, essaie de lutter avec sa main libre.
Et puis tout à coup je sens sous mon doigt un renflement qui, aussitôt que je le touche, provoque comme une secousse dans tout son corps. Oh, putain ! Je crois que jy suis. Elle semble mollir brutalement, comme si elle manquait de force. Jinsiste et commence à titiller doucement son bouton. Oui, j'ai bien l'impression que jai trouvé son clito. Je le caresse, lagace, tourne autour, le fais rouler sous mon doigt. Déjà ses cuisses se desserrent. Elle abandonne la lutte. Je vais peut-être gagner.
Profitant de ce moment de faiblesse de sa part, je tente le tout pour le tout. Je plonge ma tête entre ses cuisses et, rapidement, essaie de remplacer mon doigt par ma langue. Dans un premier temps, surprise lorsque je réussis à lui écarter les jambes, elle tente de les refermer à nouveau mais je suis déjà dans la place : je réussis à pointer ma langue le long de sa fente. Je ne peux mempêcher de penser « Je vais te déguster, ma belle, au propre comme au figuré ». Cette odeur de femme menivre et me motive. Ma langue saffaire, avance, cherche son clitoris. Quand je réussis enfin à latteindre, elle a un sursaut spectaculaire dans tout son corps et jentends un gémissement étouffé quelle ne peut réprimer. Jai encore gagné une bataille car je sens tout son corps qui sabandonne ; apparemment jai un autre allié : son mari au bout du fil semble me venir en aide puisquelle doit reprendre la conversation :
- Non, non, chéri, ce nest rien, jai juste failli éternuer
mais non, je tassure, il ny a pas de problème
mais non, je ne fais rien de spécial, je técoute
mais si
vas-y, continue
Maintenant je suis bien installé entre ses cuisses et je fais rouler son clito sous ma langue. Je crois que je suis sur la bonne voie, car avec sa main libre, elle me caresse les cheveux au lieu de me les arracher. Jen profite pour avancer encore mes pions. Ce nest pas parce que jai remporté une bataille que je vais gagner la guerre. Il faut toujours se méfier. Avec mes deux mains libres, je pars à la recherche de ses seins. Je les trouve rapidement et me mets à les caresser. Je pince délicatement les tétons et jobtiens des frissons qui semblent très encourageants, car ils saccompagnent dune crispation de sa main sur ma tête.
- Oui, oui
oui mon chéri, cest ça
oui, cest bien, tu as raison
mais oui, tu dois continuer ainsi
Jai beau savoir quelle parle à son mari, je me mets à rêver quelle sadresse aussi à moi. Au vu de ses réactions et de la façon dont sa chatte est inondée, je nai peut-être pas entièrement tort, dailleurs. Je continue ainsi pendant plusieurs dizaines de secondes. Je suis encouragé et enivré par son goût et son odeur. Elle est parcourue de frissons, elle agrippe mes cheveux chaque fois que jarrive à toucher un endroit sensible entre ses seins ou son clitoris, elle a de plus en plus de mal à contenir ses gémissements. Heureusement, son mari semble être un vrai moulin à paroles car elle se contente dacquiescer, toujours avec cette façon suggestive, comme si elle mencourageait :
- Mmmm
oui
oui
Mmm
oui, cest ça
non, non, continue
Plus jarrive à lexciter, plus je me sens moi-même au bord de lapoplexie. Jai beau être jeune et en bonne santé, il va falloir que je trouve le moyen de faire baisser la pression si ne veux pas avoir un malaise et je ne vois quun moyen. Je me décide donc tout à coup et jagis en conséquence. Je me relève, je retire précipitamment mon tee-shirt, mon bermuda et mon slip. Mme Leconte est toujours allongée sur le dos, offerte. Je suis donc nu et lui présente mon anatomie triomphante. Son regard se porte sur mon sexe dressé et gonflé de désir.
Pas dhésitation, de laction. Je massois devant elle, sur le transat, je lui écarte les jambes et présente ma queue raide devant sa fente. Je me positionne correctement, puis la prends par les jambes, sous les genoux. Elle est immobilisée, totalement à ma merci. Mon gland est juste contre sa chatte humide et chaude. Je vais la baiser. Linstant est magique.
- Écoute, mon chéri, on pourra en reparler demain
Jai limpression quil faut que je la pénètre avant quelle ne raccroche. Javance donc mon bassin très doucement et ma bite raide et gorgée de désir glisse dans son fourreau avec délectation. Cest prodigieusement agréable, cet instant de la pénétration. Mme Lecompte exhale un long soupir pendant toute ma progression. De mon côté, je ne marrête que quand je lai pénétrée jusquà la garde.
- Non, ce nest rien, je soupire simplement parce que je me sens bien. Cest si agréable ici, il fait si bon, cest si chaud
Cest divin !
Oh, oui, mon chéri, jaime
Je suis trop excité : conversation ou pas, faut que je la baise et tout de suite. Je commence à aller et venir en elle, très doucement au début, très progressivement. Je ne voudrais pas rompre le charme.
- Écoute mon chéri, il faut que je te quitte maintenant, on a sonné à la porte et il faut que jy aille. Oui, oui
daccord,
je taime ... comment ?
Jaccélère un peu plus, ça suffit maintenant, ce coup de téléphone qui nen finit pas. Faut que je la bourre, cette salope, elle mexcite trop.
- Oui
Oui chéri
à ce soir
Elle éteint alors son portable et le laisse tomber par terre, les bras en croix, définitivement offerte à mon regard et à mes assauts. Pour moi, cest comme un signal : je vais enfin pouvoir la baiser pour de bon, aller et venir en elle plus vite, plus fort, plus profond.
Maintenant qu'elle est libérée de son coup de téléphone, je crains un instant qu'elle ne me repousse brutalement, mais c'est le contraire qui se produit : elle se laisse aller et pousse des gémissements à chaque fois que je la pénètre. Du coup, je me sens d'autant plus motivé et c'est l'escalade : je vais et je viens en elle avec toujours plus de fougue et de vitesse, et ce sont maintenant des cris de plaisir qu'elle pousse.
Oh que c'est bon, que c'est beau une femme qui jouit ! Je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi merveilleux. Je me sens pousser des ailes. Maintenant je suis tout simplement en train de la bourrer et elle est apparemment submergée par un orgasme qui n'en finit pas : elle gémit et elle crie de façon ininterrompue pendant que je la besogne en poussant des grognements de bucheron. Ces préliminaires interminables m'ont excité au delà du raisonnable et je n'arrive que difficilement à me retenir d'éjaculer. Je veux tenir le plus longtemps possible, la faire jouir comme une dingue, mais c'est trop dur, trop fort, trop excitant. Même si je voudrais que ce moment magique dure toujours, mon excitation est montée trop haut et j'atteins le point de non retour. Je vais donc me vider en elle alors que nous partageons la même frénésie.
Je la pénètre comme un forcené, à une vitesse qui m'étonne moi-même, et je jette mes dernières forces dans cet acte bestial, à la fois merveilleusement doux et étonnamment brutal. Et puis finalement je me bloque en elle et pousse un long grognement en me vidant de tout mon air (et de tout mon foutre), terrassé par une jouissance comme je n'en avais jamais connue d'aussi intense.
Les instants qui suivent nous permettent de retourner l'un et l'autre doucement à la réalité et au calme. Je ne sais que faire ni que dire. Mon sexe encore profondément planté dans son vagin, je me décide finalement à bouger timidement. Je me retire tout doucement sans rien dire. Je me sens timide, gêné, incapable de trouver quoi dire, ne sachant que faire. Je cherche des yeux de quoi essuyer mon sexe. J'aperçois une boîte de mouchoirs sur la table. Je me lève et vais en prendre un, mais quand je me retourne, Mme Leconte s'est déjà levée, a pris son maillot de bains et file vers la maison sans rien dire.
Je me retrouve seul comme une cloche. Elle est contente ou fâchée ? Mystère. Qu'est-ce que je dois faire ? Je n'en sais rien. Oh, bon sang, que c'est compliqué, la vie !
Bon, ben, je vais retourner nettoyer la piscine, et quand j'aurai fini, on avisera ...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!