Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Saison I (1/6)

Madame Marion.

- Oui Alexandre,
- Madame Marion, le rapport sur l’opération en cours.
- Voyons.
C’est d’accord, donnez l’ordre de l’abattre.
- Bien madame, vous avez vu qu’il peut-il y avoir des dégâts collatéraux ?
- J’ai vu, mais ce sera bien plus important si nous laissons ce fou s’échapper.
- Je donne l’ordre madame.

Alexandre mon chef de cabinet quitte mon bureau sous un parking parisien parfaitement normal.
Un seul point noir dans ce labyrinthe, nous sommes toujours à la lumière artificielle.
Nulle personne autre que ceux qui ont le badge rouge ont accès à mes services.
Moi-même je prends mes ordres de la plus haute responsabilité de France.
Même son chef de cabinet et son chef des armées savent que j’existe, savent que nous existons sans savoir à quoi nous servons et où nous sommes basés.

- Madame, excusez de vous déranger une nouvelle fois, un rapport venant de qui vous savez vient de nous arriver.

Il me le tend.
Je l’ouvre électroniquement en le plaçant dans une machine qu’elle seule est capable de le faire.
Mon chef de cabinet est dans l’impossibilité de voir ce que je lis même sur mes lunettes qu’hélas, l’âge avançant ça m'oblige à les porter.
J’ai 36 ans, mais pour lire, je dois les mettre et elles sont traitées pour empêcher les reflets quand je les portent.
Lorsque je place ce rapport dans la machine, Alexandre sait qu’il doit attendre mon ordre avant de quitter mon bureau.
La décision que je vais prendre entraînera obligatoirement des conséquences dont nous entendrons parler au journal de 20 heures.

- Appelez Allan et son équipe, je vous transfère leur mission et ses droits.

Je suis l’une des plus rapides au monde pour taper sur un clavier.
Pour occuper ce poste, il faut de nombreuses connaissances dans diverses pratiques et surtout je parle neuf langues.

- C’est fait, aller ils doivent être partis dans moins d’une heure.


- Bien madame, Allan, je lance son équipe et je lui transfère vos ordres.

Allan, j’ignore qui il est et qui fait partie de son équipe.
C’est peut-être ma voisine de droite ou de gauche à Neuilly sur seine où nous avons notre résidence principale.
Mon téléphone sonne.

« Oui, Oui, Oui, dans une demi-heure, oui, je serais là, comptez sur moi. »

Je range mon bureau seul mon écran reste dessus.
Je prends mon sac à main et je quitte mon bureau.
Dans la pièce voisine complément insonorisée par rapport à la pièce où je travaille, mon chef de cabinet a son bureau.

- Votre chauffeur vous attend madame, vu l’heure, sauf urgence je pense que je peux vous dire à demain.
Voici la clef sécurisée préparée par nos services dont vous allez discuter avec notre président.
Encore bonne soirée.

Avec Alexandre, pas un mot de trop, tout est toujours concis.
J’ignore où il réside, il ignore aussi où j’habite.
Seul mon chauffeur le sait et se ferait plutôt que de le révéler.
C’est aussi mon garde du corps bien que depuis mes 25 ans où je suis entrée dans ce corps secret travaillant surtout sur des opérations extérieures, je suis capable de me sortir des situations les plus périlleuses.
Je retrouve Louis ce chauffeur dans le parking à la porte de sécurité.
Quand je rentre chez moi, je me vois mal dire à Gontran.

- Bonsoir ma chérie ta journée s’est bien passé ?
- Épuisante, je vais avoir besoin de tes services, mais avant dînons.
J’ai tellement eu de choses à traiter aujourd’hui, c’est incroyable ce que les militaires peuvent avoir besoin comme nourriture dans leurs casernes.

Oui, même Gontran ignore mon réel travail.
De toute façon, comment en revenant le soir lui dire qu’aujourd’hui j’ai autorisé la mort de certains opposants à notre état dont je suis un maillon de sa protection.
Si on me vole mon portable ultra sécurisé ils verront des choux et des navets que je suis censée acheter et faire livrer pour nos armées.

Je travaille de longues heures.
Ce soir lorsque j’ai quitté mon bureau pour aller au Palais, c’est ainsi que l’on appelle le lieu du pouvoir suprême, j’espérais finir tôt.
Mais le président voulait que je lui rapporte les risques pris sur une opération dans un des lieux de guerre.
Nous sommes arrivés à la conclusion qu’il était impossible de faire cette omelette sans casser d’œufs.
Ça s’appelle des dégâts collatéraux et comme souvent, la faible femme que je suis se retrouve avec des dizaines de cadavres supplémentaires à assumer.
Nous dînons, le repas ainsi que les s étant gérés par notre gouvernante, il nous est impossible de jouer hors des dimanches et des vacances notre rôle de parent.

- C’est le moment Gontran, allons prendre notre bain mais avant je vais embrasser les s.

Je suis dans l’impossibilité de jouer mon rôle de mère avec mes deux s, mais chaque soir que Dieu fait, je les embrasse même s’ils dorment.

- Où es-tu ?
- Dans l’eau, j’avais démarré la programmation sachant que ce serait ce que tu voudrais avec un bon massage dès que tu rentrerais.

36 ans, 2 s, si je m’étais laissée aller, je serais incapable d’effec les quelques missions que je consens de faire surtout sur des scènes de guerre même sans armées.
Je me déshabille et mon homme m’attend les mains pleines de savon.
J’entre dans la baignoire montrant mon abricot à celui qui fait vibrer mon corps.
Je suis rasée au laser ça me fait gagner du temps car le portable que j’ai posé sur la chaise peut me ramener dans le monde des personnes à à tout moment.

- Oui, Gontran masse-moi les trapèzes, tu as des doigts de fée.

Mon mari est lui aussi un haut fonctionnaire, mais il fait partie de ceux qui sont payés à glander toute la journée avec un gros paquet de biftons à la fin du mois.
Son service créé par le président précédent, tous ont oublié de le fermer quand il est parti.

Aucune vague, c’est la doctrine que les hauts fonctionnaires nombreux dans son cas savent appliquer pour vivre heureux.

- Oui, masse chéri, tes mains sont douces et tu le sais.
Où vas-tu sur mes seins, je crois qu’ils vont aimer.

Ce qu’il y a de bien avec mon mari c’est que moins il parle mieux je le comprends.
Ça m’évite aussi de faire un imper sur les décisions importantes que je prends toutes les journées sauf le dimanche.

- Plus bas, oui là, tu sens comme je suis tendue.

Ce sont ses doigts dans ma chatte qu’il me met.
Je tourne la tête et nos bouches se trouvent, depuis six ans elles se trouvent.
Comme on l’a compris, je suis capable de faire des dizaines de personnes d’un simple geste de ma part mais avec Gontran je suis une vraie midinette.
Comme je suis placée, je sens dans mon dos la verge familiale demander de se faire son passage.
Doucement je me soulève et doucement après l’avoir placée je m’empale.

- Doucement chéri, tu sais que j’apprécie ton sexe quand tu me prends doucement.
Viens allons dans la chambre.

Ce qu’il y a de bien avec Gontran quand je l’ai rencontré au retour d’une mission, ça a été son calme lorsqu’il m’a offert une coupe de champagne au départ d’un collège commun.
Robe longue sur hauts talons, robe blanche avec sa fente me permettant de montrer le galbe parfait de mes jambes.
Elle s’ouvrait sur la droite, car ma jambe gauche porte une estafilade, subite au combat.
Dans son lit, il s’en est étonné.
Il m’a été facile de lui faire croire que s’était dans la ferme de ma grand-mère que je m’étais prise dans un fil de fer barbelé.
En réalité c’est dans un combat à mort avec l’un de nos ennemis que sa lame était passée sur ma jambe pendant que je lui tranchais la gorge.
Je venais de sauver cinq otages que j’ai réussi à ramener vivant en France.
J’étais lieutenant dans ces temps-là, maintenant j’ai le grade de commandant.

Mais revenons à Gontran et à la soirée de baise douce qu’il me fait subir.

Je coule dans ses bras et après nous êtres essuyés doucement, mutuellement il me prend dans ses bras et me porte sur notre lit.
J’écarte mes cuisses, j’adore écarter mes cuisses pour que mon mari entre en moi et s’agite jusqu’à ce que j’éclate.
Une nouvelle fois tout entre dans les règles et comme l’on dit je monte au vingtième ciel, pourquoi se contenter du septième.
Épuisez tous les deux, nous tombons de sommeil.

Lumière rouge, j’ai du mal à émerger.
Je suis couchée sur le ventre les jambes écartées, je dois montrer le joli tableau d’une femme satisfaite et repus.

- Président.
Oui.
À vos ordres.
Je pars tout de suite, le temps de me préparer, Monsieur le Président.

Je me lève après avoir raccroché la ligne rouge en service jour et nuit même chez moi.

- Où vas-tu ?
- Au Mali, nos cuistots ont des problèmes avec des patates, il veut que je sois sur zone demain matin à la première heure pour régler le problème.
- Il nous fait chier, à trois heures du matin.

Il se retourne sans plus de question, je quitte la chambre.
Je retourne à celle de mon fils 5 ans et ma fille 3 ans pour les embrasser.
Je vais vers une porte dans le couloir, nous avons baratiné mon mari quand nous avons emménagé.
C’était à ma nomination à la tête des services des Affaires extérieures.
Je tape le code et j’entre.
J’enfile ma tenue de militaire avec mes galons de commandant sur les épaules.
À ma ceinture je fixe mon célèbre couteau qui m’a plusieurs fois sauvé la vie au détriment de mes adversaires qui ont oublié de se relever.
Je fais mon chignon et je pose mon béret vert sur le haut de ma tête.
Je me regarde dans la grande glace.
À oui, mon alliance, je l’enlève et la pose à la place que je lui réserve.
L’arme du Président est prête.
Je sors par une porte donnant sur l’arrière.
Ma voiture est là qui m’attend pour me conduire à Villacoublay.

- Commandant Marion, c’est parti…

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