La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1359)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode N°1357) -
- Merci Monseigneur, je saurai men souvenir
- Jai toujours accordé à léducation des jeunes, Dominants, Dominantes, soumises et soumis, une importance primordiale. Tous peuvent te le confirmer quon en apprend toujours davantage car les possibilités sont infinies, une fois les règles de bases acquises de part et dautre. Même si chaque personne ou couple à ses propres règles pratiques. Bien, si lun de vous a encore des questions cest le moment.
-
- Personne ? Bon très bien, Morgane voulez-vous vous joindre à nous demain soir au souper pour fêter le succès dAdam et son acceptation dans notre cercle ?
- Ce sera avec plaisir Messire, comptez sur moi.
- Parfait maintenant, vous pouvez tous vaquez à vos occupations respectives. Louise, avant de retourner à ton travail va prévenir Angélique que demain soir, je veux un repas de fête, selon les goûts dAdam, pour tous mes invités.
- Bien Maître, dit-elle en sortant ne comprenant pas le discret clin dil du Maître, mais elle nallait pas tarder à le comprendre.
Une fois le message transmis à Angélique, Louise quitta les lieux, mais au détour dun couloir, elle tomba nez à nez sur Adam, ce qui nétait pas un hasard et elle sen doutait. En effet, il lattendait. Surprise sur le moment, Louise se mit donc à genoux, tête baissée, les mains sur les genoux ouvertes vers le haut. Le visage dAdam éclaira alors son sourire qui le caractérisait si bien. Il la prit alors par la main, la releva et lemmena dans un angle de couloirs où un retrait mural formait une sorte de haute niche architecturale dissimulée par un épais rideau cachant une simple banquette derrière cette épaisse tenture de velours, comme il y en avait beaucoup dans les châteaux à lépoque. Il la fit sassoir à ses côtés :
- Merci davoir pris part à mon initiation, jespère ne pas tavoir déçue ?
- Linitiation est concluante et cest tout ce qui importe et en ce qui me concerne, cétait très bien.
Louise trouvait la situation légèrement gênante mais Adam était un garçon très charmant et aussi naïf par certains côtés et elle trouvait que cela le rendait encore plus aimable.
- Louise, tout à lheure, jai eu envie de te dire quelque chose mais je ne le pouvais pas en pleine initiation mais
tu me plais beaucoup et jaimerais passer du temps avec toi et apprendre à mieux nous connaître.
- Tu me
pardon
vous me connaissez déjà bien depuis le temps que vous venez ici au Château, et quand mes parents sont entrés au service du Seigneur dEvans, jhabitais alors une petite maison au fond du parc, vous vous souvenez, jen suis sûre, que nous jouions tous ensemble avec vos cousins et cousines, justement dans le parc.
- Bien sûr que je men souviens, nos parties de cache-cache mémorables, mais nous étions des s
- Messire
Adam, oui, depuis on a grandi... Passez du temps avec vous serait avec plaisir même un honneur mais jai ma vie ici et jai choisi de la donner au Seigneur dEvans. Dans mon parcours de soumise, jai encore tant à apprendre, je suis loin dêtre expérimentée. Et avoir été choisie pour votre initiation est déjà un tel privilège. Jai des devoirs ici et je ne peux me soustraire à mes obligations sans autorisation de Sa part.
- Et si cest moi qui Lui demanderai de taccorder du temps pour moi.
- Peut-être quIl acceptera, je lignore, mais cela durera le temps de votre séjour et après
.
- Après je ne sais pas ce dépendra en grande partie de nous, mais je reviendrai et tu pourras aussi venir au Manoir de Maison Dieu et entre temps, on sécrira.
- Je ne sais que vous dire.
- Alors dit moi oui et jirai voir le Seigneur dEvans.
Louise attendrie, finit par céder.
- Bon daccord, jaccepte, allez Lui parler. Bien, jai encore à faire et je dois vous laisser
.
Cest tout juste si elle ne partit pas en courant pour cacher son trouble et son émotion. Le soir venu Louise arriva aux cuisines, plus tard que dhabitude, pour aider au service du souper.
- Ah enfin te voilà, ou étais-tu passée, nous nous sommes inquiétées ?
- Sincèrement, si je le disais, toutes, vous ne me croiriez pas.
Angélique arriva.
- Je suis sûre que cest très intéressant, jai moi aussi envie de savoir mais pour lheure il est temps de servir, le Seigneur dEvans ne supporte pas dattendre et encore moins de manger froid.
Le service du souper se passa le plus normalement du monde, au détail près que Louise évitait autant que possible de regarder Adam, qui lui ne sen privait pas, et si elle ne pouvait faire autrement que de sapprocher de lui toutes ses précautions pour éviter de leffleurer... Le repas était terminé et certains avait déjà quittés la salle à manger, seuls restaient Thomas (le fils cadet dAlix et Enguerrand), Arthur (celui de Clémence et Ronan) qui discutaient avec leur grand père (le Seigneur dEvans) et leur cousin Adam. Louise passait pour rapporter en cuisines les plats, quand Adam linterpella.
- Louise.
Mais avant quelle eût pu répondre et lui dajouter quoi que ce soit le Seigneur dEvans linterrompit.
- Adam.
Pas besoin den dire plus, il comprit très bien au ton de Sa voix et Son regard qui voulaient clairement dire «non ce nest pas officiel»
- Ne Vous tracassez pas, Monseigneur, je veux juste lui parler.
Il fit signe à Louise quelle pouvait partir.
- Très bien, Adam, mais tu connais la règle, ne la retient pas trop longtemps jai besoin delle ce soir, tu me lenverras dans la grande salle des ablutions, après votre conversation.
Adam Lui répondit dun hochement de tête et de son charmant sourire. Sur ce, le Seigneur sortit, accompagné de Thomas et Arthur. Louise revint dans la salle à manger pour finir de débarrasser la table. Adam était toujours là.
- Vous vouliez me parler, Messire, demanda-t-elle, la tête baissée.
- Je ten prie Louise, regarde-moi.
Louise releva la tête mais ne bougea pas.
- Louise, jai voulu Lui parler et
et je nai pas encore osé... Mais je ne renonce pas pour autant. Je
je veux quon aille ensemble Lui parler.
- Pardon ! Je regrette cest impossible, cest votre idée de Lui demander de maccorder plus de temps libre.
- Sil te plait Louise mais Le Seigneur dEvans a beau être de ma famille Il mimpressionne toujours.
- Bon on verra cela plus tard. Je dois y aller.
- Attend ! Le Seigneur dEvans veut te voir, tu dois te rendre dans la grande salle des ablutions.
- Ah bon ? Très bien jy vais.
Louise presque soulagée déchapper à Adam, pas quil ne lui plaisait pas, au contraire et cest cela qui leffrayait. Une fois arrivée devant la grande et double porte massive de la grande salle des ablutions, elle se mit à genoux et frappa à la porte. Ce fut Marion entièrement nue qui lui ouvrit.
- Il parait que le Maître veut me voir.
- Je ne suis pas au courant, Il nest pas encore là, je suis en train de lui préparer Son bain du soir. Entre et aide-moi à porter tous les seaux deau chaude de la grande marmite accrochée à lâtre de la grande cheminée jusquau grand baquet et pendant ce temps raconte-moi ton histoire.
Louise lui raconta tout jusquà ce quAdam venait de lui dire, ce qui ne manqua pas de les faire sourire, et termina en lui demandant ce quelle ferait à sa place.
- Parles-en au Maître dès ce soir ou demain matin suivant ce quIl exigera ce soir. Il pourra te dire comment réagir si cela se reproduit ou te donner Son accord. Aller maintenant au travail, on doit remplir limmense baquet pour le bain du Maître
Une bonne demi-heure était passée à remplir le bain pour le Maître quand ce dernier entra. Toutes deux se mirent à genoux en position dattente comme cétait la règle.
- Bonsoir Mes chiennes.
- Bonsoir Maître, répondirent-elles, en cur
- Mon bain est-il à bonne température ? dit-il en savançant vers le baquet et en y trempant une main.
Sans un mot de plus, il claqua des doigts et Marion vint le déshabiller avec douceur, tout en prenant son temps, ce que le Seigneur adorait avant tout. Il fallait que le déshabillage soit sensuel, long et excitant, alors la soumise caressait les épaules du Seigneur, embrassait la poitrine de lhomme, et chaque nouvelles partie du divin corps dénudé... Cela faisait souvent bander le Maître, alors les soumises qui avaient le privilège de le dénuder, mettaient tout leur savoir-faire à la tâche. Et effectivement, une fois nu, le Seigneur était en érection quand il entra dans le baquet deau chaude pour savourer Son bain.
- Marion quattends-tu? Viens Me frotter le dos dans mon bain. Ensuite Louise, jaurai à te parler. En attendant, tu restes en position dattente, agenouillée, tête baissée, mains derrière le dos et fesses qui ne touchent pas tes talons
- Oui Maître
- Marion, quand tu auras fini, je te le dirai et tu entreras dans Mon bain et tu me suceras, regarde ! Ma queue entière dépasse juste au-dessus de leau ! Car je veux Me vider pour être parfaitement apaisé.
Marion frotta longuement le dos du Seigneur alors quelle nattendait que Son ordre pour entrer dans leau et le prendre en bouche... Au bout dune dizaine de minutes, elle entendit laconiquement la voix du Maître :
- Suffit ! Vient sucer maintenant, la chienne !
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!