Soumis Et Cocu, Chapitre 2 Sandra

Les jours suivants la soirée avec Ludo et Karim furent difficiles, autant physiquement que moralement, physiquement d’abord, Karim m’avait littéralement défoncé mon cul étroit avec sa grosse bite et j’en ressentais encore les stigmates les jours après.
Moralement ensuite, je m’étais laissé faire, j’avais obéi à cet homme sans lutter, pire parfois j’ai éprouvé du plaisir à être dominé. Ce qui m’embêtait le plus c’est que ce soit passé devant Ludo. J’en venais à me dire qu’il aurait été mieux qu’il ne fut pas là.
Que m’arrivait il ? Je m’étais fait dépuceler le cul comme une fiotte et ce qui me dérangeait le plus c’est que Ludo m'ait vu ainsi.
Quoiqu’il en soit j’avais d’autres choses à penser. Karim n’avait pas pris contact avec moi pour son « projet », mais valait mieux s y préparer. J espérais qu il oublie mais j’en doutais fortement.
Comment faire pour que Sandra accepte de coucher avec un autre homme que moi, lui dire ? La mettre devant le fait accompli ? Elle allait sûrement me prendre pour un fou, un détraqué, un pervers.
Par la suite, j’ai revu Sandra plusieurs fois, j’ai fait comme si de rien n’était. Éprouvant une certaine satisfaction à lui faire l’amour, comme pour me convaincre que mon dérapage était un accident. Une semaine s était passée et toujours aucune nouvelle de Karim. Je pensais souvent à lui quand j’étais avec Sandra, parfois pour ce qu’il m avait fait et aussi ce qu’il allait faire à Sandra, et me faire à moi, si je ne céder pas à ses désirs.
Je n’ai pas osé aborder le sujet avec Sandra jusqu’à un soir ou l occasion m’en fut donné.
Nous étions allés au restaurant , un soir avec ma copine, l’un de ces endroits branchés ou la jeunesse se retrouve pour faire la fête, se montrer et draguer. Lors de cette soirée ma copine s’est fait draguer par deux mecs, des arabes justement, bien macho, Sandra ne s’est pas montré intéressé et les a rembarrée vite fait, j’étais très content mais aussi chamboulé, voir même excité qu'elle ai plu à ces deux hommes.

Sur le chemin du retour, j ai évoqué cet événement avec Sandra, lui demandant si cela ne l l’avait pas dérangé d’avoir eu affaire à ces deux séducteurs plus tôt dans la soirée. Elle me répondit que non et qu’elle avait l’habitude de ce genre de zigotos, que je devais pas m’inquiéter.
A la maison, nous avons fait l’amour, j étais très excité et j ai eu l idée de lui parler des occases de drague qu’elle avait. Je lui demandais si ca lui arrivait souvent de se faire draguer.
- Alors comme ca tu plais aux mecs
- Oui, mais toi aussi je te plais
- Et ils te veulent quoi ces gars quand ils te draguent
- Je sais pas, je leurs demande pas
- T as pas une petite idée ?
- Non comme tout les mecs je présume
- Ils veulent sûrement te baiser
- Sûrement
- Comme les deux mecs au resto, les rebeus
- Oui ils étaient chaud sur moi
- Ils avaient très envie tu penses ?
- Très envie de quoi ?
- De te mettre leurs grosses queues d arabe
- Ca t’excite on dirait
- Oui ca m’excite que ma copine plaise
- Ah oui, que d autres homme aient envie de moi, ça t’excite ?
- Mmmm oui, les deux rebeus, ils voulaient trop te baiser
- Mmmm cochon
- Te mettre leurs grosses bites bien dures
- Et toi t aurais fait quoi.
- Je les aurais laissé te baiser
- Ah oui t aurais rien fait.
- Non
- Tu laisserais ta copine se faire prendre par des grosses bites
- Ca t excite t es toute mouillée
- Et toi t es tout dur, je t'ai jamais senti comme ça
Cette discussion en baisant me fit l effet d une décharge d’adrénaline. J éjacula rapidement épuisé par la tension sexuelle qui en découlait, Sandra contrairement à ce que je craignais, ne me critiqua pas pour mon fantasme, elle me traita de grand fou, de gros obsédés, mais ne m en voulait pas, les jours suivant quand nous faisions l amour, je n osais pas en reparler , par crainte de lui faire peur. C est elle qui, un soir amena le sujet. Alors que nous étions aux préliminaires je lui léchait les seins, elle me branlait la queue, Sandra me dit.
- Je me suis fait draguer aujourd’hui
Je fis mine de rien, mais j etais très excité
- Un mec qui m a abordé dans la rue
- Ah oui il voulait quoi
- Boire un verre, il me trouvait super joli, il voulait peut-être plus ?
Ma bite a rapidement gagné en taille et en dureté
- Tu crois ?
- Il voulait peut-être baiser ta copine qui sait ?
- Sûrement
En parlant Sandra avait accélérer le rythme de la branlette, j’avais arrêter de lécher ses seins et me laisser masturber par ses mains expertes.
- T en penses quoi de savoir qu un mec voulait me sauter ?
- Han rien
- C est pas ce que ta bite me dit, je sens que t es tout excité
Elle avait raison, et je ne pouvais difficilement le cacher. Mais je ne voulais pas rendre les armes si rapidement, c était sans compter sur sa détermination. Elle sera encore plus ma queue et me caressa les couilles.
- Ca te fait bander, que je plaise
- Oui un peu
- Beaucoup on dirait. Tu bande dure , plus que d’habitude.
- Je penses pas
- Il voulait quoi le gars, c est a ça que tu penses hein ?
- Un peu peut-être
- A sa grosse bite
- Mmmm
- Oh oui ca te plairait que je le branle la
- Oooooh
- Ca se trouve il se branle en pensant a moi la
- Peut-être
- Qu’il me baise
- Avec sa bite bien dure
- Oui voilà lache toi, mon cochon pense à ta copine qui se fait baiser derrière ton dos
- Oh oui tu me trompe avec des mecs bien membrés
- C’est ça, il ma donné son numéro je vais l appeler et lui dire que c est ok
- Ah oui t as son numéro ?
- Oui je l’ai il me l a donné sur un bout de papier, il attend mon appel.
- C est vrai ? Si tu le fais il va penser que tu es d accord pour te faire sauter
- Tu me crois pas tiens regarde, elle laissa mes couilles un instant et fouilla dans son sac et sortit un bout de papier avec un numéro griffonné à la va vite.
Le voir me fit comme une décharge.
- Tu voulais savoir si des mecs veulent baiser ta copine, t’as la preuve maintenant.
Je ne résistais plus longtemps et déchargeait une quantité énorme de foutre sur moi, Sandra en reçut aussi sur la main et me l étala sur le torse.
- Gros porc, ça t as bien fait jouir cette histoire
- Oui, mais c'est vrai cette histoire de numéro ?
- Peut-être que oui, peut-être que non...
Cette phrase dit avec un ton mutin, m’excitait encore, je rebandis direct et cette fois ci lui fit l amour, plein de question dans la tête.
Sandra allait elle accepter de coucher avec Karim, ce dernier allait il vraiment me demander cela. Et ce numéro, est ce vraiment celui d un autre homme ?