Madame Leconte (2) : Fâchée ?
Quand on réalise un fantasme, cest magique sur le moment, mais
après ?
Du haut de mes 19 ans, je viens de me faire une partie de jambes en lair avec Mme Leconte, une femme merveilleusement attirante qui me fait fantasmer depuis une éternité. Je devais juste lui passer de la crème bronzante dans le dos et jai un peu (beaucoup) profité de la situation. Elle était au téléphone et na pas osé (ou voulu) minterrompre pendant que je lui faisais des trucs de plus en plus coquins. Bref, jai fini par la baiser -peut être un peu contre son gré- et du coup je ne suis pas à laise. Elle est partie depuis plus dune heure sans dire un mot et moi je passe et je repasse laspirateur au fond de cette maudite piscine. Il y a bien longtemps que jai fini mon boulot mais je ne sais plus quoi faire. Je men vais sans rien dire ? Je vais la voir dans la maison ?
Zut, je ne vais pas récurer cette piscine jusquà la nuit. Il faut que je men aille, donc je dois lui dire que jai fini mon boulot, un point cest tout. Je range le matériel et me dirige vers la maison. Je crie :
- Mme Leconte ! Où êtes-vous ? Mme Leconte !
Je vais ainsi du salon à la cuisine jusquau moment où jentends une voix me répondre.
- Oui ?
Je me dirige vers la porte de la chambre et, plein dappréhension, je frappe à la porte.
- Entrez !
Jouvre la porte. Mme Leconte est assise sur le lit, en peignoir. Elle a dû prendre une douche, mais elle ne sest pas encore rhabillée. Aussitôt je me dis quelle est nue sous son peignoir et je me sens déjà émoustillé. Je me ravise en me disant que je suis vraiment trop con : ce nest pas le moment de penser à des trucs comme ça parce quelle a lair de faire franchement la tête. Jai peur de devoir payer laddition et je mattends au pire.
- Mme Leconte, jai fini mon travail, vous navez plus besoin de moi ?
- Non, non. Mais
Cest tout ce que tu as à me dire, Thomas ?
- Euh
Cest-à-dire
Comment ça ?
- Eh bien, pour tout à lheure, quand jétais au téléphone ?
Ouh, là là ! Ça ne sannonce pas trop bien, cette histoire.
- Ben, en fait
Je suis désolé, mais je
Je ne sais pas ce qui ma pris
Je suis désolé, mais je
Vous savez, je vous trouve si belle et si attirante
Je vous assure, je ne voulais pas vous manquer de respect, mais je
Bon, je ne suis pas le roi de léloquence, ça cest sûr. Mais que dire dautre ? Je ne vais quand même pas lui raconter quelle me fait bander comme un cerf en rut depuis des années, que je me suis déjà branlé un nombre incalculable de fois en pensant à elle, que jai adoré la baiser tout à lheure et que je serais prêt à vendre mon âme au diable pour pouvoir recommencer
Pendant que je membrouille dans des explications confuses, elle mobserve attentivement, comme si elle épluchait chacune de mes paroles. Du coup, je me sens encore plus intimidé : jai limpression de passer un oral de rattrapage. Elle finit par me couper la parole avec véhémence :
- Mais enfin Thomas, je suis une femme mariée !
- Je sais, je suis désolé mais
(faut que jarrête de dire que je suis désolé) Je vous assure, Madame Leconte, quand jai posé mes mains sur vous, jai tout oublié
Votre peau est si douce
Oui, daccord, cest pas terrible comme réponse, mais il parait que ça fait toujours plaisir à une femme dentendre des compliments, alors cest pas pire quautre chose.
- Les hommes, pas un pour racheter lautre ! Entre mon mari qui mabandonne et toi qui
Maintenant, je ne vaux pas mieux que lui, et
Oh, je me dégoûte !
Sa voix se casse, elle enfouit son visage dans ses mains et se met à pleurer. Moi, déjà pas trop à laise, je me trouve définitivement con, debout, immobile, les bras ballants. Comment fait-on pour consoler une femme qui pleure quand on en est justement la cause ? Finalement, sans réfléchir, je massieds à côté delle sur le lit et je mapproche sans réaliser labsurdité de la situation. Cest le monde à lenvers, jagis comme un père qui veut consoler sa petite fille malheureuse.
- Mais non, madame Leconte, faut pas dire des trucs comme ça, je vous assure. Vous êtes merveilleuse, cest vrai. Faut pas penser comme ça. Tout ça cest de ma faute, je me suis comporté comme un sale type et je regrette si je vous ai fait de la peine
De fil en aiguille, je la tiens dans mes bras, elle est tout contre moi et quand je sens son odeur parfumée je réalise à quel point la situation est troublante. Je reste quelques instants immobile, nosant plus bouger. Comment on se sort dune situation comme ça ? Elle ne pleure plus, elle ne bouge plus, elle relève la tête et me regarde comme si elle découvrait ma présence. Quest-ce qui va se passer ? Je suis tout contre elle, elle semble se réveiller dun drôle de rêve. Cest sûr, je vais me la prendre, la gifle quelle aurait dû menvoyer depuis tout à lheure. Le temps simmobilise.
Et puis quelque chose change dans son regard. Elle esquisse un sourire et une lueur sallume dans ses yeux, mais je narrive toujours pas à décoder : cest bon signe ou pas ?
- Sacré Thomas ! Tu es un drôle de garçon, finalement. Je navais pas réalisé que tu étais déjà un homme. Mais les hommes, cest vraiment tous des cochons !
Je ne sais pas quoi répondre. Je me sens une fois de plus un peu débile. Je desserre mes bras autour de ses épaules, jentame un imperceptible repli.
- Mais que tarrive-t-il, mon petit Thomas ? Tu deviens timide ? Toi si allant tout à lheure !
Elle se fiche de moi, cest évident. Daccord, je lai bien mérité. En tout cas, je préfère ça que de me ramasser une claque. Mais tout à coup les choses se précipitent et prennent un tour imprévu. Madame Leconte se dégage et me regarde dun air de défi :
- Tu nas pas honte ? Profiter de la faiblesse dune femme ? Profiter de ce que je suis au téléphone pour me déshabiller comme tu las fait ?
- Mais
Je
Je suis désolé
(Merde ! Il faut que jarrête de bafouiller et de dire que je suis désolé)
- Espèce de voyeur lubrique ! Tu sais, nimporte qui peut en faire autant, tu nas pas de quoi être fier
À peine a-t-elle dit ça quelle commence à me soulever mon tee-shirt comme pour me lenlever.
- Mais
Que
Que faites-vous ?
- À ton avis ? Je te rends la pareille !
- Mais enfin
Mais
Madame Leconte !
- Tais-toi et laisse-toi faire ! Tu me dois bien ça si tu veux te faire pardonner !
Je ne comprends rien, les choses vont trop vite pour moi et je narrive pas à penser. Comme un somnambule, je lève les bras et en moins de temps quil nen faut pour le dire je me trouve torse nu. Mme Leconte est en train de rire, elle a lair de beaucoup samuser, comme si elle voulait me ridiculiser.
- Alors, jeune homme, on perd le bénéfice de linitiative, on est dépassé par les événements ?
Elle se met debout et me fait lever aussi. Ses mains parcourent mon torse, et je commence à frissonner
- Mmmm
Belle musculature ! Jaurais bien tort de men priver
Plus ça va, plus je me sens incapable de réagir, mais jai comme limpression que les choses ne vont finalement pas si mal que ça. Ses mains parcourent mes épaules, mon buste et mon ventre et cest un vrai bonheur. En plus, en se levant, son peignoir sest un peu écarté et jentrevois le galbe de ses seins. Mon regard ne lui a pas échappé.
- Cest bien ce que je disais : un voyeur lubrique, voilà ce que tu es !
Mais, au lieu de refermer son peignoir, elle continue dexplorer mon corps.
- Belle marchandise ! Tablette en chocolat, que du beau muscle !
Je crois que je commence à comprendre son message : « Voilà ce que cest que dêtre traité en objet sexuel ! ». En tout cas, si elle va par-là, moi, je suis daccord. Je me laisse donc faire. Elle sest déjà agenouillée devant moi, passe le long des cuisses, puis sur mon bermuda. Elle évalue mon état à travers le tissu.
- Oh, mais que se passe-t-il ? Mon petit Thomas serait donc en état de turgescence ? Il a des idées qui ne sont pas pures ? Il est à létroit ? Oh, comme la vie est difficile
Cette situation plus que trouble est effectivement en train de me faire bander. En plus, quand je baisse les yeux, jai une vue plongeante dans léchancrure de son peignoir et ça ajoute à mon émoi.
- Oh, là là ! Que se passe-t-il donc là dessous ? Je me le demande ?!
Tout en disant cela, elle effleure et caresse mon sexe à travers le bermuda. Cette scène se prolonge et me met de plus en plus sur le gril, avec une érection qui ne fait que progresser. Je commence à avoir la gorge sèche et la respiration qui saccélère.
- Ça minquiète, tout ça, tu es si comprimé là-dedans, il ne faudrait pas que tu aies un accident, quand même !
Elle joint aussitôt le geste à la parole et, le plus naturellement du monde, avant que jaie eu le temps de réagir, elle me descend mon bermuda et mon slip en un seul mouvement précis. Je me retrouve linstant daprès toujours debout mais entièrement nu et avec mon sexe au garde à vous.
- Quelle santé ! On nimaginerait pas un seul instant en le voyant quun tel engin ait pu servir il y a si peu de temps !
Tout en disant ça, elle contemple ma queue en érection et se met à me branler tout doucement. Moi, évidemment, je suis au septième ciel. Cest arrivé si brutalement que je narrive pas à réaliser mon bonheur. Je me dis que si je veux profiter de la situation sans faire de gaffe, le mieux que jaie à faire, contrairement à tout à lheure, cest de me laisser faire et de ne pas prendre trop dinitiatives. De toutes façons, ce quelle me fait subir est si bon et si excitant que je nai aucun moyen dy résister : je ne sais pas si elle meffleure, me caresse ou me masturbe, mais cest diaboliquement bon. Je ne peux mempêcher de réagir :
- Mmmm
Ohhh, Madame
Oh, oui
Cest bon
Jaime
Elle se redresse, se plante face à moi tout en continuant à me caresser le sexe. Son peignoir est vraiment en train de souvrir sur sa splendide poitrine. Elle me regarde droit dans les yeux avec un petit sourire coquin :
- Eh bien, Thomas, tu es devenu bien passif, toi qui étais si entreprenant tout à lheure ?
Je ne suis pas sûr de bien comprendre, mais jai quand même des indices forts : une femme qui vous déshabille, vous taquine, vous provoque, vous caresse, vous masturbe et vous défie avec son peignoir à moitié ouvert, cest une invitation à aller plus loin, non ? Il ne va peut-être pas falloir réfléchir pendant trois heures. Jai une furieuse envie de lui arracher son peignoir, de la basculer sur le lit et de la baiser mais je crois quil vaut mieux y aller doucement. Javance donc mes mains doucement et je défais sa ceinture sans précipitation. Jobserve ses réactions. Elle a un petit sourire mystérieux et me regarde droit dans les yeux. Jai vraiment limpression de passer un examen et, vu ce quil y a au bout, jai lintention de mappliquer. Il parait que les femmes ont besoin de progressivité, de préliminaires, dune douce et lente montée vers le plaisir. Je vais essayer mais cest pas sûr que jy arrive, car je me sens plus que fébrile !
Jécarte les pans de son peignoir, puis je dégage ses épaules. Le vêtement glisse ainsi au sol. Nous sommes tous les deux debout, face à face et intégralement nus, elle dans sa splendide féminité, moi dans ma triomphante virilité. Mes mains glissent sur ses épaules, sur son cou, puis descendent plus bas. Jeffleure ses seins, puis approche mon visage. Jai envie de la dévorer et de laisser courir mes lèvres partout, mais je ne sais par où commencer. Oh, bon sang, que cest compliqué, la vie. Je serais tenté de commencer tout de suite par les seins mais jai peur que ce soit trop direct. La bouche ça risque dêtre gnangnan, conventionnel, ou intrusif (on y met la langue tout de suite, plus tard ou pas du tout ?). Si je descends sous la ceinture, ça va paraître trop « sexe » ou trop bestial.
Comment être à laise dans ce genre de situation ? Il parait quil faut écouter son corps et laisser les choses se faire naturellement. Facile à dire : avec des idées confuses et contradictoires dans la tête et une bombe nucléaire dans le corps
Bon, jy vais. Je dépose un baiser tout doux sur son épaule, puis je glisse vers le cou. Jai vu faire ça dans un film et ça me parait une bonne entrée en matière. Pendant ce temps, mes mains se posent sur ses hanches. Mmmm, jaime ça, sentir sa peau douce, chaude et sensuelle
Je lembrasse dans le cou, je remonte sur sa joue, je mapproche de ses lèvres. Oups ! Ma queue tendue vers lavant lui a touché le ventre, je ne peux pas faire autrement. Elle ne réagit pas, se laisse aller.
Je me sens un peu gauche et hésitant, mais, comme pour me montrer la bonne voie, cest elle qui prend linitiative. Elle meffleure, puis me mordille les lèvres, et, linstant daprès, revient à la charge après les avoir humidifiées. Mmmm, cest super, jai limpression quelle me donne un cours sur la façon dembrasser. Et puis viennent ensuite les caresses : je sens ses mains meffleurer, et du coup jessaie de me calquer sur son rythme : je laisse glisser les miennes sur ses hanches, ses flancs, puis remonter sur son buste. Jexplore ainsi son corps à la recherche des caresses qui la feront chavirer, pendant que nos bouches curieuses et avides commencent à jouer en harmonie.
Aucun doute : cest elle qui donne le tempo ! Comme si je risquais de loublier, elle change tout à coup, me prend le visage à deux mains, membrasse avec fougue, introduit une langue conquérante dans ma bouche, puis me pousse vers le lit. Quelques secondes plus tard je me trouve allongé sur le dos alors quelle continue son baiser autoritaire et sensuel. Nous sommes lun contre lautre, poitrine contre poitrine (oh, que cest doux, que cest bon !). Je suis dépassé par les événements, obligé de subir les assauts de cette femme qui, il y a deux minutes à peine était si réservée. Et ça continue : voilà quelle sassied sur mes jambes, puis se saisit de mon sexe pour en vérifier létat, le guide et lintroduit dans sa fente sans autres préliminaire. Elle sempale donc sur ma queue et me viole littéralement.
Elle me chevauche maintenant en amazone pour mon plus grand bonheur. Elle me domine et je peux contempler à loisir ses merveilleux seins qui ondulent au gré du rythme quelle mimpose, car elle monte et descend sur mon sexe comme une furie. Jai les mains libres et compte men servir. Je lui caresse dabord timidement les cuisses, les hanches, puis je remonte sur la taille et finis par atteindre mon but : ses seins que je frôle dabord, puis caresse et finis par saisir à pleines mains. Elle soupire, gémit et commence à pousser de petits cris. Elle se lâche de plus en plus et moi aussi : jai limpression que chaque initiative est bien accueillie : que je lui pince les tétons ou lui saisisse les hanches pour la pénétrer plus profondément, cest à chaque fois un cri de plaisir qui fuse et ajoute à notre excitation. Et puis, la magie du plaisir opérant, elle finit par perdre toute retenue :
- Oh, oui
Oui
Encore
Jaime
Espèce de cochon
Oui
Baise-moi encore, je veux te sentir en moi
Jamais je naurais imaginé dans mes fantasmes les plus fous que Mme Leconte pourrait ainsi se lâcher. Je jubile, je suis au septième ciel, je voudrais que ce moment dure éternellement. Maintenant elle fait littéralement du rodéo sur mon sexe et je suis si excité que je crains ne pouvoir tenir longtemps. Je sens déjà le point de non-retour qui sapproche alors quelle pousse des cris plus appuyés, visiblement en proie à un orgasme violent.
- Ahhh ! Ouiii ! Encore ! Plus fort, oui, comme ça
Non, ça va plus pouvoir durer longtemps, elle pousse maintenant des cris de façon ininterrompue. De mon côté je grogne, submergé par lorgasme qui monte en moi. Mon sexe qui coulisse dans sa chatte humide et onctueuse décide à ma place. Après quelques dizaines de secondes de frénésie à peine contrôlée et malgré tous mes efforts pour me retenir, au comble de lexcitation, je finis par pousser à mon tour un long cri quand arrive léjaculation libératrice.
Après un interminable soupir, je profite du calme qui sinstalle. Madame Leconte sest également immobilisée. Elle se penche sur moi et remonte à lassaut de mes lèvres. Tout en membrassant et en introduisant une langue coquine, je sens quelle contracte son vagin autour de mon sexe. Cette double stimulation est à la fois douce et pleine de sensualité et je profite de ces instants sur un autre registre. Toute fureur ma quittée, mais, si lexcitation sexuelle est tombée de mon côté, les stimulations de ma partenaire montrent que tout nest pas fini pour elle et quelle compte bien me le faire comprendre.
Ce petit jeu dure encore de longs moments pendant lesquels je me délecte de ces sensations inédites. Petit à petit, le retour au calme intervient aussi pour elle. Le silence et limmobilité sinstallent. Et puis tout à coup elle se redresse, et, pointant toujours aussi fièrement sa poitrine en avant, me jette :
- Eh bien, Thomas, nous sommes à égalité maintenant, je vais peut-être pouvoir te pardonner ton audace de tout à lheure
Peut-être.
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