Collection Cocu. Le Poulain. Saison Iii (11/12)
Avec sa fille et ma belle-mère qui a des vus sur Lord Cromwell, je passe une soirée exécrable pendant le début du repas.
La table ronde qui peut supporter quatre rallonges lorsque nous sommes très nombreux, me place par la volonté dIsabelle ma vieille salope de belle-mère face à mon amant.
À côté de sa grand-mère et Élisabeth de son père, je fulmine ayant espéré caresser la cuisse de John, voire plus sous la nappe.
Cest elle qui tout en parlant de la campagne anglaise qui arrive à la faire plonger sous la nappe.
Jai envie de me lever et la traiter de salope devant les s mais le pied qui vient écarter mes cuisses me rappelle que mon amant reste mon amant.
Je le vois se glisser un peu en avant tout en me caressant lintérieur de ma jambe sans atteindre ma chatte qui bave dêtre caressé.
Javance moi aussi mon bassin tout en continuant à converser mécaniquement avec Isabelle tout au plaisir que cette socquette en fil dÉcosse un peu rêche mapporte.
Même si ce pied est encore à dix centimètres de mon intimité la situation entre les s et ma belle-mère est épique à la limite du raisonnable surtout quand une onde de plaisir massaille.
- Marie, pourquoi te tortilles-tu ?
- Jai eu une douleur dans le ventre ce devait être un gaz.
- Le docteur Franck vient me visiter demain, si tu veux quil tausculte.
- Non, demain je vais assister à la saillie du cheval de John.
- John depuis quand appelles-tu Lord Cromwell par son prénom !
- Vous lavez appelé par son prénom, cest venu naturellement.
- Attention Marie évite de manquer de respect à notre invité.
- Quant à la saillie, je serais toi jéviterais dy assister.
Tu es devenue folle, cest le Duc qui sen occupait du temps de son vivant.
- Aller les s au lit, on a beau être en vacances vous avez besoin de plus de sommeil que les adultes.
- Ils sont grands laisser les aller au lit tout seul Marie.
Venez avec moi si vous êtes daccord, avant de me coucher, jaime aller visiter mes chevaux, ça maide à mendormir.
- Marie reste là, va aider les s à se brosser les dents, lhygiène cest primordial.
John, si vous êtes daccord je viendrais avec vous.
Quand je dis que cest une salope, sa proposition à deux effets.
Le retrait du pied de mon amant me frustrant dun plaisir plus grand et surtout dun moment de plaisir loin des regards des autres membres de ma famille.
Jaime le regard de chien battu de John qui hérite de la vieille peau de belle-maman pour partir vers les écuries.
Un moment de joie me prend manquant de me faire éclater de rire.
Je vais certainement être faite cocu au même endroit où tout a commencé et où cest moi qui cocufiais Louis mon mari avec Ludo.
Que tout ceci me paraît loin, comme le temps qui sécoule me laissant éveiller afin découter le moindre bruit de pas se dirigeant vers la porte den face.
Cest là que jai installé mon amant quand il est arrivé et où il a laissé ses bagages.
Javais envie de lattendre nue sur son lit mais je me suis dit quÉlisabeth pouvait venir voir son père et nous trouve à copuler.
Ajoutez à ça le risque que John amène sa nouvelle conquête dans ses appartements me laissant en tête à tête ma chatte à lair sur son lit en face du regard réprobateur dIsabelle.
Un seul point dintérêt dans cela, elle ma gâché mon plaisir avec le pied de mon amant.
Laisser sa vieille chatte toute fripée baver denvie devant ma jeunesse.
« Crac, crac. »
Cest le bruit que jentends sur ma porte.
Je me lève et je vais ouvrir.
Jai subi une tornade dans son hôtel le premier soir de notre rencontre amoureuse.
Cest pire cette fois.
Pire est-ce le bon mot tellement ma jouissance est intense après quil meut jeté sur mon lit et quil me montre ce que notre étalon va faire à sa pouliche demain.
La différence cest quayant le fils et une fille, je suis protégée de toute grossesse alors je prends le maximum de plaisir que peut mapporter cette verge même si elle est moins imposante que celle de Tanguy.
Jai ces pensées après avoir joui autant quavec les uns ou les autres sauf Duc qui me faisait jouir plus fortement et que John est allongé, sa tête sur mes cuisses et que je lui caresse ses cheveux.
Je prends conscience dans cette nuit que peu importe la verge ou les verges qui me perforeront dans le futur mais cest la grosseur de votre cur susceptible de recevoir le cur des autres.
Depuis Duc qui ma quitté, certes John me plait, mais pas autant que lui-même si je sais que cétait un séducteur de première.
Savoir à jamais que jaurais été la dernière femme qui lui ait appartenu.
Doublée de ma fille ma princesse ma duchesse avec un grand D, dont malgré sa maladie il ma fait cadeau, je dore du sommeil du juste.
Malgré une question que je me pose, le Lord a-t-il baisé ma belle-mère avant de se faire sa bru ?
Cest mon réveil qui nous fait reprendre les pieds sur terre.
Nous nous levons et nous embrassons.
Je prends le chemin de ma salle de bains et jouvre les robinets afin de remplir la baignoire.
Quel fainéant, il est resté dans la même position.
Incroyable, il bande.
Je sais quau réveil la plupart des hommes bande car ils ont envie de pisser.
Je le secoue, il se lève et ensemble nous entrons dans londe claire et bien chaude.
- John, peux-tu me dire ce qui sest passé avec Isabelle dans les écuries.
- Mais elle est jalouse la gentille Marie.
- Fiche-toi de moi, la fougue que tu as eue dès que jai ouvert ma porte me rassure, tu commences à vieillir et baiser deux fois de suite en si peu de temps me rassure.
- Tu as tort, bébé, ta belle-mère, je lai baisé dans la paille avant de revenir vers toi et te sexer deux fois plus quelle.
- Tu me mens, dans la paille ?
- Oui, dans la paille.
- Et quand tu es arrivé, pas le moindre brin de paille dans tes cheveux.
- Je les ai enlevés.
- Même derrière ta tête, cest impossible.
- Tu parles comme si tu savais, que tu avais déjà vécu cette situation.
- Je veux bien reconnaître que jai eu dautres amants, mais ça cest ma vie.
- Comme moi avec ta belle-mère.
- Salopard.
Je lasperge mouillant ma salle de bain.
Son pied sallonge et contrairement à hier sous la table ses doigts me caressent.
- Tu me confirmes quen plus de la belle-fille, tu as baiser la belle-mère.
Lhistoire est pleine de trahison des Anglais sur les Français.
Même ton ancêtre Thomas Cromwell a trahi sa parole.
- Évite de te servir de mon ancêtre pour savoir le faux du vrai.
Évitons la guerre, disons-nous toujours les choses franchement.
Et bien non, ta belle-mère jai réussi à la calmer quand elle a commencé à me coller dans lécurie de Firsty.
Elle avait la main agile et jai dû mon salut à mon cerveau que jai fait fonctionner à vitesse grand V sinon je te trahissais et c'était la seule chose que je voulais éviter.
- La tension devait être à son comble.
- Plutôt, oui et cest là que jai sorti le canon de 100.
- Je lui ai dit que jétais comme son fils homosexuel.
- Et elle ta cru ?
- Elle a voulu savoir comment je savais.
Jai joué sur le milieu de course où tout finissait par se savoir.
Ce qui est vrai, mais seulement une rumeur, que jai entendue à Vincennes où un de mes trotteurs courait le prix dAmérique finissant lamentablement dernier mis hors course pour avoir galopé dès le départ.
- Tu tes fait mettre hors course pendant que Jupiter le cheval de mon fils gagnait une course à handicape.
Il portait le plus gros poids et pourtant il a gagné avec trois longueurs davance, remplissant les poches de Jules.
Je vais te faire raquer des milliers de Livres Sterling quand dans deux à trois ans il fera des saillis.
Mais revenons à nous, tu as dit à Isabelle que tu étais PD.
- Détrompe-toi homo et non pas pédéraste.
- Alors que fais-tu dans mon lit et pourquoi ai-je joui comme jamais ?
- Car je taime Marie, je retrouve en toi un peu de celle que jai perdu et ce soir jai eu limpression quÉlisabeth vous appréciait Jules et toi.
- Cest une demande en mariage, tu penses que je vais aller vivre en Angleterre à manger une cuisine dégueulasse.
- Te demander de tépouser pourquoi pas mais je mettrais les formes ce jour-là.
Jai dû savoir vivre et te demander de mépouser à poil dans une baignoire cest mal me connaître.
Ses doigts de pieds sont toujours en moi et dans leau rose des sels que jy aie mis, je vois ma mouille qui remonte en surface au moment où je me tords de plaisir.
Cest bien de jouer dans leau mais le devoir nous appelle.
Après avoir fait un brin de toilette surtout ma chatte.
Davoir enfilé ma tenue de gentleman farmer et de prendre notre petit déjeuner, nous rejoignons Loris et Wanda qui ont préparé les chevaux pour la saillie.
Le vieux Pompon est là.
Pompon cest le nom que nous lui donnons après quil eut arrêté de courir et de saillir des juments.
Il vit dans les prés de nos verts pâturages une fin heureuse.
Le seul souci cest quon lui présente de femelle afin de les exciter pour le retirer au moment où la femelle soulève sa queue pour se faire mettre.
Cest à ce moment que notre palefrenier croise avec lui pour amener le pur-sang.
Cest ce que lon appelle le boutentrain de notre élevage.
Pompon cest un peu la petite Marie qui était le boutentrain de Louis mais qui enculait la belle Lucretia ou si vous préférez le beau Lucretia qui était mal et femelle.
- Regardez Marie, Loris a mis en place son invention sur lencolure de Firsty.
Des sacs de jute empêchant létalon de la mordre et de la blesser.
Attention, reste bien sur le côté au moment de la saillie, les femelles ont tendance à ruer.
Pompon fait son travail.
Firsty accepte le mâle.
Wanda fait reculer Pompon et Loris amène Darkness qui bande déjà.
Il monte sur la femelle entraînant un mouvement tournant du couple.
Dans mon angle de vue, Jules et Élisabeth sont là assis sur des bottes de paille regardant létalon prêt à baiser sa femelle.
Je vais pour aller leur demander de partir.
Loris me donne un ordre inattendu pour moi.
- Madame Marie, prenez le sexe de létalon et aidez-le à trouver lentrée du vagin de Firsty.
Jai dit que je voulais participer à une sailli, je suis en plein dedans quand je prends dans mes deux mains le sexe disproportionné en rapport à ce que je connaissais.
Cest dur et mou à la fois.
Jai limpression de faire le plein de ma mini et que je mets le pistolet dans le réservoir pour le remplir.
Un violent coup de rein de Darkness et contrairement à John qui nous regarde dans sa tenue de Lord anglais et le couple pousse des hennissements de plaisir quand le ventre de son pourfendeur là rempli de son sperme qui a terme nous donnera un poulain hélas Anglais.
La saillie terminée, Loris tire Darkness vers son écurie, son sexe dégoulinant de sperme.
Je suis fière de ce que je viens de réaliser.
Ce soir John aura intérêt à me saillir comme létalon la fait même si mes mains ont encore en elles la douceur de ce sexe gigantesque même si je le compare à celui de Xavier
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