Jeanne Se Libère
- Où tu étais, tu aurais dû rentrer il y a 1 heure ?
- Ça tombe très bien que tu aborde le sujet.
- Mon chéri, il ne faut jamais laisser ton portable déverrouillé à ma vue, surtout quand tu as quelque chose à cacher.
- Je nai rien à cacher
- Sauf le message de Martine
- Mais quest-ce que tu imagines
- Tais-toi, ne cherche pas à te déculpabiliser, je suis allé la voir, doù mon retard. Pas très jolie le tableau que tu as dressé de notre couple, mais passons si ça ta permis de la baiser. Tu mas trompé et pas quune fois en plus. Alors, saches que je me suis vengée.
- Quoi ! Avec qui ?
- Ça mon bonhomme, tu ne le sauras pas. Mais je peux te dire quil ma bien fait jouir. Je me contenterais dune fois car je te quitte. Je nai plus confiance en toi et tu mas poussé à aller voir ailleurs alors je reprends ma liberté. Ah au fait, tu vas avoir un bel accueil demain au bureau. Je pense que tu las perdu aussi. Tas joué et tas perdu. Et maintenant je vais rattr mon retard, tu peux compter sur moi.
Jeanne à 24 ans, cest une jeune femme pulpeuse avec de belles formes proportionnées et forcement une belle poitrine. Elle est bien loin de sa taille danorexique de son adolescence. Elle a un charme qui a fait craquer David, il y a 4 ans. Elle est assistante RH dans une société de transport routier. Le personnel est principalement masculin. Elle est régulièrement sollicitée mais est restée jusquà présent très professionnelle.
Revenons quelques jours avant leur séparation. Jeanne tombe donc, par hasard, sur le sms de Martine alors quils se préparent pour aller faire la fête chez des amis. Elle encaisse le coup mais ne montre rien. Elle veut voir comment David va se comporter.
Elle est sexy avec son pantalon blanc et son top bleu nuit assez échancré. Tous les invités découvrent que la soirée avait pour but dannoncer le mariage du couple damis et le choix des témoins.
Le lundi matin, elle reçoit un sms de Jules qui lui dit que si elle a besoin de parler, il est là pour elle. Elle a les yeux dans le vague et nest pas du tout à son travail. Cest sa chef, qui est au courant de sa situation, lui dit de prendre son après-midi car de toute façon, elle nest pas efficace. Jeanne accepte et prend son courage à deux mains et contacte Martine qui, très curieuse, accepte de la rencontrer. Elle envoie un sms à Jules pour lui demander si elle peut passer vers 13h. La réponse fut presque instantanée et positive. Sans le savoir, sa chef lavait poussé dans le lit de Jules. Elle se dépêcha de rentrer, prend une douche et troque son jean contre une robe portefeuille jaune à fleur. Elle décida de ne pas mettre de soutien-gorge. En roulant vers lappartement de Jules, elle se dit quil était à son goût et que la vengeance ne sera pas désagréable. Plus elle se rapproche de chez lui, plus elle en a envie. Elle est surprise de ne pas être si triste que ça et ne culpabilise pas.
A peine il ferme la porte derrière elle, quelle se jette à son cou et lui offre sa bouche. Il caresse ses fesses, ses seins à travers le tissu léger de la robe. Elle ne reste pas inactive et a déjà une main dans le pantalon. Il ne revient pas de lattitude de Jeanne et en profite. Puisquelle veut du sexe, il la teste en appuyant légèrement sur les épaules. Elle ne se fait pas prier et sagenouille, dégrafe ceinture et braguette et sort le sexe déjà raide de Jules. Elle le caresse puis le lèche de tout son long avant de lengloutir dans sa bouche.
Après avoir passé quelques temps chez ses parents, elle a trouvé un studio pas très loin de son travail. La nouvelle de son célibat a vite fait le tour de la société. Elle croise tous les matins les mécanos et a le droit à des remarques osées sans jamais être vulgaires. Après plus dun mois dabstinence, le sexe lui manque et elle se surprend à rire de leurs plaisanteries.
- Jai préparé une quiche pour ce midi, ça vous tente. Mais sage, daccord ».
Bien sûr quils étaient daccord et ne la quittèrent pas des yeux jusquà son bureau. Il faut dire quelle était en tailleur jupe assez court.
Les voilà partie dans la mini de Jeanne. Arrivés dans son studio, elle retire sa veste dévoilant sous le chemisier un soutien-gorge en dentelles. Elle leur proposa un apéro et se servit avec eux un mojito tout fait. Elle navait pas anticipé quavec sa table haute et ses chaises de bar, elle montrerait un peu plus ses jambes. Les 3 mécanos se régalent du spectacle quelle offre involontairement. Ils ont déplacé les chaises pour être près delle et donc seul un mécano était en face. Les deux plus âgés lentourent. Ils ont environ 45 ans soit 20 ans de plus que Jeanne, le troisième une petite quinzaine dannées de plus quelle.
Une main se posa sur un genou.
- Vous deviez être sage.
- Je suis sage, jai juste posé ma main sur ton genou, rien de plus. Tu as la peau douce et de très jolies jambes.
Il caresse la jambe au-dessus du genou pour atteindre lentement la cuisse à la limite de la jupe. Les 2 autres mécanos regardent la progression de leur collègue. Elle regarde dans les yeux celui qui la caresse. Elle se retient de se pincer les lèvres ce qui trahirait son désir. En la fixant, il caresse lintérieur de la cuisse mais elle serre ses jambes car une deuxième main vient de se poser sur lautre cuisse.
- Il faut rentrer maintenant. Vous navez pas été sage, on ne peut pas vous faire confiance.
- Tu tes laissé faire et on na pas pu résister.
- Bon, vous êtes pardonné mais allons-y maintenant
- Tu crois quon a le temps avant daller bosser
- Idiot. Elle ria de la blague.
Le problème cest quelle était encore plus excitée et quil naurait fallu pas grand-chose pour la faire craquer. Sils lavaient un peu , elle se serait laisser faire.
Ils étaient encore là quand elle quitta le travail. Il linterpella
- Tu nous offres un café ?
- Vous ne lâchez jamais laffaire, vous
- Avec une si jolie fille, on serait idiot
- Vous serez sage
- Bien sûr, ma belle, tu nous connais
- Justement. Jespère pouvoir vous faire confiance cette fois.
Elle leur prépara un café et leur servit dans le canapé où ils étaient installés. Ils lui firent une place entre deux mécanos. Le troisième se positionna sur une chaise face à eux. Deux mains se posèrent aux dessus de ses genoux.
- Vous nêtes définitivement pas sage.
- Jeanne, tu es jeune, belle mais surement pas naïve. Si tu as accepté de nous inviter, tu savais ce que tu faisais.
Les mains continuaient de caresser ses cuisses sans quelle ne les repousse.
- On veut te découvrir et te donner du plaisir.
Elle pose ses mains sur celles des mécanos pour stopper leur progression. Elle se redresse et au bord du canapé, Jeanne réfléchie quelques instants. Elle avait envie de soffrir à eux et son abstinence eut raison de son hésitation. Elle se leva et fit signe au troisième mécano de prendre sa place sur le canapé. Elle poussa la chaise et mit une musique lente. Elle fit face à eux et commença à se déhancher sensuellement. Elle caressa son corps par-dessus son tailleur avant de commencer à dégrafer un à un les boutons de sa veste. Une fois ouverte, elle jouait avec les pans pour découvrir par moment son soutien-gorge et la forme de ses seins. Elle retira sa veste et la posa sur le dossier de la chaise. Les mécanos commençaient à se caresser le sexe à travers les pantalons. Elle reprit sa danse érotique et libéra ses seins en se débarrassant de son soutien-gorge mais en cachant ses seins de ses mains. Puis un à un, elle les montra aux mécanos. Se trouvant à létroit, un des mécanos sortit son sexe déjà bien raide, suivi dans son geste par les deux autres. Voyant les trois beaux sexes bander pour elle, elle sourit. Maintenant, elle caressait ses hanches relevant un peu sa jupe. Elle défit la fermeture éclair et lentement, pour les faire languir, la fit descendre dévoilant ainsi sa culotte. Elle retira ses escarpins et posa sa jupe sur la chaise. Elle est belle et son strip-tease les rendait fou. Elle sattaqua à son dernier rempart. Elle joua un peu avec sa culotte avant de se retourner et la retirer. Ils avaient envie de se jeter sur ses fesses mais laissa Jeanne décider du moment. Elle leur fit à nouveau face mais avec les mains cachant son sexe. Elle en retira une puis après sêtre caresser le pubis, elle sexposa totalement nue. Ils la découvrirent totalement rasée. Elle se retourna, fit un signe aux mécanos et alla sallonger au milieu du lit. Ils se déshabillèrent et deux dentre eux sallongèrent à ses côtés, le troisième déjà entre ses cuisses lui prodiguant un cunni. Caressant les seins, ils lembrassaient tour à tour. Elle acceptait leurs baisers avec passion. Elle posa ses mains sur les deux sexes à sa portée pour les branler délicatement. Elle attrapa la tête du mécano entre ses cuisses pour le remonter et le coucher sur elle. Elle écarta largement les jambes et dirigea le sexe du mécano en elle. Son abstinence, son strip-tease sensuel et le cunni lavaient si excité quelle jouit dès la première pénétration. Entre ses gémissements, elle suçait les deux autres mécanos.
- Oh, cest trop bon, vous me rendez folle.
Un deuxième mécano remplaça le premier en elle et elle jouit une deuxième fois. Elle avait cette capacité à pouvoir se libérer pendant lacte sexuel et jouir plusieurs fois daffilé. Ils la prirent chacun deux fois jouissant en elle pour deux dentre eux alors que le troisième apprécia de se répandre dans sa bouche et de la voir avaler. Ils étaient blottis contre elle et elle leur caressait la tête tendrement.
- Je ne regrette pas de vous avoir cédé. Jai beaucoup aimé. Vous mavez bien baisé.
- On est à ta disposition quand tu veux, ma belle.
- Vous me promettez de garder ça pour vous.
- Bien sûr, on nest pas des goujats.
Ils prirent chacun une douche, se rhabillèrent et elle les raccompagna les laissant à deux rues de la boite pour ne pas se faire remarquer.
Elle attendit quune de leur voiture passe devant elle et lui code phare à un des mécanos. Il sarrêta et alla si elle avait un problème.
- Tu es le seul célibataire des trois, je crois.
- Oui, je suis divorcé depuis 6 mois.
- Jaimerais que tu restes avec moi ce soir, cette nuit si tu peux.
- Je rentre me changer et je te rejoins chez toi.
- Super. Jai une course à faire, je me change et je suis à toi.
Il arriva une heure plus tard avec un bouquet de rose et un petit sac de voyage. Elle le trouva beau dans son jean et sa chemise en lin. Elle était aussi jolie dans sa robe dété à fleur. Elle laccueille avec un tendre baiser.
- Je reste avec toi toute la nuit, on a tout le temps devant nous, je tinvite au resto.
- Pourquoi pas, Antoine.
- Prends ton sac, je temmène.
Elle a laissé ouvert le premier bouton de sa robe à bretelle. Assise, elle découvrait ses jambes à mi-cuisse.
- Tu es très sexy, dailleurs pas mal dhommes te mate.
- Oui, jai vu mais cest toi qui vas me baiser ce soir. Jespère que tu as rechargé tes batteries.
- Jai déjà un début dérection mais si tu nas pas confiance, il y en a, ici, qui pourrait me seconder.
- Une autre fois, peut-être, ce soir, je suis à toi entièrement.
- Le programme promet dêtre chaud.
En partant, elle a bien regardé les hommes en posant sa main sur le cul dAntoine. Il été fier de safficher avec une si jolie fille qui faisait baver les hommes présents.
A peine arrivée à son appartement, elle sest pendue à son cou pour lembrasser. Elle lui a dégrafé sa chemise et a commencé par embrasser son corps en descendant lentement. Une fois à genou, elle dégrafe son pantalon le baisse ainsi que son caleçon et prend son sexe dans la bouche. Elle le suce avec envie pendant quelques minutes. Puis, elle lui retire ses chaussures et ses chaussettes. Il finit de se déshabiller et la rejoins dans la chambre et la trouve nue sur le lit. Il grimpe sur le lit, lui écarte les jambes et lui fait un cunni. Il joue avec son clitoris, le mordille, lui lèche ses lèvres et enfonce un doigt. Avec deux doigts dans sa chatte, il la fait jouir en la branlant énergiquement.
- Viens, prend moi.
Il ne se fait pas prier et senfonce en elle. Elle le prend dans ses bras et gémit de plaisir.
- Oh, cest bon. Quest-ce que tu me baises bien, Antoine.
Après quelques temps, il la retourne et la prend en levrette. Elle a encore joui sous ses assauts. Sur sa demande, il ne la ménage pas et lui donne de gros coups de bite. Puis, il ralentit et tente un doigt dans son cul quelle accepte. Tout en la baisant, il enfonce complètement son doigt et le fait aller et venir. Elle le reçoit sans gêne.
- Jai envie de te prendre par derrière.
- Jai envie dessayer aussi mais je ne lai jamais fait. Prends le lubrifiant dans la table de nuit.
- Tu avais prévu ?
- Un peu oui. Jaime lidée de le faire avec toi.
Avec le lubrifiant, il la prépare délicatement et minutieusement. Elle sent quelle souvre et accepte maintenant deux doigts sans réelles douleurs. Il du lubrifiant pour la ménager. Puis, il sort de son sexe et là, elle sait quil va lui prendre son ptit trou sans appréhension. Il senduit généreusement du lubrifiant et se présente à son anus. Delle-même, elle écarte ses fesses. Il passe le gland et marque une pause. Elle ne dit rien, attendant la suite. Il senfonce à moitié et fait de lents va-et-vient. La respiration de Jeanne est saccadée. Elle ressent un certain plaisir sans savoir si cest la pénétration ou le fait de lui faire ce cadeau. Toujours délicatement, il progresse et bientôt se fige entièrement en elle. Il recommence ses allers retours toujours aussi délicatement. Tout à coup, Jeanne pousse un cri. Il stoppe ses mouvements craignant lui faire mal.
- Non, continue. Je commence à ressentir du plaisir.
Il accentue ses à-coups et ressors du chaud conduit. Il se badigeonne de lubrifiant et la pénètre à nouveau. Il senfonce sans difficulté. Jeanne gémit, elle prend enfin du plaisir.
- Oh putain, cest bon aussi, jaime ça.
Il continue mais de voir ce cul souvrir et accepter son sexe est trop excitant et ne peut se retenir. Il jouit en elle, ce qui déclenche chez Jeanne un orgasme. Il reste figé en elle avant de se retirer délicatement. Elle se blottit contre lui.
- Merci davoir été si délicat.
- Merci à toi ma belle de mavoir fait ce cadeau.
Jeanne va prendre sa douche en premier. Puis, ils se sont endormis dans les bras lun de lautre.
Elle est réveillée par la sonnerie de son téléphone portable. Cest David qui ne supporte pas quelle la quitté.
- Non, tu ne viens pas, je ne veux plus te voir et en plus, je ne suis pas seul.
- Il dort encore. On na pas beaucoup dormi cette nuit.
- Et toi, tu crois que tu ne mas pas fait de mal. Jétais toute à toi et tu as tout gâché. Tant pis pour toi.
- Maintenant, laisse-moi, je raccroche.
Antoine a entendu la conversation, il la rejoint dans la cuisine. Elle lembrasse et lui sert un café. Il est déjà plus de midi.
- Jai entendu ta conversation, si tu veux, on se prépare et on va prendre lair. Il fait beau et ça te fera du bien.
- Oui, bonne idée.
Ils se promène dans un parc main dans la main. Elle est vraiment bien avec Antoine et ne veux pas que ce moment sarrête. Elle lembrasse, sappuie contre un arbre. Leur baiser est langoureux. Il lui caresse les seins à travers la robe tandis que Jeanne a passé sa main dans son jean. Elle le dégrafe et sors son sexe quelle caresse. Elle passe une jambe autour de lui. Elle écarte sa culotte et se fait pénétrer. Elle mouille et Antoine na aucun mal à senfoncer en elle. Tous deux prennent beaucoup de plaisir.
- Il y a un homme qui nous regarde.
Antoine fait mine de se retirer.
- Non, reste en moi, ça mexcite. Il me regarde et se branle. Oh, putain je vais jouir.
- Et ben, lexhibition te met dans un état.
- Oh oui, dailleurs, je crois que tu vas avoir besoin de lubrifiant, rentrons.
- Ça ta donc plus à ce point.
- Je pense que ça va être encore meilleur aujourdhui.
Une fois à lappartement, ils se sont vite retrouvés nus sur le lit. Il la positionné tête bèche et se faisait chacun du bien. Il découvre que le ptit trou de Jeanne est déjà un peu ouvert et y enfonce un doigt. Elle allonge son bras, att le lubrifiant et le lui donne. Il badigeonne son orifice et ses doigts. Il la pénètre de deux doigt et Jeanne se met à gémir. Il la met à genoux et la pénètre en enfonçant toujours deux doigts dans lorifice étroit.
- Prends-moi le derrière, encules moi.
Il se présente et senfonce lentement. Jeanne ne ressent aucune gêne ni douleur.
- Vas-y, baise-moi le cul. Jai envie que tu y ailles fort.
Il la sodomise sur un rythme effréné, ne la ménage plus. Jeanne est déchainée, elle crie de plaisir. Et se met même deux doigts dans la chatte. Elle sent à travers la paroi le sexe dAntoine. Ils jouissent tous les deux ensembles, au même moment.
- Cest vraiment bon par-là, jaime ça.
- Tu sais que tu ne vas plus avoir besoin de lubrifiant.
- On essaiera la prochaine fois. Ce soir quoi.
- Tu es insatiable, tu vas me .
- Jaime trop baiser avec toi. Tu sais être doux quand il faut et brutal quand jai envie dêtre prise sauvagement. Tu mas fait me découvrir sexuellement. Cest autre chose quavec les jeunes mecs.
- Eh, je ne suis pas si vieux. 40 ans, cest la fleur de lâge.
- Cest vrai et tu es plutôt en forme pour ton âge.
- Chipie
Ils ont passé le reste du week-end à baiser, à se lover lun contre lautre. Effectivement, Jeanne na plus besoin de lubrifiant. Pour le remercier de ce week-end, elle la sucé jusquà ce quil jouisse dans sa bouche et quelle avale.
- Je vais devoir y aller.
- Je sais, merci pour ce week-end
- Merci à toi ma belle
- Ça restera entre nous
- Bien évidement. On ne me croirait pas, de toute façon.
- Tant mieux, jaime être salope mais pas que lon me traite ainsi, sauf dans lintimité.
Ils sembrassèrent. Il ne se passera plus rien entre eux ni avec les autres mécanos.
David insistait et lappelait régulièrement. Elle était de moins en moins agréable avec lui et avait du mal à sen débarrasser. Il était vraiment sorti de sa vie. Quelques jours plus tard cest le père de David qui lappela. Sur le moment elle pensa que cétait peut-être le moyen de rompre définitivement. Elle accepta le rendez-vous en sassurant que David ne serait pas là. Elle sonna à sa porte.
- Bonjour Jeanne
- Bonjour Jean-Pierre
- Entre, tu préfères un verre ou un café, il est chaud.
- Si tu as toujours ce mojito tout fait, je veux bien.
- Bien, assied toi dans le canapé, je nous sers ça.
- Tu voulais me parler.
- Oui, tu sais que David est très malheureux. Je suis allé le voir, il est déconfit. Bien sûr, je ne lui rien dit de notre rendez-vous.
- Bon, je vais texpliquer la situation. Il ma trompé avec sa collègue, Martine. Ce nétait pas un coup de faiblesse que jaurais peut-être pardonné, mais ils se voyaient régulièrement et sest servi dune soi-disant frigidité de ma part pour arriver à ses fins. Alors, je me suis vengée, le lui ait dit avant de le quitter. Il mavait fait souffrir, je voulais que lui aussi. Depuis, je suis libre et agit comme je le veux. Disons, que jai rattrapé le temps perdu avec ce salaud. Excuse-moi de le traiter ainsi.
- Ah, je navais pas exactement la même version, mais passons. Que veux-tu dire par « rattr le temps perdu » ?
Lalcool aida Jeanne à parler en toute franchise. Sa langue déliée, elle enchaîna.
- Je réponds à mes envies et profite du savoir-faire des hommes plus expérimentés.
- Plus expérimentés ?
- Oui, je me suis découverte un penchant pour les hommes murs.
Devant son air interloqué, elle enchaina
- Des hommes de plus ou moins ton âge. Avec eux, jai osé des expériences qui mont beaucoup fait jouir, de vrais orgasmes. Il suffise que je naie pas baisé depuis plusieurs jours pour que je mouille ma culotte devant un homme mur. Et là, ça fait plus dune semaine si tu comprends je que je veux te dire.
Après un tel aveu, elle attendait que JP ose quelque chose. Lorsquil posa sa main sur sa cuisse, elle lui sourit et posa sa main sur la sienne. Elle ne la repoussa pas, bien au contraire, elle la fit remonter encore plus haut avant de la libérer. La main de JP relâchée remonta jusquà la limite de sa jupe à la limite de la culotte. Plus un mot ne fut dit. Elle refusa néanmoins le baiser quil réclamait mais se laissa embrasser dans le cou. Elle le laissa aussi déboutonner la veste de son tailleur, en écarter les pans et découvrir un joli soutien-gorge en dentelle blanche. Elle se libéra du dossier pour le laisser le dégrafer. Elle se débarrassa de sa veste et libéra ses seins qui pointaient déjà. JP en profita pour palper cette poitrine ferme qui soffrait à lui et mordilla un après lautre les tétons. Sa main retournait sur la cuisse et la caressa jusquà la jupe qui été bien remontée par sa position. Cette fois, ce sont les fesses quelle souleva pour lui permettre de la retrousser. Elle sabandonnait impudiquement et jouissait de ses caresses sans intervenir. Lorsquil la caressa à travers sa culotte, elle ouvrit la bouche et accepta le baiser de JP. Il passa la main et finit par tirer sur sa culotte qui se retrouva à ses chevilles. Elle sen débarrassa. Il la caressa de nouveau, titillant son clitoris et enfonçant des doigts dans son vagin. Elle le regarda senlever chaussures, chaussettes, pantalon et boxer. Elle se pencha et le suça avant de se mettre à genou sur le canapé. JP se positionna derrière elle et la pénétra. Jeanne gémissait de plus en plus fort. En la pénétrant, il enfonça un doigt dans son anus et entendit un oh oui, de Jeanne. Elle était ouverte et il y présenta son sexe. Il senfonça dans son petit orifice et y alla entièrement. Il la sodomisa avec vigueur. Jeanne eut un orgasme et JP se libéra dans cet orifice que jamais il aurait pensé explorer. Apaisée, elle se dégagea et le branla osant quelques coups de langue sur le prépuce. Lorsquelle sentit quil allait éjaculer elle le laissa se branler face à sa bouche ouverte. Elle recevra son sperme dans sa gorge et sur sa langue. Elle ferma la bouche et déglutit.
Elle sassit près de lui.
- Maintenant, tu comprends que je ne peux plus continuer avec David. Jaime le sexe, lanal et avaler. David ne ma pas connu aussi salope.
- Tes trop bonne à baiser. Je vais essayer de lui faire comprendre de te laisser vivre, sans un mot sur ce qui vient de se passer.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!