Photographe Debutant3: Une Aide Inattendue
Cette histoire, comme la plupart , est basée sur des faits réels, auxquels jai ajouté un soupçon de fantasme. Au lecteur dapprécier et de démêler le vrai du faux.
En développant les clichés que jai déjà, je me rends compte du potentiel de Patricia.
Les photos des autres filles sont sexy, certes, mais certaines sont trop osées pour lusage que je veux en faire, et je cherche encore des modèles qui sortent de lordinaire.
En attendant, les jours passent, entre le boulot, et la fête que nous faisons régulièrement.
Nous sommes jeunes, après tout, et nous aurions tort de ne pas en profiter.
Tous les après-midi, les employés de lhotel où je bosse se retrouvent autour de la piscine, concession que leur a accordé le patron. De mon côté, je ne suis jamais libre pour aller en profiter. Je me ratt en allant me baigner dans les torrents de montagne glacés ou le soir quand je suis en bord de mer.
Par chance, je tombe sur Patricia, au sortir dun bureau de tabac.
Elle na pas le temps de discuter avec moi, mais jarrive à obtenir un rancard, pour le soir même dans la boite de nuit proche du Perthus
Le soir venu, je me rends sur place. Et après un rapide tour des lieux, je constate quelle nest pas là. Un peu dépité par ce lapin, je passe au casino. Pas de partie de cartes organisée ce soir, mais je passe un peu le temps en jouant au black Jack. Les tables sont pleines, et jai la chance avec moi. Après avoir gagné, en une heure, un matelas confortable de plaques, je vais les changer contre des espèces sonnantes et trébuchantes. En repassant à la discothèque, je découvre Patricia en train de sagiter sur la piste de danse.
Je la rejoins. Jai limpression quelle fait un peu la tête. Pour la dérider, et mexcuser, car elle est là depuis un moment, je linvite, et nous nous retrouvons au bord dune table basse. Un serveur nous apporte le champagne que jai commandé, dans son seau en argent.
-« A la plus jolie fille de la soirée ! » dis-je en levant mon verre
-« Tu exagères un peu » se rengorge telle.
-« Pas du tout. Dailleurs tu sais que jattends toujours que tu poses pour moi. »
-« Je me méfie » répond elle « Jai vu, la dernière fois, ce que vous appelez une séance de
prises de vues. »
-« Jai fait de très jolis clichés » me défends-je
-« Oui, plus dautres un peu pornos. Les photos cest une chose, mais passer à la casserole en est une autre. »
-« Je reconnais que ça a un peu dérapé. » admets-je
-« Et tu en as profité pour photographier les autres sottes à poil, et dans des situations qui pourraient leur poser des problèmes, si les photos venaient à être diffusées. » me reproche telle.
-« Je suis photographe, et jétais là pour shooter. Quoiquil arrive, je shoote, et je fais le tri ensuite. Tu nas pas dinquiétude à avoir pour tes amies. Dabord elles ont accepté de poser nues, et je leur ai soumis les clichés que je comptais utiliser. Les autres ont été détruits. Quen ferai-je ? »
A cette époque Internet nexistait pas encore, et les smartphones, non plus. Patricia doit bien admettre que ce que je dis a du sens. Je remplis nos verres, et je sens bien que le liquide ambré pétillant aide à faire tomber ses réticences. Une série de slows arrive et je linvite à danser. Nous nous faufilons entre les tables pour atteindre la piste de danse. Il rêgne une chaleur incroyable dans le dancing. Tandis que je la suis, je me dis quelle doit crever de chaud avec sa mini en cuir noir, et son blouson assorti. Je lui en fais la remarque quand je la prends dans me bras.
-« Trop chaud ? non ! jaime la sensation du cuir sur ma peau, et ce nest pas plus chaud quautre chose. En plus, quand tu sors, sil y a du vent, tu le fermes, et ça protège. » me dit elle en remontant la fermeture de son perfecto.
Elle la redescend aussitôt ouvrant un décolleté suffisamment large, pour que je puisse constater quelle na que sa peau nue, sous le vêtement. Nous dansons un moment, sa tête posée sur mon épaule, ses bras autour de mon cou. Mes mains longent le blouson et se posent sur le haut de ses fesses qui tendent le cuir. Comme elle ne proteste pas, je laisse mes doigts épouser le galbe du cuir tendu, mais jai dû aller trop vite et elle me remet en place
-« Ne tégare pas, cest juste une danse »
Alors que nous rejoignons notre coin, Patricia est interpelée et quelquun lui att le bras. Nous nous retournons et je découvre Viviane, qui lui claque la bise sur les deux joues. Puis me découvrant :
-« Ah tu es là aussi. »
Patricia nous regarde étonnée
-« Vous vous connaissez ? »
Quelques instants plus tard, nous trinquons au Champagne. Les deux filles se connaissent très bien. Elles ont fait une partie de leurs études ensemble, et sont restées amies. Au fil de la conversation, je comprends que Patricia napprécie guère Thierry. Viviane qui est amie avec lui le voit assez souvent. Elle sait bien quil est amoureux delle, mais ce nest pas réciproque et elle veut garder ses distances avec lui. Jexplique à Viviane que jai pensé à Patricia, pour poser, et elle se montre enthousiaste.
-« Fais le » conseille telle à sa copine « Cest une expérience, et ses photos sont plutôt réussies. »
-« Je ne sais pas » hésite Patricia « Certaines photos sont très deshabillées. »
-« Ce sont des photos de charme. Et puis, tu nen montreras pas plus quà la plage, finalement. »
-« Mais enfin, tout le monde va les voir »
-« Franchement, tu connais beaucoup de nos amis, qui vont voir des expos photos ? Dis toi que si je lai fait, cest que je nai pas senti que cétait malsain. » ajoute Viviane
-« Tu as posé ? »
-« Ben, oui. »
-« Nue ? »
-« Quasiment oui. »
Je ne dis pas un mot car Viviane est en train de faire mon travail.
-« Tu ne mas pas dit que Vivi avait posé pour toi. »
-« Je ne savais pas que tu la connaissais, et je suis toujours discret. »
Elle acquièce de la tête, songeuse. Je sens quil est temps dobtenir une décision.
-« Ecoute, si ça peut te rassurer, on peut demander à Viviane dêtre présente lors du shooting. »
Elle se tourne vers Viviane, la questionnant du regard.
-« Cest comme tu veux ma belle, si ça doit taider à te lâcher » lui propose Viviane
-« Dans ces conditions, cest OK . » capitule telle « Mais cest moi qui fixe les limites. »
-« Tu vas voir, on va bien samuser » dit Viviane en déposant un baiser léger sur ses lèvres.
Là, je me dis que jai peut-être un sujet car les deux filles ont, sans doute été un peu plus que des amies. Nous passons la fin de la soirée à danser, et je les quitte vers 4h non sans avoir fixé un rendez-vous avec Elles pour les photos.
Le surlendemain, je passe voir Viviane à son boulot. Elle tient un petit bureau de change sur la route du Perthus. Quand jarrive, le parking est désert, à part sa voiture et, vu quil nest pas facile de discuter via lhygiaphone, elle sort et referme son bureau derrière elle.
-« Je ne peux pas rester longtemps, car si un client arrive, je dois être à lintérieur. En plus, mon patron passe souvent sur la route et sil me voit dehors, je vais avoir des ennuis. » me dit elle.
Je la rassure et lui propose de venir avec elle, à lintérieur du bureau de change, en restant dans un coin pour quon ne me remarque pas. Elle est réticente, au début, mais sait aussi que je ne suis pas intéressé par largent quelle détient. Au bout de quelques minutes, alors que je lui fais remarquer, que plus nous restons dehors, et plus elle court de risques, elle ouvre la porte, et nous enferme à lintérieur. Lespace est restreint et je massieds sur une chaise entre le coffre fort et la cloison, invisible de lextérieur tant que personne ne sapproche du guichet.
-« Tu penses que Patricia va réellement accepter de poser ? Jusquà présent elle sest toujours défilée. »
-« Cest une première pour elle. Cest normal quelle ait des craintes, mais si je suis avec elle ça ira. »
-« Jignorais que tu la connaissais si bien »
-« Nous étions au collège, puis au lycée ensemble, ça crée des liens. On a partagé la même chambre à linternat, les mêmes petits copains. »
-« Vous avez partagé les petits copains ? »
-« Oh pas en même temps ! mais tu sais ce que sais, on sort avec un garçon, puis on romp, et quelques semaines plus tard, on découvre quil sest consolé avec sa meilleure amie. Rien dexceptionnel. » explique telle.
-« Et cest tout ? »
-« En fait, on est restées amies après le lycée. Ces histoires de garçons nous avaient rapprochées. Du coup quand on a dû prendre un appart à Montpellier, on a opté pour la coloc, ce qui nous coutait moins cher. »
-« Daccord ; et grace à ça, elle est plus relax pour poser pour moi ? »
-« Tu sais, en étant deux filles en coloc, on partageait la même salle de bains, et on était souvent nues ensemble, ou peu vétues. Il ny a pas, avec moi, la barrière de pudeur quil y a avec les autres. »
A ce moment là, une voiture bien chargée, sengage sur le parking faisant voler la poussière. Le conducteur reste au volant, mais une femme dune quarantaine dannée descend et se dirige vers la cahute.
-« Des hollandais » commente Viviane. « Cache toi sous le comptoir, sinon elle va te voir. »
Je quitte ma chaise et vais me glisser, à quatre pattes sous le comptoir.
Jentends Viviane répondre au salut de la cliente, qui veut changer des Florins pour des Pésetas. Je massieds, invisible, dans lombre du comptoir pendant que Viviane fait remplir les papiers. Ça dure un peu, et, pour tout paysage, je nai que les jambes nues, chaussées de mocassins bleus de Viviane. Sa jupe de toile bleue et blanche à rayures, ne couvre ses cuisses que jusquà la moitié. Je profite de ma position pour caresse doucement ses mollets. Elle, essaie de me donner des coups de pieds, sans que sa cliente sen rende compte, mais elle na pas de recul, et je saisis une de ses jambes. Je fais monter mes mains sur son genou, puis sur sa cuisse. Elle serre les jambes pour mempêcher daller plus loin. Elle se lève et se dirige vers le coffre quelle ouvre, pour y déposer les Florins, et récupérer léquivalent en Pesetas. Baissée sur le coffre, elle se tourne vers moi et me fait les gros yeux, avant de rejoindre sa place. En passant, elle me met un coup de genou. Je ne compte pas me laisser faire et je me replace face à elle, pendant que je lentends compter les billets. Je pose mes mains sur ses genoux, et tente décarter ses jambes. Elle me résiste, et termine sa transaction. Je mapprète à sortir de ma cachette quand elle me jette à voix basse.
-« Reste où tu es. Une autre voiture arrive. »
Aussitôt je pose mes mains sur ses genoux.
-« Et arrête un peu, je dois travailler. »
Je nen ai cure et je pèse de toute mes forces sur ses genoux que, de guerre lasse, elle finit par écarter, me laissant découvrir une culotte bleu pâle, assortie à sa jupe.
Doucement, mes mains longent lintérieur de ses cuisses à la peau soyeuse. Jentends, en même temps les échanges. Cette fois, ce sont des allemands. Plus je remonte mes doigts, et moins elle résiste. Quand jarrive à toucher le tissu bleu ciel, je sens quil est humide. Je longe lelastique du slip, puis passe un doigt qui va effleurer le bord de ses levres, sans entre dans sa vulve. Je suis récompensé par un mouvement du bassin qui se porte à ma rencontre. Posément je pose alors mes mains sur ses cuisses, et remonte vers les hanches. Jatteinds lélastique de sa culotte de chaque côté, et la tire vers moi. La position assise mempêche daller plus loin, mais bientôt, elle se lève pour aller chercher des espèces. Profitant du mouvement, je fais glisser le vêtement dun coup jusquà ses chevilles, et elle na dautre solution que de lever, le plus discrètement possible, un pied, puis lautre, et me laisser récupérer le vêtement. Nouvel aller retour, et nouveau regard courroucé, avant de revenir prendre sa place, en serrant les cuisses. Mais pendant peu de temps, car jentreprends de la lécher depuis les genoux, en remontant. Ma tête, entre ses cuisses, je viens coller mon nez dans son ticket de métro, ma langue cherchant son clito. Imperceptiblement, son bassin bascule vers lavant, offrant à ma langue gourmande un sexe qui souvre et suinte un parfum enivrant.
Jentends les clients séloigner, et je sens ses mains attr ma tête, et la plaquer sur son sexe, maintenant à ma disposition. Ma langue ne suffit bientôt plus, et jenfonce, un doigt, puis deux dans son puits damour. Elle ne dit mot, mais les mouvements de ses hanches parlent pour elle. Elle a maintenant les jambes grandes écartees. Mes doigts bien humectés lubrifient son petit trou, et sy enfoncent, sans rencontrer de résistance. Les fesses au bord du siège, elle goûte ma caresse, en haletant.
Dun coup je la sens se figer.
-« Merde, mon patron ! »
Elle est immobile sous mes doigts qui emplissent ses trous et ma langue qui titille son clito.
-« Bonsoir, ça marche ici ? » dit une voix masculine
-« ça va » répond Viviane en serrant ses cuisses sur mes doigts « on a eu un peu de monde. »
« Suffisamment de liquide ? »
« Oui, ça devrait aller pour aujourdhui. » répond Viviane.
-« Passe un coup de fil si tu as besoin. »
-« Ok chef, pas de problème. »
Jentends la porte dune auto qui claque et le bruit dun moteur qui démarre. Je pense que je vais avoir droit à une sévère engueulade, mais au contraire.
-« Il est parti ! tu vois ce que tu me fais faire. Maintenant finit et tire toi.
Elle se lève et envoie promener son siège. Debout, elle plaque ma tête contre son intimité.
Je continue mes caresses, mais visiblement ça ne lui suffit pas. Elle minvite à me lever, et se débarrasse de sa jupe avant de sappuyer sur le comptoir, dos à moi. Je viens me coller à elle et je la pénêtre dun coup. Je la lime sans attendre, et en quelques allers et retour, elle se met à râler, en agitant son popotin, avant de stopper dun coup en serrant brusquement ma queue en elle. Elle jouit encore quand une nouvelle voiture se présente.
Dun mouvement elle se dégage, et, debout, se plaque au comptoir.
-« Mets toi dans le coin » dit elle.
Je reboucle mon bermuda avec difficulté, et me rassieds sur ma chaise.
Avec le plus de naturel possible, elle reçoit un client qui vient changer ses francs. Elle remplit les documents nécessaires, et se tourne vers moi en me tendant une enveloppe contenant les billets.
-« Tu peux me donner 18 000 Pesetas ? » me demande telle
Alors que je la regarde, éberlué, elle me fait les gros yeux, me désignant son petit cul nu, que le client ne peut apercevoir tant quelle est plaquée au comptoir. Je réagis et entreprends de compter les billets que je lui tends, et quelle recompte avec précision avant de les délivrer au client, qui repart, sans doute étonné de cette équipe de deux personnes. Sitot le client parti, Viviane enfile sa jupe et me demande de déguerpir.
Je me lève et lui montre lérection qui déforme mon bermuda.
-« Evidemment, jaurais dû men douter » dit elle avant de me coller au comptoir.
Elle descend mon bermuda, et se met rapidement à genoux en disant
-« Si quelquun arrive, tape moi sur la tête. » avant denfourner ma bite entre ses lèvres.
Elle absorbe mon gland, maspire, me suçote, lèche, presse mes burnes, en me dévisageant, avant de plonger en gorge profonde. Quand elle sent mon sexe enfler elle sactive de plus en plus vite, saisissant mes fesses à bras le corps, jusquà ce que je me répande dans sa bouche en grognant. Elle se relève et sessuie avec un mouchoir après mavoir rhabillé, et me fiche dehors. On se verra dans deux jours.
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