Premier Trio (La Suite)

Salut c’est Bob ! Vous ai-je dit qu’il y avait une suite à notre « premier trio ». Non ? Bien, lisez ce qu’il suit et jugez par vous-même. Bonne lecture !
*****
Après s’être occupé de ma chérie avec moi (voir récit « premier trio »), Olivier resta dormir à la maison. Nous n’avions qu’un seul lit. Il pouvait éventuellement dormir dans le canapé mais après l’intimité que nous venions de partager tous les trois, nous l’invitâmes facilement à dormir avec nous. L’homme ne se fit pas prier et nous nous couchâmes ainsi tous les trois dans le lit conjugal. Ma belle s’était placée entre nous deux. Chacun trouva sa position et son côté. Nous nous endormîmes comme cela, à une heure, certes, déjà avancée de la soirée.
La nuit était calme, il n’y avait pour seul bruit que le bruit du frigo et pour éclairage, celui qui fendait les rideaux de la chambre et qui venait de l’extérieur ; de la rue. Je voyais ma dulciné à côté de moi et je m’endormis en pensant à elle. Quel exploit ! me disais-je en la regardant sans rien lui dire. La belle s’endormit à son tour. Olivier aussi, Nous étions vidés, cassés par la fatigue.
C’est alors qu’en pleine nuit, alors qu’il y avait encore de l’éclairage dans la chambre, je me réveillai et vis une ombre s’agiter tout près de moi : c’était Olivier. Il était en train de besogner ma femme, à moitié endormie. La belle avait les jambes écartées, les genoux à peine relevés. En tendant l’oreille, j’entendis ma belle pousser de petits gémissements. Avait-elle conscience que quelqu’un lui faisait l’amour ? Pensait-elle à Olivier ? à moi ? à une autre personne ? ou simplement était-elle en train de rêver ?
Mais, chose arriva, Olivier accéléra la cadence et vint jouir les quelques jets de sperme qui lui restaient, dans le vagin de ma femme. Il se dégagea d’elle, reprit sa place de l’autre côté de ma femme, épuisé.
Passé cette expérience qui me laissa sans voix, nous nous rendormîmes tous les trois.

Ma chérie n’avait peut-être pas cessé de l’être. Une heure, deux heures peut-être, s’étaient écoulées entre le moment où Olivier prit ma femme comme cela en missionnaire durant la nuit et le moment où je me réveillai de nouveau. Cette-fois-ci, je ne vis plus ni ma femme ni Olivier dans mon lit. Où étaient-ils partis ? Fatigué, je me dis qu’ils n’étaient pas loin, peut-être dans le salon. Je ne m’inquiétais pas plus que cela et me rendormis. Olivier s’était levé, et Virginie l’avait rejoint :
- Tu as des bas et des chaussures à talons aiguilles ? demanda Olivier à ma belle.
- Oui, répondit-elle. « Bob m’en a offert pour un anniversaire ».
- Parfait, répondit Olivier. « Mets-les ! »
Virginie s’en alla chercher ses bas et ses chaussures à talons dans la chambre où Bob dormait comme un loir. Elle s’y rendit doucement sur la pointe des pieds pour ne pas le réveiller et en revint avec les bas et les chaussures que Bob lui avait offert un an plus tôt pour ses 22 ans. Il s’agissait d’escarpins à talons hauts pour être exact et de bas blancs autofixants. Virginie s’était offert ces bas pour plaire un soir à son homme. Elle n’eut jamais vraiment l’occasion de les mettre, préférant souvent les collants. Elle les porta une fois ou deux seulement, pour faire des achats, un samedi après-midi dans les rues de Vincennes. Elle se prenait parfois pour l’actrice italienne Laura Antonelli dans le film Malicia, sortie en 1973. Elle avait essayé, par deux ou trois fois, d’attirer l’attention de Bob, lui disant : « Tu as vu, je me suis acheté des bas ». « Ils sont très beaux, répliqua Bob. Ils te vont à loisir ». Bob n’eut d’autres réponses à donner à sa belle, et passa vite à autre chose, elle qui en attendait plus de sa part.

Vêtue de ses bas et de ses escarpins à talons haut, Virginie était superbe. Olivier la complimenta :
- Tu es belle comme une poupée de porcelaine. Tu es magnifique, insista-t-il.
La belle, debout, fit un tour sur elle-même comme pour mieux s’offrir au regard désireux d’Olivier :
- Oui, vraiment, tu es très belle, répéta-t-il.

Olivier senti le désir monter en lui. Il n’avait même pas besoin de se caresser ou t’embrasser la belle pour bander à nouveau. Virginie le vit reprendre de la vigueur. Olivier s’approcha d’elle, la prit par la taille. La belle vint s’asseoir sur le clic-clac juste derrière elle. Elle était assise devant l’homme qu’elle côtoyait, jambes écartées, cambrure soulignée par ses escarpins, cuisses mises en valeur par ses bas autofixants et jarretières de dentelle véritable.
Olivier n’en pouvait plus. Il se rapprocha davantage de Virginie, sexe tendu à la main. Ma belle le prit dans sa bouche sans se faire prier. Sans dire un mot de plus, elle le pompa. Elle le suçait, le léchait, se délectait de cette verge qui s’offrait à elle, caressant amplement de sa langue le gland turgescent de notre hôte. D’une main, elle soupesait les bourses d’Oliver, roulant délicatement ses couilles avec la paume de sa main, de l’autre, elle tenait le sexe de notre hôte dans sa bouche avant de poser ensuite ses deux mains sur ses cuisses et d’avaler plus amplement le trophée de ses désirs.
Olivier lui dit :
« - Tu es une sacrée coquine, toi ! »
Virginie était fière et heureuse du compliment. Elle suça alors Olivier de plus belle, augmentant la cadence de ses vas-et-viens buccaux sur le sexe de notre hôte. Olivier la saisit de nouveau sans brutalité par les cheveux et par la nuque. La belle aimait bien ça. Elle fermait les yeux, tapota le sexe de notre hôte sur la langue et sa bouche bien ouverte, s’en ressaisit à nouveau, profondément, le suçant goulument, presque bruyamment. Olivier était fou de désir pour elle.

Je ne sais combien de temps ma belle suça notre hôte comme cela, car ce ne fut qu’au petit jour que j’ai eu vent de cette nuit agitée. Ma belle l’avait sucé jusqu’à prendre les dernières giclées de son sperme dans la bouche, en avalant cette fois, avant même de lui montrer le résultat de son méfait.
Olivier n’en était pas moins aux anges et embrassa la belle sur le front.
Les deux tourtereaux s’en retournèrent se coucher, délicatement, sans faire de bruit, pour ne pas réveiller Bob. Dans le lit, Virginie se tourna vers Bob, le regardant dormir comme un loir. Olivier passa le bras sur le corps de ma dulciné et se colla derrière elle. Ils retrouvèrent le sommeil jusqu’au petit matin.
Fin de l’histoire.

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