Stéphanie, Ma Princesse Du Bois De Boulogne
Autre aventure délicieuse avec une créature du Bois de Boulogne. J'étais en maraude pendant une chaude nuit d'été à bord de ma vielle caisse, quand mon coeur fit un bond en voyant une brune divine, 1m65, 25 ans, de magnifiques cheveux longs noirs geai, un visage parfait d'ange latino avec de grands yeux noisettes, un poitrine opulente nue sous une veste de tailleur (son look BCBG m'a littéralement fait fondre), une peau bronzée avec un grain que seules les latines peuvent avoir, de belles jambes fines et rondes à la fois sous un mini jupe noire très sérée et des escarpins très classes noirs. Je bandais déjà comme un fou avant même de l'aborder. Comme souvent, je baisse mon pantalon sur les cuisses afin d'exiber ma grosse queue à ma beauté (cela me permet souvent d'avoir un tarif préférentiel et me permet de voir celles qui font cela pour le plaisir !). Elle se penche en m'offrant une vue sublime sur son décolleté, écrasant ses énormes nichons sur la portière et en me faisant un sourire gourmand et en même temps tout en réserve (la classe je vous dis !) en matant ma grosse pine. Je la fais très vite monter sans négocier ses tarifs qui étaient normaux (elle aurait pu demander beaucoup plus vu sa beauté !). Elle m'indique le chemin de son endroit, et je commence à lui poser plein de questions sur elle tout en lui caressant ses merveilleuses cuisses d'une douceur incomparable. « Je m'appelle Stéphanie, je viens du Vénézuella, je ne suis pas depuis très longtemps à Paris » me dis t'elle de sa voie délicieuse et si féminine tout en ma caressant doucement la bite de ses doigts longs, fins, doux et manucurés. Pour une fois je suis tellement sous le charme que je ne suis pas préssé de l'enculer et j'ai envie de beaucoup de tendresse avec elle. Au bout d'un moment un doute m'assaille ; elle est tellement parfaite, est-elle vraiment un garçon. Je remonte ma main entre ses cuisses et j'arrive sur une adorable petite culotte en dentelle. Et là mon coeur trésaille en découvrant une bite magnifique d'au moins une quinzaine de centimètres avec de très grosses couilles ! J'étais aux anges même si je l'aurais quand même défoncé avec plaisir si elle avait été une fille !
Elle demande de garer la voiture dans une descente de parking.
Alors que je profite de la douce chaleur de ma beauté latine que je voudrais garder plus longtemps pour moi, un petit miracle se produit ! Une pluie d'orage déluvienne s'abat sur la voiture. J'en profite pour la serrer plus fort dans mes bras et je lui demande comment elle va faire pour travailler avec ce temps. Elle me répond qu'elle va retourner chez elle (elle habite Boulogne) en attendant que cela se calme. Je lui propose de la raccompagner chez elle. Elle accepte avec empressement et me propose même d'attendre chez elle que la pluie s'arrête ! J'étais aux anges avec un ange !
Sur le chemin je lui pose tout un tas de questions sur son pays, sa famille, ses goûts, ses rêves.
L'appart est tout simple et l'on sent qu'il n'y a pas sa griffe très féminine. Qu'importe, elle m'invite à m'assoir sur le canapé et viens m'y rejoindre en retirant ses beaux escarpins. Ses petits pieds sont exquis. Elle viens se blottir contre moi et nous continuons notre conversation amoureuse. Je lui dis ce que j'éprouve pour elle et deviens à chaque mot un peu plus chaude et câline. Elle défait le bouton de sa veste, faisant jaillir ses énormes nichons sonnant le début d'hostilités inédites ; c'est la première fois qu'un travesti se donne à moi gratuitement, tout simplement parcequ'elle a envie de moi. Je deviens fou de désire et bien que m'étant vidé quelques minutes avant je rebande comme un malade. Je la déshabille complètement et elle me déshabille au même rythme. Nous nous retrouvons entièrement nus tous les deux et nous nous pelotons frénétiquement nos culs, bites, nichons, tout en nous dévorant de baisers passionnés. Elle me demande de m'assoir sur le canapé, m'enfile une capote et s'empale à califourchon sur ma grosse pine en me regardant amoureusement dans les yeux. Elle me chevauche langoureusement pendant de nombreuses minutes alors que mes mains et ma bouche ne savent plus comment se gaver d'elle...
Alors que nous étions collé dans cette longue étreinte passionnée, la porte s'ouvre. « Ce n'est rien chéri c'est ma cousine Lina.
Elle se met à genoux devant moi, retire ma capote et commence à me sucer la bite. Puis elle descend le long ma hampe, me gobe les couilles avant de commencer à ma bouffer le cul. Je suce toujours Lina qui s'est mise bien en face de moi et qui commence à me baiser la bouche méthodiquement et assez brutalement j'ai un peu l'impression d'être une pute violée et c'est sublime ! Stéphanie qui a pris soin de remonter mes cuisses pour mieux profiter de mon cul commence à enfoncer avec une infinie délicatesse (qui contraste avec la violence de sa cousine) un doigt, puis deux puis trois tout en me léchant les couilles. Elle me met un peu de crème et arrive à m'enfoncer presque toute sa jolie main très fine. C'est la première fois que je me fais ainsi fister, et ma bite est sur le point d'exploser sans autre apport de stimulation ! Je me contrôle pour profiter le plus longtemps possible de ces moments uniques. Stephanie indique à Lina que mon cul est prêt ! Lina descend un peu maladroitement du canapé et m'enfile son énorme engin d'un coup sec. Je n'ai aucune douleur, juste l'impression de me faire défoncer divinement le cul et j'hurle mon plaisir. Stéphanie s'approche de moi et me met un doigt sur la bouche en me disant que l'immeuble est très calme « il ne faut pas hurler ainsi ma petite salope adorée ! Je sais que c'est très bon mais déguste en silence mon chéri ! Je vais t'aider à ne pas parler ! » Et elle se met devant ma bouche et me tend sa délicieuse bite parfumée qui ressemble à un petit four après le camembert ! Lina me défonce l'anus comme une brute après avoir monté mes jambes sur ses épaules et saisi mes hanches de ses mains longues, fines et musclées. Je suis entièrement à elles deux, je crois qu'elles auraient pu m'assassiner à ce moment là, je serais mort avec délice au Paradis. Stéphanie, se retourne et me tend son adorable petit illet parfumé délicieusement et je lui bouffe alors le cul avec gourmandise en saisissant ses deux globes blanc (elle était bronzée de partout sauf des fesses !) que je malaxe avec délice. Elle colle alors ses gros nichons sur ma queue mais là c'est trop pour moi, je vais juter ! Je le décolle délicatement, et je leur propose de changer de position. Je demande à Stéphanie de se mettre à 4 pattes sur le canapé que je puisse la prendre pendant que Lina finira de me défoncer le cul. Elle s'envoyèrent un petit regard complice et nous nous enfilons toutes les trois comme de vrais salopes. Le cul de Stéphanie est rond, doux, chaud et serré, c'est un véritable chef d'uvre. Alors que Linda m'encule toujours aussi violemment me faisant jouir du cul comme une folle, elle écrase ses gros nichons dans mon dos tout en me mordant le cou. De mon côté je branle la belle queue de Steph tout en lui pincant les nichons. Nous jouissons toutes les deux bruyamment comme deux putes en chaleur, nos cris étant rythmés par les coups de butoire de Linda qui est devenue l'homme de notre trio. C'est d'ailleurs elle qui donna le signal de la jouissance en défonçant encore plus violemment mon petit cul endolori et en ma claquant les fesses. Pris par sa violence et par la décharge violente qui monte en moi, je saisi Stéphanie par le cou et je commence à lui serrer un peu fort tout en redoublant mes coups de butoir ; elle adore et semble sur le point de s'évanoir de plaisir ! J'arrête ma pression à ma première giclée pour saisir sa queue et receuillir son jus sur mes doigts (j'ai trop envie de la boire !). Nous poussons toutes les trois des cris de bête qui à mon avis ont ruiné la réputation de l'immeuble. Nous nous écroulons tous les trois sur le canapé en nage et essouflée comme après un marathon ! Je sent encore la grosse bite de Linda dégoufler dans mon cul tout doucement alors que la mienne dégonfle à la même vitesse dans celui de Steph dont je suce je jus recueilli sur mes doigts. Elle se tourne vers moi « t'es vraiment trop mignon mi querida ! » « Te gusto mucho » Elle aussi je l'aime ! Je lui dis et je lui prouve en me glissant une nouvelle fois entre ses cuisses et en lui nettoyant méticuleusement sa bite, ses couilles, ses cuisses... Elle me caresse tendrement les cheveux avant de m'inviter à prendre un verre pour arroser notre rencontre. Nous trinquons toutes les trois à poil, couvertes de sperme, avec une canette de bierre et nous nous embrassons à tou de rôle gouluement sur la bouche dans la cuisine entre deux gorgées. Je suis une nouvelle fois super excitée d'être ainsi au milieu de deux merveilleuses créatures qui m'ont accepté au sein de leur intimité et pour les remercier je me met à genoux et je les suces à tour de rôle entre deux gorgées. Je bande de nouveau très dure et mon érection est divinement douloureuse. Je pense que c'est pareil pour elles (Sauf peut être Linda qui n'a peut être pas joui lors de journée de travail). Leurs queues sont en tous cas de nouveau dures et j'ai très envie d'elles. Sous l'effet de mes pipes et de l'alcool, elles commencent à rire et à se caresser les nichons (ce qui me rend fou). Elles s'échangent alors une longue confidence à l'oreil en me jetant de temps en temps un regard amusé et complice.
Après trois ou quatre minutes de tractation, elles me tirent à elles et mettent leur plan satanique à exécution. « Tu vas voir mon chéri comment nous allons te remercier pour ta gentille pipe, mais il va falloir que tu soit très gentille ! » Je répond à Stéphanie qu'elles peuvent faire ce qu'elles veulent de moi, ce qui était vrai. Je suis dans un tel état d'excitation violente et douloureuse, en plein phantasmes éveillé, que je crois que j'aurais accepté d'être émasculé par elles, et j'aurais aimé cela (qu'est-ce qu'on peut penser comme conneries quand on est tenu par sa bite !).
Elles m'attirent dans leur chambre (visiblement elles couchaient ensemble les deux petites cousines vicieuses !) me donne l'ordre de me mettre à quatre pattes et m'attachent les poignets aux barreaux du lit. Linda viens se glisser sous moi en m'écartant les cuisses. Elle descend alors mon cul vers son énorme queue alors que je remonte mes cuisses le long de son buste et de ses gros nichons. Je m'empale avec délice sur son membre. Mon cul est aussi endolori que ma queue et s'est une sensation nouvelle pour moi que cette douleur diffuse sur toutes mes parties génitales et érogènes de mon corps. Toutes non, mes seins sont indemne, mais Stéphanie, a comme lu dans mes pensées (ou plutôt elle a la même envie que moi car elle a les mêmes sensations !). Elle s'approche avec des pinces à tétons et commence à me narguer en les fixant sur ses gros nichons. A chaque pince elle pousse un cri qu'elle essaie de contenir, mais je vois bien qu'elle souffre réellement ! Après elle s'en prend à Linda qui pousse le même cri contenu à chaque pince. Linda semble souffrire vachement et en même temps elle accélère son rythme dans mon cul et sa queue est encore plus dure ! Je suis partagé entre la curiosité, l'angoisse et l'envie quand elle approche sa belle main fine et manucurée de ouge. Elle me mord d'abord tendrement puis plus violement mon nichon puis me pince d'un coup sec la pince crocodile. J'hurle vraiment de douleur, puis j'essaie de reprendre mon esprit et de suivre leur exemple de douleur contenue. J'ai l'impression d'avoir le nichon transpercé tous mes nerfs sont à vif, j'ai l'impression de souffrir de tout mon corps. Ma tête tourne, mais la queue de Linda me ramène à la raison. Je bande comme un fou « Mets moi l'autre vite, fais moi mal chérie ! » Je ne me reconnais à peine moi qui suis moyennement maso. Stéphanie me pince alors l'autre téton avec un sourire angélique qui me met dans tous mes états. Cette fois la nouvelle douleur s'estompe très vite noyée au milieu des autres. Mon corps est meurtri mais putain que c'est bon !
Je pensais que mon compte était bon et que mon traitement allait s'arrêter là jusqu'à ce que Stéphanie se glisse derrière moi et se penche vers mon oreille. « Maintenant chéri, tu vas avoir droit au bouquet final ! » Mon cur, se met à battre encore un peu plus vite quand je sent sa bite contre mon cul ! Elle glisse sa queue d'abord dans mon sillon en arrêtant son gland au contact de la grosse pine de sa cousine ! Puis elle commence à forcer mon trou du cul déjà très dilaté à l'occasion d'un mouvement de retrait de Linda. De concert, mes deux salopes, visiblement entrainées pour ce genre de technique, m'enculent d'un coup sec en me déchirant l'anus. Je sent que je saigne un peu mais cette double pénétration annale, ces deux merveilleuses bites dans mon cul mélées à la douleur des pinces tétons et à la caresse de Stéphanie sur ma queue enndolorie me font beugler comme une bête. Un râle qui n'avait de commun que la nouveauté de l'intense plaisir que je découvrais. Elles pouyent vraiment faire ce quelles veulent de moi, je suis leur escalve docile et reconnaissant. Nous jouissons toutes les trois ensemble dans un cri inhumain, les pinces à téton de Stephanie me griffant le dos. Sa main enserre ma queue prise de nconvulsions et je gicle abondemment sur la guelle et les nichons de Linda. Quelle merveille, quelle intensité, connaitrais-je un jour la même force de jouissance ?
Nous nous lovons encore un peu avant d'aller prendre une douche où nous nous savonnons amoureusement toutes les trois avec tendresse sur nos corps endoloris. Elles m'invitent à diner avec elles entièrement nues et je prolonge ainsi mon plaisir pendant un merveilleux moment. Je ne revis jamais Stéphanie et sa cousine mais je les cherche à chaque fois que je vais au bois. Un jour peut ,être !
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