Puceau À Déniaiser.

Puceau à déniaiser.

Joris sourit et réplique :

- Mes chers amis, merci de vous soucier de ma vie intime. Vous savez que je suis jeune, j'ai programmé le déroulement de ma vie, y compris de ma vie amoureuse et chaque chose viendra en son temps. Physiquement ou intellectuellement, je pense faire partie des garçons normaux, de ceux qui trouveront une compagne conforme à leurs souhaits sans difficulté particulière. Toutefois si vous pensez avoir découvert la perle rare, je suis disposé à étudier ce phénomène, convaincu de votre bon goût et de votre sagesse.

- Notre but n'est pas de te présenter une future épouse. Je t'ai posé un certain nombre de questions à la limite de l'indiscrétion. Tes réponses ont confirmé ce que Mia m'avait rapporté au sujet du dernier embauché de votre entreprise. En femme expérimentée elle a remarqué que ta solitude n'est pas à mettre uniquement sur le compte de ton dépaysement. A ses yeux tu n'es pas à l'aise en présence de la gente féminine. Une attitude trop réservée pourrait nuire à ta carrière. Mia préconise d'améliorer tes relations par une meilleure connaissance du beau sexe

- Ce qui réclame selon toi, chère amie, quelle thérapie, amie Mia ?

- Oh ! il s'agit de travaux d'approche qu'il serait prétentieux de considérer comme une thérapie savante. Ils ont un caractère empirique. Non, j'ai consulté Jean et je lui ai demandé s'il n'était pas en notre pouvoir de te donner plus de confiance en toi, plus d’assurance par des moyens simples, naturels. La confiance peut résulter d'une meilleure connaissance en commençant par ce qui est facile. Autant il est difficile de sonder les reins et les coeurs, autant il est facile de saisir la réalité des corps.

- C'est une évidence, quoique la vie en société impose une conduite correcte. On ne voit jamais tout d’un corps. Sous les vêtements on ne peut que deviner.

- Tu soulèves un premier obstacle très réel.

Et c'est à celui-ci que Mia veut faire un sort. Car il est facile en groupe restreint de le lever. Tu connais Mia assez bien pour la fréquenter au travail. Est-ce que, malgré son âge, elle correspondrait à tes goûts ? Te faudrait-il peut-être une personne plus jeune ?

- Hélas : Oui ! Oui Mia me conviendrait parfaitement Mais toi Jean, tu as pris de l'avance sur moi. Mia n'est malheureusement plus sur le marché puisqu'elle est à toi. Son physique est plus que plaisantelle est adorable, merveilleuse et elle présente des qualités morales peu communes. C'est mon idéal féminin, hors de portée et je le regrette.

Joris a un regard attendri vers sa voisine assise dans le fauteuil pendant sa réponse. Nous sommes sur la bonne voie. Je peux risquer un pas de plus.

- Or que connais-tu d'elle ? As-tu vu ses seins, les parties cachées de son corps ? Non puisque la vie en société ne le permet pas. Mais ici, à l'abri des regards Mia veut bien te révéler un corps de femme sans mystère, le sien. Si tu le désires, elle se tient à ta disposition ? Dès que tu en exprimeras le souhait, tu pourras la déshabiller et examiner de près ce que tu n’as jamais vu et qui est certainement différent de ce que tu as pu deviner ou imaginer.

-Mia es-tu vraiment d’accord avec le discours de Jean ? Où est le piège ? Cette offre est à peine croyable. Le plus surprenant tient au fait que cette solution soit présentée par ton mari. Il est certainement un mari tout à fait exceptionnel. J’ai du mal à m’imaginer en train d’offrir ma future femme à quelqu’un que je rencontrerais pour la première fois. Franchement, Jean, penses-tu ce que tu racontes ?

-On pourrait en discuter longuement. Faisons fi des palabres interminables. Passons à l’action si tu le veux. A l’expérience vécue tu constateras mon consentement. Je ne saurais rien refuser à Mia. Sa requête franche mérite le respect. Elle a été très claire, elle n’agit pas sournoisement, je lui accorde ma confiance d’autant plus qu’elle m’invite à assister à ton initiation et même à y participer.
Je suis fier du rôle de témoin et d’assistant que Mia me confie.

-Alors non seulement tu admets et autorises cette entreprise, mais tu comptes y prendre part. Je tombe des nues ! Tu es un époux formidable, un compagnon extraordinaire. Je serais un ingrat si j’osais repousser vos marques d’affection et d’amitié. Votre générosité me condamne à me soumettre à votre traitement. D’abord je dois remercier Mia pour l’abnégation dont elle fait preuve pour voler à mon secours. A toi Jean, avec mes félicitations, tous mes remerciements. Comment pourrai-je vous témoigner ma reconnaissance sinon en vous obéissant.

-Bravo, cher ami, tu sais te décider rapidement. Mia veux- tu nous rejoindre ? Levons nous cher ami. Après cette formation, tu verras venir avec plaisir une jeune fille au lieu de craindre son approche. Vois comme j’accueille ma chérie. Elle avance vers moi. Je lui tends les bras, je l’étreins. Son bonheur est visible. Je la serre dans mes bras et tout naturellement je l’embrasse. Maintenant à toi de jouer. Ouvre les bras et reçois Mia contre ton corps.

-Ah ! Je peux vraiment ? Comme ça ?

- Bien sûr. Mais ne sois pas hésitant. Presse-la contre toi, serre plus fort, Mia n’est pas en sucre. As-tu peur de l’embrasser ? Pose tes lèvres sur son visage, sur le front, sur le menton, sur les joues, sur le coin de la bouche. Allez, courage. Mia te tend ses lèvres, qu’attends-tu pour t’en emparer. Mais si… enfin. Ah ne quitte pas si longtemps. Laisse-moi la place et regarde bien comment un amoureux embrasse son amoureuse.

La démonstration est un modèle du genre. Le bouche à bouche avec Mia avec ses contorsions, ses arrêts et reprises, le jeu des langues intrusives produit sur moi des réactions qui peuvent échapper à l’observateur. Je bande contre le ventre connu. Je me détache et j’invite d’un geste de la main le timide à reprendre place et à recommencer la scène du baiser. Mia guide le néophyte et l’encourage. Son ardeur pour transmettre son savoir ne m’étonne pas et instinctivement mon regard se porte sur l’avant du pantalon de Joris.
Timide ou pas, il bande lui aussi et se frotte au bassin offert au contact. Il est doué l’animal et je commence à me poser des questions. N’allons-nous pas trop vite et trop fort ? Comment Mia reçoit-elle ce double hommage du baiser profond et de la raideur appliquée à son ventre de femme chaude ? J’interviens car il faut avancer, je reprends ma démonstration :

-Pendant le baiser qui trouble ta partenaire tu dois mettre à profit ton avantage. Tes mains s’activent, déboutonnent la blouse comme cela, tes lèvres continuent le baiser. Tu fais tomber la blouse, tu cherches le zip de la jupe avant d’aller dégrafer le soutien-gorge entre les omoplates. Mis je te laisse le plaisir de découvrir. Retourne à la tâche.Reprends les étreintes, les baisers lascifs et débute le déshabillage.

Son érection le gêne, il voudrait un temps de répit. Je m’amuse à le pousser dans les bras de ma belle. Elle l’a voulu, elle aime son rôle, je le lis dans l’eau de ses yeux. Ma bite dure puis celle de Joris ont ren les effets sensuels des baisers. Mia se prête à un renouveau, perd blouse et jupe malgré la maladresse de Joris. Quand il s’embrouille elle ajuste ses mouvements et finalement le puceau se retrouve dans les bras d’une femme heureuse de se retrouver en petite culotte. Joris m’interroge du regard.

-C’est bien, mais prends du recul et contemple. Ne va pas trop vite, savoure l’acquis. Garde la petite culotte pour après. Que penses-tu des seins de Mia ?

-Ils sont plus imposants que je les imaginais. Mais ils sont beaux.

-Tu les as effleurés pendant le déshabillage. Caresse-les, soupèse-les et dis-moi ce que tu remarques. Va, ne demande pas toujours ou ma permission ou l’autorisation de cette belle femme. Tout cela est acquis Tout est permis, tout est possible. Seule l’excès de précipitation est interdit. Alors ?

-Mon Dieu, c’est si doux et si ferme à la fois. Sous ma main les pointes plus sombres durcissent. Je suis bouleversé.
Je les garderais ainsi pendant des heures. Mia tu es magnifique.

-Ah ! Tu sais apprécier. Il y a pourtant mieux à faire. Embrasse le velouté de leur peau. Oui, fais-en le tour. Arrête-toi sur le tétin raidi et suce doucement comme le ferait le bébé nourri par sa mère. Tu as comparé ta collègue à une mère, sois son et tète ses seins. La sens-tu frissonner ? Le plaisir déferle déjà sur elle. Devant toi elle est presque nue. Il serait équitable qu’à son tour elle retire tes vêtements. D’accord ?

-Et tu continues à regarder ?

-Cela fait partie de notre accord. Sois sans crainte, je ne te toucherai pas. Mia te montrera comment elle sait déshabiller et exciter en même temps. Profite bien de ses dons singuliers. Un jour peut-être transmettras-tu son art à une fille aimée. Mia…

Il est inutile de la prier. En peu de temps chemise, pantalon disparaissent. Quand le torse du héros est libre Mia y applique des baisers fiévreux des épaules à la ceinture du slip. Elle accorde un traitement de faveur aux tétons du garçon surpris de connaître des ressources insoupçonnées à ce niveau. Le soin que ma femme apporte à sa tâche me paraît excessif. Enfin, il faut bien qu’elle y prenne aussi du plaisir. Elle n’a besoin d’aucun ordre ou d’aucune recommandation pour s’attaquer au slip du jeune homme. Quand il sent descendre son dernier voile il a un mouvement de panique et je comprends vite son embarras. Le traitement subi l’a mis dans un état exceptionnel. Joris bande. Et comment ! Depuis le début de l’opération ses sens ont été soumis à rude épreuve. Or le timide jeune homme est un cas. Son membre est de taille supérieure. Que pourraient lui apporter les aphrodisiaques. En face du sexe développé Mia est surprise, semble avoir attendu une verge à dimensions plus modestes. Son index désigne l’objet du désir et elle se tourne vers moi pour déclarer :

-Ca alors. Jean vois-tu ? Qu’il est beau. J’ai envie d’y goûter.

Sa main gauche va et vient sur la tige épaisse et longue, sa main droite empoigne le scrotum lourd et ses lèvres se dirigent vers un gland en majesté, plus large que la hampe qu’il couronne. Les yeux pétillants Mia ouvre grand la bouche, sort sa langue pour humecter le tour de cette extrémité imposante. Elle étale sa salive sur toute l’étendue de ce sceptre adorable. Elle lui prodigue caresses et suçons, le secoue avec bonheur, s’assure de sa solidité et admire sa raideur. Souvent elle me regarde pour me communiquer son contentement. Ce dernier coup d(œil quémande le droit d’enfourner l’engin. Je souris, impuissant devant l’envie manifestée par ma future devenue femelle en rut. Je hoche la tête. Mia interprète ce mouvement de doute comme un ordre d’avaler.

Les doigts s’activent tout au long du tube de chair, le nœud entre un peu, recule puis se cache dans la cavité buccale, sort partiellement, avance de plus en plus. Les joues enflent à tour de rôle sous la poussée. Mia tente une gorge profonde, le type tressaille, repousse la tête dans un premier temps puis au contraire ses mains plaquées dans la chevelure appuient sur le crâne. Les lèvres féminines s’écrasent dans les poils du pubis masculin. Joris grogne comme un ours, Mia se retire brusquement, bave aux lèvres, tousse et recrache des glaires. A ce moment le sexe tendu et revenu à l’air libre est pris de spasmes, vomit une écume blanchâtre et éclabousse de sperme les yeux et la face de sa bienfaitrice.

Joris s’excuse, se dit confus. Mia rayonne de bonheur, me désigne le résultat sur son visage, triomphe en femme convaincue d’avoir accompli son devoir. Hélas le sexe de Joris revient à la normale. Remise de ses émotions ma femme tente de le réanimer. Curieusement chaque début d’érection est immédiatement suivi ‘une rechute. J’ai pitié de la gêne du malheureux héros devant son incapacité à reprendre forme. Rien n’y fait, ni fellation, ni masturbation ni exhortations. J’invite Mia à la patience ?

Voilà un grand pas franchi. Que diriez-vous de reporter à dimanche soir la suite de cette formation.

L’annonce satisfait les deux parties. Il y aura une suite. Ils reprendront ce qui est connu et dès demain poursuivront cette fabuleuse initiation. Joris et Mia rhabillés me remercient chaleureusement. Dois-je être heureux? Dois-je me faire du souci ? J'ai de quoi méditer ce soir. Maîtresse et élève ont paru si déçus d'entendre siffler la fin de la partie.

Mes lecteurs auront compris que ce texte fait suite aux trois précédents sous un titre nouveau

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!