Série Insolite. Épisode 23 « Carine » : Dépucelé Par La Meilleure Amie De Ma Mère, Mon Fantasme Et Ma Nounou.
Le plus beau jour de ma vie, fut incontestablement le jour où lamie de ma mère, ma nounou occasionnelle, ma dépucelé. Je me nomme Xavier, à lépoque, je vivais seul avec ma mère depuis que mes parents sétaient séparés, six ans auparavant. Maman rencontrait des hommes régulièrement, cependant elle ne les amenait jamais à la maison. Lorsquelle sortait, Carine sa meilleure amie, habitant dans le même quartier, me gardait chez elle quand je nallais pas chez mon père. Étant célibataire et désirant le rester le plus longtemps possible, jusquà ma puberté je dormais avec elle. Néanmoins devenant adolescent, comme je fantasmais sur cette femme aux formes aguichantes, je commençais à me masturber en pensant à elle et ce qui ne devait pas arriver, se produisit. Une nuit, couché contre elle qui dormait profondément, javais pris sa main dans la mienne et de lautre, je métais astiqué et avait éjaculé dans mon sous vêtement de nuit.
Bien entendu, au réveil, javais une tache sur mon pantalon de pyjama et une grosse sur le drap. Carine fut très discrète sur le sujet, lorsquelle sen était aperçue le lendemain matin, elle navait fait aucun reproche sur ma masturbation mais la semaine suivante, elle mavait préparé mon lit dans le clic clac. Plus tard, devenant plus âgé, lorsque ma mère sortait, je restais seul à la maison car Carine de son côté, avait trouvé un chéri, jen étais devenu jaloux. Ma mère et son amie passaient des soirées entières à raconter leurs histoires damour, jadorais écouter leurs ébats amoureux, dissimulé dans le couloir, avant daller dans les toilettes me masturber. Cela dit, venons-en donc au fait ! À cette époque, nous étions la semaine précédant le week-end de la toussaint, Carine avait rompu avec son jules après les vacances et maman avait prévu de passer trois jours avec son nouvel amant en Normandie.
Ne désirant pas que je reste seul à la maison, elle voulait que je passe ce long week-end chez mon père.
Pourquoi Xavier ne viendrait-il pas chez moi ? demanda-t-elle à ma mère.
Je ne voudrais pas timposer ça, ta vie est déjà assez compliquée depuis ta rupture.
Justement, ça me changera les idées et tu sais bien que je ferais nimporte quoi pour Xav, cest comme mon propre fils.
À ces mots, je me levai et allai prendre Carine par le cou et lembrassai sur les joues en la remerciant. Pendant le restant de la semaine précédant le départ de ma mère, je ne pensais quau moment où jallais me retrouver seul avec ma nounou adorée, je ne savais pas si jen étais capable mais javais bien lintention de lui avouer mon secret. En effet, depuis très longtemps, jétais complètement dingue de cette femme, je narrêtais pas de me branler avec sa photo des dernières vacances où elle était en maillot de bain. À la sortie du lycée, jétais vite rentré chez moi afin de déposer mes affaires, je lus le mot que ma mère avait écrit, me précisant dêtre sage et je métais précipité chez Carine.
Arrivé chez elle, je lui sautai au cou pour venir me blottir contre elle et lembrasser sur les joues. Quelle déception, elle me repoussa et recula avec un certain dégout : « Dis-moi Xav, tu aurais pu prendre ta douche. Excuse-moi de te le dire mais tu sens mauvais. » Jétais très vexé, surtout que je savais quelle était très maniaque. Je ne savais plus quoi dire, ni que faire, je marmonnai alors quelques excuses : « Allez Xav, ce nest pas si grave, viens à la salle de bain. » Elle maccompagna jusquà la douche et me dis quelle allait mapporter une serviette propre, en me déposant une petite bise sur la joue, tout en excusant de sêtre emportée : « Pardon mon chou, je ne suis pas tout à fait dans mon assiette ces jours-ci. » Tout en rajoutant quelle était très exigeante sur la propreté.
Avec cette bise et ses mots doux, javais vite oublié ses reproches et en pensant à elle, tout en me savonnant, je me masturbais lentement. Je me trouvais dos à lentrée, soudain la porte nétant pas fermée, Carine pénétra sans prévenir dans la salle de bain. Face à mes fesses, elle déposa la serviette en disant : « Tu aurais pu tirer le rideau. » Surpris de sa venue, je sursautai en me retournant avec ma verge en érection dans ma main. Je ne pouvais plus me cacher, jétais très gêné quelle me surprenne et je métais aperçu que son regard sétait dirigé immédiatement sur mon entrejambe avant quelle ne se retourne pour quitter les lieux : « Jespère que tu as amené des sous-vêtements. » Me lança-t-elle.
Merde, jai oublié mes affaires de rechange.
Attends, je dois avoir un short de Julien mais je nai pas de slip. Tant pis !
Après le repas, elle était partie se démaquiller et se changer, elle avait passé son long tee-shirt de nuit qui recouvrait à peine ses fesses. À cet instant, elle mannonça quelle navait plus son clic clap mais quelle mavait préparé un lit improvisé avec un matelas posé à même le sol, dans sa grande chambre : « Jespère que ça ne te dérangera pas car je ne voudrais pas abimer mon canapé tout neuf. » Nayant pas joui sous la douche, javais bandé toute la soirée, nous étions devant la télé côte à côte, je navais pas regardé lémission, mes yeux allaient de léchancrure de son large débardeur, me dévoilant une partie de sa forte poitrine, au haut de ses cuisses dénudées, me laissant apercevoir de temps en temps, sa petite culotte blanche.
Nayant aucun maintien au niveau de mon entrejambe, jétais dans lobligation de dissimuler lénorme bosse qui tendait le tissu léger de mon short en polyester. Il nétait pas loin de onze heures lorsque Carine me fit comprendre quil était temps daller se coucher. Comme je men doutais, elle sétait aperçue de mon érection : « Le matelas est à mon voisin, prends un essuie-tout ou passe aux toilettes, je ne voudrais pas lui rendre tout tâché.
Le matelas était bien trop inconfortable pour que je puisse mendormir, pendant plus dune heure je me tournais et retournais dans mon lit en pestant à voix basse, pensant que Carine dormait. Cependant elle non plus, ne dormait pas, elle avait des remords de mavoir installé dans ce lit improvisé : « Xav, tu narrives pas à dormir ? Si tu es si mal installé que ça, viens dormir avec moi. » Je sautai sur loccasion, pendant des années je rêvais de redormir à ses côtés : « Ce nest pas de refus, je ne voudrais pas te vexer, mais franchement cest comme si je dormais sur le parquet. » Dis-je en me faufilant sous les draps.
Il faisait très chaud chez elle, javais enlevé mon tee-shirt avant de mallonger, Carine sétait levé et éteint la lumière. Lorsquelle était revenue, japerçus dans la peine ombre quelle avait chaud également car elle avait passé une nuisette beaucoup plus fine. Elle se glissa sous la couette en évitant que nos corps se touchent, elle me tournait le dos, alors que jétais tourné vers elle. Pendant plusieurs minutes, nous étions restés silencieux, javais très envie de lui dire que je laimais, mon érection était à son apogée, je narrivais toujours pas à mendormir :
Tu ne dors pas Xav ? Je suis contente davoir quelqu'un pour me tenir compagnie. Je me sens très seule tu sais, depuis que Julien est parti. Dit Carine en se reculant un peu vers moi.
Nos corps sétaient insensiblement rapprochés, le bout de ma queue touchait la peau dune de ses fesses. Je pris linitiative de passer mon bras sur elle, ma main posée sur son ventre. Je mattendais franchement à ce quelle la retire en protestant mais ce ne fut pas le cas, au contraire : « C'est vraiment bon de se sentir aimé.
Voilà qui est mieux, tu ne crois pas ? Dit-elle en prenant ma main posée sur son ventre. Tu aimes Xav ?
Jen rêve depuis toujours, tu mexcites.
Elle eut un petit rire, caressa ma main puis après un moment de silence, tandis quelle frottait doucement son cul toujours contre ma queue, elle me demanda si je me masturbais en pensant à elle : « Depuis bien longtemps, tu hantes mes pensées jours et nuits. »
C'est très flatteur quun beau garçon puisse être excité par sa vieille nounou.
Tu as à peine quarante ans, tu nes pas vieille et moi, me prends-tu encore pour un bébé ?
Daprès ce que jai vu sous la douche et ce que je ressens contre mon cul, je dois avouer que tu es un homme, un vrai. Jai sommeil Xav, veux-tu que je te branle ?
Il était évident que Carine ne voulait pas aller trop loin avec moi, sans attendre ma réponse, elle se retourna, baissa mon short et pris ma queue dans la main. Elle alluma la lumière car elle me dit quelle voulait voir mon beau pénis. Elle retira de lessuie-tout du tiroir de son chevet et me caressa la verge délicieusement dune main tandis que lautre, elle me massait les testicules. Tellement surexcité, il ne mavait pas fallu longtemps pour jexplose, jéjaculai en grand jets sur mon ventre, Carine essuya le sperme coulé sur sa main et se retourna : « Essuie toi et nen mets pas partout. » Dit-elle dun ton assez froid.
Dun côté, jétais aux anges, je navais jamais joui autant et si fort mais de lautre je sentais que Carine regrettait déjà ce quelle venait de faire, pourtant javais vraiment eu limpression quelle avait pris un certain plaisir dans cette masturbation. Je me collai contre elle, avait remis mon bras sur elle et mapercevant quelle avait quelques petits sanglots, je lui déposai un petit baiser dans le cou en lui disant merci. Après un long silence, je pris le taureau par les cornes, ces quelques minutes de réflexion mavaient permis de prendre conscience quil fallait que je me lance, je devais lui avouer franchement que jétais puceau : « Tu sais Carine, je nai encore jamais fait lamour et jaimerais tant le faire avec toi. »
Cest impossible mon chéri. Me répondit-elle en se retournant.
Mais je taime Carine, tu ne peux pas limaginer.
On ne peut pas Xav, ce serait malsain. Tu penses à ta mère, ce serait une trahison.
Dis-moi franchement ! Tout à lheure, tu nen avais pas envie ?
Si bien sûr, jétais très excitée mais je me sens fautive
Arrête ! personne ne le saura. Lui dis-je en me penchant vers elle et en venant poser mes lèvres sur les siennes.
Carine sabandonna entièrement dans ce baiser plein de fougue, elle posa une main sur ma fesse, lautre dans mes cheveux et m'attira encore plus contre elle. Il se passa quelques secondes sans que je puisse réagir alors que je sentais mon sexe reprendre de la grosseur. Ce fut elle qui rompit le silence, voyant que je ne prenais aucune initiative, elle le fit pour moi, elle remuait le bassin contre mon membre durci et déboutonna sa nuisette : « Caresse-moi les seins, je sais que tu les admires. » Je passai ma main l'intérieur de la nuisette ouverte et pour la première fois, je touchais enfin cette poitrine qui mavait tant fait rêver. Ses seins étaient gros, fermes, je les pelotais, massais, je prenais plaisir à jouer avec ses mamelons qui se dressaient, sallongeaient et durcissaient entre mes doigts.
Carine frottait toujours sa vulve contre mon sexe, sa respiration saccélérait, elle gémissait : « Mon dieu, que cest bon ! Continu mon chéri, suce-les. » Je fis ce quelle attendait de moi, je passai ma tête entre sa nuisette ouverte et me penchai sur sa poitrine quelle moffrait, tout en accélérant les mouvements de bassin. Elle me prit la tête entre ses deux mains et jembrassais chaque téton à tour de rôle, je les suçais doucement : « Cest super Xav ! Oh cest bon appuie ta queue contre moi. » Murmura-t-elle à mon oreille.
Je l'embrassai sur la bouche, ses lèvres s'ouvrirent doucement, puis s'ouvrirent de plus en plus sous la pression de ma langue, elle navait plus aucun scrupule, elle répondait avec ardeur. Jalternais entre sa poitrine et sa bouche, ce fut à cet instant quelle me repoussa, se leva, enleva sa culotte et sa nuisette en me demandant de retirer mon dernier rempart. Puis elle se recoucha exposant son corps entièrement nu devant moi. Je trouvais sa petite chatte magnifique avec son pubis recouvert dune fine toison de poils noirs. Pressée den découdre, elle écarta les jambes, tout en me guidant entre ses cuisses : « Viens maintenant mon chéri. » Carine posa sa main sur mon sexe, enfila une capote qui emprisonna mon pénis et le frotta quelques secondes entre ses lèvres.
Elle était trempée, de la cyprine suintait de lintérieur. Ma nounou adorée guida ma queue dans son vagin en me demandant de pousser vers l'intérieur. « Oh Mon dieu ! Elle est plus grosse que ce que je pensais. Enfonce-toi ! » Cria-t-elle en me tenant fortement par les fesses. Quel sentiment dorgueil d'avoir la possibilité de pénétrer pour la première fois sa bite dans une chatte, surtout celle dune femme qui au départ était pour moi inaccessible. Ce fut Carine qui donnait le rythme, je synchronisais mes va et viens avec son bassin, mes testicules cognaient contre fesses à chaque coup de boutoirs.
Chaque poussée était un pur plaisir, Carine était autant excitée que moi, elle mouillait beaucoup et gémissait en disant : « Mmm ! c'est trop bon. » Nous étions dans le même tempo, assez lent afin que je n'éjacule pas trop vite. Elle me prit la tête entre ses mains et membrassa de nouveau. Nous continuions à nous embrasser amoureusement pendant que nous baisions de plus en plus fort, ses mouvements de hanches mentrainaient dans des aller-retours très rapide. Je ne pus attendre plus longtemps avant de jouir, Carine remua son corps violement et mes coups de rein, faisant pénétrer profondément ma queue dans sa petite chatte juteuse, la fit crier fortement.
Elle émettait des gémissements, des ronronnements et me pressa fortement contre elle pendant que je me déversais dans ma capote. Puis elle se détendis tout d'un coup et s'effondra sous moi. Nous étions épuisés, ma bouche encore sur la sienne, ma bite encore tremblante à l'intérieur de sa chatte dégoulinante. Nous restions immobiles avant que je dise :
Cétait génial Carine lui dis-je en lui faisant la bise. Tu as joui aussi ?
Non pas vraiment mais jai très apprécié. Ce soir cétait pour ton plaisir, je suis contente et fière d'être ta première fois ! Nous avons trois jours pour que je tenseigne comment faire jouir une femme. Dors bien et pense à moi. Surtout ne dis jamais rien à ta mère.
Après avoir dormi quelques heures, nous avions recommencé à nous embrasser et nous caresser. Dans la lumière pâle de l'aube, Carine posa sa tête sur mon entrejambe et entrepris une fellation qui me fit durcir ma queue comme jamais. Elle me dit de me laisser aller au plaisir et je fus très surpris quelle me demande de me vider sur sa langue. Après ma première pipe, jeus droit à lapprentissage de mon premier cunnilingus où je vis de mes propres yeux une femme en plein orgasme, cétait terrible et magique, je bandais de nouveau. Après notre petit déjeuner, nous avions à nouveau refait l'amour.
Pendant mon petit séjour chez Carine, ce fut des grands moments de débauche, la dernière nuit, elle mavait même demandé de la sodomiser. Nous navions fait que manger et baiser, jétais rentré chez Maman épuisé mais comblé. Carine avait un visage fatigué, cependant ma mère la trouva radieuse. Mon aventure avec ma nounou adorée se prolongea dans le temps, pendant deux ans, nous trouvions toujours un moment pour une petite pipe, un doigtage et une baise rapide et torride. Aujourdhui marié et satisfait sexuellement, cette histoire avec Carine restera gravée à jamais dans ma mémoire.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Xavier, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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