Fouilles Paléontologiques 2
Salut, Cest Bob. Vous vous souvenez de ma copine Virginie, belle femme, 22 ans, BTS Gestion Vente
?
Non ! Alors je vous invite à découvrir mes autres récits la concernant : « première fois », etc.
Bref, je voudrais vous faire part aujourdhui dun scénario réalisé avec ma belle il y a quelques années. Nous étions jeunes à lépoque. Nous le sommes toujours mais lhistoire sest déroulée il y a déjà trois quatre ans de cela. Nous devions avoir à lépoque 18 et 19 ans. Cétait notre premier chantier de fouilles paléontologiques, toujours dans le sud de la France. Cette nouvelle histoire sest passée un an avant mon récit « fouilles paléontologiques » (sans numéro). Nayant pas suivi lordre chronologique, je lai donc appelé « fouilles paléontologiques 2 » car il sagit bien dun chantier de la sorte déroulé en été également mais ce nétait pas le même chantier. Il y a toujours plusieurs chantiers de fouilles paléontologiques dans le sud de la France chaque été. Cest assez cool dailleurs. On y rencontre des gens. Il y a une bonne ambiance. Certes, faut travailler un peu, mais ce nest pas le bagne non plus.
Cependant, je ne me souviens plus du lieu exact où sest tenu ce chantier. Cétait du côté de Carcassonne, Montpelier ou peut-être Perpignan. Nous avons tellement visité la région, ma chérie et moi, que nous ne savons plus exactement où cela sest déroulé. Peu importe car on nest pas là pour faire une enquête.
Bref, nous venions de réussir notre Bac et nous nous apprêtions à rentrer en fac en octobre prochain. Autant dire que lon avait vraiment envie de profiter de lété. Cest pour cela que nous partîmes dans le Sud de la France, « le pays où il fait beau » car dans notre département dorigine, lOise, ce nest pas toujours le top. Jexagère un peu, il y fait souvent très beau aussi, en vrai.
Bref, nous partîmes en train, de Paris vers Montpellier puis quelquun du chantier est venu nous chercher en voiture à la gare.
- Vous avez fait bon voyage ? nous demanda Éric, notre conducteur.
- Oui, super, répondis-je. Un peu long quand même, avec la correspondance à Paris.
Éric, cétait un fouilleur bénévole. Plusieurs chantiers, lui aussi, à son actif mais pas le même genre que le gars qui sest tapé ma gonzesse lannée suivante. Souvenez-vous, Faby et lAlgeco !
Bref, Éric était un grand gaillard, plus grand que nous, un peu timide avec les filles. Pire que moi, en fait. Mais un mec très cool et très fair-play. Vous verrez plus tard pourquoi je vous dis ça.
Bref, ma chérie et moi passions du bon temps sur le site. Les journées étaient ensoleillées. Nous travaillons in situ tôt le matin avant quil ne fasse trop chaud. Les après-midis étaient réservées au travail en atelier. Un ou deux jours dans la semaine étaient réservés aux sorties culturelles ; cétait notre compensation à la participation au chantier.
Un jour comme les autres, ma copine et moi décidâmes, après le repas, de faire le tour du site. Lendroit était immense, parsemé de collines boisées à perte de vue. Sur le site, la roche affleurait en bien des points. Il ny avait que très peu darbres. Nous trouvâmes cependant un bosquet pour nous isoler et nous y reposer avant la reprise du chantier vers 14 heures (les travaux en atelier). Jétais auprès de ma blonde, belle et rayonnante sous la chaleur du midi. Nous nous allongeâmes dans lherbe quand soudain nous eûmes envie daller plus loin. La belle caressait mon entre jambes. Je lembrassais, la chérissais, la couvrant de mots doux et de caresses. Je mallongeais sur le dos et ma belle vint à explorer lintérieur de mon boxer, extirpant selon son désir mon sexe rayonnant, en érection :
- « Il y a du grabuge dans le caleçon, dirait-on », plaisanta ma chérie dans le creux de mon oreille.
- Si tu continues comme ça, tu vas atteindre le point de non-retour.
- Jy compte bien, ajouta-t-elle.
Ma chérie prit les devant, et sassurant quil ny avait personne dautres que nous dans les parages, me suça divinement bien. Je voyais et jobservais mon sexe entier qui disparaissait dans sa bouche. Ses mouvements étaient amples et lents. Elle me jeta un regard furtif un instant comme pour sassurer que je prenais bien du plaisir, puis reprit son activité, le regard tourné vers lhorizon.
Nous étions allongés lun contre lautre, sur le dos. Ma belle était penchée vers moi, vers mon sexe plus exactement, la tête appuyée sur mon bas-ventre. Elle était située sur ma droite et de là où nous étions, on contemplait lhorizon, le terrain étant un peu en pente et particulièrement dégagé.
Comme à mon habitude, jen voulais plus : la prendre là, sauvagement, en levrette et la baiser bien profondément. Mais lheure nous manquait. Il nous restait que quelques minutes avant de rejoindre les autres, au campement. Ma chérie fit savoir quil ne serait pas raisonnable daller plus loin dans nos ébats tout en continuant son travail de succion. Son rythme était harmonieux. Elle me faisait du bien et était si belle que je relevais de la main droite ses cheveux tombant devant son visage. Je voulais la regarder et je nétais pas déçu. Je pris donc sa tête de la même main, mes doigts dans ses cheveux, en lui disant :
- Vas-y ! suce mon moi plus fort, chérie !
Ma chérie accéda la cadence. Ma queue glissait dans sa bouche, faisant un ou deux aller-retours par seconde, plusieurs fois comme cela. Je sentais la pression monter dans ma tige.
« - Encore, chérie, encore ! », lui dis-je.
Dans un râle bestial, je sentis ma semence remonter de lintérieur de ma verge. Par soubresauts, jéjacula quelques grands jets de sperme chaud sur la bouche et sur le visage de copine. Il était quatorze heures moins dix, il était temps pour nous de rejoindre le groupe.
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