Collection Cocu. Le Poulain. Début De La Saison Iii (9/12)
Saison III, je me suis remis au travail pour mettre sur le papier des chapitres de mon histoire sur le poulain que mon beau-père et comme je le dis souvent dans la saison II, amant mort hélas dune maladie.
Nous lavons fait incinérer et comme ses volontés me le demandaient jai eu lidée denterrer son urne au centre de son haras plus précisément au centre du manège.
Il marrive daider les palefreniers à faire travailler les chevaux soit dont mon fils est le propriétaire soit des chevaux placés chez nous pour les entraîner.
Quant au long de leur longue longe, je pivote sur moi même chaque fois je pense que je piétine les restes du Duc bien protégé par dans sa boîte.
Ce matin dimanche, je me suis mis au fourneau pour faire des crêpes pour mon fils Jules et Duchesse sa sur.
Je devrais dire demi-sur car Jules est le fils de Louis mon mari parti avec Lucretia dont jhésite à parler de mâle ou de femelle faire le tour du monde sur le voilier offert par le Duc.
Duchesse est la fille de son père le Duc à qui jai appartenu quand jai compris que mon mari avait des murs dites spéciales.
Je vous ai laissé dans la forêt qui longe notre domaine quand Jules un peu plus de huit ans sur son poney a voulu faire la course que jai perdue lamentablement à cause dun jeune con.
Pardon, de Tanguy un jeune handicapé ayant environ mon âge se promenant sur son fauteuil à moteur avec ses deux jambes coupées.
- Mère, il faudrait que vous perdiez plus souvent, vos crêpes sont excellentes.
Vous auriez dû faire acheter de la pâte à tartiner ça aurait été meilleur.
- Jules, ces pâtes à tartiner resteront chez les marchands, nous qui vivons au milieu de la nature il faut savoir la préserver, ces produits la ravagent.
La maîtresse te lapprendra quand tu seras plus grand.
Jules en reste là, jen ai assez de voir mon fils se prendre pour plus grand que son âge mais je sais que je dois lélever sans un père pour lui montrer lexemple.
Je les couche pour faire la sieste, avec du mal une nouvelle fois mon fils se dit trop grand pour ces moments de repos.
Il reste des crêpes, jai une idée.
- Sonia, peux-tu venir garder mes s, je dois aller voir quelquun ?
- Marie, je suis avec Poupette, tu peux te douter que jaurais du mal à venir, dommage je taurais bien rendu service.
- Je vais appeler Ashley, je sais que cest son jour de congé mais elle peut avoir envie de me rendre service.
- Euh
Je comprends ce que veux dire ce « Euh » connaissant nos deux petites perverses.
Jai formé un trio avec elles et aujourdhui cest Ashley qui si colle.
Il fait beau, je sors sur le perron.
Wanda fait travailler Jupiter sur le manège à la longe.
Palefrenier cest un travail qui est une vraie abnégation les chevaux ignorent le jour du seigneur.
Je mapproche et je la regarde travailler.
Elle raccourcit la longe et vient me saluer.
- Vous avez lair soucieuse Marie ?
- Javais une visite à faire, ma belle-mère est chez des amis et Sonia chez
- Sa maîtresse tout se sait.
- Oui avec Ashley, mais s sont couchés.
- Je viens de finir de faire travailler Jupiter le cheval de Jules votre fils, le temps de me changer et je viens les garder.
- Vous êtes gentille, je vous revaudrais ça.
Une demi-heure, elle arrive et je lui fais voir la télé mais elle a amené un livre.
Mes crêpes dune main et mes clefs de voiture de lautre, je prends la route me faisant contourner la forêt.
À sa sortie, une maison.
Jentre dans la cour.
Comme de nombreuses maisons en Normandie, les barrières blanches sans portail sont légion.
Je descends et je sonne.
- Vous venez mengueuler jusque chez moi ?
- Non, vous avez été charmant dans la forêt alors que jai été exécrable.
Jai fait des crêpes pour mes s et jen ai fait quelqu'une pour vous pour me faire pardonner.
- Entrez Duchesse, je faisais ma culture physique.
Dans la forêt !
Cest vrai que jai été une véritable peste avec ce garçon amputé de ses jambes.
C'est le fait d'être tombée qui m'a vexé surtout que mes affaires étaient salies et aussi parce que j'étais sûr de perdre mon pari qui me permet tout de même de venir mexcuser.
Je métais calmée et jai su quil habitait à la sortie de la forêt opposée à notre haras.
Voyant que je regardais ses jambes, il ma expliqué quà ses 18 ans, cétait un chien fou qui avait voulu épater une jeune pucelle et quil avait loupé un virage.
Elle sen était sortie et lui avait eu les jambes coincées par la tôle obligeant à être amputé.
Son immobilisation lui avait permis de vivre de sa passion, lécriture.
Il est auteur de polars qui marchent du feu de Dieu.
Cest quand jai voulu repartir que jai vu le problème que javais et il la vu aussi.
Au haras, il y a un banc pour monter sur les chevaux.
Ici, impossible aucune possibilité la marche est trop haute.
Cest là quil a été charmant.
« Mettez votre genou dans ma main, je vais vous hisser pour que vous puissiez remonter sur votre monture. »
Cest ce quil a fait me montrant que si ses jambes étaient inexistantes, ses bras et son torse étaient surdimensionnés.
Ça sétait dans la forêt lors de notre rencontre.
Revenons au moment présent.
Je suis avec mon plat de crêpes à la main.
Lui est dans un fauteuil manuel et après que j'entre, il me suit.
Dans la salle, une véritable salle de musculation.
- Je peux vous poser une question ?
- Bien sûr !
- Vous vous êtes trompé, Duchesse cest ma fille, moi cest Marie.
- Je sais, pour commencer nous avons le même âge je te tutoie, fait de même ça enterrera la hache de guerre.
Duchesse, cest le nom que les gens te donnent dans le village.
Ma cousine travaille à la mairie et est une véritable pipelette.
Cest elle qui a reçu le Duc juste avant sa mort et qui a enregistré ta fille.
Elle a su quil la reconnaissait comme sa fille tu avais donc cocufié ce phoque de Louis.
- Ce phoque ?
- Un PD, un homme, les gens du village depuis quil était adolescent savaient quil préférait les verges au sexe féminin.
La seule chose que le village ignore, cest si ton fils est aussi celui de Duc qui tirait toutes les gonzesses même celle à cause de qui je me suis retrouvé dans cette chaise roulante.
- Tanguy permet que je garde ça pour moi, bien que depuis notre séparation, Louis mest complètement indifférent.
- Tu as raison, cest ma devise, « toujours regarder devant ».
Assieds-toi, voyons si ces crêpes sont aussi bonnes que celles de ma maman.
Jai du cidre, ça va faire le complément.
Il tourne ses roues, va dans son frigo et revient avec deux verres.
Je me rends compte quil bande dans son short.
- Excuse, cest une suite de mon accident, à tout moment jai limpression de sentir mes jambes et ça entraîne une érection.
- Mes toubibs cherchent et à ce jour impossible de comprendre ce phénomène.
Ça moblige à rester chez moi ou de sortir comme lautre fois sur mon fauteuil électrique.
Tu as vu, javais une couverture sur mes genoux.
Je pense que si tu avais regardé dessous jétais dans la même situation.
- Comment fais-tu dans ces cas-là ?
- Je vais être franc, je me masturbe.
Quelle femme accepterait de vivre avec un infirme.
- Tu es infirme par tes jambes, mais pas avec ce que je vois.
Veux-tu que je taide, mais il y a un mais !
- Lequel ?
- Je veux vivre ma vie sans aucune attache à ce jour.
- Je te comprends.
Je passe main sur le short de Tanguy.
Sans la voir je sais que c'est la plus belle qui va mêtre donné de voir.
Il me la sort, javance ma main puis ma bouche et je le pompe du mieux que je peux.
Plus de cinq minutes, il est résistant.
- Marie, viens dans ma chambre, depuis mon accident tu es la première qui soccupe de ma verge.
Je me lève et je pousse son fauteuil vers le couloir.
Depuis John, aucun homme.
Devant mes yeux, la bite qui va venir en moi doit au bas mot.
- 25 sur 6.
Je sens que tu la regardes, si tu savais depuis lhôpital si je souhaite avoir le regard de femmes sur ce morceau de roi.
- Garde ton souffle, je vais essayer de te satisfaire.
- Merci a ton cheval davoir fait une embardée Duchesse.
On entre dans sa chambre.
Il semble vouloir garder Duchesse comme mon nom.
Pourquoi le contredire surtout quand on a devant soi une bite
Pardon, jallais dire « sur pied ».
Là encore, la chambre est aménagée pour y mettre son fauteuil et une corde pend du plafond jusquau lit.
Il se soulève ôte son slip et son tee-shirt me montrant sa musculature irréprochable.
Je comprends le banc dans la salle avec ces haltères reposant sur des trépieds.
Voulant mimpressionner pendant que je me déshabille, il empoigne la corde se hisse sur le lit avant de monter jusquau plafond avant de redescendre.
À mon tour je viens sur le lit, javance ma chatte et je la pose sur sa bouche.
Sil lui manque des jambes coupées quelques centimètres sous les genoux, il a des mains qui écartent ma chatte et trouve mon bouton.
Pour la première fois de laprès-midi avançant, je jouis.
Mon Dieu que les femmes sont connes davoir des regards déplacés pour ceux que la vie a frappés
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