Premier Trio (La Suite)
Salut cest Bob ! Vous ai-je dit quil y avait une suite à notre « premier trio ». Non ? Bien, lisez ce quil suit et jugez par vous-même. Bonne lecture !
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Après sêtre occupé de ma chérie avec moi (voir récit « premier trio »), Olivier resta dormir à la maison. Nous navions quun seul lit. Il pouvait éventuellement dormir dans le canapé mais après lintimité que nous venions de partager tous les trois, nous linvitâmes facilement à dormir avec nous. Lhomme ne se fit pas prier et nous nous couchâmes ainsi tous les trois dans le lit conjugal. Ma belle sétait placée entre nous deux. Chacun trouva sa position et son côté. Nous nous endormîmes comme cela, à une heure, certes, déjà avancée de la soirée.
La nuit était calme, il ny avait pour seul bruit que le bruit du frigo et pour éclairage, celui qui fendait les rideaux de la chambre et qui venait de lextérieur ; de la rue. Je voyais ma dulciné à côté de moi et je mendormis en pensant à elle. Quel exploit ! me disais-je en la regardant sans rien lui dire. La belle sendormit à son tour. Olivier aussi, Nous étions vidés, cassés par la fatigue.
Cest alors quen pleine nuit, alors quil y avait encore de léclairage dans la chambre, je me réveillai et vis une ombre sagiter tout près de moi : cétait Olivier. Il était en train de besogner ma femme, à moitié endormie. La belle avait les jambes écartées, les genoux à peine relevés. En tendant loreille, jentendis ma belle pousser de petits gémissements. Avait-elle conscience que quelquun lui faisait lamour ? Pensait-elle à Olivier ? à moi ? à une autre personne ? ou simplement était-elle en train de rêver ?
Mais, chose arriva, Olivier accéléra la cadence et vint jouir les quelques jets de sperme qui lui restaient, dans le vagin de ma femme. Il se dégagea delle, reprit sa place de lautre côté de ma femme, épuisé.
Passé cette expérience qui me laissa sans voix, nous nous rendormîmes tous les trois.
- Tu as des bas et des chaussures à talons aiguilles ? demanda Olivier à ma belle.
- Oui, répondit-elle. « Bob men a offert pour un anniversaire ».
- Parfait, répondit Olivier. « Mets-les ! »
Virginie sen alla chercher ses bas et ses chaussures à talons dans la chambre où Bob dormait comme un loir. Elle sy rendit doucement sur la pointe des pieds pour ne pas le réveiller et en revint avec les bas et les chaussures que Bob lui avait offert un an plus tôt pour ses 22 ans. Il sagissait descarpins à talons hauts pour être exact et de bas blancs autofixants. Virginie sétait offert ces bas pour plaire un soir à son homme. Elle neut jamais vraiment loccasion de les mettre, préférant souvent les collants. Elle les porta une fois ou deux seulement, pour faire des achats, un samedi après-midi dans les rues de Vincennes. Elle se prenait parfois pour lactrice italienne Laura Antonelli dans le film Malicia, sortie en 1973. Elle avait essayé, par deux ou trois fois, dattirer lattention de Bob, lui disant : « Tu as vu, je me suis acheté des bas ». « Ils sont très beaux, répliqua Bob. Ils te vont à loisir ». Bob neut dautres réponses à donner à sa belle, et passa vite à autre chose, elle qui en attendait plus de sa part.
Vêtue de ses bas et de ses escarpins à talons haut, Virginie était superbe. Olivier la complimenta :
- Tu es belle comme une poupée de porcelaine. Tu es magnifique, insista-t-il.
La belle, debout, fit un tour sur elle-même comme pour mieux soffrir au regard désireux dOlivier :
- Oui, vraiment, tu es très belle, répéta-t-il.
Olivier senti le désir monter en lui. Il navait même pas besoin de se caresser ou tembrasser la belle pour bander à nouveau. Virginie le vit reprendre de la vigueur. Olivier sapprocha delle, la prit par la taille. La belle vint sasseoir sur le clic-clac juste derrière elle. Elle était assise devant lhomme quelle côtoyait, jambes écartées, cambrure soulignée par ses escarpins, cuisses mises en valeur par ses bas autofixants et jarretières de dentelle véritable.
Olivier nen pouvait plus. Il se rapprocha davantage de Virginie, sexe tendu à la main. Ma belle le prit dans sa bouche sans se faire prier. Sans dire un mot de plus, elle le pompa. Elle le suçait, le léchait, se délectait de cette verge qui soffrait à elle, caressant amplement de sa langue le gland turgescent de notre hôte. Dune main, elle soupesait les bourses dOliver, roulant délicatement ses couilles avec la paume de sa main, de lautre, elle tenait le sexe de notre hôte dans sa bouche avant de poser ensuite ses deux mains sur ses cuisses et davaler plus amplement le trophée de ses désirs.
Olivier lui dit :
« - Tu es une sacrée coquine, toi ! »
Virginie était fière et heureuse du compliment. Elle suça alors Olivier de plus belle, augmentant la cadence de ses vas-et-viens buccaux sur le sexe de notre hôte. Olivier la saisit de nouveau sans brutalité par les cheveux et par la nuque. La belle aimait bien ça. Elle fermait les yeux, tapota le sexe de notre hôte sur la langue et sa bouche bien ouverte, sen ressaisit à nouveau, profondément, le suçant goulument, presque bruyamment. Olivier était fou de désir pour elle.
Je ne sais combien de temps ma belle suça notre hôte comme cela, car ce ne fut quau petit jour que jai eu vent de cette nuit agitée. Ma belle lavait sucé jusquà prendre les dernières giclées de son sperme dans la bouche, en avalant cette fois, avant même de lui montrer le résultat de son méfait.
Olivier nen était pas moins aux anges et embrassa la belle sur le front.
Fin de lhistoire.
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