After
Salut, cest Bob. Ceci est la suite de lépisode 2 « la seconde fois ». Vous vous souvenez de ma chérie, belle femme, 23 ans, en 2ème année de BTS ? Eh bien, quand ma chérie mavoua sest faite tirée par trois mecs de sa classe, en même temps (voir le récit), mon sang ne fit quun tour, puis la pilule digérée, nous repartîmes sur de bonnes bases, enfin, je lespère.
Je me fâchais après elle, lui disant : « tu te rends compte de ce que tu as fait ? », « Non, mais sans blague, tu aurais pu attr le sida, la syphilis ou je ne sais quoi dautres comme maladies vénériennes », « tu es complétement folle, ma pauvre fille ! ».
Il est certain, je nétais pas très fier et elle non plus apparemment. Elle navait trouvé rien dautres que de me dire quelle navait pas eu le choix.
- Pas eu le choix ? lui demandais-je.
- Non, je nai pas eu le choix, me répéta-t-elle.
- Mais tu étais consentante, au moins ?
- Oui, répondit-elle, confuse et honteuse.
Je lui demandais alors sils lavaient prise de force et elle me répondit que non, quelle était bien consentante et quelle avait envie de cela.
Cest alors que sexclamait ma colère par un « Putain ! » qui nétait destiné ni à elle ni à autrui mais juste à calmer le jeu.
- Mais comment as-tu pu faire ça ? Comment as-tu pu faire ça à moi ? lui répétais-je.
- Je ne sais pas, cest venu comme ça. Tout est allé très vite.
Bob était vénèr que trois mecs sétaient tapé sa gonzesse, qui plus est, en même temps, lui qui na jamais participé à une seule partouze. Chacun des trois mecs avait déchargé dans la bouche de sa chérie et chacun lavait obligé à avaler. Pardon, je devrais dire chacun des trois lui ont demandé davaler ce quelle avait fait, sans trop se poser de questions.
Les mecs de sa classe ont je crois le même âge quelle, tous entre 20 et 23 ans. Je nai jamais compris pourquoi ils nétaient que trois dans une formation où généralement la parité homme-femme est de mise.
Bref, le soir du mercredi où ma chérie sest faite prendre par les trois gars pour la deuxième fois, il devait être 18 heures environ quand ils ont quitté le domicile de ma dulciné. Sa mère ce soir-là rentra plutôt de son travail, ayant eu un rendez-vous de dernière minute qui sest annulé. Elle devait arriver chez elle vers 18h45 peut-être moins. En rentrant, comme à son habitude, elle part se laver les mains dans la salle de bain. Virginie, ma dulciné, dormait mais se réveilla et se leva aussitôt quelle eut entendu sa mère arriver :
- Ça va maman ?
- Oui ça va. Mon dernier rendez-vous sest désisté. Quest-ce que cest que tout cette eau dans la salle de bain ? ajouta sa mère.
Virginie fut surprise. Elle ne sattendait pas à ce que sa mère rentrerait plus tôt et pensais pouvoir tout nettoyer avant quelle ne rentre car avant de partir nos trois lascars avaient pris le temps de prendre une douche avec elle. Je nose même pas imaginer ce quil sest passé dans la douche cet après-midi-là moi qui ai déjà plusieurs fois sauter ma dulciné en ce lieu et sachant en plus quelle aime bien ça. Non, je ne veux pas y penser.
Bref, N. nétait pas contente de retrouver sa salle de bain sens dessus dessous, de leau plein les murs et plein le carrelage au sol. Jappelle « N. » la mère de ma copine car cest linitiale de son prénom et que je ne veux pas indiquer son identité complète. Une très jolie femme aussi. Un jour, peut-être, je vous raconterai comment elle me fait fantasmer mais cela est une autre histoire.
Bref, N. nétait pas contente :
- Virginie, quest-ce que cest que toute cette eau dans la salle de bain ? Il y en a partout !
- Oh cest moi, jai cherché à prendre une douche tout à lheure. Je ne me sentais pas bien. Le robinet fuyait. Je nai pas eu le temps de nettoyer.
- Tu aurais pu me le dire que le robinet fuyait.
- Oui, je sais, mais cest réparé maintenant. Il était juste mal vissé.
Le mensonge était gros comme une maison mais N. ne pouvait douter de la sincérité de sa fille :
- Il y a des poils aussi, dans la baignoire. Tu aurais pu nettoyer ! ajouta-t-elle.
Virginie, honteuse et confuse, cherchait à se cacher et ne savait quoi dire à cela. Les images de laprès-midi revenaient dans son esprit. Trois hommes sous la douche avec elle, cela faisait beaucoup.
- Je nai pas eu le temps, maman. Jai eu un mal de tête toute laprès-midi ; je me suis couchée aussitôt.
- Bon, tu penseras quand même à nettoyer quand cela ira mieux. Je tiens à ce que cela reste propre ici.
La mère sen alla ensuite dans sa chambre déposer un vêtement. Elle saperçut aussitôt que son lit était sens dessus dessous :
- Virginie, quelquun est venu dans ma chambre ?
- Non, cest moi maman. Je me sentais vraiment mal que je me suis couchée dans ton lit.
- Tu nes pas allée coucher dans ta chambre ?
- Si, après, mais pas au début.
- O.K., fit sa mère, consternée. Puis dajouter : « Virginie, que fait ta petite culotte par terre dans ma chambre ? Tu exagères, je trouve. »
N. nen revenait pas que sa fille pouvait laisser sa maison comme cela, sens dessus dessous. Elle trouvait lexcuse des maux de tête bidon mais ne chercha pas en demander plus à sa fille. La seule question qui lui vint à ce sujet est : « Bob, nest pas venu, au moins ? »
- Non, il est parti voir sa grand-mère à Passy. Tu peux vérifier si tu veux, rétorqua Virginie.
En disant cela, Virginie savait quelle ne mentait pas et que sa mère pouvait vérifier tout à loisir car Bob était bien parti à Passy en mobylette, voir sa grand-mère. Il en avait parlé à Virginie le jour où elle lui avait dit quelle ne serait pas chez elle ce mercredi. Cétait le samedi ou dimanche précédent, cest-à-dire entre les deux moments où elle sest fait prendre par les trois lascars.
N. trouva dans la chambre de Virginie la robe que la belle sétait offerte 48 heures plutôt pour loccasion. Elle lavait achetée sur Internet sur un site de fringues dédiées aux femmes pour la modique somme de 18 euros, livraison offerte. La robe était vraiment très sexy, beaucoup même de lavis de sa mère qui aussitôt demanda à sa fille :
- Tu as mis cela aujourdhui ? Tu es sortie ? Je ne tai jamais vu avant avec cette robe.
N. était suspicieuse. Elle sentait que sa fille lui cachait quelque chose. Sans lui laisser le temps de répondre, elle ajouta : « jai limpression quon me cache des choses ici », ce à quoi Virginie ne répondit rien et retourna se coucher.
- Bon, je vais préparer le diner. Je tappelle quand cest prêt, ajouta sa mère.
- Daccord, répondit Virginie.
N. prépara le diner comme bien souvent dailleurs quand elle est seule avec sa fille. Il était un peu plus de 19 heures et écoutait en dilettante une émission de télévision pleine de divertissement qui passe régulièrement en semaine à cette heure-là.
Le diner est prêt.
- A table ! sexclama N. à voix haute pour que sa fille vienne manger. « Tu mets la table ? » ajouta-t-elle.
Virginie mit la table : deux assiettes, deux couverts, deux verres et une bouteille deau. Elle sassied. La mère après avoir servi le repas sassied à son tour. Soudain, le téléphone portable de Virginie, quelle avait dans la poche de son peignoir se met vibrer : quelquun vient de lui envoyer un message. La belle regarde qui peut bien lui écrire à cette heure. Cest un message dOlivier avec une vidéo de quelques secondes, en pièce jointe. En ouvrant la vidéo, ma chérie reconnut le lit et la chambre de sa mère et se reconnut, elle, de dos, à chevaucher en sens inverse, lun des trois compères. La vidéo nest pas très explicite et ne dure que quelques secondes. On ne voit même pas le visage de ma dulciné. Il serait bien impossible dailleurs de le voir pleinement à cet instant car dans la délicieuse position, elle avait devant elle, sexe dans la bouche, lautre compère qui se faisait sucer royalement comme un dieu, agrippant de ses deux mains la chevelure captivante et sensuelle de ma belle chérie.
Sa mère lui demanda qui était-ce. Virginie était gênée. Encore une fois, elle sentait quelle nallait pas y échapper. Jusquoù cela allait-il la mener. Personne ne savait à cet instant, et elle répondit confuse :
« Oh, cest juste une copine qui me rappelle quon a un exposé à faire pour demain »
- Et tu las fait ? demande sa mère.
- Oui, oui, pas de souci, cest fait. Je suis fatiguée. Je vais me coucher.
- Mais tu nas rien mangé, rétorque sa mère.
- Ce nest pas grave. A demain.
Virginie sen alla se coucher, dans sa chambre cette fois. Elle jura quelle ne recommencerait plus cela, pas ici, pas chez sa mère, pas à la maison. Je ne sais si depuis, elle a tenu sa promesse ni ce quil advint des trois compères car je nai plus jamais entendu parler deux après cela. Je pense que ma chérie a coupé court, leur disant que cétait fini et quelle ne voulait pas dennui. Lannée sest terminée et elle a réussi ses examens mention assez bien. Elle travaille aujourdhui pour une grande société dImport-Export sur Paris. Et croyez-moi, il y a une suite.
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