La Seconde Fois
Bonjour, cest Bob. Comment allez-vous ? Ceci est la suite du récit « Première fois » où ma chérie, sest faite partouzée pour la première fois par trois lascars de sa classe. Je vais essayer encore de vous rendre ce nouveau récit le plus véridique possible aussi et le plus proche de la réalité.
Voilà, ma chérie qui était en 2ème année de BTS (moi en fac de sciences) sest faite partouzée souvenez-vous en mai-juin de sa deuxième année de BTS peu avant les examens de fin dannée. Soudain, alors quelle était en cours de management dentreprise, elle reçut un sms sur son portable avec pour message : « on remet ça mercredi prochain. Fais-toi belle ». Elle se tourna pour regarder derrière elle le garçon qui avait écrit cela car cest systématique, ma chérie était toujours au premier rang pour les cours. Le gars lui fit un clin dil discret. Discrètement, elle lui répondit par retour de texto un « NON ! Il nen nest pas question ! » puis dajouter « Mon copain rentre de stage demain ».
Le gars samusait de la situation : la sainte nitouche qui ne veut pas tromper son mec. Cétait inespéré pour lui. Bref, il laissa la belle plusieurs jours sans réponse, soucieuse de ce qui lui arrivait.
Elle devait trouver une excuse. Comment faire pour que son compagnon, Bob, cest-à-dire moi, ne vienne pas chez elle mercredi prochain. Elle avait bien pensé prétexter à un anniversaire chez son père mais le mensonge aurait été trop gros. De même elle imagina un travail à faire chez une copine pour les exams mais cela ne serait pas plus crédible car Bob sait quelle ne sort jamais entre filles même pour le travail. La belle ne savait donc quoi inventer comme excuse.
Elle retint finalement lexcuse bidon de lanniversaire chez son père et se débarrassa momentanément de son compagnon lui faisant croire quelle ne serait pas chez elle ce mercredi-là. Évidemment, tout cela était faux.
Le mercredi suivant donc, vers 14 heures, les trois garçons sont de nouveau là devant chez elle, comme la semaine dernière.
Les gars donc sont sur le pas de sa porte. Elle ouvre, non sans un petit agacement car elle sent quelle na pas vraiment dautres choix. Les trois garçons entrèrent dans la maison. Ma chérie ferma la porte à clé derrière eux. Elle est vêtue dune petite robe bleue marine très chic, genre robe de cocktail. Robe quelle a achetée spécialement pour loccasion. Ni sa mère ni son compagnon ne sont au courant de cet achat inopiné.
Les garçons cependant remarquent aussitôt quelle sest faite belle pour eux. Maquillée, parfumée, la belle na rien laissé au hasard pour les séduire mais à quoi bon, puisquils avaient déjà été conquis la semaine précédente. Peut-être simplement souhaitait-elle leur plaire comme à son accoutumé en présence de la gente masculine car il faut le dire, cela est désormais une de ses habitudes de vie, dêtre belle, maquillée, parfumée et sexy autant de fois que cela pouvait se faire.
Les compères ne ménagèrent pas leurs efforts et sitôt rentrés, sitôt lun deux la transporta dans ses bras vers la chambre nuptiale (la chambre de ses parents) pour la prendre de nouveau.
Il commença par déposer la belle sur le lit, délicatement et lembrassa un peu partout sur le corps insistant sur les parties les plus douces et les plus voluptueuses de son corps : les seins, la bouche.
La chérie navait aucun remord à se faire baiser dans le lit de sa mère. Les deux autres gars entrèrent à leur tour dans la chambre et se déshabillèrent, assez rapidement cette fois. Le garçon qui la transporta lallongea sur le lit, comme la première fois. Il lembrassa de toute part, la caressa comme un trophée. Ses doigts parcouraient son corps puis allèrent à la rencontre du précieux trésor quelle cachait sous sa robe et quils convoitaient tous ici. Les gars bandaient dur et elle le voyait bien.
La scène navait rien doriginal car tout, presque, ressemblait en tout point au vécu de la semaine dernière. Ma chérie nen eut pas moins un grand plaisir de se laisser caresser. Le gars qui était à ses pieds navait pas encore prit la peine de retirer la petite culotte en soie blanche de ma chérie. Il la glissa sur le côté, fouillant de sa langue lantre défendue de ma chérie, avant de la lui retirer. Nen pouvant plus, il vint se placer comme la semaine dernière, entre les cuisses relevées de ma belle ; dun coup, il la pénétra en la regardant dans les yeux et en lui disant : « Tu aimes ça, hein, salope ! » Ce à quoi elle répondit par un « Oui » gémissant et lancinant.
Le gars la traitait de salope et elle nétait pas offusquée. Moi qui nai jamais osé la traiter de la sorte, je me dis que jai bien perdu du temps avec elle. Les deux autres reprirent de plus belles leurs caresses sur les seins de ma belle. Ils les suçaient en se regardant lun lautre, chacun dun côté de la fille. Puis revinrent présenter leur sexe à la belle pour quelle les suce à nouveau.
Les gars avaient envie de jouir tous ensemble dans sa bouche. Ils en rêvaient et en avaient discuté dans le train avant darriver chez la belle. Certes, lun deux la semaine dernière en avait bien profité en éjaculant directement dans la bouche de ma dulciné (voir le premier récit), mais cette fois-ci, ils en voulaient plus. Ils voulaient la voir se gargariser de foutre comme une salope quelle était ou quelle nétait pas.
Le gars qui la baisait était trop excité de ce spectacle. Il voyait la belle se faire culbuter recouverte de sperme sur le visage, en avalant le reste tombé au fond de sa gorge. Soudain, il sentit quil ne tiendrait plus : il sortit alors sa queue du vagin quil avait investi et vint jouir quelques grands jets de sperme bien chaud dans la bouche de la dulciné. Les deux autres gars maintenaient la tête de ma chérie pour que le gars qui la baisait jouisse bien au fond de sa gorge. La belle venait davoir la bouche bien remplie. Dans laction, ses joues et son menton en particulier étaient recouverts de semence.
Le gars qui venait de jouir lui dit :
« Avale maintenant ! »
Elle regarda ses trois hommes, le sourire aux lèvres, et avala la semence.
« Ça te plait ? » ajouta-t-il.
« Oui » dit-elle en faisant un signe affirmatif de la tête.
Voilà, cest la fin de lhistoire ; pour le moment du moins, car il y a bien sûr une suite à cette histoire. Les gars sont partis de chez elle vers 18 heures soit à peu près une heure de plus que le mercredi de la semaine précédente. Je vous raconterais probablement la suite dans un autre récit. A bientôt.
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