Collection Cocu. Le Poulain. Saison Iii (10/12)

Qui m’aurait dit quand j’ai épousé Louis le fils de Duc proprio d’un haras en Normandie entraînant des champions ou en mettant au monde des poulains.
Ce que j’ignorais, c’est que ma belle-mère m’avait sélectionné pour devenir leur poule pondeuse et donner au haras un successeur au Duc.
J’ai épousé Louis ignorant qu’il vivait avec une hermaphrodite Lucrecia pour éviter de le nommer.
Lucrecia m’a été présenté comme la nounou de Jules à sa naissance jusqu’à ce que je m’aperçoive que les seins que je voyais étaient doublés d’une magnifique verge que mon mari aimait s’introduire dans le rectum.

C’est à ce moment que tout a basculé.
J’ai épousé Louis ignorant qu’il vivait avec une hermaphrodite Lucrecia pour éviter de le nommer.
25 sur 6, oui 25 centimètres sur 6 de diamètre.
Ça fait rêver mais je suis loin de rêver.
Une vraie merveille pour moi qui comme je l’ai dit aspirait à une vie dans un foyer que connaissent la plupart des femmes donc calmes et sans problème lié au sexe.
Bon, c’est arrivé et comme je suis la tutrice des biens de mon fils, il faut bien prendre un peu de bon temps et le sexe de Tanguy y participe.
En ce moment montés nus tous les deux sur son lit ce garçon amputé des deux jambes a sa langue dans ma chatte posée sur son visage.
Il sait titiller mon clitoris qui est à la fête.
Il me bascule et grâce à son torse surpuissant quand il me pénètre, j’ai du mal à penser qu’il va rester les bras tendus autant que son bras tendu qu’il met en moi.
Pourtant il arrive à me faire avoir un orgasme sans que son souffle soit dans mon cou, le ventre appuyant sur le mien comme le faisait Louis avant de partir en mer.

Après midi de sexe, rien que de sexe.
Quand j’ai pris une douche avec mon amant que j’ai lavé assis à mes pieds ce que je fais de temps en temps avec Jules mon fils.
Pardon, mon fils grandissant malgré son âge, il a un regard de petit homme.


Un jour Louis m’avait dit que son père était précoce dans notre village, aussi j’ai arrêté de me montrer nue.
Je crois que j’ai déjà parlé d’un certain complexe bien que depuis que Duc m’a appris à ouvrir les vannes chaque fois qu’une queue passe vers moi, je sais en profiter sans attachement.
C’est le cas avec Tanguy mais en emportant son numéro de portable une fois qu’il est réinstallé dans son fauteuil.
J’aurais bien repris un coup de 25 sur 6 car comme il me l’a dit mais il est de nouveau en érection simplement en me regardant de bas en haut.
Mais même si j’aime que Tanguy me baise, Wanda doit m’attendre et il serait déraisonnable que je prive mes s de leur mère un dimanche.
Un dernier salut mon nouvel amant sur le pas de sa porte beau dans sa nudité et sa verge flamboyante, je prends le chemin du manoir.

Quand j’arrive je croise belle-maman qui vient elle aussi de garer sa voiture.
C’est une des rares choses que je la vois faire par elle-même.

- Tu rentres aussi, je te croyais avec tes s.
- C’est un reproche maman ?
- Surtout pas, mais c’est drôle de te voir rentrer à cette heure.

Il fait nuit.

- Mes amis Omar et Adrienne te donnent le bonjour à toi et tes s.
Tu te souviens, ils étaient à votre mariage et c’est notre banquier.
Pardon je suis maladroite.

Maladroite pas tant que ça, menteuse oui.
Omar est le banquier de Duc et m’étant moi-même rendu à sa banque il y a deux jours.
J’y suis allée pour parler du projet que j’ai de rénovation des écuries le prêt de la toiture souscrit par Duc arrivant à échéance et comme me l’a appris Duc, il faut savoir entretenir son bien.
Or Omar m’a dit qu’il partait avec sa femme pour une croisière en Méditerranée sur ce palace flottant.
Connaissant Adrienne, je la vois mal naviguer en classe touriste, elle doit montrer ses bourrelets au niveau du pont supérieur là où se trouvent les cabines de luxe.

Ma belle-mère a dû passer un après-midi coquin comme moi.

On se quitte chacune de notre côté et quand j’entre dans mon salon, Duchesse est debout et câline sa poupée de chiffon.
Jules est sur les genoux de Wanda qui lui lit une histoire.

- Mère, vous voilà, Wanda me lit mon histoire sur la belle au bois dormant.
J’ai le zizi tout dur.

Mon dieu un amant victime de priapisme et un de presque huit ans qui semble présenter les mêmes symptômes que Duc par sa précocité et de Tanguy sur sa tendance au priapisme.
Quand je dis qu’il faut que moi sa mère je me protège.
Je voudrais à éviter d’avoir des situations fâcheuses à gérer.

Comme prévu, John arrive avec sa pouliche à saillir.
Depuis deux jours je sais qu’il me fallait faire préparer deux chambres, il arrive accompagner.
Un moment déçu d’avoir été remplacé, rapidement je suis enchantée de faire la connaissance d’Élisabeth sa fille née de son union avec sa femme décédée.
Elle a juste l’âge de Jules à un an près.
Jolie anglaise ce qui est rare, blonde ce qui est rare, mais très bien élevée.

- Madame Marie, je suis heureuse de vous rencontrer, père me parle souvent de vous, j’espère que vous saurez remplacer ma maman.

Quand elle me fait sa plus belle révérence parfaitement exécuter, je pense à Jules qui me dit mère alors qu’elle dit père à John et maman pour celle qui les a quittés.
Après ce que nous avons fait ensemble à l’hôtel près du champ de courses, lui aussi se penche vers moi et me fait un baisemain.
La présence de sa fille et de mon fils doit être à l’origine de sa retenu.

- Bonjour Lord Cromwell.
Avez-vous fait bonne route ?
Votre pouliche a-t-elle rejoint son box que ma belle-fille a demandé à Loris de prendre en main ?

Mon amant s’approche d’Isabelle ma belle-mère et comme pour moi lui fait un baisemain.
Sa fille recommence sa révérence.


- En attendant le repas, venez faire un tour dans le parc, à cette heure, la nuit tombante est divine sous nos arbres.
- Permettez que je vous offre mon bras.

Mince ma belle-mère à des vues sur le Lord ignorant que je baise avec.
Pardon, je deviens grivoise, je devrais dire ignorant que nous sommes amants ou que nous avons un rapport intime.
Tout le long de la promenade, Jules et Élisabeth nous précède.
Je vois que la fille de John a un portable à la main.
Nous passons près des écuries, nous entrons dans le box de Firsty pouliche que Darkness notre étalon-vedette ces temps-ci.

Quand je regarde mon amant ma chatte mouille comme Fisty qui tourne en rond sa queue levée.
Nous avons placé Darkness au box le plus opposé, mais les coups de sabots qu’il donne dans la porte montrent qu’il sent la femelle en chaleur.
De son côté John sent-il l’envie de saillie qui me talonne ?

- John me permettez-vous de vous appeler par votre prénom ?
- Oui, je vous permets.

La salope, elle minaude, vieille peau, téléphone à Xavier si tu veux te faire trombiner.
J’ai sa carte, veux-tu que je l’appelle et ainsi récupérer mon sexe sur patte.

- John, nous les humains nous avons la chance de pouvoir nous retrouver quand nous le voulons sans attendre d’être en chaleur, comme ces pauvres bêtes.
- Isabelle, attention ma fille est là et elle est encore jeune même si ces s en savent plus que nous au même âge.
- Il y a longtemps que ta fille à un portable.
- Vous vous tutoyez Marie.
- Oui depuis Chantilly où nous avons dîner avec Jules et Sonia après qu’il nous a battus dans le prix de l’arc de Triomphe.

Quelle conne, j’aurais dû lui dire que nous avons fini la nuit avec de la crème anglaise dans ma chatte après qu’il m’a eu épinglé le long de la porte de sa chambre lorsqu’il m’a fait voir qu’un anglais savait baiser.

- Bien laissons ces chevaux le repas doit être près d'être servi.

Ce sont les premières asperges j’espère que vous les aimez.
- Je les adore et ma fille aussi.
- Daddy.

Je traduis ce que John lui répond dans sa langue natale.

- Que t’aies-je dit, nous sommes invités et même si ont nous sert des escargots ont en mange.

Je regarde mon amant un sourire de connivence entre nous lui montre que j’ai compris.

- Élisabeth, Jules aura des nuggets, je vais t’en faire servir.
- Maman, j’…
- Tu veux des nuggets ?

C’est au tour de John de me regarder, nous manquons d’éclater de rire sans que belle-maman comprenne ce qui nous a fait rire.
Une chance, Isabelle étant arrivée à son statut on sait comment est inculte en Anglais alors que Duc comme moi, étions bilingues.
Je veux que Jules et bientôt Duchesse soit eux aussi multi langue avec pour moi la langue fourrée que je compte bien pratiquer dès ce soir.
C’est marrant mon éducation sexuelle a prit un coup d’accélération depuis mon divorce même dans mes pensées.

- John placez-vous à ma droite, Jules à ma gauche et Élisabeth à côté de son papa.
- Marie, prends-la dernière place.

Tu es malade vieille peau, Élisabeth place-toi là et moi à côté de mon Lord.
Je manque de courage.

- Bien belle-maman.

Heureusement la table est ronde…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!