Et Toujours En Été 04 Deux Silhouettes
ET TOUJOURS EN ÉTÉ 04
DEUX SILHOUETTES
Nous n'allions plus à l'école désormais et comme nous passions une bonne partie de la journée à cheval en général la nuit on dormait bien. Les récoltes se terminaient. Dans quelques jours tout serait envoyé par le vapeur, les cours étaient au plus haut ce qui nous garantissait une excellent revenu. Le travail serait plus calme pendant quelques semaines avant de se préparer pour les prochaines récoltes.
Samuel avait entendu nos parents, je veux dire les siens et les miens, il parlaient d'officialiser mes fiançailles avec Sarah. Ils ne devraient plus tarder à m'en parler. Il était très content pour moi, surtout que la discussion s'était terminée par un commentaire de ma mère qui disait à la sienne, '' Ensuite il faudra penser à Samuel, il n'a pas une grosse différence d'âge avec Jonathan
J'en ai parlé à la mère de Déborah, il est tout à fait à son goût !''
le soir même il était venu dans ma chambre pour tout me raconter.
Samuel : Il faut absolument que je te raconte
( des pas se faisaient entendre dans le couloir )
Pas ici ! Viens sortons je vais te raconter.
Quand il était entré dans ma chambre ( sans frapper ) j'étais à poil, j'allais me mettre au lit. J'enfilais alors un pantalon de pyjama pour le suivre. Le pantalon se limitait au plus simple, deux tubes cousus entre eux, un lacet pour le refermer à la ceinture et une ouverture sur le devant. Il était en tissus très léger et me caressait , me chatouillait même à chaque mouvement. Rapidement je sentais ma grosse molle se balancer dessous. Là si je bandais il n'y avait rien pour retenir ma nouille, elle ressortirait par l'ouverture qui n'avait pas de braguette mais, comme je le disais, juste une ouverture.
Il parlait tout bas, comme pour ne pas être entendu. Je m'inquiétais au début mais comme il avait ce sourire des mauvais coups, je ne m'inquiétais pas et déjà je supposais une plaisanterie de sa part.
On se glissait hors de la maison en prenant l'échelle qui est tout au bout de la maison et qui permet de monter jusqu'au grenier. Personne ne nous avait vu sortir mais ce n'était pas un exploit, on n'était pas surveillé et on était libre de sortir comme on le voulait.
Il était enthousiaste, tout joyeux, il m'entraînait vers la rivière et finissait pas me raconter.
Moi : Tu es sûr ? Ils ont vraiment parlé de fiançailles ?
Samuel : Je te jure cousin, il n'y a pas d'erreur et Déborah me trouve très à son goût. C'est génial.
Moi : Tu te rends compte si on se mariait en même temps.
Samuel : Ensemble ! Oui ce serait super !
Moi : Non pas ensemble, en même temps, je ne vais pas me marier avec toi, tu es fou !
On rigolait, on essayait de ne pas faire de bruit. On s'était assis sur le bord de la rivière et c'est en rêvant à notre mariage prochain qu'on regardait les étoiles. Je dis notre mariage, car c'était évident, on se marierait en même temps.
Ce serait pour le printemps, après la récolte, on ferait une grande fête. Je le regardais dans les yeux, il avait un large sourire, pas celui des mauvais coups mais celui qui me disait franchement qu'il était heureux pour moi !
On était assis, l'un à côté de l'autre, nos bras venaient à se toucher. J'étais presque nu, lui avait encore ses vêtements de la journée. L'étoffe est légère, fine et douce. En plus celle que je portais était trouée et déjà ma queue manifestait l'envie de prendre l'air.
En un mouvement je retirais mon pantalon, il me regardait sans rien dire son sourire brillait dans la nuit et montrait sa satisfaction. La nuit était claire, très claire et on voyait très bien tout ce qui se passait autour de nous. Je bandais, je me retournais vers Samuel et l'invitais à me suivre d'un geste de la main. Il me regardais, je plongeais dans l'eau. Quelques instants plus tard il m'avait rejoint.
On nageait, on s'éclaboussait, on plongeait on riait, on se touchait, on se prenait dans les bras, on bandait tous les deux.
Je me noyais dans ses yeux, la lune s'y reflétait et je pouvais voir mon reflet sombre, nous ne disions plus rien quand on entendait des voix humaines. Il me faisait signe de me taire en posant un doigt sur mes lèvres puis d'un geste m'invitait à le suivre, il nageait vers l'endroit ou venaient les voix. Je le suivais, on prenait soin de nager en silence. Avec la surface de l'eau la voix peut porter loin, ce qui nous avait semblé proche était finalement assez loin.
On finissait par apercevoir deux silhouette sombres, c'était deux esclaves qui comme nous étaient venu se baigner. On ne les enferme pas la nuit contrairement à certains autres grands propriétaires, chez nous il n'y a pas de tentative de fuite. Ou pourraient-ils être mieux traités qu'ici ?
Il y avait un grand, bien costaud. L'autre semblait plus jeune à voir sa silhouette. Ils étaient dans l'eau jusqu'à la ceinture, en général ils ne savent pas nager, et ils revenaient vers la berge.
On se glissait sur la berge et on s'approchait en silence, le sol n'était pas plat et il y avait de nombreux buissons. On parvenait à s'approcher très prêt et doù on était on les voyait très bien.
Le plus grand était vraiment costaud, tout en muscles, il était de grande taille avec des épaules très larges. Le second était plus jeune, il devait être de notre âge. De dos le plus grand était impressionnant mais quand on l'a vu de profil j'ai frémi et j'ai senti Samuel trembler lui aussi. Il était terrifiant, il avait une bite comme j'en avait jamais vu ! Il faut dire que je n'avais jamais vue que la bite de Samuel en érection, on fait la même taille et on trouvait que nos dix huit centimètres étaient tout à fait sérieux.
Mais là le mec, c'était autre chose, il devait en avoir
Je ne sais pas mais je dirais cinq de plus ! Et en plus il était plus large, plus épais.
On ne respirait presque plus, nous étions allongé sur le ventre, ma queue pendait au moment ou nous nous sommes installé, et comme maintenant elle protestait à la vue d'un tel étalon ça devenait inconfortable. Je soulevais le bassin m'installais mieux, maintenant je sentais ma queue qui appuyait contre mon ventre. Samuel faisait la même chose. On échangeait un regard, un sourire et on continuait à observer.
Maintenant on pouvait voir le plus jeune de profil, lui aussi il bandait, il en avait une belle mais là ça ne nous faisait plus peur. Il devait être dans nos tailles. Il faisait plus d'une tête de moins que le premier, je passais ma langue sur mes lèvre, il me faisait envie le petit gars.
Les rôles étaient clairs, le plus jeune regardait l'autre avec l'air d'un petit chien qui regarde son maître puis se mettait à genoux et commençait à masturber la bite énorme de son camarade. Ensuite j'ai pas compris, j'ai pas compris comment il faisait ça. Il approchait son visage, on le voyait il ouvrait la bouche
Samuel : Non il ne va pas, c'est trop gros !
Il avait dit ça tout bas, c'était à peine audible. Mais si, c'était bien ça, c'était peut être trop gros mais lui, il arrivait à se prendre cette grosse que dans la bouche. De profil on pouvait distinctement voir la grosse queue s'enfoncer sur toute sa longueur, il poussait quelques sons gutturaux en partie étouffés.
Le plus grand le laissait faire, il avait la tête penchée en avant et regardais, il semblait apprécier. Il avançait doucement son bassin et au moment ou le plus jeune voulait se retirer, il plaçait sa main derrière la tête du petit et le tirait vers lui.
Ça rentrait, je ne sais pas comment il pouvait faire ça mais ça rentrait en entier. Il semblait toutefois avoir du mal à la fin, quand son visage s'écrasait sur le ventre du plus grand.
Le grand lui retenait la tête avec les deux mains, on voyait le petit remuer la tête, essayer de se dégager mais l'autre le retenais. Puis le petit semblait paniquer, il tentait de repousser l'autre avec les mains, il avait toujours le visage écrasé sur le ventre du plus grand.
J'en pouvais plus, je bandais et je sentais à ses mouvements que Samuel était dans le même état que moi. On se réinstallait, pour être plus à l'aise. On prenait toujours le plus grand soin de ne faire aucun bruit.
Au bout d'un moment qui semblait ne plus finir le grand lâchait son petit camarade qui dégageait sa tête d'un geste rapide. Il toussait, il crachait, il reprenait son souffle. L'autre, le visage penché vers lui semblait sourire et le regardait.
Le grand : On y retourne.
Le petit s'exécutait, de nouveau il prenait la bite de son camarade dans la bouche, la caressait, suçait le gland et de nouveau le caressait. Il prenait la bite un peu plus profond et encore un peu et de nouveau parvenait à la prendre en entier dans la gorge sans que l'autre ne l'y oblige. Il retirait la tête en arrière et on voyait, de profil on voyait bien même, cette queue énorme qui ressortait puis quand il avançait la tête on la voyait disparaître dans sa bouche
Mais il la met ou ? Il n'y a pas la place dans une bouche normale !
Samuel ne parvenait pas à tenir en place, tout comme moi il n'était pas à son aise. On remuait, toujours en faisant très attention de ne pas faire de bruit. A force de bouger on avait fini par se blottir l'un contre l'autre, je sentais le corps chaud de Samuel contre le mien, nos respirations s'étaient synchronisées, on ne pouvait pas détacher nos regards du spectacle qui s'offrait à nous.
Le plus grand se laissait faire pendant un long moment, il n'intervenait pas, il n'appuyait plus sur la tête de son camarade mais petit à petit on le voyait, il avançait son bassin avec des mouvements rapide mais légers. A chaque fois le plus petit réagissait en écartant sa tête.
D'un geste vif, le plus grand repoussait le petit et lui disait fermement .
Le plus grand : Retourne toi !
Le plus petit se relevait, il semblait manquer de conviction mais il se retournait et se penchait en avant. L'autre se plaçait juste derrière et lui crachait abondamment sur le cul.
Moi : Il font quoi là ?
Samuel : Tais toi j'entends pas !
Moi : Oui mais là de toutes façons il ne disent rien !
Samuel un peu agacé se retournait vers moi et me donnait un baiser très tendre sur la bouche
Moi : Bon d'accord, si tu le prends comme ça !
Il pouffait de rire, toujours en silence
Ça devenait plus difficile de rester silencieux d'un coup.
Le plus grand personnage, on ne parvenait toujours pas à les reconnaître, crachait dans sa mains et s'astiquait le manche avec douceur, il crachait encore plusieurs fois sur le cul de l'autre. On regardait, moi je ne voyais pas du tout ou ils voulaient en venir mais je ne loupais rien.
Les corps étaient beaux, les formes élégantes et les muscles, je ne vous dis pas
Les muscles, il y en avait partout ! Samuel et moi sommes musclés et bien foutus mais là c'était une tout autre catégorie.
Le plus grand approchait sa queue des fesses de son camarade, sa queue les touchaient. Je me demandais toujours ce qu'il faisait. Puis il poussait, le petit gémissait puis criait. '' Ferme la tu vas nous faire repérer ! '' . Le grand le faisait taire en le bâillonnant avec sa main et continuait à pousser son bassin contre ses fesses. J'en revenais pas sa queue s'enfonçait dans le cul du plus petit qui se contractait et qui avait le réflexe de se dégager mais le plus grand, visiblement plus fort, le retenait facilement, le redressait et le serrait contre lui au moment ou son ventre écrasait les fesses du petit.
Le petit gémissait, il semblait sangloter, il ne tentait plus de se dégager mais il se tordait dans tous les sens. Il devait déguster le pauvre.
Samuel : J'y crois pas !
Moi : La vache !
Samuel : Tu savais toi qu'on pouvait
Moi : Ça doit faire mal !
Samuel : Il a l'air d'aimer en tout cas.
Pendant que nous murmurions, devant nous ça s'agitait, le plus grand des nos deux lascars retirait son bassin en arrière et revenait. Sa queue sortait puis rentrait de nouveau de plus en plus vite. On les voyait toujours de profil et on voyait bien ce qui se passait. Il ne bâillonnait plus son petit camarade qui se contentait de gémir, ce n'était en effet pas des cris de douleur mais de plaisir.
On n'avait jamais pensé explorer les sensations, les plaisirs qu'on peut éprouver par cet ouverture. Mais je ne vous cacherais pas que depuis j'y ai pensé, j'y pense souvent !
On les regardait, on ne faisait aucun bruit, on ne respirait même plus. Quand je regardais Samuel il avait l'air idiot, la bouche ouverte et le regard vide.
Le plus grand se lâchait sur le cul du plus petit, il se retirait totalement du cul et revenait avec force et rapidité, avec violence même. Le petit râlait et en même temps se branlait. Il n'y avait aucun doute, il y prenait du plaisir, un très grand plaisir même.
Quelques coups de bassin très violents et le grand se laissait retomber sur le dos du petit en le prenant dans ses bras. Suivaient encore quelques convulsions, on avait deviné qu'il avait joui et juté dans le cul du petit. Puis il se retirait, sa queue toujours énorme retombait, une grosse molle, mais là c'était une très grosse
et pas très molle je suppose mais j'étais trop loin pour vérifier.
Le petit toujours penché en avant continuait à se masturber et à entendre le bruit qu'il faisait, on savait qu'il jouissait également à son tour. Ensuite le grand le prenait par la main et l'entraînait dans l'eau. Ils entraient dans l'eau jusqu'à la ceinture et se faisaient un câlin, ça faisait envie je vous jure. Ils faisaient quelques ablutions et revenaient sur la berge. Il retrouvaient leurs vêtements et se dirigeaient vers la maison un peu plus loin.
Samuel : Tu as vu, ils logent dans la maison là !
Moi : Et alors ?
Samuel : Ça veut dire qu'il travaille dans la maison pas dans les champs !
Moi : Euh, oui
Samuel : Si ça se trouve on les voit tous les jours.
Je m'étais retourné sur le dos, ma queue était affolé j'avais l'impression de n'avoir jamais bandé aussi fort, je me masturbait. Samuel se retournait sur le dos et faisait comme moi. Je peux vous dire que ça n'a pas été bien long, excités comme nous l'étions on a été rapide j'ai juté comme un dingue, Samuel à fait pareil. On reprenait notre souffle et on décidait de revenir à la maison.
On passait par la rivière, on nageait jusqu'à nos vêtements, ils n'étaient plus là
Moi : Bon c'est ballot ça !
Samuel pouffait de rire en entendant ma réaction. On n'allait pas s'affoler pour si peu et on revenait donc tranquillement,à poil, le plus naturellement du monde vers l'échelle qui constituait une entrée discrète. Dans le noir on se glissait dans ma chambre, on était couverts de terre et de boue aussi on décidait de prendre une douche. Ça vous étonne ? Mais notre maison était très moderne, il y avait un grand réservoir d'eau au niveau de la toiture, et ici l'eau était toujours légèrement tiède, je l'aurais préférée froide mais on prend ce qu'on a.
Samuel et moi étions complètement retournés par ce que nous avions vu, et on restait étrangement silencieux lors du retour.
Pensifs, il se demandait lui aussi ce que ça faisait que de se prendre un gros truc comme ça dans le cul. On n'avait jamais pensé à ce genre de plaisir, on n'avait jamais pensé que ça pouvait être un plaisir.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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