La Rébellion De Louis Nicolas (2)
La rébellion de Louis Nicolas (2)
Cette histoire en plusieurs parties est celle de Louis Nicolas, jeune homosexuel issu dune famille conservatrice. Certains passages seront douloureux, car jai essayé de construire un scenario réel, voire dramatique, mais rassurez-vous et soyez patients, cela finira bien. Les personnages de cette histoire ont des rapports non protégés. Ce nest quun fantasme et en aucun cas une pratique à suivre. Comme dhabitude, nhésitez pas à me contacter (sylvainerotic@yahoo.com). Jai aussi quelques photos de ce à quoi Louis Nicolas pourrait ressembler. Bonne lecture
De retour à Versailles, les vacances semblent déjà loin. Jai commencé les cours à la fac de droit, et cest un grand changement. La fac nest pas loin de chez mes parents, je rentre donc tous les soirs. Cest loin dêtre idéal coté indépendance. Mais je nai pas le choix. Mes parents ont exigé que je reste à la maison, effrayés par linfluence socialo-communiste (je cite) des campus universitaires. Les cours et la nouvelle vie étudiante mabsorbent beaucoup. Je nai pas damis de toutes les façons. Des faux amis de famille catho
et le reste des étudiants me fuient comme la peste, avec mon étiquette de versaillais coincé et ma tête de minet. Il faut dire que je ne fais pas mes 18 ans, mais plutôt 16 ans.
Et puis, je suis partagé
Les « sale petit pédé » du garagiste à Royan continuent de résonner dans ma tête. Jai honte et jai peur
Mais dun autre côté les souvenirs de mes rencontres avec Serge me hantent
et me manquent. Je rêve de recommencer. Je veux sucer des bites et me faire enculer. Je me masturbe tous les jours. Sous la douche ou dans mon lit. Je mange mon sperme. Je me mets un doigt dans le cul. Jai hâte de baiser à nouveau
mais jai peur
je suis paralysé.
Jai toujours mon profil sur ce site de rencontres. Beaucoup de mecs sont en région parisienne. Je reçois énormément de messages. Mais ma situation nest pas simple.
Je me refugie donc dans mes branlettes. Je continue à donner des cours particuliers pour mettre de largent de côté.
Un soir de septembre je fais mon jogging dans le petit bois pas loin de chez mes parents. Il me vient une envie pressante, et je marrête dans lun de ces toilettes publiques guère accueillants. Lendroit est désert, et sinistre. Il y a quelques urinoirs et plusieurs toilettes derrière des portes. Les murs sont couverts de graffitis. La plupart à caractère sexuel. Des numéros de téléphone aussi. Mes quelques-uns attirent mon attention. Certains mecs laissent leur numéro et se disent prêts à tailler des pipes
Tout ça a lair récent. Est-ce un lieu de sexe ?
En rentrant à la maison, je fais des recherches sur google et comprend que ces toilettes en question sont un lieu de rencontre gay. Il y est fait référence sur plusieurs chats gays. Cela mexcite terriblement et me parait une bonne solution pour avoir du sexe sans avoir à rechercher le bon partenaire, prendre le risque daller chez un inconnu. Daprès les différents forums gays, certains soirs ont lair les mieux.
Quelques jours après, je me mets en short et part faire mon jogging, ce qui néveille aucun soupçon chez mes parents.
Je rentre dans les toilettes. Tout est silencieux. Seul un bloc a lair occupé. La porte est fermée mais quelques bruits indiquent la présence dune personne. Je rentre dans le box dà côté. Jentends des bruits.
- Eh, psst, tu suces ?
La voix vient du type dà côté. Je ne sais pas quoi répondre
- Tes sourd ou quoi ?
Je réponds instinctivement : « oui, je suce »
Soudain japerçois un trou dans la cloison qui sépare les deux toilettes. Une bite à moitié bandée apparait. Cest super excitant.
Je me mets à genoux devant la cloison, histoire davoir la bouche à la bonne hauteur.
- Eh, cétait génial, tu veux me sucer aussi ?
Mais je nai le temps dapercevoir quun type de dos, avec une cagoule qui recouvre sa tête, et qui se sauve en marchant vite. Il ne répond pas
Il voulait juste se décharger
Je reste un moment à attendre dautres visiteurs
mais personne ne vient. Je rentre donc à la maison. Je suis content davoir pu sucer enfin un mec.
Jy retourne quelques jours après
Cette fois les deux toilettes cote à cote sont occupés. Et jentends clairement ce qui se passe. Un mec suce lautre au travers de la paroi. Jattends patiemment. Au bout de quelques minutes, jentends un léger cri de jouissance. Peu après un mec sort des toilettes. Il est surpris, presque effrayé de me voir et sort précipitamment sans rien dire. Je prends place dans les toilettes.
Je lance : « tu veux que je te suce ? ». Une voix à peine audible répond : « Nan, je préfère sucer »
Je baisse mon short et mon slip et place ma queue dans le trou. Cest très excitant. Jencule un mur. Soudain je sens la moiteur dune bouche sur mon sexe. Le fait que ce soit un inconnu est tellement bandant. Je ferme les yeux et mabandonne. Linconnu est un bon suceur. Et je jouis dans sa bouche
Je lentends cracher de lautre côté. Avaler, ce nest pas son truc visiblement
Je sors des toilettes, sans chercher à faire sa connaissance. Jai compris que ce nest pas ce que les gens recherchent ici. Avant de sortir, je sors le marqueur rouge que javais emporté avec moi. Et sur le mur jécris : « Louis Nicolas suce des bites et se fait enculer ici le vendredi après 18 heures ».
Le premier vendredi je reste près dune heure seul dans les toilettes du fond. Pas de visite. Je rentre à la maison dépité
Le samedi suivant. Jattends près de 10 minutes avant quune bite napparaisse dans le trou. Je me régale. Je prends mon temps, jespère juste que linconnu de ce soir ne jouira pas trop vite. Il prend son temps et finit par me récompenser de longs jets, copieux et onctueux. Je me régale. A ma grande surprise, un autre type remplace le premier au bout de quelques minutes ! Je reste à peu près une heure et jarrive à sucer quatre types à la suite. Je mamuse à comparer les bites
Difficile de juger qui se cache de lautre côté
Le gout du sperme saccumule dans ma bouche tout au long de mon séjour aux toilettes. Il persiste et rien que lidée davoir bu quatre rations de sperme mexcite. Après la quatrième pipe, jenlève tous mes vêtements. Il fait froid en ce mois doctobre, mais jai trop envie dêtre à poil. Je me branle et je jouis sur le sol. Décidemment, jaime cet endroit.
Le vendredi suivant, jarrive un peu en retard et quand je pénètre dans le petit bâtiment en ciment, deux mecs sont déjà là. Plutôt jeunes, une vingtaine dannées en survêtement. Un blond aux cheveux presque rasés avec un diamant dans loreille, et un brun. Ils me fixent. Quelques secondes de silence. Je suis pétrifié. La première chose qui me vient à lesprit est que ces deux-là sont venus pour magresser, ou me violer. Du menton, le blond indique le message que jai laissé sur le mur
- Cest toi qui suces ?
- Oui
- Viens avec moi aux chiottes. Mon pote va surveiller pendant ce temps-là
Je rentre avec le blond dans les toilettes tandis que lautre reste à surveiller au cas où quelquun rentre. Jai peur
Mais le mec sort sa queue. Il ne bande pas. Je suis un peu rassuré sur ses intentions. Il veut du sexe. Moi aussi
Je commence à le sucer. Il a lair daimer
- Ah putain cest bon.
Sa bite toujours dans ma bouche, je fais oui de la tête. Il rit
- Petite salope
Jai toujours un peu peur quil sen prenne à moi. Je ne prends pas vraiment de plaisir en fait. Jessaie surtout de la satisfaire. Petit à petit je me détends
Je commence à bander. Soudain il me dit :
- Jai envie de tenculer. Baisse ton short et penche-toi
Il baisse son short lui aussi et crache sur sa queue. Puis il crie
- Apporte du savon, je vais le baiser
Le blond entrouvre la porte et son pote a collecté du savon liquide près des lavabos. Il lui en met sur les doigts. Le blond se graisse la queue avec et men passe sur lanus. Puis je sens son gland presser contre mon sphincter puis rentrer. Je crie. Ça fait mal. Heureusement sa bite est moyenne et je mhabitue vite. Tant mieux car il na pas lair de se soucier vraiment de moi. Ça mest un peu égal. Jai compris quil nest là que pour du sexe rapide et anonyme. Et je commence à prendre du plaisir au gré des va et vient de sa bite dans mon cul. Il a lair de prendre son pied lui aussi
- Ah fuck, cest bon
Ses hanches viennent claquer contre mes fesses, et je dois magripper fermement au mur pour ne pas tomber. Je prends tellement de plaisir. Je suis un vrai petit passif maintenant. Linconnu de ce soir finit par éjaculer au fond de mon cul. Il souffle. Il est content. Il a obtenu ce quil voulait. Il sort des toilettes. Je lentends dire à son pote : « son cul est hyper serré, tu vas kiffer »
Le brun rentre dans les toilettes. Il a déjà sorti sa queue et la lubrifiée avec du savon. Je suis toujours le cul nu, short baissé sur les chevilles
- A mon tour, penche-toi
Heureusement quil passe en deuxième, car il est mieux membré que son pote. Mais je suis bien dilaté maintenant. La plus grosse des trois queues que jai prises. Il commence à me pilonner directement. Même si ce nest probablement pas ce quil recherche, il trouve mon point G est je bande comme un fou. Je laisse pousser des petits cris, des « oui cest bon continue »
- Tu aimes ça, hein
Je me fous de ce quil peut dire
Il prend son pied et moi aussi. Il me donne maintenant des grand coups de boutoir
Ses mains agrippent mes hanches. Il lâche des « oh putain, oh putain » tout en éjaculant en moi. Je me branle et jouis moi aussi au même moment. Il range sa queue à peine débandée et sort. Je les entends dire « faudra quon revienne».
Je me rhabille calmement. Je suis troublé. Juste du sexe gratuit et anonyme ? Mais ça ma beaucoup excité aussi
Je sors des toilettes dans la plus grande confusion. Mais le sexe ma tellement plu quil me tarde de recommencer.
A table avec mes parents, je bouillonne de plaisir. Lidée davoir en moi le sperme de deux inconnus, tout en étant assis à cette table, quelle ironie. Mon père me dit :
- Tu devrais faire attention. Tu es resté bien tard à faire ton jogging dans les bois. Avec lobscurité tu pourrais faire de mauvaises rencontres
- Ne ten fais pas, ça a lair sur
On est maintenant en novembre et il commence à faire froid. Ça ne mempêche de continuer mon « jogging » hahaha.
Lors de ma visite suivante, les toilettes du fond sont occupées. Je me glisse dans ceux dà côté. Jentends aussitôt une voix : « mets ta bite dans le trou ». Je reconnais la voix. Cest le type qui mavait sucé il y a quelques semaines. Je préfère sucer, mais je ne dis pas non à une bonne petite pipe
Maintenant très à laise avec lendroit et le protocole, je fais tomber mon short et mon slip et je glisse ma bite dans le trou. Je relève bien mon t-shirt pour me caresses le ventre et les tétons. Jai décidé de faire durer le plaisir. Le type me suce super bien pendant de longues minutes.
Soudain, un bruit violent, venu de nulle part claque contre la porte de mes toilettes et le très faible verrou cède immédiatement
- Police !
Le type est en tenue de policier. Je suis complètement exposé devant lui, fesses à lair, en flagrant délit. Il gueule : « reste-la »
Pendant ce temps, le type dans les toilettes dà côté est en train de grimper sur les chiottes pour séchapper par la fenêtre. Le policier essaie de pénétrer en force dedans à coups dépaules. Mais le verrou est trop résistant. Il revient dans mon box, et mattache à un tuyau avec des menottes avant de courir dehors pour attr lautre. Au bout dune minute, le flic revient essoufflé
- Ton pote court trop vite pour moi
Tout est allé si vite. Je suis à moitié à poil, le cul nu, attaché par des menottes à un tuyau. Ma tête tourne. Jai envie de vomir. Je me dis que ma vie est finie
Je viens dêtre arrêté par la police. Tout le monde va savoir. Je vais finir à la rue, sous les ponts. Le monde est en train de sécrouler sous mes pieds. Le policier, assez musclé, détache les menottes doucement. Je remonte aussitôt mon slip et mon short.
- Suis-moi
Abattu, resigné, je sors avec lui. Dehors, une voiture de policier. Il fait froid. Il ouvre la porte avant côté passager.
- Monte
Il sassied côté conducteur. Je me dis quil va démarrer et memmener immédiatement au commissariat. Au lieu de ça, il commence à minterroger ici.
- Piece didentité
Je sors mon portefeuille et tends ma carte didentité. Il la regarde en détail.
- Pas vraiment le genre de personne que je mattendais à trouver ici
ça fait longtemps que tu te prostitues ?
Je suis sous le choc. Je réponds presquen criant
- Je ne suis pas un prostitué !
- Ok, ok, pas la peine de gueuler. Tu sais quavoir des rapports sexuels dans des lieux publics constitue un délit, même si tu ne te fais pas payer ?
Je rougis. Il regarde ma carte didentité. Et commence à remplir un formulaire en papier. Jai une boule énorme dans le ventre. Ma vie est finie
- Tu es majeur
mais je suppose que tu habites chez tes parents
Je ne réponds pas
Des larmes commencent juste à couler le long de mes joues. Je suis perdu. Il me regarde. Ses yeux sont doux. Ses cils longs. Il est beau
- Ils ne savent pas ?
Je fais non de la tête.
Sa main se pose doucement sur ma cuisse. Il caresse. Je rougis
- On peut peut-être oublier ce qui sest passé ce soir
Il continue à me masser la cuisse puis prends ma main dans la sienne et la pose contre son paquet.
-
à condition que tu sois gentil avec moi
Je suis abasourdi. Suis-je en train de rêver ? Ça ressemble trop à une vidéo porno comme on en voit sur internet
Pourtant tout est bien réel. Il ajoute :
- Tu nas quà me faire ce que tu fais avec les autres dans ces chiottes. Ok ?
Je hoche la tête doucement. Il démarre et conduit doucement vers un chemin forestier. Puis il éteint ses phares. Nous sommes perdus au milieu des bois. Il se penche pour membrasser sur la bouche
- Jadore les mecs de ton âge.
Il sort de la voiture et minvite à le suivre. Il défait sa ceinture, et sort une belle bite.
- Vas-y approche
Je comprends. Je me mets à genoux et commence à le sucer. Il sappuie contre la voiture.
- Oui cest bon continue, tu ty prends très bien
Je mapplique. Plus effrayé quexcité, car je sais que mon destin est entre ses mains. Sa bite est plutôt grosse. Il se montre doux avec moi, jamais agressif, juste un peu coquin.
- Oui lèche bien continue
Je mets en pratique tout ce que jai appris. Ma langue vient chatouiller ses belles couilles poilues, ma langue descend et caresses ses veines. Jessaie de le prendre au plus profond de ma gorge. Joublie progressivement le contexte et me mets à bander. Instinctivement je me caresse dune main, ce qui ne lui échappe pas
- Oui, tu aimes ça, hein ?
Au bout dun moment, il me redresse et me penche contre le capot encore chaud de la voiture. Il baisse mon short et mon slip. Il me donne une légère fessée
- Tas un beau ptit cul tu sais ?
Sa main caresse mes fesses. Je tressaille. Il fait un peu froid pour avoir les fesses à lair. Il écarte mes fesses et crache sur ma rondelle. Il me met un doigt ensuite. Puis il crache sur sa queue pour la lubrifier.
- Désolé, je nai pas de gel, ça va faire un peu mal
Il pousse sa queue contre ma rosette puis rentre en moi. Je crie de douleur. Sans gel, ça tire et brule beaucoup plus.
- Calme-toi, ça va aller
Plus facile à dire quà faire. Il commence à bouger en moi. Ça fait toujours aussi mal. Je sers les dents. Jai trop peur de le contredire. Il parvient toutefois à trouver mon point G. Je bande. Peu importe les conditions, je prends toujours autant de plaisir à me faire enculer. Jatt ma queue et me branle tandis quil continue à menculer sauvagement par derrière. Il ne met pas longtemps à jouir. Moi non plus. Il souffle
- Cétait vraiment bon
Il rentre sa queue dans son uniforme.
- Rhabille-toi
Jai froid. Je suis content de remonter dans la voiture.
- Je te dépose où ?
Je lui indique un carrefour, suffisamment loin de chez moi pour éviter dêtre vu. Suffisamment près pour ne pas avoir à trop marcher. Une fois à larrêt, il me rend ma carte didentité et déchire le rapport quil avait commencé
- Tu as de la chance cette fois. Tu es tombé sur un gentil. Fais attention à toi
Je hoche la tête et sort précipitamment de la voiture. Je fonds soudain en larmes. Larmes de soulagement, de peur, de colère
Je ne comprends rien. Je suis partagé. Jaurais pu finir au commissariat. Mais ce flic a abusé de moi. Il ma à baiser avec lui. Oui, mais jai aimé. Jétais consentant. Je suis perdu. Tout cela est tellement contradictoire. Suis-je un délinquant ? Un obsédé sexuel ? En tout cas mes escapades sexuelles sont trop risquées. Je ne peux pas continuer
Quand je rentre chez moi en sueur, mes parents mattendaient
- Tu rentres bien tard, on sinquiétait
- Oui, désolé, je me suis perdu
- Tu devrais vraiment faire plus attention
- Oui. Cest vrai. Ce soir ma servi de leçon. Je ne recommencerai plus. Promis
A suivre
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