Premier Trio
Bonjour, cest Bob. Vous vous souvenez de ma chérie, Virginie, jolie blonde de 23 ans, aujourdhui en activité dans une boite dImport-Export sur Paris. Jai tant à vous raconter : ses retrouvailles avec Olivier, nos disputes dans notre vie de couple, sa mère, sa rencontre avec Laure, etc. Je ne sais vraiment plus par où continuer ! Bref, pourquoi pas vous raconter mon tout premier trio avec ma belle. Tout vous raconter en détail, savoir comment on est arrivé à réaliser notre fantasme serait trop long à expliquer ici pour un seul récit. Je compte bien le faire une prochaine fois.
Bref, de fait, vous nallez pas me croire mais notre premier partenaire de jeu pour ce premier trio était
Olivier !
Oui ! Olivier. Celui qui sest tapé ma femme, à mon insu, et celui qui la bien partouzée aussi (voir mes deux récits précédents « Première fois » et « La seconde fois » pour les détails). Bref, après un temps très difficile avec ma chérie, nous nous réconciliâmes et, sil est toujours difficile de dire que nous filons le parfait amour (cela nexiste que dans les contes de fées), nous nen sommes pas moins un couple heureux et épanoui.
Bon gré, mal gré, Virginie, ma chérie, avait réussi à mimposer la présence dOlivier dans sa vie depuis ses retrouvailles avec lui en novembre dernier ; quelques jours seulement après être entrée dans sa nouvelle boîte dimport-export. Nous linvitâmes plusieurs soirs à dîner à la maison. Ma chérie fantasmait carrément sur lui, à chaque fois quelle le voyait.
Bref, soirée après soirée, on a sympathisé. Olivier nétait pas sûr de venir au début :
« Tu es sûr que cest une bonne idée ? » demanda Olivier à Virginie, inquiet de la réaction que moi, Bob, son compagnon, pourrait avoir. Pensez donc, il avait sauté ma femme, ce salaud !
- Ne tinquiète pas, je lui ai parlé de toi. Je lui ai tout dit. Il sait tout ! précisa ma dulciné.
- Il sait tout ? rétorqua Olivier, étonné.
- Oui, il sait tout, les petites sauteries chez moi, chez ma mère.
- Tu veux dire les gang-bangs ?
- Oui, confirma Virginie, embarrassée par lemploi de ce mot.
- Waouh, fit Olivier. Et comment a-t-il réagit ? ajouta-t-il.
- Mal ! précisa Virginie.
- Oui, je comprends, ajouta Olivier. « En même temps, je naurais pas aimé être à sa place et que quelquun baise ma femme, comme ça ! ».
- Tu peux le dire, répliqua Virginie un peu sèchement.
- Je suis désolé, vraiment ! ajouta Olivier.
« En même temps, il faut me comprendre, javais fait un pari avec des potes
», ajouta-t-il.
Olivier senfonçait, avec la maladresse qui le caractérisa si souvent. Virginie coupa court :
- Bon, tu viens ou tu ne viens pas ? ajouta-t-elle, attendant toujours une réponse à son invitation.
- Tu me jures quil ny a pas de risque ? demanda-t-il.
- Aucun ! lui dit-elle assurément.
- OK ! fit Olivier, bien décidé à relever le défi.
Cest ainsi que Bob et Virginie invitèrent pour la première fois, Olivier dans leur petit appartement de Vincennes. Je vous conterai un jour lhistoire de leur emménagement, leurs premiers émois. Mais pour le moment restons-en à notre petit trio.
Bref, Olivier vint plusieurs fois chez Bob et Virginie. Parfois, il donnait un coup de main au couple, pour une livraison, du bricolage, etc.
Un soir comme les autres où tout se fit naturellement, Bob proposa à Olivier de rester à la maison pour dormir. Il était assez tard dans la soirée, le repas sétait un peu éternisé au fil des discussions.
Bob ajouta en sadressant à Olivier : « tu peux aussi baiser ma femme, si tu veux ? »
Olivier ne savait pas si cétait du lard ou du cochon. Il regarda Virginie, la questionnant du regard : « quest-ce quil me fait ? je réponds quoi à ça ? ». La belle lui fit un grand sourire, prenant Bob par la main et lui roulant une grosse pelle. Olivier assista au spectacle, muet.
« Décontracte-toi » lui dit Virginie. « Je tai connu moi timide ! » ajouta-t-elle.
Virginie navait pas froid aux yeux. Elle savait ce quelle voulait. Bob aussi était décidé à passer à laction, lui qui na jamais fait un seul trio de sa vie. Cétait une occasion rêvée pour lui.
Bob commença à caresser les seins de sa dulciné, la saisit sur lui pour quelle le chevauche à califourchon (il était assis sur une chaise du salon). Soudain, Virginie se leva et emmena Bob dans la chambre. Olivier restait figé, comme incapable de prendre une décision, lui qui avait été si avenant avec la femme de Bob par le passé.
« Je ne sais pas toi, dit Virginie à Olivier, mais nous on va dans la chambre, se faire des câlins ».
« Tu peux venir si tu veux », ajouta-t-elle.
Olivier ne mit pas trop de temps à prendre sa décision et sitôt le couple entré dans la chambre, sitôt il leur emboita le pas. Voilà nos deux tourtereaux en galante compagnie. Bob avait prévenu Olivier, et Olivier avait prévenu Bob : hors de question davoir des relations homosexuelles. Non quils soient homophobes, lun et lautre, mais lhomosexualité nétait vraiment pas leur truc. Olivier aimait les femmes ; Bob aimait Virginie.
La belle, ce soir-là, nétait vêtue que dun débardeur de couleur uni et dun jeans moulant. Et pour cause, il nétait pas question ce soir-là, au moment de linvitation quOlivier resta pour la nuit. Bob lui-même nimaginait pas que ce serait ce soir-là en particulier où il verrait sa belle en trio avec lui, pour la première fois. Certes, il sétait fait à lidée que cela viendrait un jour. La belle le souhaitait aussi, rapidement ! Les choses se sont faites naturellement, et Bob, et Olivier, toute la soirée (une partie de la nuit, devrais-je dire) sautèrent à tour de rôle la belle aux formes envoutantes.
Bob et Virginie sétait assis sur le bord du lit. Bob commença à caresser les seins de Virginie par-dessus son débardeur. La belle ondulait du corps, écartant doucement ses jambes comme pour attendre dOlivier une première caresse sur son entre jambes.
Devant les deux verges tendues, Virginie regarda avec malice les yeux de leurs deux propriétaires puis comme une invitation se mit à genoux devant eux. La belle suça à tour de rôle ces mets délicieux, sa convoitise, disait-elle.
Bob pensa quelle allait commencer par lui mais il nen fut rien : elle suça Olivier en premier le regardant dabord dans les yeux avant dengloutir du mieux quelle le pouvait, le sexe dur et puissant qui soffrait à elle. Olivier tenta quelque coup de queues rapides dans la bouche de la dulciné en la prenant par les cheveux. La présence de Bob ne le gênait pas. Il sentait quil avait carte blanche pour produire à Virginie tous les sévices quil avait envie de lui faire. La belle en attendait pas moins de ses deux amants et Bob prit la relève dOlivier en offrant sa queue, à son tour, à lélu de son cur.
LorsquOlivier se faisait sucer par la belle, il accéléra de temps à autre son rythme en prenant la belle par les cheveux. Virginie accompagna machinalement la cadence, comme par réflexe. Il est incroyable à cet effet, de voir combien une fille peut changer dattitude dans ces moments-là, comme si chacune delle était possédée par une force irrésistible. Nul doute quil y a matière à creuser dans ce constat. Et pour creuser, Olivier savait y faire : la belle avait les lèvres luisantes. Bob la regardait : elle était à la merci de son bourreau.
Cest ainsi que Virginie nous suça pendant quelques instants. Je lui fis signe ensuite de se redresser. La belle sappuya alors sur notre lit, de ses mains, bras tendus, dos à nous, face au lit. Jembrassai ses fesses, délicieuses à souhait, charnues, fermes. Olivier en profita pour se placer devant le visage de ma belle, qui sitôt le sexe de son hôte à portée de bouche, le saisit et le suça de nouveau. Pendant quelle le suçait, je glissai un doigt puis deux dans la chatte légèrement humide de ma chérie. La belle mouillait bien, et plus je la doigtais plus elle mouillait. Je saisis alors ma queue et vint me placer à genou sur le lit derrière elle. Je navais quune envie : la pénétrer !
Olivier se faisait toujours sucer. Je regardais ma belle le prendre tout en étant à lintérieur delle. Cela fait un drôle deffet. Je ne sais pas si cela est lié à la première fois, mais il y avait comme un mélange de désir et de culpabilité en moi : voir sa femme sucer une autre queue, cela est formidable ; mais en même temps, est-ce raisonnable ?
Pour le moment, cependant, nous savourions le temps présent, et ni moi, ni ma dulciné, ni Olivier nous nous en plaignions. Je baisai ma chérie en lattrapant par les hanches et jaimais ça. Nous changeâmes toutefois de position, Olivier ayant envie de lui chatouiller le petit trou. Je mallongeai alors sur notre lit. Ma belle vint sasseoir sur moi en position dAndromaque et Olivier chatouilla le fruit défendu de ma belle (le salaud, il faisait ça mieux que moi !). Ma chérie le laissait faire, concentrée sur mon sexe quelle avait en elle.
Sentant quOlivier allait préparer quelque chose, jai demandé alors à ma chérie si elle voulait que je lencule, court-circuitant ainsi ce quOlivier sapprêtait sans doute à faire. Ma belle me dit « Oui » sans réfléchir. Elle était dans le feu de laction et sans doute à cet instant, on pouvait (presque) tout lui demander sans quelle ne refuse quoi que ce soit. Ma belle resta dans la même position et je sortis ma queue de son vagin pour la lui mettre dans son petit trou. Olivier nétait pas déçu. Il nous matait en se caressant le sexe. Il savait que son heure arriverait et comptait bien se rattr.
Après quelques vas-et-viens dans le cul de ma chérie, je laissai la place à Olivier qui vint puissamment prendre possession du petit trou de ma chérie. Sa queue était un peu plus grosse que la mienne, à peine plus, mais lengin mimpressionnait. Le voir prendre possession du cul de ma chérie pour la première fois, en vrai, et plus seulement dans mon imaginaire, décuplait mon plaisir. Je me surpris même à dire à ma femme : « tu aimes ça, hein, salope ? ». Je me comportais désormais comme ces malotrus qui lavaient baisée six ou huit mois auparavant et dont fit partie notre hôte de ce soir. En y repensant, je me dis que tout cela est une histoire invraisemblable. Et pourtant, tout cela était bien vrai.
A la question : « tu aimes bien ça, salope ? », ma chérie me répondit « Oui », du tac-au-tac. Olivier continua à la sodomiser (il était beaucoup plus doué que moi pour cela). Il changea de position et sallongea sur le dos. Ma belle le chevaucha en lui tournant le dos. Javais une vue directe sur la vulve bien ouverte de ma dulciné. Sans réfléchir, je me plaçai devant elle, trouvant place entre ses jambes et celles de notre hôte. Virginie me regarda dans les yeux, légèrement secouée par les à-coups que lui donnait Olivier dans son petit trou. Je la regardai aussi et pris mon sexe en main avant de lui introduire. Jai vu ma belle fermer les yeux de plaisir à cette instant-là, se laissant pénétrer par nos désirs et nos envies. Olivier était toujours dans son petit trou. Moi, je venais dinvestir son antre vaginal.
Ma queue entra daussi loin quelle leut pu. Ma belle se tenait bras appuyés sur le lit de chaque côté dOlivier placé sous elle. La position était quelque peu acrobatique. Je regardai ma chérie encore et lui dit :
- Cest la première fois quon te prend comme ça, je parie ?
- Oui, me répondit-elle, étouffant un souffle saccadé par les à-coups conjoints de ma queue et de celle dOlivier.
Olivier pénétra fort ma gonzesse. Aussi fort quil leût pu. Cest du moins limpression que jen avais. Je sentais sa cadence, et très vite, nos queues salignèrent sur le même rythme si bien que chaque fois que je venais dans la chatte de ma dulciné, il venait dans son petit orifice à elle. Nos accélérations étaient simultanées. Nous nous essoufflâmes, tous les trois.
Jeu limpression, toutefois, de temps à autre, que nos deux queues cognaient lune contre lautre. Non pas que je sentais son sexe à lintérieur du corps de ma chérie. Non, cela est sans doute une légende. Mais nos bourses sentrechoquaient et jamais auparavant je nai eu cette sensation. Normal me direz-vous, je ne lavais baisée quen solitaire jusque-là.
Après quelques secondes de pause, nous changeâmes encore de position. Olivier était toujours sur le dos. Il changea de préservatif et ma belle vint sempaler de nouveau sur lui, par voie vaginale, en lui faisant face cette fois-ci. Jentrepris alors de refaire lassaut du petit trou de ma belle. Jétais heureux car cétait la première fois que je prenais ma chérie en double avec un autre homme. Dans laction, je demandai à Olivier de jouir sur le visage de ma belle qui fut surprise alors par ce quelle venait dentendre :
- Pardon ? dit-elle avec placidité. « On ne demande pas mon avis à moi ? » ajouta Virginie, bien décidée à ce que cela se fasse, mais faisant mine de ne pas être daccord.
- Excuse, chérie, mais cest trop bon, rajoutai-je.
Nous navions pas fini notre dialogue quOlivier se releva ; ma belle se mit à genou au pied du lit et pompa de nouveau notre hôte. Ma chérie sactiva sur sa queue quelle tenait de la main droite. Olivier prit la relève remplaçant la main de ma belle par la sienne. Il regarda ma chérie le sucer puis ajouta :
- Ouvre bien ta bouche chérie, cest le moment, je vais venir.
Olivier était aussi pervers que moi, à moins que ce ne soit linverse. Je regardai la scène avec stupéfaction. Dans ma tête, je me disais : « il va jouir sur son visage ! » et javais hâte de voir cela. Rapidement, il éjacula en effet de longs jets de sperme chaud sur le visage de ma belle, souillée pour loccasion. Je navais encore javais vu sur son visage ce sperme quelle avait déjà gouté un mercredi après-midi, chez elle. Et dire quelle avait fait cela dans le lit de sa mère !
Aux premières giclées de spermes, Virginie en ferma les yeux, décidée à recevoir tout ce foutre quelle avait donc avalé une fois peut-être deux, en mai juin dernier. Ma chérie était belle, cest indéniable. Elle avait du sperme plein de visage : sur les joues, le nez, le front, le menton
Il y en avait peu cependant sur ses lèvres si bien que ma belle neut pas grand-chose à avaler ce soir-là. Quelques gouttes maculèrent ses cheveux. Le sperme commença à couler de son menton vers le sol. Olivier était vidé. Il introduisit son sexe une dernière fois, dans la bouche de ma belle comme pour se faire nettoyer le gland. Ma chérie le prit dans sa bouche et joua de sa langue en titillant son gland. Du sperme sécoulait de sa bouche. Elle était belle et moi amoureux delle.
Devant le spectacle de ma belle, dégoulinante de sperme, jentrepris de me branler à mon tour sur son visage. Quelques malheureux jets atteignirent son menton. Devant la quantité que lui mit Olivier, javais limpression de ne pas faire le poids. Quimporte ! Ma belle était douce, délicieuse, envoutante ; et si par mégarde, à lavenir, nous ne renouvelions pas lexpérience, je garderai néanmoins delle un magnifique souvenir, lun des plus beaux de ma vie.
A bientôt pour une prochaine aventure.
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