Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Saison I (3/6)
Commandant Marion.
Toi mon coco si jen ai la possibilité je te ferais payer ces propos.
Est-ce la fin de la route pour le Commandant Marion ?
Cest par ces mots que nous sous sommes séparés alors que nous sommes en mauvaise posture.
Nous venons de nous faire enculer par deux de nos ennemies qui nous attendaient à la porte arrière de cette maison censée être dégagée.
Deux à lextérieur qui semblent avoir été trop confiant et a qui nous avons fait gouter le froid de nos lames leur tranchant la gorge.
Mais maintenant cest nous qui sommes attachés à la merci de nos bourreaux sans savoir si nous allons rester en vie.
Par chance ces fumiers doivent être isolés depuis plusieurs jours et le mien décharge après quelques coups de bite me tenant par mes seins quil tire à me faire mal.
Sil savait lentraînement que nous subissons pour devenir béret, il remballerait son matériel et irait soccuper de ses chèvres et de ses moutons.
Son acolyte décharge dans le fondement de Bobby et je le vois se réajuster.
- Retournons faire parler les autres, ils sont coriaces mais on les aura avant que les autres viennent nous relever.
- Ceux-là quest-ce quon en fait.
Immobilisé je sens ma lame sur ma gorge idem pour mon binôme.
Le rouge des deux que nous avons fait passer de vie à trépas est encore visible.
Jai envie leur dire que mélanger mon sang avec celui de leur dégénéré de copain, risque de me faire attr le sida dont il devait être porteur, mais notre entraînement est strict.
Pas le moindre mot dans notre situation, même pour plaisanter.
- Non, ils avaient de belles montres, je vais faire des envieux.
On a encore quelques heures avant que les autres viennent récupérer les colis,
Nous aurons le temps de revenir leur couper leur putain de gorge de fils de pute.
- Ferme ta gueule, inutile de leur dire ce qui va leur arriver sils comprennent larabe.
- Aucune chance regarde leurs fesses en l'air couvertes de nos spermes, ils sont sans aucune réaction.
Sil comprenait, il y a longtemps quils crieraient pour quon les épargne.
Surtout la pute à la chatte rasée.
Quand nous reviendrons cest sa chatte que jhonorerais.
Ils quittent la pièce, si nous voulons nous en sortir, il faut que nous trouvions le moyen de les neutraliser avant larrivée de leurs copains.
Combien en reste-t-il déjà deux sûr.
Peut-être une ou deux avec nos cibles.
Quatre ou cinq, dans une mission précédente pour le commandant Marion, c'était quinze types qui ont rejoint leurs ancêtres alors que là encore, jai beaucoup donné à faire subir à mon corps.
Cest à loreille de Boby que je parle.
- Tu comprends larabe ?
- Non, jai appris le mandarin.
- Quand nous serons dehors, apprend le, par les temps qui courent cette langue pour nous devient primordiale.
Je vais faire bref, si on veut voir le jour, il faut nous libérer.
Fait comme moi avec tes mains.
Nous tournons nos mains dans différentes positions, les cordes passent de nos mains à nos jambes attachées il doit y avoir la possibilité de donner un peu de mou.
Ça fait un certain temps que nous essayons avec un début de réussite quand la porte souvre.
- Aller ma cocotte, ta chatte mattire, je vais ten mettre un petit coup.
Mon sang se glace, pas quil veuille me baiser, ça fait partie du job, mais il a toujours mon couteau dans sa ceinture et la lame est loin davoir été nettoyée.
Il sort sa verge que je vois, dans d'autres circonstances hors du travail spécial je suis fidèle à Gontran et on comprend pourquoi après ce que je subis dans ces missions.
Je sais, quand ce fumier menfile, je me dis que je devrais décrocher cette double vie, mais je sais que dès que jaurais retrouvé ma vie pantouflarde, une bonne mission sera la bienvenue.
À 36 ans avec lentrainement journalier que je mimpose dans la salle du labyrinthe avant de remettre mon tailleur et mes hauts talons, je suis encore capable de tenir cinq à dix ans.
Bien sûr, à moins que lorsque ce type me baisant la chatte quand il aura déchargé en moi une nouvelle fois, je passe de vie à trépas.
Si ce moment survient, jaurai eu une vie exceptionnelle et je sais que ce sont les visages de mes deux s qui marqueront mon cerveau une dernière fois.
Pendant quil finit par me remplir la chatte, je sens ma main glisser légèrement quand je me crispe pour éviter de faire voir à mon bourreau que sa grosse verge va me faire jouir.
Heureusement, cette faiblesse est passagère, ça mest déjà arrivé et comme il décharge en poussant un grand cri de plaisir, ma tension retombe.
Ça glisse encore, mais pas suffisamment pour quavec une seule main je puisse le massacrer comme je me le suis promis.
Heureusement un cri se fait entendre, la porte étant restée ouverte.
Le barbu se rajuste et sort précipitamment.
- Quest-ce qu'ils fabriquent ces cons-là ?
Jentends le début et je reconstitue la fin car il est trop loin et ferme la porte à clef nous isolant une nouvelle fois.
- Ça va, tu supportes.
- Et toi ton trou du cul il supporte !
Boby comprend que je suis au taquet pour nous libérer et que la gaudriole on verra plus tard sil y a un plus tard.
Arriver à donner du mou sans faire linverse, dans ma partie de baise, je sentais bien que ça glissait.
Avec précaution je fais les mouvements quil faut, Boby aussi et dun coup avec une grande douleur je me libère une main.
Le reste suit et Boby réussit à se libérer.
- Que faisons-nous, regarde si tu trouves quelque chose pour crocheter la serrure ?
Analyser très vite, cest aussi la base de notre entrainement.
Peu de choses sont à notre disposition et rien dassez petit malgré la vétusté de la serrure.
Le bruit que nous ferions nous mettrait en difficulté, surtout sil en reste encore quelques-uns.
Il reste nos corps et la patience.
Nous nous donnons vingt minutes pour que la porte souvre et que nous attaquions.
Je regarde nos combinaisons de plonger, inutilisable.
Il faudra faire ça nu.
Je récupère tout de même nos ceintures, les lampes nous seront utiles pour faire signe au sous-marin.
Rester éveillé après ce que nous avons déjà subi, cest le plus dur et je vois Boby papillonner mais sans jamais sendormir réellement.
- Relevons-nous ça bouge.
Tien toi prêt.
Nous retrouvons nos instincts de fauve guettant sa proie.
Boby un moment ma semblé déstabilisé avant que je maperçoive quil était plus fort et que bien que son joli cul doit le brûler, il va agir en bon commando.
La clef dans la serrure ça souvre.
Avez-vous déjà entendu des cervicales qui sont broyées faisant passer votre adversaire de vie à trépas ?
Nous faisons reposer au sol les deux cadavres qui vont bientôt être froid, les pauvres.
Humour bien sûr, dans ce monde de brutes un peu dhumour est le bienvenu, surtout quavec de la chance, ils étaient deux venus nous faire la fête.
Je récupère ma lame, lautre jamais vu venant certainement samuser avec nos culs nous est inconnu.
- On avance, cest étonnant ils sont sans armes à feu.
Toujours à voix basse.
Je remonte un couloir jentends du bruit dans une salle sur notre droite, la porte est simplement repoussée.
Notre cible est là.
Notre cible aussi nue que nous.
Nos cibles, je devrais dire, pendues par les bras une cagoule sur la figure.
Un homme et une femme comme mes renseignements me lavaient fait savoir.
Qui sont-ils, même ça je lignore.
Neuf fois sur dix quand il y a risque de faire ce que nous devons faire, nous ignorons qui ils ou elles sont.
Lhomme ayant sodomisé Boby est là dos tourné.
Je fais des gestes à mon binôme qui comprend quand je lui tends mon poignard ce que je rechigne à faire normalement.
Jaurais pu lui donner un nom, mais cest simplement le prolongement de mon bras donc de mon cerveau.
Je fais un décompte avec mes doigts.
Trois deux un, go.
Combien, un dixième de seconde avec la chance que ce dernier barbu est seul.
La lame entre dans le côté de lhomme.
Jai le temps de voir que Boby est super bien entraîné.
Sur le côté à la hauteur du cur, qui sarrête immédiatement, surtout quil donne un coup de poignet coupant une grande partie de lintérieur de son corps.
Il me tend mon poignard que je récupère, le sien est sur une table avec des mitraillettes Kalachnikov.
Je rejoins les deux cibles.
Je moccupe de la femme, Boby de lhomme.
Nous nous regardons et au même moment nos deux lames plongent vers le cur des deux pendus les faisant passer de vie à trépas.
Je vois les corps saffaisser, voilà Boby est entièrement dépucelé.
des adversaires comme les gardiens cest facile du moins pour moi, mais de sang-froid quelquun étant loin dêtre une menace cest bien plus difficile mais jai appris à le faire et maintenant lui aussi.
un mannequin dans nos camps dentraînement cest autre chose que de une cible.
Or les ordres étaient précis, cétaient des cibles et non des otages à exfiltrer.
Nous faisons un tour pour constater que tout ce nid de frelons est bien nettoyé.
Nous prenons chacun une mitraillette et nous sortons sans un regard pour les divers cadavres que nous laissons derrière nous.
La plage rejointe, je me sers de ma lampe pensant que nous avons oublié nos montres.
Le sous-marin est-il encore là à nous attendre ?
Sinon, il va falloir songer à trouver des vêtements pour rejoindre notre pays.
Je me frotte le poignet, les cordes ont fait une trace sanguinolente.
Dans laction, ça métait complètement passer au dessus de la tête.
Le commandant Marion et le lieutenant Boby aspirent à revoir la France
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