Justine Ou Une Descente Aux Enfers (4)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Justine était presque dressée... elle commençait à comprendre que désormais elle appartenait à Momo et Alex. Sans trop la brusquer sur les directives de Samira, les garçons l'amenaient vers ou ils avaient décidé qu'elle aille, ils voulaient transformer cette jeune fille de bonne famille, réservée et bien éduquée, en pute tout simplement...
Samira la sur de Momo prenait un malin plaisir à tout superviser, ces garçons étant du style balourd, elle leur donnait la marche à suivre, elle avait bien compris la personnalité de Justine qui était crédule et naïve, qui ne retrouvait pas ses repères dans ce nouveau monde, sa mère n'avait jamais abordé avec elle tout ce qui avait trait aux relations amoureuses et encore moins sexuelles. Son père, qui se sentait terriblement coupable de n'avoir su protéger sa famille et probablement définitivement au chomage tombait dans l'alcoolisme. Ses parents sans s'en rendre compte l'avaient laissée livrée à elle-même, elle était maintenant sous la coupe de Samira à travers Momo et Alex.
Justine était de plus en plus sexy, à la limite de la jeune-fille branchée et de l'aguicheuse. Le matin en partant de chez elle, elle portait un t-shirt très large qui lui arrivait sous les cuisses pour cacher à ses parents ses tenues très limites, arrivée dans le hall de l'immeuble elle l'enlevait.
Elle avait une distinction naturelle, se tenant droite, elle avait de la classe, elle pouvait même paraître hautaine mais attitude mettait en valeur son corps qui était tout simplement parfait, une chute de rein à faire damner un saint, de fines épaules et une poitrine divine, pas opulente, pas menue, un galbe... Du béton ! Les garçons du lycée et les professeurs d'ailleurs ne pouvaient pas détourner leurs regards de son corps, discrétement car Alex et Momo veillaient... Tout le monde savait qu' elle sortait avec eux, d'ailleurs ce n'était pas difficile à savoir car ils s'en vantaient eux-mêmes mais personne n'aurait osé aborder le sujet devant elle, Alex et Momo étaient les durs du lycée, alors les autres se contentaient d'admirer avec envie cette fille qui était de loin la plus jolie.
Les samedi et dimanche Justine pouvait rentrer tard car elle était sensée travailler dans un restaurant, elle devait pouvoir justifier vis-a-vis de ses parents ses différents achats, vêtements, son I phone, la chaine hi-fi de sa chambre, son petit bracelet en or et diverses babioles. Tout ça bien sûr c'était des cadeaux d'Alex et Momo.
Ce samedi là ils étaient au casino, Alex lui ne jouait pas à la roulette et se contentait de mettre sans conviction quelques pièces dans les machines à sous, Justine, comme d'habitude se tenait debout à côté de Momo et se contentait de le regarder jouer, lui comme d'habitude était assis et captivé par le jeu.
Ce soir là il perdit de l'argent, beaucoup d'argent. Quand ils sortirent, il l'avoua à Alex qui se mit dans une colère noire, ils faillirent même se battre, lJustine les supplia de se calmer, c'est ce qu'ils firent. Sur le chemin du retour ils ne s'adressèrent pas la parole. Arrivés chez Alex ils avaient l'air très soucieux, Momo prit une bouteille, alla chercher des glaçons et servit deux whiskys. Elle, était là assise, sans rien dire. Ils allumèrent une cigarette chacun et discutèrent calmement.
- Juju va te coucher, on a à parler avec Alex.
Sans dire un mot elle se dirigea vers la chambre, se dévêtit complètement et glissa son superbe corps sous de légers draps bleutés. Leur discussion dura, elle attendait se posant mille questions, c'est vrai qu'elle avait vu Momo miser des sommes considérables mais elle n'avait pas osé lui faire de reflexion, maintenant Alex était faché, c'est normal se disait-elle cet argent était à eux deux.
Bon... On discutera de tout ça demain, moi maintenant j'ai envie de tirer un coup.
Momo répondit par un sourire, il prit la main de Justine et la posa sur son sexe, Alex fit de même et sans rien dire car elle savait ce qu'elle avait à faire, elle les branla tous les deux en même temps. Momo qui fumait beaucoup sortit une cigarette et en proposa une à Alex qui la refusa, il était dubitatif, observant le plafond, tellement pensif qu'il ne bandait presque pas alors que Justine le branlait vigoureusement, puis d'un geste autoritaire il lui prit la nuque et se contenta de dire.
Suce !
Elle s'exécuta docilement, penchée sur eux qui étaient allongés, elle passait d'un sexe à l'autre, elle en sucait un et en même temps branlait l'autre puis une tape légère sur la nuque lui signifiait de changer de garçon.
Ce soir là ça dura longtemps, elle était épuisée, il était tard et elle avait sommeil. Calmement mais fermement Alex la fit mettre à genoux et la pénétra gentiment en levrette. Elle mouillait... Momo était assis à côté et regardait., il accéléra le rythme qui devint endiablé, il jouit enfin dans un grand râle, elle eu juste le temps de s'asseoir quand Momo la fit remettre à quatre pattes et la pénétra direct profondement, l'excitation de Justine était tombée et elle savait que maintenant elle ne servait plus que de vide-couilles... Heureusement ça arriva vite. Il lui donna une tape sonore sur les fesses.
Vas te rhabiller Juju, il est tard on va te raccompagner.
Ses parents dormaient, elle entra discrètement dans sa chambre et se coucha directement.
La semaine se passa normalement, Momo lui faisait des compliments, cherchant à l'amuser avec ses blagues pourtant lourdes, elle se sentait en sécurité près de lui, elle se disait que malgré leurs exigences sexuelles ils étaient gentils, bien sûr elle n'était pas amoureuse ni de l'un ni de l'autre, mais fallait-il être amoureuse pour coucher, et puis Samira lui avait tellement répété qu'une meuf ne devait rien refuser à son mec qu'elle pensait qu'elle était encore coincée par son éducation et qu'il fallait qu'elle change.
Le samedi ils allèrent tous les trois diner ensemble ils avaient choisi un restaurant italien, la pizza était délicieuse et l'ambiance était bonne, la petite musique de guitare s'accordait parfaitement aux nappes à carreaux rouges et blancs, ils prirent une bouteille de rosé, Justine se sentait bien, juste émoustillée. Enfin Momo prit un air grave.
Justine, faut qu'on te dise quelque chose.
Oui... quoi ?
Et bien, samedi dernier, l'argent que j'ai perdu c'est celui qu'on devait donner à Tony pour payer la marchandise.
Quelle marchandise ?
Tu sais bien, l'herbe.
C'est pas bien ce que tu as fais, il ne faut pas jouer avec l'argent des autres.
Vraiment t'es complètement conne, tu vas me faire la morale ? je sais mais maintenant on est dans la merde.
Qu'est-ce que vous allez faire ?
Tu sais, Tony c'est un dur, il rigole pas, on joue nos vies, il veut bien attendre deux ou trois mois pour qu'on le rembourse en plusieurs fois mais il met une condition.
Laquelle ?
Tu te souviens de Tony ?
Non.
Le grand brun costaud qu'on voit des fois au casino.
Ah oui... je vois qui c'est.
Bon, et ben voilà, je vais être direct, il veut coucher avec toi.
Quoi ??
Oui, je comprend que ça te choque mais faut que tu nous rendes service.
Mais vous êtes fous, il n'est pas question de ça.
Tu sais Juju, si je te demande ça c'est que c'est vraiment grave, Tony c'est pas un mec facile, il nous fait crédit quand il nous donne de l'herbe ensuite on le rembourse quand on a tout vendu et on garde le bénéfice, c'est avec ce bénéfice qu'on t'a payé tout ce que'on t'a offert, tu nous dois bien ça non ?
Mais vous me prenez pour qui ? Jamais je ne coucherai avec lui, en plus il ne me plait pas.
Ecoute, tu nous tailles des pipes pratiquement tous les jours et on te baise les weekend, ça te déranges pas non ? Tu as l'air d'aimer le cul aussi.
C'est pas pareil, nous on sort ensemble.
Comment ça on sort ensemble ? Là tu m'énerves, elle t'a dis Samira, à partir du moment ou tu sors avec deux mecs en même temps c'est que t'es une salope, alors tu te mets bien ça dans la tête conasse, t'es une petite salope, on a pas envie de te partager mais là faut que tu nous tires de la merde ! Alors on te demande rien de grave, juste de coucher avec Tony une fois c'est tout, comme ça il nous laissera tranquilles et on pourra le rembourser petit à petit.
Justine avait les larmes aux yeux, comment pourrait-elle faire ça ? Coucher avec un homme qu'elle connaissait à peine, et puis Tony était bien plus agé qu'elle, il devait avoir au moins 35 ans.
Ce ne sera qu'une fois vous me le promettez ?
Je te le jure, juste une fois, c'est vraiment pour nous rendre service, ça me fait pas plaisir de te demander ça mais je peux pas faire autrement.
Sa tête tourbillonnait, pouvait-elle leur faire confiance ? Elle se prit la visage dans les mains pour cacher ses larmes. Si ses parents apprenaient une chose pareille, elle qui il y a peu de temps encore lisait des romans roses et révait au prince charmant. Elle était partagée entre deux sentiments, elle savait qu'elle faisait des choses que la morale réprouve, mais par ailleurs elle était excitée par le fait précisement de faire ces choses que la morale réprouve... Le fait peut-être de braver les interdits...
Momo, tu me promets que ce ne sera qu'une fois ?
Je te l'ai déjà promis.
Laisse-moi un peu de temps je t'enverrai un message quand je rentrerai chez moi.
Le repas se termina, Justine n'avait pu manger quoi que ce soit de plus, elle était enfermée dans un mutisme total, elle n'osait pas croiser le regard de ses copains, elle était pale.
Arrivée chez elle sa mère l'interpella.
Qu'est-ce que tu as ma chérie, tu es bien pâle...
C'est rien, je suis juste fatiguée, c'est le travail, je vais me coucher.
Tu ne veux pas que nous discutions ?
Non.
Je m'inquiète pour toi, je comprend que c'est difficile de vivre ici, pour ton père et moi aussi c'est très difficile mais on n'a pas le choix.
Maman j'aimerais retourner dans notre ancienne maison.
Moi aussi ma chérie mais c'est impossible.
Elle se jeta dans les bras de sa mère et posa sa tête sur ses épaules, sa mère se raidit.
Allons Justine, reprends-toi, tu dois être forte et je n'aime pas tes simagrées, un peu de respect.
Tu es trop dure...
Elle se dirigea vers sa chambre et s'enfoui sous la couette sans prendre le temps de se déshabiller. Que faire ? Pouvait-elle les abandonner dans une situation pareille ? Ils risquaient peut-être leurs vies, Momo lui avait promis que ce ne serait qu'une seule fois... Alors elle prit son téléphone et les doigts tremblants lui envoya ce message « Ok ». Momo se tourna vers Alex qui était allongé sur le canapé devant une série.
Ma parole j'ai jamais vu une fille aussi con, tu lui fais faire n'importe quoi.
Elle t'a dit ta sur c'est une naïve elle sait même pas ce qu'elle fait, tu verras on va bien la former, c'est une suceuse de bites !
La semaine se passa normalement au lycée. Sur les directives de ses copains, Justine avait dit à sa mère qu'elle devait travailler vendredi car le restaurant organisait un anniversaire, elle lui avait dit aussi qu'elle rentrerait probablement plus tard.
Ce soir là, Momo l'attendait au bas de l'immeuble, il l'accompagna chez Alex. Ils prirent l'apéritif, Justine avait prit un whiskhy glaçons, chose qu'elle ne faisait jamais mais elle avait besoin de ça pour assumer... Momo lui en servit une dose généreuse.
Voilà Juju, Tony va venir prendre l'apéritif avec nous puis nous partirons, on dira que Loulou a besoin de nous, et là tu seras seule avec lui. T'as compris ?
Je ne sais pas si je pourrais faire ça...
Tu veux quoi ? Qu'on se fasse descendre ?
Elle baissa la tête.
Non...
On reviendra plus tard, on te raccompagnera et ça sera fini, et puis Tony il est plutôt beau mec non ?
Elle ne répondit pas.
Ce soir là, elle portait une petite jupe moulante en cuir noir et un chemisier mauve Eterna. A la demande d'Alex elle ne portait pas de soutien-gorge, les pointes de ses seins étaient parfaitement moulées par le tissu léger du chemisier.
Lorsque Tony arriva, il lui fit la bise, le regard fixé sur cette superbe poitrine. il se servit seul un verre et alluma une cigarette. Tout alla très vite, quelques minutes plus tard, Alex passa un coup de fil.
Il faut qu'on aille voir Loulou avec Momo, on vous laisse, on revient dès qu'on a fini.
Justine était pale, elle se pétrissait les mains. Dès qu'ils furent partis, Tony s'approcha d'elle et sans rien dire l'embrassa sur la bouche, elle ne réagit pas le laissant faire. La langue de Tony tournait autour de la sienne, il la tenait par la nuque pour explorer à fond sa bouche, elle fermait les yeux, ses cheveux blonds étaient défaits sur ses épaules. Toujours sans dire un mot il déboutonna son chemisier, cette poitrine rose clair si arrogante dont il avait tant révé lui était enfin offerte, il la lécha longuement.
Déshabilles-toi.
Sans répondre elle se leva, déboutonna sa jupe lentement et l'enleva ainsi que son chemisier.
Le string aussi.
Elle lôta. Elle était là maintenant complètement nue devant lui. Instinctivement elle tenait ses mains croisées sur sa poitrine. Tony se deshabilla rapidement et se rassit sur le canapé, il était là, les bras posés sur le dossier, les jambes écartées, le sexe en l'air.
Suce-moi, je crois que tu sais bien faire.
Elle se mit à genoux et se baissa, le sexe de Tony était tout près de ses lèvres mais elle n'osait pas.
Allez, pompe !
Elle le prit dans ses lèvres et le suça du mieux qu'elle pu, il était gros pour sa bouche, sans qu'il ne lui dise quoi que ce soit, elle le lécha tout le long puis pris une couille dans la bouche puis une autre et remonta au gland pour le sucer.
Ouf... Comme tu tailles les pipes... Allez, retournes-toi maintenant et tu te mets à quatre pattes.
Silencieusement elle s'exécuta, elle était là, ses petites fesses bombées offertes, ses cheveux blonds cachaient son visage, elle était là prête à se faire ramoner.
C'est une belle pouliche ça.
Il lui fila une belle claque sur les fesses et se mit derrière elle, il la pénétra facilement car elle mouillait.
Tu aimes ça je vois. Tu as du potentiel.
Pendant une demi-heure il la travailla, la faisant mettre sur le dos, se faisant sucer, puis, alors qu'il la prenait à nouveau en levrette, il se raidit, poussa un grognement, la serra au plus profond vers lui et se lacha en saccades. A ce moment là, elle sentit elle aussi la jouissance monter en elle, mais elle se retint de le faire voir se contentant de fermer les yeux et se mordant les lèvres, elle ne voulait pas qu'il voit qu'elle avait prit du plaisir.
Il resta un moment comme ça pour reprendre ses esprits puis il se leva, la laissant à quatre pattes, elle s'allongea en sueur sur le canapé.
Il prit son téléphone.
C'est une sacrée pouliche vore Juju ! Elle a du potentiel. Bon, vous pouvez revenir la chercher.
En disant cela, Tony avait rit aux éclats. Justine qui avait entendu la conversation était penaude, elle avait mis devant sa poitrine sa robe en chiffon pour tenter de retrouver un peu de decence.
A suivre
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