Plan Odeur Avec M. Mystérieux 3

Depuis ces deux plans avec M Mystérieux, je ne sais plus quoi penser. J’ai toujours eu une sexualité conventionnelle malgré une tendance à être soumis à mes partenaires. Mais là, j’ai l’impression que ce que je fais est sale. Mais en même temps, il y a un côté excitant. Je trouve que ce mec a une sacrée force de caractère de ne se laver qu’après un plan, l’occasion pour lui de changer de sous-vêtement et le reste du temps de conserver son odeur. Je me pose bizarrement plein de questions pratiques du style « comment il fait au boulot? » « comment réagissent ses collègues de travail ? » « comment est son appartement ? ». Je pense que je commence à m’attacher. Il m’avait prévenu qu’il faisait cet effet là. J’avoue j’y croyais pas trop. Ce qu’il attend maintenant c’est que je passe une soirée chez lui. Je crains tout ce qu’il peut me faire faire mais en même temps ma résistance faiblit au fur et à mesure que le temps passe. Et plus le temps passe plus l’odeur risque d’être forte. Finalement, je craque: je le contacte. RDV est pris pour le vendredi suivant.

Quand je sonne à sa porte, j’avoue j’ai la boule au ventre. Il sait tellement souffler le chaud et le froid, me pousser au delà de mes limites. D’ailleurs je serais vraiment curieux de connaitre les siennes un jour… Il m’ouvre, avenant comme toujours lors du début de chaque rencontre. Il me fait faire le tour de son appartement. C’est sympa, rangé, propre. Comme quoi on peut se faire des films sans fondement.
« je suis content de te voir. Ça fait trois semaines que je n’ai pas fait de plan. Je n’arrive pas à trouver le même contact qu’avec toi! Du coup, tu sais ce que ça signifie?
- j’ose même pas imaginer, dis-je tout tremblant
- Tu as raison, je suis rarement arrivé à ce point. Même à travers le vêtements ça sent.
- J’espère que tu iras doucement et auras pitié de moi
- Tu savais à quoi tu t’exposais en venant! En plus, j’ai une surprise pour toi! »
Il s’approche de moi et me chuchote à l’oreille
« je vais te faire passer un cap.

Ce ne sera plus jamais pareil pour toi! Tu auras mon odeur sur toi pour un moment, crois moi!! Tu vas m’appartenir! »
Dit avec une telle assurance, j’en ai finalement froid dans le dos. J’ai envie de courir pour m’enfuir mais mes jambes ne bougent pas.
« déshabille toi. Complètement et laisse tes vêtements dans l’entrée ».
Je m’exécute sans dire un mot. Son côté chaleureux a disparu et c’est le dominant qui est sorti. Je le suis ensuite dans le salon.

Il se retourne devant moi et s’assoit dans le canapé.
« Mets toi à 4 pattes, ton cul bien tendu. Voilà comme ça, c’est bien.
Approche. »
Je suis devant lui à ses pieds et déjà de là où je suis une forte odeur remonte à mon nez.
« Maintenant, retire ma basket gauche. Tu défaits le lacet et la tire avec précaution ».
Je m’exécute sans dire un mot et oh mon dieu quelle horreur!! Sa chaussette est d’une couleur indéfinissable et surtout une odeur!! Je n’ai jamais senti çà. Je pensais même pas que ça pouvait être possible. J’ai le coeur au bord des lèvres. Je relève la tête et vois son sourire avec son air satisfait. Il sait que l’odeur va agir comme des phéromones ou du poppers et que je vais me lâcher. En attendant, je suis plutôt dégoûté mais je ne bouge toujours pas. Qu’est ce qui m’arrive?
« Tu la sens cette bonne odeur de mâle? C’est bon hein?
Maintenant, rapproche toi, mets toi à genoux. Pose mon pied sur tes genoux et enlève la chaussette ».
Vue la position, j’ai son pied à la verticale sous mon nez. L’odeur remonte directement dans mon nez, c’est horrible! J’ai l’impression qu’elle imprègne tout l’espace environnant.
« Fais pareil avec l’autre pied »
Cette fois j’ai deux sources d’odeur sous le nez et wahow! Je pensais pas ça possible et encore moins que je serai là à respirer cette odeur. C’est avilissant et en même temps ma queue est tendue comme jamais de par la situation.
« Bien, maintenant que tu as pu profiter un peu, à plat ventre et lèche.
Du talon jusqu’aux orteils et après tu passes bien ta langue entre chaque orteil. Fais plaisir à ton maitre. »
Sans réfléchir je me mets en position et commence ma besogne. C’est horrible cette odeur et en même temps, je ne peux m’empêcher de lécher comme si ma vie en dépendait!

Au bout d’un long moment, il considère que c’est suffisant et me demande de m’arrêter. Il se lève et me fait mettre à genoux devant lui. J’ai l’impression d’avoir son odeur de pied sur moi.
« Bien. Maintenant que tu as passé les hors-d’oeuvres, on va passer aux choses sérieuses.
Ouvre mon pantalon. voilà, descends le jusqu’en bas et viens suiffer ma queue à travers le calbut! »
Il n’y a pas à dire le fumet est là! Dès que j’ai enlevé le pantalon, c’est arrivé à mes narines et à mon cerveau. D’ailleurs il vient de vriller car malgré la puissance de cette odeur, je fonce contre son sous-vêtement pour bien sentir, m’imprégner.
« maintenant, déballe le paquet et viens renifler la bonne odeur! ».
Je suis sous son contrôle complet. Je faix ce qu’il me demande mais là l’odeur est vraiment trop forte. Je recule, encore un petit peu. Je le regarde et lui, il sourit, tout en avançant d’un pas. Ce manège dure pas longtemps car me voilà bloqué par le mur derrière moi.
« Alors comme ça on fait sa mijaurée et on recule. Tu ne peux pas aller bien loin de toutes façons. Tu es à moi pour la soirée et je compte bien profiter à fond de toi et de ton potentiel.
Maintenant que tu es calé contre le mur, je n’ai plus qu’à te mettre l’attirail sous le nez »
Effectivement, un mouvement de bassin et j’ai le nez dans ses poils au dessus de sa queue. L’odeur est forte, piquante. J’essaie de le pousser mais c’est comme si je n’y croyais pas moi-même. Et quand il me demande d’ouvrir la bouche alors qu’il ne bande pas, je sais ce qu’il va se passer mais le laisse faire. Il s’insère tout doucement pour que je profite bien de l’instant et s’écoule en moi directement en fond de gorge.
Je ne peux rien faire si ce n’est tout avaler.
« Je suis bien soulagé. T’es une bonne chienne tu sais. 
Allonge toi sur le dos et ouvre bien grand la bouche et tire la langue. Voilà c’est ça. »
Une fois en position, il se met à genou sur mes mains dos à moi et je le vois commencer à s’acroupir.
« Pitié! je ferai tout ce que tu voudras mais ne me force pas! L’odeur est trop forte. Je ne suis pas encore à ce point là, tu avais dit qu’on irai par étape! »
J’ai beau essayer de bouger, il pèse tout son poids. Et je vois arriver ses bourses au dessus de ma bouche. On sent bien le renfermé, pas de souci!!
« Aller, lèche moi bien les boules. Je sais que tu peux le faire. Tu l’as déjà fait. Voilà, bien comme ça. Passe bien la lange de chaque côté. Oui, prends la dans ta bouche. Mmmhh. Prends l’autre maintenant. Tu vois, tu sais faire plaisir à ton mâle. Essaie de prendre les deux. Ça fait beaucoup mais mmmmh c’est trop bon »
Ces encouragements m’ont détendu. Je fais du mieux que je peux et finalement la situation est excitante: je ne peux pas bouger, j’en ai plein la bouche et ne peux plus parler et cette odeur autour de moi agit comme du poppers. Bref, je bande comme un fou.
Mais ce moment de détente prend fin quand se rendant compte que j’étais sous son emprise, M. Mystérieux est descendu encore plus sur ses genoux, plaçant mon nez quasiment sur sa rosette. Pris de surprise, de panique, j’essaie de me débattre mais comme tout à l’heure, son poids est sur moi et mis à part un bruit étouffé, je ne peux pas faire grand chose! Heureusement pour moi, aucune trace suspecte mais pas de douche pendant trois semaines ça laisse une odeur que j’ai du mal à supporter. Finalement, il se redécolle un peu pour me laisser respirer et parler.
« Tu vois c’était pas si terrible. Je t’avais promis que je serais essuyé. Ok les poils gardent bien l’odeur mais tu vois que c’est supportable.
- c’est dégueulasse! On devait y aller par étape et…
- oui mais chez toi il y a du potentiel pour être ma lope.
Regarde en 3 fois, tout le chemin parcouru. Tu es tout à moi. Alors, tu me lèches bien et je te libère ou sinon je m’assieds bien sur toi et sentira le vent passer. Et là, c’est plus dur à supporter. Moi ça me gêne pas. Je n’ai pas de limite. Tu craqueras avant. Donc plus vite tu fais et plus vite tu es libéré. J’ai tout mon temps.
- Non, stp ne fais pas… mmmppff »
Il s’est rassis sur moi. Mon cerveau ne fait qu’un tour. Hors de question de me laisser péter à la figure comme ça. Je suis certain qu’il en est capable. Je capitule. Je sors ma langue et commence à faire des ronds pour qu’il desserre un peu son emprise. Je me suis mis à laper son cul, poilu, odorant. Son oeillet bougeait en rythme. Je n’avais qu’une peur c’est qu’il me largue quelque chose sous l’effet de la détente mais non. Heureusement pour moi.

En trois séances, il avait vaincu toutes mes résistances. Et c’est comme une chose qu’il m’a retourné avant de s’enfoncer en moi. J’avais capitulé. Mais lorsqu’il me retourne, je me rends compte que je suis mouillé sur le ventre. Pendant que je le léchais, je m’étais joui dessus.
Lui se fait toujours plaisir dans mon cul, je le sens haleter, transpirer, ça goutte d’ailleurs sur moi. Une odeur de transpiration émane de son corps… et de ses aisselles. J’ai l’impression d’être enveloppé. Il jouit au bout d’un long moment et s’étale sur moi. Je suis sous son poids, son odeur et son emprise. Et en même temps, j’ai l’impression d’être à ma place.


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