Bienvenue À Marseille 3

Je suis sous la douche bien chaude et ça me fait du bien. J’ai le cul endolori et en même temps je pleure. Il faut dire que c’est bien fait pour moi, je n’avais pas à aller voir ailleurs mais mon mec ne méritait pas de voir ça. Rachid lui a fait les photos sans le moindre état d’âme en train de me prendre, de mon cul une fois pris et doublement pris. En même temps, il faut avouer que c’est un sacré baiseur. Bon, je sors de la douche, le vire de chez moi et me pose dans le lit, ça me fera du bien.

Une fois essuyé je retourne dans le salon. Rachid est toujours là, nu, musclé, le sourire aux lèvres.
« Ça t’a fait du bien la douche?
- Oui. D’ailleurs…
- Bien tant mieux, on va pouvoir continuer notre petite soirée. N’est-ce pas ma chérie? me dit-il en se rapprochant
D’ailleurs, c’est quoi cette utilisation du féminin? Je suis un mec pas une nana
- En parlant de soirée, je pense qu’on en a assez fait pour aujourd’hui. Du coup, je te demanderai de reprendre tes affaires et de rentrer chez toi.
- Mais on n’a pas terminé la soirée. Je compte bien profiter de toi maintenant que tu es célibataire et surtout formaté à ma bite.
- Non, je t’en supplie, je suis exténué, tu m’as littéralement explosé. Je veux juste aller dormir »
Ce que je n’ai pas vu venir ce sont ses mains qui m’ont poussé en arrière avec comme conséquence que je me retrouve assis en ayant adopté une gestuelle ridicule pour essayer de garder un pseudo équilibre.
«  Tu crois que c’est toi qui décides? Tu voulais te faire dominer par un rebeux mais quand ça devient sympa tu veux arrêter et faire machine arrière. Ça fonctionne pas comme ça. C’est moi qui décide. Tu sais pourquoi? parce que c’est moi le mâle. T’as même pas la force de me repousser.
On va continuer à jouer toi et moi. Comme je suis sympa, je vais encore bien t’élargir pour que les prochaines fois qu’on se voit tu sois bien ouvert »
Comment je vais faire pour me sortir de là? Pendant ce temps, je vois Rachid aller chercher son sac et le mettre à côté du fauteuil.

« Mets toi sur le dos dans le fauteuil et montre moi ton cul. »
Quand je vois son regard, je me dis que je n’ai vraiment pas le choix. Je me mets en position, le trou sur le bord avec les jambes relevées. De ses deux mains, Rachid me tient fermement les chevilles. Il crache deux trois fois sur mon anus qui s’est quand même un peu refermé avec la douche. Il se positionne le gland sur mon oeillet. Il bande déjà et il a toujours une quantité assez abondante de précum qu’il étale gentiment dans mon sillon et sur ma rosette. Quand il commence à s’introduire, tout doucement, j’ai l’impression de me refaire ouvrir en deux. J’ouvre la bouche pour crier mais il en profite pour me cracher dedans 3 mollards qui me remplissent. Je suis obligé de les avaler pour respirer vue la position et lui en profite pour prendre possession de mon fondement.
« Tiens tes chevilles en l’air avec tes mains. Si tu bouges je te claque les fesses jusqu’au sang ».
La menace fonctionne très bien, je tiens fermement mes chevilles. Il sort du sac à dos du scotch façon scotch de déménageur. Il le pose sur mon ventre. Il profite d’être sorti de mon trou pour aller chercher ses chaussettes qui n’ont rien perdu de leur fumet. Il positionne derrière moi et me reprend d’un coup sec. Je hurle! Avec le scotch il m’attache chaque main à chaque cheville. Je me retrouve coincé dans cette position où mon trou est offert. J’ai beau l’implorer, rien n’y fait.
« Non non non, je préfère t’attacher dans cette position. Tu es ouvert et à mon entière disposition.
- Libère moi stp… »
Il se penche au dessus de mon visage. Il a le sourire du vainqueur, de celui qui sait que la partie est en train d’être pliée. Il entrouvre la bouche et laisse couler un filet de bave directement dans ma bouche. Je ne sais pas pourquoi mais au lieu de fermer ma bouche et bouger le visage, j’avale au fur et à mesure. Et puis non! Je vais pas me laisser faire! Je referme la bouche et tourne la tête pour y échapper mais ses deux mains se saisissent de mon visage et lui impose de petits mouvements. Résultat j’ai le visage recouvert de bave. Il me fait ensuite rouvrir la bouche de force et insère une de ses chaussettes en baillon. Un coup de scotch et me voilà la bouche pleine sans pouvoir repousser ce qui me remplit la bouche, le visage tout mouillé, dans une position qui expose tout mon fondement.
« maintenant que tu es en position et bien installé, je vais t’élargir comme je veux.
- mmmm
- Tu as déjà été fisté?
- (vent de panique dans ma tête! je tente de lui dire que non) mmmm
- C’est une super sensation il parait. Perso, je sais pas mon trou du cul est vierge. Tu veux voir à quoi ça ressemble un trou vierge? Regarde! »
Il fait demi tour et me montre ses fesses musclées en écartant un peu. J’ai une bonne vue sur l’intérieur, son petit trou et les poils autour.
« je te le montre pour que tu puisses comparer avec le tien une fois que j’en aurai fini avec toi.
Comme je suis pas salop, je te propose une chose. Tu dis stop quand tu n’en peux plus, que c’est trop. Tant que tu dis rien, je continue. On est d’accord? »
Mais putain je peux rien dire avec le baillon. Il va m’exploser le cul à ce rythme et oh… Il a mis au moins deux doigts direct!
« Combien j’ai de doigts dedans? Un seul. C’est bon hein? Tu le sens coulisser? Je continue.
Oui, deux doigts. Ça rentre comme dans du beurre. Il faut dire que je suis déjà bien passé par là.
Allez, trois doigts. Mmmmhhh tu les sens mes doigts qui tournent.
- mmmm
- Je continue?
- mmmm dis je en secouant la tête
- ok, tu dis rien. Quatre doigts maintenant. Ça a plus de mal hein?
- mmmm
- Je vais remettre un peu de gel pour que ça coulisse mieux. Voilà. Tu sens, je tourne et j’enfonce. Je recule, je tourne et j’enfonce. Tu t’ouvres!
- mmmmm »
Je m’ouvre peut être mais ça me fait super mal. Je les sens ses doigts. Je pensais être au bout jusqu’à ce qu’il insère le pouce. Il tourne, vrille sa main pour rentrer le plus loin possible. J’essaie d’hurler, de dire stop mais aucun son ne sort! juste des gémissements. Il n’a rentré que quelques phalanges mais j’ai mal. J’ai les larmes aux yeux et en même temps la sensation est juste puissante. J’ai l’impression d’être possédé de tout mon être. Mon corps se résume à mon cul.
« Je vois que tu dis rien. Laisse moi remettre un peu de gel et on va tenter la main en entier.
- mmmmm, je tente de hurler en me débattant mais rien n’y fait. Ça le fait juste rire
- voilà, j’ai bien lubrifier, ça devrait rentrer. Je vais changer ta façon de baiser. Tu seras élargi. Si je continue, tu ne prendras plus beaucoup de plaisir avec les mecs. Il te faudra ma grosse queue, tu ramperas devant moi pour me supplier de te prendre et de te donner du plaisir. »
Il en profite pour replonger sa main. Ça ne passe pas. Il fait des va et viens. Et au moment où mes sphincters vont pour céder. « Ding »
« Ton portable a le sens du timing. Je vais aller voir.
Ah mais c’est ton copain qui t’a débloqué. Il veut discuter, comprendre.
Il n’a pas compris qu’il n’a pas le gabarit pour ton cul maintenant. Il toucherait même pas les bords. Attends, je vais lui envoyer une photo de ma main presque rentrée 
- mmmmm »
Putain c’est pas vrai! Il prend son plaisir également dans le fait de m’humilier et de foutre ma relation en l’air. J’entends le déclic de la photo. Et…
Je suis scié. Mon sphincter a cédé, sa main est rentrée entièrement. Je me suis refermé d’instinct sur son poignet. J’ai le cul explosé. J’ai mal! Je pleure. Totalement maitrisé et soumis au mec le mieux foutu mais surtout le mieux membré que j’ai jamais vu. A nouveau le bruit de l’appareil photo, plusieurs fois.
« voilà, j’ai fait un vrai reportage photo avec ma main dedans. J’ai pris ta tête car elle vaut le coup. On est loin du mec sûr de lui qui a mis un râteau à mon cousin! »
Pendant encore quelques minutes, Rachid va rentrer et sortir sa main, puis son poing. Je pense que je ne serai jamais aussi large. Il en profite pour faire des photos de mon cul.
« tu as le cul complètement détruit. C’est trop bon à voir. J’ai tout envoyé à ton mec. Je suis sûr qu’il ne t’a jamais vu aussi bien de l’intérieur.
Mais tu sais c’est ta faute, tu n’as pas dit stop alors j’ai continué, j’ai pris ça pour un oui. Arrête de pleurer, avoue que tu as pris du plaisir. En même temps, avec que tu as joui, tu aurais du mal à me dire le contraire! Pour finir tout ça je vais bien te remplir. Kebab façon sauce blanche! »
Il m’emmanche d’un coup sec. Avec ce qu’il m’a mis, la douleur n’a rien à voir. Au bout de quelques minutes à peine, il me remplit à nouveau de 5 jets crémeux. Et encore ce bruit d’appareil photo.
« Regarde toutes les photos que j’ai faites. J’adore cette dernière. On voit bien ton trou grand ouvert, tout rose à l’intérieur avec mon sperme blanc. Ton mec a pas apprécié car il vient de t’insulter et de te rebloquer!
- mmmmm
- vois le bon côté des choses, tu es ma pute maintenant. Je vais pouvoir passer quand je veux pour m’occuper de toi.
- mmmm
- Ah et je vais expédier ton répertoire directement dans mon téléphone. Comme ça, s’il te prend l’envie de ne plus me satisfaire, de disparaitre ou autre, je pourrai toujours envoyer à tes contacts toutes ces magnifiques photos. 
- mmmmm »
Je suis vaincu. Ce mec qui pue la testostérone à plein nez, monté comme un taureau vient de chambouler ma vie.
Il me détache, m’enlève le scotch sur la bouche.
Je fonce à la salle de bain avec difficulté
« tu as le cul qui dépasse! »
C’est vrai! j’ai le trou qui ressort, je le vois dans la glace. C’est tout mou et je coule de sa semence.
« Désormais, je te conseille de manger sans résidu car je vais bien m’occuper de toi. C’est trop bon!! » me crie-t-il alors que je file à nouveau sous la douche.
Comment je vais faire? Je me demande bêtement si mon corps retrouvera son intégrité.
Quand je sort à nouveau de la douche, Rachid rhabillé. C’est vrai qu’il pue le sexe. Au sens propre également d’ailleurs.

« Salut, ma salope! Je reviens bientôt! »