Photographe Debutant 2/ Nouveau Modèle

Cette histoire, comme la plupart , est basée sur des faits réels, auxquels j’ai ajouté un soupçon de fantasme. Au lecteur d’apprécier et de démêler le vrai du faux.

Mes débuts de photographes ne sont pas à la hauteur de mes attentes. Pour remédier à cette situation, j’ai décidé d’ajouter à mes clichés habituels, des photos de charme, ce qui devrait attirer l’œil de la clientèle. J’ai aussi constaté que les prises de vues n’étaient pas désagréables. Après les premières photos de nues, nous avons, avec mon acolyte, Thierry, passé pas mal de temps à développer, filtrer, retoucher les tirages, et le résultat, bien que joli, manque de sensualité. Le soir, après le boulot, nous écumons les boites de nuit de la côte pour trouver des donzelles, assez peu farouches pour poser dénudées.
Un soir, alors que je viens de prendre quelques rateaux et que je désespère de trouver quelqu’un, j’aperçois sur la piste de danse, la silhouette longiligne de Viviane.
Viviane est une amie de Thierry (ils se connaissent depuis l’enfance). C’est une grande fille aux cheveux chatains, mi-longs, et au regard d’émeraude. Son visage est harmonieux, avec ses pommettes hautes, et ses lêvres pleines. Je me demande, en l’approchant si elle est assez libérée pour poser pour moi, et surtout si elle n’est pas trop maigre. Elle se retourne quand je lui tape sur l’épaule, pour me faire face/
-Hey, salut ! me lance t’elle. Elle me tend sa joue et je lui claque deux bises
Nous nous tortillons au rythme de la musique en nous hurlant les banalités d’usage. Heureusement pour moi, arrive une série de slows et je l’enlace d’autorité, ce qui ne semble pas la déranger.
Je la serre en faisant du surplace pendant quelques minutes avant d’aborder le sujet qui me préoccupe. En m’entendant lui demander de poser, elle n’a pas l ‘air surprise.
-« Thierry m’a dit que vous vous lanciez, il y a quelque temps déjà, mais je pensais que vous étiez plutôt sur les mariages, communions, etc.

. »
« En fait, nous étions partis sur cette idée, mais en chemin, j’ai un peu changé d’idée pour faire également de la photo d’art. Du paysage, des natures mortes et des portraits. »
« Et tu voudrais que je pose pour un portrait ? »
« En fait, je me suis dit que les photos d’art attireraient plus si on y ajoutait quelques photos de jolies filles « dis-je évasivement
Mais Viviane est une fine mouche et elle m’a vu venir.
-« Tu pense que quelques portraits vont suffire ? » insiste t’elle
-« Oui, enfin, des portraits et des photos en situation, quelque chose de charmant. »
-« Et tu me trouve assez charmante, ou penses tu a des photos, plus charmantes ? » dit elle
-« Evidemment, plus c’est charmant, et plus ça attire le regard » réponds-je gêné
- « Explique toi. Charmante comment ? comme ça ? » dit elle en se plaquant contre moi.
J’évite de répondre, mais elle reprend
-« Ou charmante comme ça ? » ajoute t’elle en frottant son ventre contre le mien, au point qu’elle ne peut ignorer un début d’érection.
- « Je prends des photos, mais, en aucun cas, je ne ferais de clichés pour lesquels tu n’aurait pas donné ton accord. »
Pour toute réponse, elle éclate de rire, et me dit.
- Après tout, pourquoi pas ? Je suis sure que tu as un appareil photo pas loin. On y va.
Ne voulant pas laisser passer ma chance, je l’entraine à l’extérieur. Dans la rue principale, encombrée de touristes qui déambulent entre les restaurants les bars, les fripiers, et autres commerces de souvenirs, nous nous faufilons, et, empruntant des allées transversales, atteignons rapidement ma voiture ou je récupère mon sac photo.
Le parking est sombre et nous devons retourner vers le front de mer, pour trouver des lumières propices à de jolies prises de vues, Sous un des lampadaires de la promenade, je prends quelques clichés. D’abord des portraits, mais il y a trop de jeux d’ombres. Je prends un peu de recul et commence à la mitrailler. Sa tenue, Jean et chemisier sombre n’est pas des plus sexy. Je lui en fais part et elle me propose de nous déplacer, un peu plus loin , où les passants se font rares. Profitant d’un passage calme, elle déboutonne son chemisier, et ne écarte les pans, prenant des poses sexy. Quelques touristes s’approchent et nous devons nous interrompre, le temps qu’ils passent. Une fois qu’ils se sont éloignés, elle joue avec son chemisier, qu’elle ôte, avant de me tourner le dos. Elle dégrafe son soutien gorge noir, qu’elle fait glisser avant de renfiler son chemisier, puis elle se tourne vers moi et me jette le dessous de dentelle. Sa peau claire tranche avec la couleur sombre du tissu. Un souffle de vent écarte le vêtement et me dévoile un sein, petit, a la pointe érigée.. Je saisis cet instant sur ma pellicule., et fais quelques clichés. Elle reboutonne sa chemise et s’éloigne, en me disant.
-« viens !. »
Un peu plus loin, en s’éloignant du centre ville, la promenade du front de mer sa sépare en deux, avec, au milieu de la fourche un mini golf, assez désert, à cette heure, mais brillâment éclairé. Sans hésiter, Viviane emprunte le passage, devenu plus étroit, entre le golf et la mer. Nous longeons une haie d’arbuste, au delà de laquelle, nous entendons, les exclamations des joueurs , que nous pouvons apercevoir, entre les feuilles, sur le petit parcours. Viviane, me demande d’attendre une minute, et emprunte un petit escalier qui descend vers la plage, avant de disparaître dans l’obscurité. Je n’ai pas le temps de m’impatienter, car elle reparait rapidement. Son chemisier reboutonné, mais son Jean à la main, ses longues jambes nues dans ses escarpins. Elle pose le vêtement sur le muret de pierre avec son sac à main, et vient se placer dans la lumière, face à moi.
Sans hésiter je la mitraille, alors qu’elle prend plusieurs poses suggestives qui me laissent entrevoir, sous son chemisier, une culotte noire.
Petit à petit elle déboutonne sa chemise, jusqu’à l’ouvrir complètement, dévoilant un très beau tanga de dentelle. Elle se débarrasse du chemisier qui va rejoindre son jean. Elle est quasi nue dans ses hauts talons, et à moins de 5 mêtres des touristes, qui, s’ils détournaient le regard de leur petite balle, pourraient apercevoir ce joli brin de fille.
Pour compléter le tableau, elle caresse ses seins, pas si petits que ça, finalement, dont les tétons s’érigent, comme l’objectif le capte de profil, avant qu’elle me tourne le dos et se penche en avant, bien campée sur le compas de ses jambes, et me laisse admirer son fessier musclé, bien moulé dans la dentelle noire, et la cambrure de ses reins.
Je shoote sans arrête quand le bruit du rembobineur qui s’enclenche me signale que j’ai fini ma pellicule. Je suis obligé de m’arrêter pour en changer, mais la belle disparaît de nouveau dans l’escalier tout proche, raflant au passage, son sac et ses vêtements. Quelques minutes plus tard, elle reparait habillée de pied en cap, le sac à la main, et vient me rejoindre, avec un sourire ironique.
-« alors ? c’était assez charmant ? » questionne t’elle
-« Mieux que ça, si je m’attendais… »
-« Tu as eu de la chance, j’ai eu envie de faire pipi, ce qui m’a donné l’idée, un fois ma culotte baissée, de ce petit striptease. »
-« La nature fait bien les choses » ne puis-je m’empêcher de commenter tandis que nous regagnons le centre en marchant
-« J ‘ai quand même une chose à te demander »
-« Oh, je n’exposerais rien sans ton avis » assurai-je
-« Ce n’est pas ça. Que tu expose, si ce n’est pas par ici, ça m’est égal, mais ne montres pas ces photos à Thierry. Il me drague depuis tellement de temps qu’il ne comprendrait pas. »
-« Nous n’avons fait que des photos » précisai-je
-« Justement je n’ai jamais accepté qu’il en fasse de peur qu’il se méprenne. » conclut elle.
Nos pas nous ont ramené dans la zone animée. Elle s’arrête, et se tourne vers moi.
-« Ma voiture n’est pas loin d’ici. Je vais rentrer, je bosse demain. »
Elle se pend à mon cou et m’embrasse sur la bouche, avant de disparaître dans la foule.
Je me demande si je n’ai pas rêvé.