Lundi Matin À La Plage

Cette journée, le soleil était présent pour mon plus grand plaisir. Ma peau blanche avait bien besoin de recevoir l'attention de cette étoile surtout qu'en ce lundi matin, presque personne était présent. Cela m'allait parfaitement, bronzer était beaucoup plus simple en n'ayant pas de soutiens-gorge comme dessin de démarcation. Alors que je commençais à m'assoupir peu à peu, des aboiements lointains vinrent me tirer de ma somnolence. Sans que je puisse faire quelque chose, un chien me sauta dessus, écrasant ma poitrine assez volumineuse et m'arrachant alors un cri de douleur.

- Madame ! Cria un jeune homme avec les joues légèrement rouges, je suis désolé.. Mon chien vous a senti et a couru vers vous.. Charlie, arrête !

Ce chien se frottait vigoureusement contre ma poitrine nue pour recevoir des caresses, que je lui donnais bien entendu. Mon regard s'attardait sur le jeune homme en face de moi, il devait avoir 20 ans, la moitié de mon âge mais il semblait encore plus jeune avec cet air timide. Visiblement à croquer.

- Ce n'est rien, répondis-je alors sans gêne, il m'a juste blessé je suppose..

Effectivement, m'ayant sauté dessus, ce chien m'avait griffé le ventre à plusieurs reprises, laissant des traces rouges. C'est certainement à cet instant que le jeune homme a remarqué la nudité de ma poitrine, auparavant cachée par le chien. Celui-ci devint encore plus pivoine et, bafouillant, essaya de s'excuser.

-Excusez-moi Madame, je ne voulais pas.. Je veux dire, je peux faire quelque chose pour vous aider.. ?
-Tu peux toujours nettoyer les dégâts de ton chien, avais-je répondis dans une volonté de me moquer gentillement de sa gêne.

Seulement, pour ma plus grande surprise, il retira son sac de son épaule et, sans que je puisse faire quoique ce soit, il vint se mettre sur mon bassin pour commencer un massage avec une huile ou une pommade. Son visage toujours rouge et baissé, il m'était totalement soumis et obéissant, en train de me soigner, ou plutôt de me masser.

Une idée germa dans ma tête, cela faisait un moment que je ne m'étais pas amusée avec un homme, surtout un jeune homme et celui-là n'était absolument pas mauvais à regarder. Alors que je lâchais des soupirs en sentant ses mains passer sur mon ventre et mes flancs, je lui murmura.

- Si tu veux être pardonné, touche moi..

Suspendant ses gestes un instant, je pensais qu'il allait partir mais non, au contraire. Sans attendre un mot de plus, il posa ses mains sur ma poitrine volumineuse et pourtant ferme malgré les années pour les masser avec délicatesse. Descendant son visage, il vint embrasser les contours de mon torse, passant de ma clavicule à l'auréole de mes tétons pour finalement finir au niveau de mon nombril. Ce long voyage me faisait lâcher des longs soupirs de plaisir, ma main voyagea de ses cheveux jusqu'à ses épaules dénudées, cherchant à griffer ce corps foutrement parfait.

Un gémissement m'échappa quand sa bouche attaqua mon téton, le mordillement avec vigueur tout en passant sa main entre mes cuisse nue, n'ayant rien d'autre qu'une culotte. Frôlant l'intérieur de mes cuisses, il toucha une de mes zones érogènes. Alors qu'il jouait avec mes tétons comme un tétant sa mère, sa main remonta de ma cuisse, passant sur mon entrée humide pour finalement jouer avec mon petit point de plaisir. Sans pouvoir m'empêcher, d'autres légers gémissements s'échappèrent de ma bouche alors que j’essayais de me contrôler pour ne pas lui montrer tout le plaisir que je ressentais.

D'un simple mouvement, ma culotte fut déchirée et, alors que j'allais le gronder comme un mauvais garçon, il descendait vers mon intimité pour venir me procurer un plaisir intense avec ses lèvres. Suçotant mon petit bouton de plaisir, je me cambrais de désir et de plaisir. Il passait sa langue le long de mes lèvres intimes pour ensuite recommencer à ce suçoter ce point si précis, si intense. Je sentais déjà l'humidité couler le long de mon intimité et, à chaque fois, il vint lécher chaque goutte pour ne rien louper, m'excitant d'avantage. Je n'en pouvais plus, j'avais besoin de lui en moi.

- Rentre en moi, dis-je sans attendre.

Malheureusement, au lieu de recevoir son beau membre, je reçus uniquement ses doigts qui me suffisaient pour l'instant. Gémissante sous lui, j'avais l'air d'une maîtresse éprise par le plaisir de son élève qui passait l'évaluation avec brio. Jouant avec ses doigts et sa langue presque parfaitement, je ne pouvais que gémir, me cambrer et ordonner plus. La rapidité et la violence augmentèrent d'une façon exponentielle. Mordillant mon clitoris et utilisant deux doigts en même, je vins dans un long cris de plaisir. Mes yeux fermés pour savourer ce moment, je sentais mon corps trembler et se tordre sous celui du plus jeune.

Quand j'ouvris les yeux, je ne vis personne autour de moi, je sentais uniquement mon intimité presque dégoulinante de liquide qui exprimait tout le désir que j'avais reçu pour ce rêve. Seulement, c'est au même moment que j'ai remarqué que je n'avais plus de culotte et qu'un petit message était écrit à côté de moi, un numéro de téléphone. Je sentais déjà que j'allais bien m'amuser dans les prochaines semaines.