Mes Professeurs De Plaisir

Je suis Maggy, 22 ans, étudiante en BTS dans un cabinet d’étude. Je suis rousse, aux formes généreuses qui ne laissent pas indifférents les hommes que je côtoie, et certaines femmes ne tarissent pas d’éloge sur la générosité de Dame nature. Merci maman pour cet héritage.
A l’âge de 17 ans je décide que quitter les bancs du collège et recherche un patron dans le domaine du secrétariat. Lors d’un forum emploi, je suis attirée par une proposition. Je me présente au cabinet, ma mère a tenu de m’y accompagner. Je me suis habillée en robe sobre, des collants et des ballerines.
Je suis accueillie par une femme aux allures très soignée et stricte en tailleur jupe et chaussure à talon, un maquillage discret et une chevelure en queue de cheval. Je me présente en tendant mon CV et ma lettre de motivation. Je ne suis pas à l’aise, mais sa voix est douce et chaleureuse. Elle m’invite à la suivre et rassure ma mère en lui demandant de quitter le cabinet et de revenir plus tard pour me récupérer. A son tour elle se présente, elle s’appelle Martine, brune, classe, divorcée de 46 ans.
Elle entre dans le bureau du gérant, et en ressort en me disant que je vais être reçu. L’homme qui apparait dans l’encadrement est impressionnant. Très charpenté, un très bel homme, et je pense que j’ai eu l’émotion aux joues et que cela s’est remarqué. Je me présente, je passe en revue mon maigre CV, et mes compétences presque nulles en informatique. Il tourne autour de moi, me toise, je ne suis pas rassurée. Nous clôturons, il convoque sa collaboratrice. Elle m’accompagne dans le petit salon du début et me demande de patienter. Elle rentre dans le bureau. Les minutes s’égrainent. Elle ressort. Se présente, elle s’appelle Martine, comme mon troisième prénom. Elle me fait visiter les bureaux. Un homme et une femme sont à leur bureau, l’homme, la quarantaine, a un look désuet, et la femme assez garçon manqué dont je ne serais donner d’âge. Ils me font part de leur fonction au sein du cabinet.

Puis nous revenons dans le bureau de Martine. Elle prend mes coordonnées.

Je quitte le cabinet, ma mère vient me récupérer. Nous rentrons, en fin d’après-midi je reçois un SMS de Martine. Rdv le lendemain avec un adulte responsable pour confirmer mon stage.

Le lendemain, ma mère et moi, nous rendons au cabinet, Martine nous accueille et nous invite à rentrer de dans le bureau. Le gérant nous explique ces attentes, le suivi, que ma tutrice sera Martine. Il me propose de faire un essai, de voir comment fonctionne le cabinet. Ma mère accepte et je m’engage pour cet essai. Le gérant explique que le premier contact avec le client est important, et me demande d’être toujours soignée comme Martine et ces collaborateurs de terrain. Ma mère tique un peu car je n’ai pas de tenue de la sorte dans ma garde-robe et que cela va demander un effort financier. M Bruno appelle Martine, qui me dirige vers le salon où nous buvons un café et parlons de son parcours et de mon futur.

Ma mère ressort du bureau et nous rentrons. Sur le chemin je m’inquiète sur la demande de M Bruno. Ma mère me rassure et me confirme que je ferais bien le stage ici. Que je dois revenir demain pour débuter mon essai. Je la remercie.

Je prends soin de moi, j’ai mis une jupe qui s’arrête aux genoux, ma mère m’a conseillé un chemisier et m’a prêté une paire de chaussure à talons que j’ai porte la veille pour m’habi. Dure apprentissage. Je prends le bus et arrive devant les bureaux. Je patiente, Martine arrive, suivi de M. Bruno. Martine se rend au vestiaire et me désigne mon casier, je constate que j’ai un casier à mon nom, je suis assez fière. Martine disparait dans le bureau de M. Bruno. Elle en ressort quelques minutes plus tard. Elle va aux toilettes, et revient. Je ne saisi pas ce manège, je le comprendrais plus tard.

M. Bruno m’invite à venir dans son bureau, Nous parlons de ce qu’il attend de moi, mon avenir ici, et de l’ambiance du cabinet. Astrid, Gilles et Marc sont eux la matière grise, Martine la coordonnatrice et M.
Bruno le chef d’orchestre de sa boite. Et moi là-dedans ? Les 15 jours d’essai ont été compliqué, je varié les activités s’enchainaient à un rythme effréné. Mais j’ai tenu bon.

Je suis convoquée, avec ma mère, pour signer le contrat d’apprentissage. J’ai rarement vu ma mère se préparer aussi soigneusement pour m’accompagner quelque part. Je ne veux pas dire que ma mère est négligée le reste du temps bien au contraire. Ma mère, Maude, à 48 ans, m’a élevé seule, car elle est tombée enceinte « par accident » et que l’homme qu’elle avait aimé n’a pas assumé ses ébats. Ma mère travaillait dans un bar à hôtesses. Son physique et ces mensurations ont aidé dans se métier. Mais maintenant à 48 ans c’est compliqué. Elle est hôtesse encore, mais de caisse.

Nous partons vers le cabinet, je suis présentable, sans exagération. Dans le bus je remarque quelques regards. Nous arrivons devant le cabinet. Martine nous accompagne vers le bureau, elle toque. Nous entrons, M. Bruno nous attend, après quelques remarques sur ma semaine, sur ma tenue qui ne semble pas plaire à M. Bruno et qui prend ma mère en exemple, jusqu’à supposer qu’elle porte des bas, et détailler la qualité du soutien-gorge qui incruste les dessins de la dentelle dans le chemisier à peine masquée par sa veste croisée. Je me sens gênée. M. Bruno sonne Martine. Elle l’invite à me prendre sous sa coupe afin d’améliorer ma présentation. Il rassure ma mère qui ne semblait pas inquiète avec un commentaire apaisant : « en guise de cadeau de bienvenue ! Vous ne voyez pas d’inconvénients Madame… » Ma mère joue la gênée, mais accepte volontiers. Martine et moi prenons congé. Martine et moi passons de boutique en boutique, et rend compte à Mr Bruno de l’avancé des emplètes. Pour mes 17 ans je trouvais les règles du dress-code vieillot. Mais je me trouvais belle.

J’ai compris que plus tard que ce « cadeau » avait été convenu entre ma mère, Martine et M. Bruno. Du haut des ces 48 ans ma mère n’avait rien perdu de son métier initial.


Dans le vestiaire je me change, me voici en petite fille modèle qui a pris 10 ans en quelques minutes. M. Bruno est satisfait. Martine m’a guidé pour mon maquillage. Martine Je semble parfaite. La journée se passe, embarrassé par mes paquets, M. Bruno me propose de me raccompagner. Je quitte la voiture en guise d’au revoir a un demain il pose une bise sur la joue.

Ma formation débute très correctement, quelques attitudes de M. Bruno me surprennent. Martine ressort du bureau quelques fois un peu « défaite » et va se rafraichir. Au fil des semaines ma garde-robe s’étoffe. Même que Martine me prodigue des conseils avisés, et me montre souvent ces nouvelles acquisitions. Je m’habitue très bien a mon nouveau style vestimentaire. La clientèle des habitués note et me complimente sur mon évolution. Je remarque aussi que le regard de M. Bruno me déshabille de plus en plus.

L’année se finie, M. Bruno organise un après-midi détente pour marquer la fin d’année et les fêtes associées. Repas de midi pris au restaurant, après-midi joyeux et détente, sous forme de tea-time, agrémenté de musique. Je me sens un peu euphorique. J’ai trinqué au champagne cette première pour moi à plusieurs reprises et certainement trop.

Nos 3 collaborateurs de terrain sont partis. J’ai dû somnoler dans un des canapés du salon car je n’ai pas remarqué la disparition des collègues. Depuis le salon des bruits sourds émanent du bureau. Des claquements puis des râles. Je reste à tendre l’oreille, dans ma tête tourbillonne plein d’idées voir des films, comme pour illustrer les remarques que je me suis faites d’une relation entre Martine et M. Bruno.

Je n’ai pas mis longtemps à entendre Martine exprimer son plaisir très fortement. J’ai senti monter en moi un vague de chaleur, et sans pudeur, glisser ma main sur ma culotte bien humide. Je ne prête pas attention, mais Martine et M. Bruno sont sortis du bureau, mon esprit encore dans les brumes d’alcool, ils m’observent.
C’est alors que je sens deux mains glisser dans mon chemisier, je suis tétanisée, et je vois au-dessus moi Martine avec un large sourire et me dit : « continu, tu es belle, laisse-toi faire ». La caresse est douce, mes doigts poursuivent de jouer avec mon bouton. Je réalise que la scène est observée par M. Bruno. Je n’éprouve aucune honte, certainement encore l’effet de l’alcool. Sans m’en rendre compte mon chemisier est ouvert et mes seins libérés de l’entrave du soutien-gorge. M Bruno observe la scène, je halète, et ne tarde pas jouir, au même moment je me rends compte de mon indécence.

M Bruno me rassure immédiatement, Martine reste à mes côtés. Martine est la première a me poser quelques questions, déjà pourquoi j’ai été amener a me faire du bien, j’ai répondu l’avoir entendu dans le bureau, puis sont arrivées des questions comme si j’avais un copains, si j’ai déjà fait l’amour, pleins de questions qui ont eu des réponses négatives. Au fil de cette interrogatoire j’ai remarqué le regard de M Bruno s’illuminer de mille feux.

M Bruno me pose alors une première question :
- Trouverais-tu choquant que Martine et moi soyons amant en ta présence ?
Je réponds très sincèrement que, j’avais déjà remarqué que Martine sortait de votre bureau quelquefois un peu défait. Il se mirent à rire…
- Quel serait ta réaction, car tu ne possède pas d’expérience sexuelle notable, si Martine et moi te faisions part de nos expériences de se cotés là.
Martine assise sur l’accoudoir du fauteuil de M. Bruno accentue son sourire pour me mettre en confiance. Je ne m’explique pas ma réaction, mais que je pense que l’alcool ma perception de ce geste, mais j’ai éprouvé une sensation de bien-être quand Martine à caresser mes seins. Et je ne pense pas être contre à poursuivre ce moment.
- Maggy, avant de poursuivre, tu es libre d’accepter ou de refuser. Cela n’aura aucune incidence sur ton parcours scolaire et professionnel. Je t’ai accepté chez moi, car tu m’as plu sincèrement. Je vais te poser la question : « Acceptes-tu que Martine, Moi ou ensemble nous fassions ton éducation ? ».
Je regarde Martine, elle acquiesce de la tête, me sourit. Je réponds à son sourire et fixe M. Bruno et je réponds OUI. M. Bruno et Martine dans un sourire complice, ouvre une nouvelle bouteille. Dans un éclair de lucidité, je demande à pouvoir prévenir ma mère de mon retard. Martine prend soin de verrouiller le bureau. Je suis le centre d’intérêt du moment. Toutes les questions tournent autour du sexe, des relations sentimentales. Du haut de mes 17 ans mon expérience c’est avéré très faible et une immense marge de manœuvre pour mes éducateurs particuliers que mon livret scolaire ne mentionnera pas.
Les minutes défilent, la seconde bouteille est vide. L’alcool me grise, Martine a retiré sa veste et sou son chemisier je peux distinguer l’absence de soutien-gorge et ses tétons qui sont dressés. Martine me demande si je voulais me mettre à mon aise. La fin de journée semble se prolonger. L’alcool désinhibe, je me sens sans retenus. Je retire ma veste, alors que Martine augmente le chauffage du salon. Martine en meneuse de revue me dit :
- Nous ne sommes pas à égalité.
Tout en ouvrant son chemisier. Je l’imite, elle est torse nu ses seins aux tétons pointus fièrement dressés s’avance vers moi et me débarrasse de mon soutien-gorge. Ma poitrine est livrée aux regards vicieux de M. Bruno et ceux admiratifs de Martine. Martine se défait sa jupe, et dévoile sa nudité. Elle ne porte plus qu’un porte-jarretelle noir, ces bas et ces escarpins. Hésitante, je l’accompagne. Malgré l’alcool je sens bien que je viens de franchir une étape importante. Me déshabiller ainsi devant quelqu’un je ne l’avais jamais fait. Car ma seule expérience se limitait a de la branlette.

Martine s’approche de M. Bruno, s’agenouille, caresse son pantalon puis ouvre sa ceinture, fait glisser son pantalon et son boxer pour laisser surgir son sexe totalement en érection. Son membre était en accord avec la stature de l’homme, long et épais accompagné de deux très généreuses testicules. En voyant ce beau spécimen, que je ne pensais que regarder dans les films que nous visionnions entre copines, j’ai senti une décharge au creux de mon ventre et l’envie irrésistible de me caresser.

Martine me regarde, nos regards se croisent, elle prend le sexe de M. Bruno en bouche et commence a s’amuser avec. La démonstration est magistrale, digne des vidéos de J&M. Elle s’affaire, appliquée, méticuleuse, je l’observe et mes doigts jouent avec ma fente et mon bourgeon. Très vite M. Bruno félicite Martine par quelques mots crus, qui ne me perturbe pas. Martine calme le jeu, et m’invite à la rejoindre.
- Comme tu désires que nous soyons tes professeurs des plaisirs de la vie, viens prendre ta première leçon.
Je m’approche, je me pose à genou entre les jambes de M. Bruno, Martine guide ma main sur le sexe, nous le caressons. Ma main en contact direct avec cette bite tendu et Martine sur la mienne qui me guide. Je ne sais pas quelle sensation me troublait le plus. Martine prend ma tête et m’approche de se mat de chair.
- Vas-y lèche, imagine une glace, goute-la, va du gland vers ces belles boules toutes lisses et soignées, parfait, continu, joue avec ta langue… sent comme il réagit. Oui c’est bien, prend-le bouche et enfonce là, aller encore…
Je ne progresse pas très loin, ma bouche n’ai pas formater pour l’accueillir comme il se doit. Je poursuis cette fellation bien guidée par Martine. Elle profite pour caresser mon sexe qui possède encore sa toison.
- Cela te plait, pour une première c’est une réussite, tu mouilles et son sexe reste tout tendu. Tu vas faire un heureux si tu persévère.
J’entame le va et vient, M. Bruno gémit et il apprécie ma faveur. Je ne sais pas combien de temps à duré cette pipe, mais M. Bruno me lance un :
- Continu salope, c’est bon.
Est-ce pour me sauvegarder d’un mouvement de dégoût ou par gourmandise, Martine me remplace et fini notre boss en le laissant se libérer dans sa bouche. Elle avale son jus. Une goutte perle au bout de sa bite. Martine la récupère du bout du doigt et me le présente. J’hésite, mais je fais confiance et je lèche son doigt. Sa goutte semence finit dans ma bouche, et sans dégout j’avale.
- Parfait ma belle, m’encourage Martine. Ta prochaine étape sera de le recevoir dans ta bouche et que tu te délecte de son jus.
Martine s’installe dans le fauteuil, sort de son sac à main un vibro et les jambes totalement écartées, ouverte à nos regards se masturbe et se pénètre. M. Bruno tente de redonner vigueur à son membre en se branlant en matant l’indécente Martine. Elle triture sa poitrine et pince ces tétons. Fasciné par son savoir-faire, je ne pense pas à me caresser, mais a profiter de se live qui m’est offert. Elle gémit de plus en plus fort pour finir par jouir dans un râle de sauvageonne.
Le skaï de son fauteuil est trempé, M. Bruno n’a pas repris de force. Il décide de commander de quoi nous restaurer et reprendre des forces. Martine encore sous pression, se congratule, et elle me demande si l’ambiance ne te choque pas. Sans me laisser perturbé je réponds que non et que j’ai apprécié ma première pipe. M. Bruno renchérit en disant :
- Tu as des qualités à exploiter en effet. Je pense que tu vas me rendre fier de toi.
Le livreur se présente à la porte, Martine va récupérer les provisions juste vêtues de sa veste courte, et laisse apparaitre ces bas et la base de ces fesses. Je pense que le livreur à apprécié à sa juste valeur cette exhibe.

Nous mangeons, prenons encore un peu de champagne. Martine me propose de me rendre désirable de partout et me dis :
- Demain à la pause déjeuner je t’emmène chez mon amie esthéticienne pour te rendre parfaite aux goûts de M. Bruno.
Je suis achevée. Martine me raccompagne chez moi. Elle m’embrasse en prenant mes lèvres, je ne résiste pas. Je quitte la voiture et rentre chez moi. Je me douche et part me coucher. La nuis fut très agité en pensées très chaudes. J’ai mis le doigt dans un engrenage qui ne va pas s’arrêter de sitôt.

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