Retour De Bâton
Lundi. De retour au bureau après deux semaines de formation j'ai passé une journée intense, je suis submergée de travail en retard.
Il est déjà 17h00. Ma secrétaire me fait savoir qu'elle va s'en aller :
-Au revoir, à demain Carine. Bon courage.
-Merci. Je pense que je vais rester encore un moment. J'ai beaucoup de retard à rattr. Bonne soirée.
Mon mari est en congés, il en a plus que moi. Il garde les s, je n'ai pas besoin de me presser pour les récupérer chez la nounou.
Cinq ou six minutes ont passées depuis le départ de Nathalie lorsque j'entends frapper à la porte. Je sors de mon bureau resté ouvert pour me rendre à la porte d'entrée de nos locaux qui se trouve dans le salon d'accueil qui sépare mon espace de travail de celui de Nathalie. J'ouvre la porte.
-Jérôme ! Mais qu'est-ce qui vous amène ici ? Allez-y, entrez.
C'est le formateur que j'ai eu durant les deux semaines précédentes.
-Je viens faire un petit dé-briefing de la formation. Vous m'avez dit que vous travaillez ici, j'étais dans le coin, j'en ai profité pour passer.
Je referme la porte derrière lui. Je sens mes joues me chauffer.
J'ai flashé sur ce mec, et je l'ai vaguement dragué durant les journées de formation. Je le trouve beau. Il est grand, brun avec les yeux verts, et en plus il a une voix grave qui menvoûte. Mais sa présence ici et maintenant, je ne pouvais pas m'y attendre, et son histoire de dé-briefing ne tient pas debout. Je le lui fais savoir :
-Vous savez, je n'en suis pas à ma première formation professionnelle, et franchement, les autres n'ont jamais été suivies d'un dé-briefing avec le formateur.
-Ok ! Je suis pris la main dans le sac. Ce n'est effectivement pas tout à fait ce qui mamène.
-Alors qu'est-ce qui me vaut votre visite ?
-Vous, Carine !
-Comment ça, moi ?
Dans quelle histoire je me suis fourrée ?
-Allez, vous savez très bien. Vous m'avez allumé tout le long du stage.
-Moi, je vous ai allumé ?
-Bah, quand une femme me regarde avec un regard charmeur, se passe régulièrement la langue ou un doigt sur les lèvres en me fixant des yeux, quand tous les jours je peux voir la couleur de sa lingerie, que je sais si elle porte des bas ou des collants, j'appelle ça m'allumer.
-Écoutez Jérôme, je ne me suis peut-être pas comportée tout à fait convenablement et je reconnais que je vous trouve beaucoup de charme. Mais je suis mariée et je n'ai pas l'intention de tromper mon mari. Alors on va en rester là si vous voulez bien.
-Qui vous parle de tromper votre mari ? C'est seulement que je ne pense plus qu'à vous, ça me perturbe et si je ne vous possède pas, cela ne sarrêtera pas. Je veux seulement que vous soyez à moi. Juste une fois.
Tout en parlant, il s'est approché de moi. Je n'ai pas bougé. Il m'att d'un bras par la taille.
Sa voix m'hypnotise, il me regarde dans les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Sa langue simmisce dans ma bouche ouverte et je l'accompagne. Il sent bon.
Il m'att les fesses à pleines mains en poursuivant son baiser. Je passe mes bras autour de son cou. J'éprouve la même sensation que lorsque mon premier amoureux m'a prise dans ses bras pour me donner le premier baiser de ma vie.
Ses mains s'enhardissent et commencent à retrousser ma jupe. Il m'embrasse dans le coup.
Mes seins durcissent et je commence à sentir, après la chaleur, une certaine humidité m'envahir. Ses doigts se glissent dans la raie de mes fesses en passant sous la ficelle de mon string. Il m'att un sein à travers mes vêtements, ils sont petits mais fermes et tendus vers l'avant lorsque je suis excitée. J'aime ses mains puissantes qui me malaxent. Je sais maintenant qu'il va falloir qu'il me prenne, mon sexe réclame déjà une pénétration. Je glisse une main entre nos deux corps enlacés pour allez tâter sa virilité en plein éveil.
Soudain , il me soulève comme une jeune mariée en passant un bras sous mes jambes et l'autre dans mon dos sous mes omoplates. Il memmène dans mon bureau et me dépose sur la table qui trône au milieu.
Il pose une main à plat entre mes seins et appuie sur mon torse pour me plaquer le dos sur la table.
Il déboutonne la veste de mon tailleur, puis se saisit des bords de mon chemisier et en arrache tous les boutons d'un mouvement brusque. Il sort mes seins de mon soutien gorge en le remontant au dessus de mes deux petites collines.
Il se glisse entre mes jambes, ce qui étire ma jupe que j'entends craquer, puis il se penche et me mort un tétons tout en pinçant l'autre.
Je n'avais encore jamais imaginé le sexe avec brutalité, mais je suis extrêmement excitée.
Il se relève et prend la paire de ciseaux rangée dans un pot à crayons posé sur mon bureau, prend mon soutien gorge entre les deux bonnets et le coupe d'un coup. Puis, de ses deux mains, il finit de déchirer la couture de ma jupe jusqu'à la ceinture qui résiste, il met un coup de ciseaux de chaque côté de mon string avant de l'arracher et de le jeter derrière lui.
Je suis allongée sur la table, les bras en croix et les jambes pendantes. Ma toison blonde claire, étroite et aux longs poils soyeux culmine sur mon Mont de Vénus relevé par mes fesses posées sur le bord de la table. Il pose un genou au sol en m'écartant les jambes. Nous restons sans bouger quelques instants. Ma respiration est rapide. Il semble admirer mon triangle d'or.
Puis il plonge son visage entre mes cuisses qu'il écarte un peu plus pour aspirer ce qui s'écoule de ma petite fleur, il en lèche les pétales mouillés avec application, en suit tous les contours plusieurs fois avant de s'attaquer au pistil. Il le titille de sa langue agile, exerçant des pressions plus ou moins fortes, plus ou moins rapides, pendant quelques minutes.
Le plaisir monte en moi, mes reins se cambrent puis mon ventre se creuse, mes hanches ondulent d'avant en arrière de plus en plus rapidement.
Je reprend mon souffle tandis que je le vois dégrafer son pantalon.
Ma toison trempée est maintenant blond foncé.
Il éjecte ses chaussures avant de se baisser pour se défaire de son jean, et de son caleçon. Puis, il se redresse.
Il m'avait semblé bien monté, mais j'avais largement sous estimé la chose. Son bâton est assez long, mais rien d'extraordinaire. Par contre, la circonférence est impressionnante. Il doit falloir mes deux mains pour en faire le tour, ou presque. En tous cas, c'est gros. Je suis impressionnée, intimidée et intriguée, tout à la fois. Cette engin va-t-il me faire mal ou me faire jouir ?
Même ses couilles sont grosses. En fait, elles sont proportionnées à ce membre érigé à la verticale et bien droit.
Jérôme se rapproche à nouveau de moi jusqu'à plaquer son sexe contre mes lèvres trempées. Il att mes deux seins de ses grandes mains musclées, les malaxe tout en frottant son membre turgescent sur ma vulve en feu.
Délaissant mes seins, il att mes jambes dans les plis des genoux et les relève, puis il se saisit fermement de mes chevilles et continue à me lever les jambes. Mes talons aiguilles visent maintenant le plafond.
S'aidant d'une main, il aligne son engin avec mon vagin. Progressivement, poussant avec ses reins, il entre en moi. Je sens les parois internes de mon sexe s'écarter tout en enserrant fort ce bâton gros et dur. J'ai un peu mal.
Il entreprend un lent va et vient, et à chaque fois qu'il vient à moi, il s'enfonce un peu plus loin.
Mon sexe recommence à produire le lubrifiant d'amour, il accélère petit à petit les mouvements de son piston dans ma chemise.
Je n'ai plus mal. Il coulisse bien. Il me remplit complètement, et c'est bon.
Ses allers et retours sont maintenant assez rapides mais très réguliers. A chaque cycles, ses couilles me claquent les fesses et son gland cogne le fond de mon utérus.
Il ne ralentit n'y n'accélère, mais je sens la pression de ses mains sur mes chevilles augmenter.
Il continue ainsi un long moment, et je ne m'en lasse pas. Je suis bien, la tête me tourne un peu comme si j'avais bu quelques verres.
Tout à coup, je sens des secousses dans son sexe. Il va jouir en moi ! Déjà !
Pas du tout, il se retire.
Il va m'asperger !
Encore tout faut.
D'un geste habile et puissant, il me retourne. Je me retrouve à lui présenter ma croupe. Mes pieds touchent à nouveau le sol, mes avant bras posés sur la table, j'ai les fesses relevées et les reins très cambrés. Il va me prendre en levrette.
Mais non, il s'agenouille derrière moi, et de ses mains fermes il m'écarte les fesses et plaque sa bouche sur mon petit trou. Il me fouille l'anus avec sa longue langue. J'adore.
Ceci dit, je n'ai pas très envie que l'idée de me sodomiser lui prenne. Je l'ai fait une fois avec mon mari et je n'ai pas aimé, j'ai eu mal et aucun plaisir, et il est moins gros.
Il continue avec sa langue et se met à ramoner ma petite chatte avec deux de ses doigts. C'est tellement génial. Je gémit de plaisir.
Il se redresse et me plante à nouveau son pieu entre mes lèvres bien ouvertes, puis entre d'un coup.
Il m'entreprend tel un marteau pilon. Chacun de ses coups secoue tellement la table, qu'elle commence à se déplacer. Il enfonce doucement l'un de ses pouce dans mon petit trou, ma mouille facilite les choses. Mes bas son trempés à l'intérieur de mes cuisses par mes sécrétions vaginales, et ce, presque jusqu'aux genoux. Son pilonnage ne cesse pas. Les râles de Jérôme se mêlent à mes couinements.
Et ça dure encore, mes seins se balancent et claquent légèrement l'un contre l'autre à chacun de ses coups.
Remplit de sa virilité, je suis bien. Quelle bite !
Soudain il extrait sa queue de ma chatte et la plante dans mon anus dilaté par son pouce.
Seulement celle-ci est bien plus grosse que son doigt. Il me saisit fermement par les hanches et pousse pour s'immiscer dans mon rectum. Partant de mes reins, une décharge électrique me parcourt toute entière. Elle m'arrache un cri.
Lui, il reprend son pilonnage comme si de rien était. J'ai mal.
Malgré tout, au fur et à mesure de ses allers et retours, je me détend et la sensation de son membre dans mon postérieur devient plus agréable, jusqu'à devenir carrément bonne.
Jentame des mouvements contraires aux siens avec mon bassin, tant est si bien que son bas ventre me claque les fesses. Là il me dit :
-T'es vraiment une belle salope !
-Oui. Vas-y plus fort !
Il me gifle la croupe à plusieurs reprises.
Il met de plus en plus de cur à l'ouvrage, jusqu'à n'en plus tenir.
Il s'arrête. Son bas ventre écrase mes fesses. Plusieurs longues secousses agitent son sexe en moi, il éjacule dans mon cul.
Il me redresse à lui, me prend par les seins et m'embrasse l'épaule tout en reprenant son va et vient.
Lubrifié par son sperme, son sexe coulisse parfaitement. On est bien.
Lentement, il ramollit, jusqu'à ce que la pression de mon conduit étroit l'expulse.
Son sperme abondant me coule partout sur les jambes. Je suis toute gluante et mon anus encore ouvert laisse tomber du sperme sur la moquette.
Il entreprend de ramasser ses affaires. Il a l'air con en chemise et chaussettes , mais qu'est-ce qu'il m'a fait jouir. C'était super.
Il se rhabille et j'essaie de faire de même, mais il n'y a plus de boutons à ma chemise, mon string et mon soutien gorge sont foutus, quant à ma jupe elle est déchirée jusqu'à la taille et mes bas sont à jeter. Il va pourtant bien falloir que je rentre chez moi et mon homme y est déjà avec les s.
Il est 18h50, les boutiques vont être fermées. Heureusement, je crois que j'ai laissé mon imperméable dans ma voiture.
Jérôme est habillé, visiblement prêt à partir.
On se regarde, il me dit :
-J'ai eu ce que je voulais et toi ce que tu cherchais. Tu es très belle. Adieu.
Il me lance un baiser de la main et s'en va.
Je ne sais plus trop où j'en suis. Un peu étourdie, un peu stupéfaite de m'être laissée emporter par le désir, un peu choqué par le départ brutal de mon amant du jour, mais avec une certaine satisfaction de l'expérience vécue, un peu honteuse aussi, mais sans regret.
Je ne sais pas si je suis contente de normalement ne plus le revoir, ou si j'aurai préféré pouvoir envisager d'autres séances avec ce mec très viril.
Cela c'est passé il y a dix huit ans. Lorsque je suis rentrée chez moi ce soir là, je me suis faite discrète, j'ai jeté mes vêtements au linge sale et me suis précipitée sous la douche.
Mon mari n'a jamais rien su de cette histoire. Je l'aime toujours autant et je n'ai jamais eu d'autre aventure extra-conjugale.
Carine
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