Isabelle, La Grosse Veuve Catho Pratiquante.

16 avril 2020 à 9 heures

Julie était toujours à la recherche d'un scénario afin de mettre en scène sa mère dans des histoires érotiques, sans rapport avec l'e, le S.M, le crade, la pédophilie. Cette fois-ci elle a trouvé.

En1960, comme la grande majorité des colonies françaises d'Afrique subsaharienne, le Gabon accède à l'indépendance. À cette époque le père de Moussa Traoré fit sa fortune en reprenant une exploitation forestière. Étant un grand ami de Léon Mba qui était devenu président de la république, à la mort de celui-ci, Monsieur Traoré qui ne s’entendait pas très bien avec Omar Bongo Ondimba le successeur à la tête du pays, quitta le Gabon deux ans plus tard, pour venir s’installer en France en 1969 avec toute sa petite famille.

Ayant accumulée, en à peine 10 ans, une petite fortune, il investit beaucoup dans l’immobilier en France. Le fils Moussa Traoré âgé de 77 ans, était également veuf et même à son âge avancé, il était encore très porté sur le sexe et était très attiré par les femmes " blanches " très rondes. Il payait régulièrement toutes les semaines des prostituées de cet acabit, choisit sur internet. Le fantasme de ce vieux gabonais, musulman pratiquant était de baiser une bonne grosse catholique.

L’occasion était rêvée, une de ses locatrices, Madame Annie G. âgée de 56 ans, une veuve vivant seule depuis près de dix ans. Ayant définitivement renoncé à toute relation affective et sexuelle, elle était une fervente catholique pratiquante, impliquée dans une association paroissiale. Nini était son surnom, c’était une femme très prude et très coincée, sa vie sentimentale était des plus calmes voire complètement plate, elle n’avait jamais touché un homme depuis la mort de son mari il y a une dizaine d'année.

Aujourd'hui elle semblait résignée et ne cherchait plus à plaire, ni à s'entretenir plus que cela, elle ne passait que très rarement chez le coiffeur couper et entretenir ses cheveux châtains et que dire de sa pilosité intime, elle avait le tablier de forgeron comme diraient certains.

Sa garde-robe était des plus classiques et confortables, étant très forte, elle ne portait que des vêtements très large et souvent disgracieux. En effet, avec ses 103 kg pour 1m68, Nini n’était pas très attirante sexuellement parlant, elle avait un teint de peau très blanc, des seins lourds, des hanches larges, et un très gros fessier. Pour sa défense, il faut dire qu’elle n’avait pas beaucoup d’argent, elle était employée à mi-temps comme femme de ménage et touchait une petite pension de réversion de son défunt mari. Elle avait en tout et pour tout un maximum de 800 euros par mois.

C’était la raison pour laquelle elle avait un retard de loyer. Elle ne pensait jamais que Monsieur Moussa Traoré, son propriétaire, qu’elle trouvait très gentil, oserait lui mettre le couteau sous la gorge. Pourtant le gabonais ne lui fit pas de cadeau il avait comme la loi lui imposait, adressé à Nini un commandement de payer au mois d’octobre 2019 et l’avait notifié à la CCAPEX. Il s’agissait d’un acte d’Huissier qui reconnaissait la dette locative et qui visait la clause résolutoire prévoyant la résiliation du bail en cas de non-paiement de la dette locative. Nini disposait de 2 mois pour payer mais était dans l’impossibilité de le faire.

Comme elle n’avait toujours pas payé au mois de décembre, Monsieur Traoré avait lancé la procédure d’expulsion. Un Huissier remit une assignation au locataire, le notifia à la Préfecture et communiqua une date d'audience. Puis, le juge se prononça sur la demande de recouvrement des impayés et sur la demande d'expulsion. Le jugement avait rendu un mois après l’audience. L’Huissier signifia à Nini le jugement ainsi qu’un commandement de quitter les lieux qui somma le locataire de libérer le logement dans un délai maximum de 2 mois. La trêve hivernale 2020, se terminant le 31 mars 2020, Nini devait partir et rendre le logement pour cette date.

Ce matin-là du 02 mars 2020, elle reçut un appel téléphonique :
— Nini, tu n’as toujours pas payé ton loyer ce mois-ci.
Avec ceux que tu as déjà en retard, tu me dois six mois de loyer.
— Mais Monsieur Traoré, je vous avais demandé un échelonnement.
— Oui ! C’est vrai mais j’attends encore ton fric. Tu devais me verser 200 euros plus le loyer courant.
— Monsieur Traoré, j’ai eu des difficultés ce mois-ci, s’il vous plait faites un effort.
— Non ! ma patience à des limites, tu dégageras le 1 avril comme le jugement l’ordonne et ce n’est pas négociable.

Rapidement, Nini s’affola, elle fut négligente, elle était au courant et ne voulait pas croire que Monsieur Traoré irait jusqu’au bout de sa démarche malheureusement cette dette s’accumulait de plus en plus. Moussa qui lui, voulait baiser une grosse catholique pratiquante, était bien décidé de réaliser son fantasme. Le propriétaire gabonais, musulman pratiquant était très proche d’atteindre son but, tandis que la veuve ne savait pas, comment elle allait sortir de ce piège.

Le lendemain matin, l'octogénaire sonna chez elle, prétextant une visite de l’appartement afin de voir comment Nini entretenait son logement. Il réitéra son ultimatum mais elle n’avait pas la liquidité pour lui donner quoique ce soit pour le moment. Moussa sans gêne, fouilla dans le frigo, il fut surpris de voir qu’il était plein, il lui dit :
— Pour acheter des sucreries, t’as des ronds Nini mais pour me payer, t’as jamais rien. Tu ferais bien de faire le régime.

— J’en ai jusqu’à la fin de la semaine. Monsieur Traoré laissez-moi un peu de temps, je trouvé un travail mais qu’au mois de mai.
— Rien à faire, t’as qu’à faire la manche à la sortie de ton église ou demande du fric à ton curé qui prie la vierge. Tu parles ! Marie c’est une pute, elle a trompé son mari le charpentier avec des anges. C’était des types qui l’ont mise en cloque la salope.
— Comment osez-vous dire ça Monsieur Traoré, je vous en supplie. Pardon mon dieu, Oh pardon…
— Bon Nini ! ou tu payes, ou tu es expulsée.

— Monsieur Traoré, non ne faites pas cela, je ferai tout ce que vous voudrez, je vous en supplie. Je viendrai vous faire le ménage…
— Et tu mettras dix ans pour me rembourser. Non, j’ai une meilleure idée. Tu veux un sursis pour ton échelonnement ?
— Oh Oui ! Monsieur Traoré vous êtes gentil.

C'est alors que le vieillard africain va lui faire une proposition inattendue : il lui accorda un délai de paiement, si elle acceptait le marché.
— Écoute Nini, je te baise et je te laisse six mois pour payer.
— Non Monsieur Traoré ! que me demandez-vous là ? Ce n’est pas possible enfin…
— Je te laisse réfléchir, je repasse demain, c’est le jour où j’ai la pute qui vient. Je serai quitte de la payer.

Nini était effondrée, une fois que Moussa était partie, elle s’écroula sur le lit et pleura une heure durant ne sachant que faire. Soit elle était expulsée dans à peine un mois, soit elle couchait avec ce vieillard qu’elle ne considérait plus aussi gentil, qu’elle le croyait. Étant le dos au mur, elle n'avait plus d'autre choix que de s'offrir à ce vieux gabonais. La mort dans l'âme, le soir même, elle téléphona à Moussa pour lui signaler qu’elle acceptait sa proposition.

Comme promis, Moussa se présenta le lendemain avec un large sourire aux lèvres. Elle lui avait servi un café afin de reculer l’échéance, elle se demandait toujours s’il allait oser lui faire l’amour. À son âge, il était possible qu’il ne bande pas. C’était mal connaitre le bonhomme, Une fois le café avalé, il lui demanda de se diriger dans la chambre et lui ordonna de se dévêtir.

Il prit un malin plaisir de la regarder, ses gros seins bien lourds lui plaisaient, il les caressa et les tritura sans vergogne, il aimait aussi les bourrelets de graisse qu’elle avait sur le ventre, sur les cuisses et les fesses. Par contre, il fut surpris par cette touffe qu’elle avait dans l’entrejambe. Il aimait les poils mais ceux-ci étaient surdimensionnés.
Il se dévêtit à son tour tout en lui pétrissant la poitrine qu’elle lui tendait. Lorsque Moussa se mit nu, Nini avait failli tomber à la renverse, non seulement, le corps du vieillard était bien conservé, mais que dire de sa queue, au repos ? Elle arrivait au milieu de sa cuisse, sa bite mesurait au moins 28 cm et était très épaisse, un vrai serpent. Cela lui fit peur mais en même temps, elle était pressée de la toucher, de la soupeser, c’était la première fois qu’elle voyait cela malgré son âge :

— Ne me regarde pas comme ça Nini. Prends la dans ta main et branle moi un peu pour que je bande.
— Mais Monsieur Traoré, elle est bien trop grosse.
— Ne discute pas tant Nini, allez branle-moi le bambou.
Elle fut dans l’obligation de prendre ses mains car d’une seule, s’était impossible de le branler. De ses deux petites mains grassouillettes, elle lui souleva son membre et commença maladroitement à faire coulisser le long de son énorme hampe, après quelques mouvements, sa verge se gonflait et prenait forme, Moussa était aux anges lorsqu’il lui dit :
— Mets-toi à genoux et suce-moi maintenant Nini, avale mon chibre.
— Monsieur Traoré, je n’arriverai jamais à le mettre dans ma bouche.
— Tous les dimanches, tu manges le corps du christ, tu peux bien avaler mon phallus.

Nini s’exécuta, elle glissa ses lèvres autour de son gland, il était bien trop gros et trop grand pour qu’elle l’avale entièrement, elle s’arrêta à la couronne. Il manquait encore de dureté, il ne pouvait se mettre en érection totale. Néanmoins, il était si lourd que Moussa était obligé de le prendre d’une main pour le maintenir à l’horizontal.

Après quelques coups de langues bien placés sur son gland, malgré qu’elle ne soit pas une experte, il était parvenu à trouver une érection convenable. Il enfonçait de plus en plus son pieu dans sa bouche sans toutefois aller trop loin car Nini avait des hauts le cœur, elle était obligée de ressortir le pieu de chair afin de recracher les glaires, sortant de sa bouche pour couvrir le sexe énorme du vieux gabonais. Il était prêt, il devait maintenant la baiser comme une salope. Il l’a fit se mettre assise sur le bord du lit, les jambes écartées. Il se plaça à genoux devant elle, en chercha au hasard sa fente, ses longs poils cachait l’entrée.

Heureusement, Moussa avait l’habitude, il prit des précautions pour engager son énorme sexe dans sa petite vulve recouverte par une forêt vierge recouvrant son pubis et ses lèvres. Il pressa son gros gland à l’entrée pour dilatée sa chatte et petit à petit, il s’enfonçait en elle. La peur et l’excitation se mélangeant, son désir de l’avaler entièrement la faisait une nouvelle fois mouiller, Moussa n’avait pas entré toute la longueur de sa hampe, mais ses allées et venues dans son ventre lui faisait un bien fou et un orgasme foudroyant vint la transcender.

Il se retira pour laisser s’échapper le liquide de sa jouissance couler le long de ses cuisses suivant les bourrelets de cellulite. Puis de son doigt, il profita de sa mouille pour s’enfoncer dans son anus, Nini poussa un cri mais celui-ci était tout autant de surprise que de bonheur, il en glissa un deuxième à l’intérieur puis un troisième sous ses gémissements de plaisir, il écartait ses doigts pour former un triangle et de dilater au maximum son petit trou qui lui servait uniquement pour faire ses besoins :
— Oh Monsieur Traoré pas par là...Ha ! c’est bien …
— Oh ! Que si, tu vas jouir Nini fais-moi confiance. Lui répondit-il en écartant toujours les doigts.

Moussa présenta son phallus monstrueux devant son anus, Nini essayait d’écarter de ses mains ses grosses fesses afin qu’il ait plus de place en gémissant toujours. Moussa poussa une fois, deux fois :
— Voilà comme ça. Dit-il en pénétrant son gland.
— Oui ! Monsieur Traoré, c’est trop bon, sodomisez-moi. Oui !!!
— Je t’encule ma Nini, tu aimes salope…
Après s’être enfoncé un peu plus, sans enfiler toute la longueur, les aller et retour les firent éjaculer en même temps. Lui en râlant puissamment et elle en criant son bonheur :
— Oui ! Monsieur Traoré c’est trop bon, votre queue est trop bonne restez encore un peu, je sens votre jus couler en moi.

Nini n’avait plus fait l’amour depuis dix ans mais elle s’était rattrapée, elle n’avait jamais connu autant de jouissance de toute sa vie de femme. Moussa était une bête de course malgré ses 77 ans. Non seulement il avait une verge hors norme mais il savait s’en servir et était très résistant, ce n’était pas un éjaculateur précoce comme son défunt mari. Connaissant déjà la réponse, Moussa lui posa quand même la question :

— Alors Nini, t’as aimé ma queue ?
— C’était super Monsieur Traoré, merci de m’avoir fait jouir ainsi. Et vous, êtes-vous satisfait ? Acceptez-vous l’échelonnement ?
— Oui Nini, t’es une belle salope. Ça te dirait de baisser ta dette ?
— Comment ça Monsieur Traoré ?
— Je te baise toutes les semaines et je te réduis le loyer de la somme que je donne aux putes.
— Oh Oui ! Monsieur Traoré je veux bien. Quand voulez-vous recommencer ?

Si, comme Julie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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