Madame Leconte (3) : Épilogue

Je réalise que je viens de vivre un moment magique et je savoure l’instant. Après avoir rêvé pendant des années à ma voisine Mme Leconte, je viens de faire l’amour avec elle deux fois en un peu plus d’une heure, et j’ai encore du mal à réaliser. La première fois, j’étais à l’initiative, la deuxième fois c’était nettement l’inverse, mais dans les deux cas, c’était aussi bon que dans mes fantasmes. Je n’ai que 19 ans, mais j’ai l’impression d’avoir vécu quelque chose de fort cet après-midi. Je suis sur un petit nuage.
Nu et allongé sur le lit, je reprends mon souffle et mes esprits et essaie de mettre de l’ordre dans mes idées. Comment en suis-je arrivé là tout d’un coup ? Mystère … C’est peut-être ça, profiter de l’instant présent. Être à l’écoute, savoir prendre des initiatives ou au contraire se laisser aller à l'instant qui passe.
J’entends l’eau qui coule. Mme Leconte est en train de prendre une douche. Moi, toujours immobile, allongé, je me dis que je viens de vivre un moment hors du temps. Je suis bien, comblé, heureux, détendu et pourtant j’ai une impression d’inachevé et une légère inquiétude. Ce genre de moment peut-il se reproduire ? Peut-il se prolonger ?
Elle est sous la douche, dans la pièce d’à côté. L’eau chaude coule sur sa peau, elle se savonne, elle passe ses mains sur son corps … Et moi je suis là, comme un con, et je rêve déjà à elle, à ce que je viens de vivre. C’est pas possible, ça ne va pas !
On ne change pas une équipe qui gagne, surtout quand les conditions sont favorables, comme en ce moment. Si je peux encore la voir nue un petit peu, faut que j’en profite. C’est maintenant ou jamais. Pas sûr que l’occasion se présente à nouveau. Je suis déjà en manque. Si je veux avoir le moindre espoir de goûter encore la douceur et la sensualité de son corps, c’est tout de suite. Bon, certes, ma virilité est réduite à pas grand-chose : cinq minutes après avoir éjaculé, je ne suis pas à mon avantage, mais là n’est pas la question.

J’ai envie de chaleur, de douceur, de sensualité, … J’ai encore envie d’elle, mais pas ment pour la baiser. Bon, j’y vais !
Je rentre dans la salle de bains. Je crie pour qu’elle entende bien : « Mme Leconte, c’est moi ! ».
Elle répond : « Qu’y-a-t-il, Thomas ? »
J’ai une intuition. Je me dis que si je lui demande l’autorisation de prendre ma douche avec elle, je m’expose presqu’à coup sûr à un refus. Faut que je fasse autrement. Je vais essayer d’être simple, direct, authentique.
- « Je viens prendre ma douche avec vous. »
- « Mais enfin, Thomas … »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je l’ai prévenue que j’arrivais, je suis donc un vrai gentleman. Par contre, faut pas qu’on commence à discuter, sinon je vais encore m’embrouiller et avoir le dessous. Je tire donc le rideau sans lui laisser le temps de répondre négativement. Elle est visiblement surprise et peut-être un peu contrariée, mais finalement pas tant que ça, j’ai l’impression. Je rentre dans la douche sans hésiter. Il y a de la place, mais quand même, à deux, ça fait un peu juste. Mme Leconte se cache un peu les seins avec ses bras et le pommeau de douche qu’elle tient à la main, recule un peu mais n’a pas l’air si fâchée. J’ai même l’impression qu’elle esquisse une sorte de moue qui ressemble vaguement à un sourire.
- « Si je comprends bien, Thomas, tu veux proposer tes services pour me frotter le dos, c’est ça ? Tu aurais pu attendre que je te le demande, quand-même ! »
- « Oh, je suis désolé … »
Non, c’est pas possible, ça doit faire cinq ou six fois depuis tout à l’heure que je répète que je suis désolé, alors que c’est exactement le contraire. Il va falloir que je trouve une autre formule. Bon, on verra ça plus tard. Dans l’immédiat, faut que j’enchaîne aussi vite que possible …
- « … Mais, oui, vous avez raison … Tournez-vous, je vais vous faire le dos … »
- « J’espère que cette fois tes intentions sont pures ! Tu n’oserais quand même pas profiter de la situation comme tout à l’heure !? »
Tout en disant ça, elle me tend le savon et me regarde avec un petit air moqueur, puis se tourne et me présente son dos.
Elle se fout visiblement de ma gueule, et moi, tout ce que je trouve à dire, c’est :
- « Oui, oui, enfin, je veux dire, non, non … Vous pouvez me faire confiance, Madame. »
C’est pas possible, elle me fait perdre tous mes moyens, cette femme. J’ai beau l’avoir baisée deux fois de suite, je me sens toujours comme un gamin devant elle et incapable de la tutoyer. Et puis, elle me déstabilise. C’est vrai que mes intentions étaient (presque) pures il y a encore quelques instants, mais quand je vois son sourire coquin et son corps qui s’offre à nouveau à mes mains baladeuses, j’ai tout de suite des pensées lubriques et un seul regret : si je le pouvais, je me la ferais bien une fois de plus !
C’est parti, on va rejouer le coup de tout à l’heure quand je lui tartinais le dos de crème, mais il y a des différences : nous sommes nus tous les deux, et ça se passe dans une douche, avec du savon. Autre différence : je suis en pleine débandade.
Elle me présente son dos, ses hanches et ses fesses. Qu’est-ce qu’elle est bien foutue, c’est vraiment pas possible. Bon, c’est parti : je commence par lui savonner les épaules, mais je n’ai d’yeux que pour son dos, ses hanches et, surtout, son cul ! J’espère que je vais pouvoir la savonner par-là bientôt … Mmmm, c’est doux, c’est chaud, ça glisse avec le savon. C’est super excitant, de savonner le corps d’une femme. Voilà que je me remets à avoir des pensées lubriques. En plus, j’ai même l’impression qu’elle s’amuse à m’allumer : elle ondule au fur et à mesure que je lui savonne le dos, elle se penche même en avant comme pour faire ressortir ses fesses. Elle voudrait m’exciter, me mettre au défi et me ridiculiser qu’elle ne ferait pas autrement. Quand je descends vers sa taille, puis ses reins, elle soupire et ronronne comme pour me provoquer, se cambre un peu plus pour mettre son cul en valeur. J’ai l’impression qu’elle me dit « Alors mon petit Thomas, alors mon petit cochon, on n’a pas les moyens de ses ambitions ? »
Les femmes, c’est mieux conçu que les hommes : elles peuvent avoir des orgasmes multiples, recommencer à faire l’amour dès qu’elles en ont envie.
Pour nous les hommes, c’est pas pareil. Quand je la vois et que je la savonne, je n’ai qu’une envie : la pénétrer encore une fois, là, maintenant, tout de suite, et la faire gémir sous mes coups de queue. Oui, mais j’ai beau y penser et en rêver, je ne bande plus. Deux fois coup sur coup : résultat, je suis tout mou. Le monde est mal fait.
Ah, la salope ! Voilà qu’elle se cambre encore plus au moment où j’arrive sur ses reins, comme si elle voulait m’offrir son cul. Du coup j’y vais : je commence à lui savonner les fesses. C’est génial, elle ondule sans se refuser, alors je continue, j’essaie même d’être un peu plus impudique et de lui savonner la raie des fesses. Mais là, tout à coup, réaction : elle sursaute et s’exclame :
- « Oh, Thomas ! Moi qui pensais pouvoir te faire confiance ? ! … »
- « Oh, pardon, Mme Leconte, je suis désolé … » (décidément, je suis incapable de dire autre chose que « Je suis désolé »)
- « Espèce de petit cochon, tu n’as pas honte ? Bon, ça suffit maintenant … »
Elle se tourne vers moi. Je ne sais pas si elle est fâchée ou si elle plaisante à moitié. Quand elle me fait face, mes yeux tombent inexorablement sur ses merveilleux seins. Je suis hypnotisé.
- « Mais c’est pas possible, en voilà un obsédé ! Veux-tu bien te retourner ! »
À contrecœur, je me retourne, la mort dans l’âme, persuadé que tout est fini. J’ai tenté ma chance une fois de plus, mais cette fois, c’est une fois de trop. Je n’ai pas dû faire le bon truc et c’est foutu.
- « Bon, maintenant, tu regardes le mur et c’est tout. Cette fois, c’est moi qui te savonne le dos, un point c’est tout. Je ne suis pas sûre que tu le mérites, mais bon … »
D’accord, ça vaut mieux que de recevoir une gifle, mais pour l’instant, c’est pas terrible : je louche sur le carrelage de la douche en attendant la suite. Non seulement je ne peux plus la toucher, mais je ne peux même plus la voir. Quelques secondes plus tard, ça va un peu mieux : je sens ses mains sur mes épaules, elle se décide à me savonner.
Elle alterne : un peu fort par moments, plus doux à d’autres. Je ne sais que penser. Je me raidis un peu, pas trop à l’aise. La situation est bizarre, quand même.
- « Tu es drôlement musclé mais raide comme un bout de bois. Détends-toi donc, tu es tout crispé. Voilà, c’est mieux, laisse-toi aller … »
Je me décrispe un peu. Je crois que personne ne m’a savonné depuis que je suis bébé. Ça remonte à loin, quand même, et ça explique mon appréhension. Elle descend le long de mon dos. Mmm … Pas désagréable. Elle ralentit, fait des ronds, monte, descend, va sur le côté. Oui, ça c’est bon, j’aime … Je ferme les yeux et me décide à me laisser aller. C’est vraiment pas mal de se laisser faire, surtout quand on sent une main douce qui vous masse, vous caresse et glisse sur votre peau pleine de savon … J’adore !
Maintenant elle descend plus bas, sur mes reins, toujours plus bas … Je me raidis un peu …
- « Mais en voilà un garçon tout crispé ! Veux-tu bien te détendre ! »
J’obéis, tout en restant sur la défensive. Maintenant, elle commence à passer mes mains sur mes fesses et je sursaute. La réponse ne se fait pas attendre :
- « Alors, jeune homme, on ne supporte pas le renversement de situation ?! Si jeune et déjà macho ! »
J’ai compris le message et je prévois déjà la suite : en fait, elle veut me donner une leçon. Bon, je crois que je l’ai méritée et qu’il vaut mieux ne pas protester, sinon ça va être pire. Maintenant elle commence à me savonner les fesses franchement et ça me fait vraiment tout drôle. Tout mon corps se rebiffe et je ne peux m’empêcher de me raidir.
- « Mais c’est pas possible ! Veux-tu bien te laisser faire ! En voilà un drôle de comportement. On veut palper les fesses des femmes et on ne supporte pas la réciproque ?
- Bon, je crois que je n’ai pas le choix, il vaut mieux obéir. Je me laisse donc faire en essayant de me détendre, mais ce n’est pas facile. Elle n’a pas tort, finalement : si ça me parait normal de caresser les fesses d’une femme, par contre je ne suis pas habitué ni même prêt à renverser les rôles. Entre chatouilles, crispations et sursauts, j’essaie de m’abandonner un peu et de me maîtriser. Je finis par y arriver et même à trouver ça plutôt agréable, sensuel, voire excitant. Enhardie par ma passivité, elle revient me savonner la raie des fesses. Cette fois, j’arrive à mieux supporter mais tout à coup elle me prend par surprise : elle s’arrête sur ma rondelle, et, avant que j’aie eu le temps de réaliser, me rentre un doigt dans le cul ! Je ne peux réprimer un « Oh ! » de surprise tant cette intrusion me parait incongrue. Je ne sais que dire ni que faire. Elle s’immobilise avec son doigt dans mon cul.
- « Mmmm … Tu vois, moi aussi je suis capable de faire des explorations poussées … »
Maintenant elle bouge tout doucement son doigt et l’effet est terrible : des sensations inédites me submergent que j’ai du mal à décoder. En fait j’ai plutôt honte qu’autre chose parce que je m’aperçois que ça me plait énormément. Elle doit s’en rendre compte et me taquine déjà :
- « Alors, te voilà bien silencieux … Je parie que tu apprécies le traitement, petit cochon ! »
- « Ohh … Je … Mais, … Madame Leconte … »
Elle a raison, j’apprécie vraiment. C’est génial, c’est divin. Elle profite de mon trouble et de ma passivité pour commencer un lent va-et-vient dans mon cul, comme pour simuler un coït. Plus ça va, plus j’ai honte de me trouver dans cette situation dégradante, et pourtant je ne fais rien pour que ça s’arrête. Elle semble lire dans mes pensées :
- « Mmmm … Oh, le petit coquin qui se laisse faire et qui aime ça ! Tu as de la chance que je ne sois pas équipée pour aller au-delà, tu aurais peut-être passé un drôle de moment … »
De mieux en mieux : décidément, je découvre Madame Leconte sous un jour que je ne m’imaginais pas. Moi qui la prenais pour une femme réservée et respectable, je tombe de haut. J’ai l’impression que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre sur les femmes ! Mais surtout je m’aperçois que les sensations que me procure son « doigtage » sont si intenses que je n’ai aucune envie de m’y soustraire. Et ça va même au-delà puisque je commence à sentir un frisson qui me traverse de part en part. Elle est en train de réveiller dans mon bas-ventre des sensations que je croyais endormies pour des heures. Comme si cela ne suffisait pas, elle me caresse les fesses avec son autre main, puis passe sur le côté et le long de ma cuisse pour remonter vers mon entre-jambes. Elle va, elle vient, monte, descend, explore. Quand finalement elle atteint mon sexe, ce dernier a déjà repris un peu de volume et de consistance.
- « Oh, mais en voilà un pervers lubrique ! Encore en train de bander !? »
Ce petit jeu qu’elle me fait subir et cette façon de me taquiner me plaisent et m’excitent à la fois. Maintenant elle prend mon sexe dans sa main et commence une lente masturbation tout en continuant à me doigter le cul. Je ne sais plus que faire ni comment réagir, mais c’est elle qui finit par prendre une initiative. Elle sort son doigt de mon cul (quel dommage !), puis me retourne pour que je puisse lui faire face (quel bonheur !), et, finalement, prend le pommeau de la douche et me rince à l’eau chaude. J’ai à peine le temps d’être déçu qu’elle annonce la suite :
- « Voilà ! Propre comme un sou neuf, et appétissant à souhait … »
À peine a-t-elle dit ça qu’elle me jette un regard malicieux et s’agenouille, puis, le plus naturellement du monde, me prend le sexe dans sa main et l’approche de sa bouche. Quand finalement je sens ses lèvres se refermer sur ma queue, je ne peux m’empêcher de soupirer et de gémir. Me voilà retourné au septième ciel ! Je suis totalement à sa merci mais c'est avec délectation que je me laisse ainsi faire. C'est ma première fellation, et j'ai l'intuition que je ne suis pas prêt de l'oublier. Ma queue est prisonnière de sa bouche chaude, humide et sensuelle. Elle imprime un lent va et vient, joue avec ses lèvres et sa langue tout en me caressant les testicules. Soumise à ce traitement, ma queue continue de grossir et de durcir. Sa deuxième main vient soutenir l'entreprise en me branlant la tige. J'ai perdu toute notion du temps et tout contrôle de mon libre arbitre. Je me contente de soupirer et de gémir et je comprends enfin pourquoi tous les mecs fantasment tellement sur l'idée de se faire sucer. C'est vraiment trop bon !
Et puis tout à coup voici qu'une de ses mains se fait baladeuse et glisse dans la raie de mes fesses, puis vient me titiller la rondelle. Je sursaute un peu et pousse un "Oh !" d'indignation peu convaincant, mais je suis bien loin d'avoir l'envie ou la volonté de vraiment m'y opposer. Le cumul de sensations nouvelles devient tel que le souffle me manque. J'ai perdu toute notion de dignité et je me laisse glisser dans une passivité que réclame mon corps bien qu'elle bouscule mes certitudes. Je suis en train de prendre une leçon qui me déstabilise : où est l'homme conquérant, entreprenant, actif et viril que je pensais être ? Me voici à la merci d'une femme qui me suce, me caresse les couilles et va me doigter le cul une fois de plus, et je ne puis que la laisser faire, gémir et supplier pour qu'elle continue. Quand elle me pénètre à nouveau avec son doigt impudique, je pousse juste un gémissement consentant pour confirmer ma passivité et ma soumission. Je suis devenu "sa chose" et je me dis que c'est vraiment merveilleux ...
Ce traitement diabolique dure ainsi de longues secondes que je savoure intensément, en me disant que si les choses continuent comme ça , je pourrais bien finir par éjaculer une troisième fois, mais dans sa bouche cette fois-ci ... J'en suis là de mes réflexions quand tout à coup les stimulations s'arrêtent toutes brutalement : plus de fellation, de caresses, de doigtage. Mme Lecomte se redresse calmement, et, avec son sourire moqueur, me dit :
- "Eh bien, jeune homme ? ! On aurait vite fait de se laisser aller à la passivité ! Ce serait bien dommage de prendre de si mauvaises habitudes quand on est doté d'un tel tonus !"
Je suppose qu'elle fait allusion à la trique monumentale que j'affiche à cet instant. Vu ce que Mme Leconte vient de me faire subir, rien d'étonnant à ce que j'aie retrouvé ma virilité triomphante ...
- " Alors, mon petit Thomas, serais-tu en manque d'imagination ?"
Comme si je ne comprenais pas le message, elle se tourne alors et me présente sont dos, ou plutôt sa chute de reins qu'elle met en valeur en se cambrant de manière suggestive. Elle s'appuie contre le mur de la douche et commence à onduler de la croupe. Je mesure ma chance : je réalise que je vais pouvoir la baiser une fois de plus, et sous un angle inédit et particulièrement érotique. Je ne me fais pas attendre et pose mes mains sur ses hanches, m’approche d’elle et m’apprête à vivre une fois de plus un de mes fantasmes les plus forts : je vais la prendre alors qu’elle me tourne le dos, et je pourrai contempler à loisir son cul magnifique. Je vais me faire ma première levrette debout. Je savoure l’instant en me disant que cette fois, il n’y a pas vraiment d’urgence et que je peux prendre mon temps. J’y vais donc lentement, calmement, sans précipitation. Je la tiens doucement par les hanches, je me colle contre elle pour qu’elle sente bien à quel point je bande pour elle. Sa peau est douce, chaude, luisante parce qu’humide et savonnée. Je me penche vers elle, sur son cou. Je l’embrasse, puis m’enhardis et décide de la mordiller délicatement tout en bougeant mes mains le long de ses hanches. Et puis, malgré mon désir de ne pas précipiter les choses, je craque : non, décidément, il faut que je la pénètre ! Je me force à ne pas trop m’emballer, mais je n’ai plus qu’une chose en tête : glisser ma queue dans sa chatte. Dit comme ça, c’est un peu vulgaire et brutal, mais pourtant, il n’y a plus que ça qui compte pour moi. Mon cerveau est mis au repos. J’en suis là. Je ne pense plus. Ou plutôt, je ne pense plus qu’à une chose, et je vais tout mettre en œuvre pour parvenir à mes fins.
D’une main, je saisis mon sexe et le guide vers la fente qui s’offre à moi. J’y vais doucement, précautionneusement pour ne pas commettre d’impair. Je sens très vite que je suis sur la bonne voie, car non seulement Madame Leconte, qui ne peut plus se méprendre sur mes intentions, ne semble pas se rebiffer, mais aussi -et surtout- je m’aperçois très vite que mon gland réussira sans problème à se frayer son chemin. Est-ce l’eau, le savon ou la lubrification naturelle et encourageante de ma partenaire, mais quand mon gland commence à se frotter contre sa fente, la sensation est merveilleuse et m’incite à aller plus loin.
Maintenant, je suis fébrile et impatient, je ne veux ni ne peux plus perdre de temps en préliminaires. J’y vais donc carrément : j’oriente mon sexe directement vers l’entrée de son vagin et décide de la pénétrer pour de bon. Lentement, certes, mais avec une détermination sans faille.
Troisième pénétration de l’après-midi pour un garçon aussi inexpérimenté que moi, et troisième émerveillement : c’est divin ! Je sens mon sexe coulisser et la pénétrer de plus en plus profondément sans rencontrer d’obstacle, comme si son sexe était fait pour moi et n’attendait plus qu’à être enfilé par ma queue …
Je la pénètre jusqu’à la garde et m’arrête alors, pour bien profiter de ce moment et le fixer dans ma mémoire. Ma première levrette. Madame Leconte pousse un long soupir, proche du gémissement. Je la tiens fermement par les hanches et me bloque tout au fond de son intimité, avec la ferme intention de ne plus la lâcher, comme si elle m’appartenait. Elle est à moi, et je veux la posséder. Totalement.
On m’a toujours dit qu’il ne fallait pas se précipiter comme un goinfre sur un met délicieux. Cette maxime me vient à l’esprit et je l’applique à la lettre. Cette femme qui s’offre à moi, je veux la savourer, la déguster jusqu’à la dernière miette. Un tel cadeau ne souffre aucune fébrilité, aucune précipitation.
Je commence donc à bouger tout doucement, mes mouvements de va et vient sont lents, et pourtant je me sens impatient à l’idée de la pistonner violemment. J’accélère donc mon rythme très progressivement et le plaisir monte aussitôt d’un cran. Pas seulement pour moi, apparemment, car Mme Leconte se met à respirer plus fort, à gémir de façon suggestive à chaque coup de reins que je lui impose. Oui, décidément, je crois bien qu’elle apprécie et ça m’excite encore plus.
Cette fois-ci, je n’ai pas peur d’éjaculer trop vite car j’ai bien conscience que c’est mon troisième rapport sexuel en une heure et demie, et j’ai bien l’impression que ça va durer … Je me délecte donc de l’instant, je profite des sensations visuelles, auditives et tactiles qui s’offrent à moi.
J’observe et j’écoute ma partenaire. Je voudrais tant la faire jouir le plus fort et le plus longtemps possible ... Si je suis honnête avec moi-même, il s’agit d’un objectif purement égoïste : plus elle jouira, et plus j’y prendrais du plaisir moi-même d’une part, mais aussi -et surtout- plus j’aurai d’espoir que ce genre de situation puisse se reproduire à l’avenir.
J’essaie donc de passer par toutes les variations de rythme et de caresses possibles pour écouter les réactions de Madame Leconte, en privilégiant « ce qui semble fonctionner ». En bon professeur pédagogue, elle me guide par ses gémissements ou ses feulements explicites. Par moments, elle va même jusqu’à formuler distinctement, au cas où je ne comprendrais pas :
- Mmm … Oui … Comme ça … Ouiii … C’est bon …
Elle a encore beaucoup de savon sur elle, et quand je lui caresse la croupe, la sensation est encore plus agréable, du coup je ne me gène pas pour en profiter. Mes mains vont donc de ses hanches à ses fesses, avec parfois une exploration sur le devant pour prendre possession de ses seins, les saisir à pleines mains ou lui pincer les tétons. Et je ne me lasse pas de contempler son cul somptueux qui s’anime au rythme de mes coups de boutoir. Oh, que la nature est bien faite ! À cet instant, je sais que je suis le roi du monde ! …
Et puis, en contemplant son merveilleux fessier, et en apercevant sont petit trou, il me vient une idée : après tout, n’est-ce pas elle qui la première a exploré mon intimité ? Elle savait combien cela pouvait procurer de plaisir … Alors pourquoi n’essaierais-je pas à mon tour ?
Je tente donc une approche progressive, mais méthodique : les fesses par cercles doux, amples et délicats, la raie ensuite comme terrain de jeu timide, et l’anus comme but ultime. Mon intention est évidente, et je ne vais pas tarder à savoir si je dois me replier en urgence ou espérer voir mon projet aboutir.
Voilà, j’y suis : tout en saisissant ses fesses à pleines mains, je les écarte doucement et pose un pouce sur sa rondelle en effectuant une petite rotation. Apparemment, je passe cette épreuve plutôt bien, car Madame Leconte se cambre de plus belle et pousse un « Mmmmm … » appuyé pour m’indiquer que je suis sur la bonne voie. Enhardi par cet encouragement, aidé par le savon, je pousse mon investigation un peu plus et lui enfonce mon pouce dans le cul. Le résultat ne se fait pas attendre.
- Ouh ! En voila un coquin ! Tu n’as donc pas honte, petit cochon ?
Je m’arrête un instant, tétanisé. C’est bon ou c’est pas bon ce genre de réaction ? Vu le ton de sa voix, mi amusé, mi langoureux, et vu les mots utilisés, je pense qu’à priori, ça doit être plutôt positif, mais je n’en suis pas totalement sûr. Finalement, c’est elle qui met fin à mon hésitation :
- Eh bien, Thomas, toujours timide et fragile ? Aurais-tu peur de tes propres initiatives ? …
Décidément, même si je me prends pour un conquérant, c’est toujours elle qui me rappelle à quel point je suis encore et toujours le petit gamin qui tâtonne et qui essaie d’apprendre.
Conclusion, je peux continuer à la baiser tout en lui doigtant le cul avec mon pouce, et c’est ce que je m’emploie à faire du mieux que je peux. Et c’est reparti pour un tour pour mon plus grand plaisir, ou notre plus grand plaisir devrais-je dire, car, vu sa manière de réagir, j’ai l’impression que mon professeur apprécie ma nouvelle façon de faire.
Notre accouplement de plus en plus chaud se poursuit ainsi un certain temps lorsqu’une idée tout ce qu’il y a de plus logique me vient à l’esprit : je baise Madame Leconte depuis un certain temps déjà, elle est plus que lubrifiée -presque trop devrais-je dire- et comme je la doigte en même temps, son deuxième orifice est de plus en plus détendu. L’idée qui me vient à l’esprit sonne comme une révélation : et si je la sodomisais ? J’ai la conviction que si je ne le fais pas tout de suite, je n’aurai pas assez de toute une vie pour le regretter.
Non, décidément, tout ceci n’a que trop duré. Je dois reprendre l’initiative. Aussitôt pensé, aussitôt mis en œuvre : je ralentis, retire mon sexe de son premier orifice, le place sur son deuxième après en avoir retiré mon pouce et commence à faire une tentative. Mon gland, lubrifié de sécrétions féminines, est calé sur son anus détendu (et lubrifié de savon). Le moment est d’une rare intensité. Le calme avant la tempête. Nous sommes presqu’immobiles tous les deux, excités et concentrés sur l’instant qui s’annonce.
J’appuie doucement, mais fermement, pour forcer sa dernière défense et dilater son sphincter. Je sens de la résistance, bien sûr, mais très vite je suis surpris : une fois l’ultime barrière franchie, ma bite est soudain comme aspirée par le cul de ma partenaire. Dans un gémissement sensuel, la réponse ne se fait pas attendre :
Ohhhh … Ouiii … Espèce de petit pervers … Tu n’as pas honte ?
Il ne doit plus me rester qu’un ou deux neurones disponibles pour réfléchir : j’y vais ou pas ? Ma conclusion est qu’il faut continuer. Non seulement je n’ai rien à répondre à la question qu’elle vient de me poser (est-ce une vraie question d’ailleurs ?), mais il faut tout simplement que j’agisse. Ma queue est comprimée, ce qui contraste avec l’instant d’avant. J’ai l’intuition qu’il va falloir reprendre à zéro si tout le monde veut y trouver son compte. Je reste immobile dans l’immédiat, afin que nous puissions l’un et l’autre nous habi à cette nouvelle situation. Ma queue raide est quand même bien plus volumineuse que mon doigt, et il faut que nos organes respectifs s’habituent à cette nouvelle situation.
Mon immobilité est de courte durée. Je commence à bouger très doucement, quelques centimètres d’avant en arrière d’abord, car décidément, je suis très à l’étroit et j’ai bien peur de provoquer plus de douleur que de plaisir en étant trop brutal. Je pense avoir choisi la bonne solution, car son cul se détend et ma queue, bien qu’encore à l’étroit, coulisse maintenant de mieux en mieux, et les gémissements de Madame Leconte font penser davantage à une manifestation de sensualité que de douleur.
Quelques dizaines de secondes plus tard, nous voila repartis sur un rythme soutenu. Cette fois, je la tiens bien par les hanches et ne la lâche plus. Son cul m’appartient et je veux pouvoir en profiter pleinement, totalement. Je la bourre donc avec toujours plus de vigueur et de puissance. Je sens s’approcher tout doucement l’orgasme libérateur, mais j’ai encore un peu de temps devant moi pour profiter d’elle, de son corps merveilleux, de son cul magique, de ses cris de plaisirs.
Nous sommes visiblement en phase, car plus elle crie de plaisir, plus je jubile et profite de l’instant. C’est à présent sur un mode furieux que je lui lime et lui pistonne le cul, jetant mes dernières forces dans la bataille, sentant que je ne pourrai plus tenir longtemps.
J’ai dépassé le point de non retour, je suis comme possédé, je respire bruyamment et ne peut m’empêcher de gémir et de grogner. J’ai même envie de crier des « Tiens, prends ça ! Hein que ça te plait ? Vas-y, crie encore, ça m’excite. J’aime te limer le cul et entendre tes gémissements de salope … ». Mais je ne dis rien, je n’ose pas, j’ai peur de casser l’ambiance et d’aller trop loin, de décevoir ma partenaire, la respectable et merveilleuse Madame Leconte.
Oui, ça y est ! L’orgasme me submerge et aussitôt je m’immobilise, ma queue plantée au plus profond de son cul. J’essaie de me modérer, mais je lâche malgré tout une sorte de long gémissement, comme un soupir bruyant ou un cri contenu, je ne sais pas. Je me vide en elle tout en m’agrippant encore plus fort à ses hanches douces, souples et sensuelles. Je ferme les yeux quelques instants, incapable de savoir où j’en suis.
Quand mon orgasme cesse de me tétaniser et que je reviens à la vie réelle, je réalise la situation et me trouve à nouveau timide et peu sûr de moi : que faire, que dire, comment agir ? Je crois que je vais me laisser aller à mon instinct, qui ne m’a pas trop mal servi jusqu’à présent. La frénésie et la fureur m’ont quitté. Je ne suis plus que faiblesse, lenteur, calme et douceur. Tout en restant profondément planté en elle, je laisse aller mes mains doucement sur ses hanches, ses flancs, son dos, ses épaules. Je m’appuie contre elle, approche mes lèvres de son cou et y dépose de doux baisers. Je suis à présent inondé d’une sorte de tendresse apaisée que j’ai envie de partager. Je l’entoure de mes bras dans un dernier geste de possession, puis, conscient plus que jamais que tout a une fin, maintenant que mon sexe a perdu de sa rigidité, je me décide enfin à me séparer d’elle.
Depuis une ou deux minutes déjà, soupirs, cris et gémissements nous ont quittés. Nous voici revenus à la vie réelle. C’est encore Madame Leconte qui reprend l’initiative de la conversation, de son air taquin.
- Merci Thomas pour cette initiative pleine de surprises, mais … Je crois que je vais finir de prendre ma douche si tu n’y vois pas d’inconvénient.
Elle prend la douchette, la dirige rapidement vers mon sexe pour que je puisse me savonner puis me rincer à la hâte, et enfin, sans autre forme de procès, me congédie :
- À plus tard Thomas, tu peux prendre une serviette propre dans le placard de droite.
(…)
Voilà comment les choses se sont passées ce jour-là. L’histoire a continué par la suite puisque je continue de « fréquenter » la maison des Leconte pour de menus travaux et … bien plus. Plus le temps passe, et plus j’ai l’impression que depuis le début de cette aventure, contrairement à ce que je pensais au départ, ce n’est pas vraiment moi qui étais aux commandes. Je crois simplement que Mme Leconte a voulu me faire croire - probablement pour ménager ma susceptibilité - que j’étais quelqu’un d’entreprenant et plein d’initiatives, mais je suis bien persuadé que c’est elle qui tirait les ficelles depuis le début.
Pour preuve, régulièrement, Madame Leconte me rejoue la scène du « coup de téléphone ». Elle m’interrompt dans mon travail par un « Dis-moi Thomas, cela ne te dérangerait pas que je donne un petit coup de téléphone à mon mari ? » avec un air coquin. Dans ces cas là, je ne me fais pas prier car je connais ce langage codé. En véritable perverse, elle semble prendre plaisir à parler à son mari au téléphone pendant que je fais l’amour avec elle. Par ailleurs, elle continue de parfaire mon éducation sexuelle en me faisant connaître de multiples variations : sur une table, debout, allongé, de face, de côté, par devant et par derrière. Mais aussi tout doucement, ou même -comme l’autre jour- à toute vitesse. Son mari était là, et, après l’avoir envoyé faire une course à l’extérieur, elle s’est jetée sur moi en exigeant une galipette torride et dans l’urgence. Avec elle, on est loin de la routine …
On dit souvent que les hommes considèrent les femmes comme des objets sexuels soumis à leurs moindres désirs. J’ai l’impression que Madame Leconte a renversé les rôles. Je suis son objet, toujours disponible, enthousiaste et prêt à la suivre dans toutes ses suggestions. Au garde à vous dès qu’elle l’exige, je suis celui qui lui permet de rompre la monotonie, de cocufier allègrement son mari qui, d’après ce que je crois avoir compris, ne se gêne pas pour en faire autant de son côté. Par ailleurs, maintenant qu’elle ma bien formé, je crois savoir - en toute modestie - que mes compétences en matière de sexe ne sont pas trop mauvaises. J’ai par ailleurs ce qu’on appelle une bonne vitalité.
Oui, vraiment, je suis le jouet de Madame Leconte en matière de sexe mais, bizarrement, j’en suis plutôt fier. Par ailleurs, quel bonheur ! Et puis … pourvu que ça dure ! …

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