A Moto
A MOTO
Une histoire tirée de mes expériences personnelles.
Il y avait un bon moment que je fantasmais sur Urielle. Je la voyais régulièrement, pour des motifs professionnels, et parfois dans des soirées organisées par des fournisseurs, ou les fédérations de nos métiers respectif, où nous étions invités.
Bien évidemment, nous avions eu loccasion de discuter, à de nombreuses reprises, ayant pas mal de sujets en communs. Elle ne pouvait ignorer mon intérêt pour elle, mais elle était pas mal courtisée, et ne semblait pas intéressée par moi. Cétait une grande fille Brune, aux yeux verts, à la bouche pulpeuse. Selon les tenues quelle portait, elle dévoilait, plus où moins sa silhouette élancée, sculpturale. Elle était musclée. On le devinait à ses cuisses et ses mollets quand elle était en minijupe ; musclée, mais sans excès, avec des chevilles et des poignets très fins, un cou gracile qui mettait en valeur un port de tête altier, et une poitrine orgueilleuse.
Nous déjeunions parfois, et javais appris quelle était seule, avec un petit garçon, mais avait des aventures. Elle navait pas froid aux yeux et avouait aimer le sexe par pulsions, mais était incapable de sattacher depuis que le père de son fils sétait fait la malle, la laissant dans une situation financière catastrophique. Elle sen était sortie, et nayant pas besoin dun homme pour subvenir à ses besoins, se comportait comme eux, les prenant suivant ses envies, et les jetant ensuite comme des kleenex usagés.
Jaurais dû me méfier de cette prédatrice, mais sa personnalité mattirait, et quand elle évoquait ses aventures en passant sa langue sur ses lèvres, mon bas ventre prenait le pouvoir sur mon cerveau.
Jaurais pu rester longtemps, comme un amoureux transi, nétant pas capable de la captiver, au delà dune simple conversation de salon, mais une soirée allait tout changer
Une compagnie avec qui nous faisions des affaires nous avait conviés à une soirée organisée dans un golf.
Grace à un ami très bon joueur classé, notre équipe remporta la coupe. Au milieu de tous ces gens qui venaient surtout féliciter cet ami (ma prestation ayant été symbolique), Je découvris Urielle, qui faisait équipe avec une autre fille et un monsieur agé. Nous échangeames quelques mots, et je la félicitai pour sa tenue, une jupette portefeuille et un débardeur de marque clairs qui mettaient en valeur sa peau hâlée. Jappris quelle restait pour la soirée et la priais instamment de venir sinstaller à ma table.
Le soir venu, une grande salle de restaurant nous accueillit avec des tables rondes de 8 personnes. La mienne était presque complète, mais javais réservé deux places pour Urielle et sa coéquipière qui tardaient à arriver. Je fus immédiatement prévenu quand elles entrèrent dans la salle et passèrent entre les tables pour rejoindre la mienne. Urielle était vétue dune longue robe drapée de soie, accrochée sur une épaule, dont les plis dégageaient la totalité de sa jambe gauche à chaque pas. Un ensemble collier et boucles doreilles en diamant narrivait pas à éclipser la beauté volontaire de son visage aux pomettes hautes et au menton énergique. Derrière elle, son amie, qui sappelait Mélissa, était aussi blonde quUrielle était brune. Elle portait un fourreau blanc parsemé de brillants avec un décolleté en V qui allait presque jusquà son nombril. La robe étroite lobligeait à marcher à petits pas. Les deux créatures firent tourner les têtes des mâles présents, et déclenchèrent quelques coups de pieds de la part dépouses jalouses.
Je dois avouer que lorsquelles sinstallèrent à mes côtés, à droite et à gauche, je fus secrètement flatté des regards envieux que me lançaient beaucoup des messieurs présents.
(cest du moins ce que je pensais, à moins que je naie un sourire béat, et un peu crétin)
Le repas fut agréable et enjoué.
La blonde Mélissa, victime de son succès dansait sans discontinuer. Je me réfugiai avec Urielle au bar, ou nous primes un café bien mérité, en commentant cette superbe soirée.
Jévoquais le richesse du lieu, en supposant que laccès, en temps normal devait être assez couteux, vu les véhicules sur le parking. Elle me répondit quelle nen savait rien et ne sintéressait pas trop aux voitures, car elle préférait les motos. Surpris, je lui demandais si elle en avait une. Elle me dit quelle avait eu une 125cc , mais quelle préférait, de loin , les sensations que procurent les grosses cylindrées. Malheureusement elle navait pas le permis et se contentait de monter derrière des pilotes , quand elle en rencontrait.
Cétait pour moi loccasion que jattendais. Je lui appris alors que jétais lheureux possesseur dune CB1100, et que je serais heureux de lavoir comme passagère. Nous eumes une très longue conversation sur le sujet, et je fus heureux de susciter son intérêt. Son regard sur moi avait changé, et elle men fit le compliment.
-« Je ne vous imaginais pas motard. Bravo. Quand memmenez vous , avec vous ? »
Comme nous devions nous revoir prochainement, nous primes rendez-vous.
Un peu plus tard, alors que les invités quittaient les lieux un a un, lun des organisateur proposa quon se rende dans lespace bains du club house, dans lequel il y avait un jacuzzi.
Une dizaine de personnes se dirigèrent vers la piscine. Parmi elles, quelques couples, des hommes, qui ne lachaient pas Melissa, Urielle, Melissa et moi. La piscine était très grande, et le jacuzzi prévu pour une douzaine de personnes. Les lieux étaient vraiment très luxueux.
Mélissa eut vite, fort à faire avec deux messieurs qui la serraient de près. Rapidement, ses bras sécartèrent, et sactivèrent sur ses voisins. Ja femme blonde, immobile, les yeux fermés avait son mari qui lui caressait les seins, aidé par un deuxième homme. Elle gémissait de temps en temps sans se soucier des autres occupants du bassin. De mon côté, jétais accolé à Urielle. Je passai une main sur sa cuisse en remontant, et y rencontrai sans surprise, la main de son autre voisin.. Ce pendant, elle lécarta discrètement et se déplaça légèrement vers moi. Je repris donc mon exploration, remontant la cuisse, jusquau slip de dentelle, et profitant de lintimité relative due aux bouillonements, je memparai dun sein que je massai doucement, avant de venir saisir le téton érigé et de le tordre doucement.
Elle resta impassible, mais je sentis sa main se crisper sur ma cuisse sous leffet de ma caresse. En face de nous, la blonde sétait déplacée, et, enjambant son voisin, était venue sempaler sur lui. Elle sagitait en rythme, en gémissant tandis que son mari pelotait ses seins, maintenant hors de leau. Melissa accéléra son rythme sur ses deux voisins, qui mataient le coit devant eux.La blonde poussa un cri bref, avant de sabandonner contre son partenaire, pendant que son mari lembrassait. Elle se défit de létreinte , mais, très vite un des hommes voisin de Mélissa, sapprocha et commença à la caresser, avant de prendre la place restée disponible. Pendant ce temps Mélissa était venue à bout de son voisin, qui avait joui dans un hoquet, peu discret, et avait ensuite, quitté le jacuzzi. Urielle, sortit , suivie de Mélissa. Et je quittai aussi le spa, en même temps quun autre homme, laissant la femme blonde seule au prises avec trois partenaires, dont son mari.
Une fois rhabillés, je retrouvai Urielle et son amie, pour un dernier verre au bar. Les deux jeunes femmes me saluèrent rapidement pour rejoindre leur chambre dhotel. La soirée , après avoir été bien chauffé, se termina par une douche froide, mais avec, un espoir nouveau.
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Le temps me parut long jusquà ce rendez-vous. Javais apporté un casque supplémentaire à mon bureau, en prévision de la venue dUrielle. Le rencard était pris pour un vendredi matin, et javais posé mon après-midi en RTT, sans en parler à ma femme.
Le jour venu, elle se présenta à laccueil, qui vint me prévenir. Comme je lui avais conseillé, elle était en pantalon, avec des bottes et un blouson de cuir. Je me dis en la voyant approcher que cette tenue lui seyait parfaitement sans lui enlever une once de féminité.
Pour lheure, jai dû me concentrer pour arriver à ne pas me laisser distraire, et expédier les sujets professionnels. Enfin, le dernier dossier bouclé, je me levai .
-« Nous allons déjeuner ? »
-« On ne devait pas faire un tour en moto ? »demanda telle
-« Mais, on y va en moto ! » dis-je en lui tendant un casque
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle sextasia sur ma machine rutilante avant de monter derrière moi. Je démarrai tranquillement. Elle se tenait aux poignées passager, mais je sentais ses jambes enserrer les miennes et son corps venir sappuyer contre le mien lors des freinages.
En quelques minutes, nous étions devant le restaurant, et je la sentis déçue.
-« Un soucis ? »
-« Non, non »
-« Je parie que vous trouvez ça court. »
-« un peu oui. »
Une fois à table, je lui expliquai que javais pris mon après-midi, pour elle, car elle mavait dit être libre, et lui proposais daller faire un grand tour, au bord dun lac. Je la sentis excitée par lidée et elle narréta pas de me demander des précisions. Le déjeuner fut léger, et après le café, nous partîmes pour une chevauchée sur les routes de campagne. Rapidement, elle saccrocha à moi, se plaquant contre mon dos. Je la testai en faisant quelques pointes, mais elle restait imperturbable, resserrant ses bras autour de ma taille. Après deux heures de moto, et un demi-tour de ce lac immense, sur des routes sinueuses comme les motards les aiment, jengageai ma 1100 dans un chemin qui descendait au travers dune forêt de pins, pour atteindre une petite clairière en demi-cercle, et une petite plage, déserte, en ce jour de semaine.. Jétais en train de caler ma moto, sur ce terrain instable, quand Urielle , qui avait récupéré le sac, sur le porte bagage, commença à se déshabiller après avoir étendu un drap de plage sur lherbe.
-« Cest super ici ! On va se baigner . » annonça telle en retirant ses bottes. Le blouson et le jean suivirent, puis elle fit passer son petit haut par dessus sa tête, et mapparut en culotte et soutif noirs. Je commençai alors à me déshabiller, mais, à ma grande surprise, elle dégrafa le soutif qui alla rejoindre le tas de ses vêtements. Le slip de dentelle le rejoignit, et elle partit en courant se jeter dans leau. Jeus la vision de ses fesses rondes et musclées sautillant, au dessus de ses jambes longilignes. Son dos semblait ignorer que la graisse existe, et ses épaules carrées, donnaient un côté énergique à cette silhouette élancée. Javais prévu un maillot de bain, mais vue la tenue de la demoiselle, je mabstins de le garder, et la rejoignis dans leau à grands renforts déclaboussures. Après avoir nagé un peu, elle se rapprocha de moi. Je la pris par la taille et lattirai contre moi . Elle ne pouvait ignorer mon érection naissante mais elle plaqua son pubis contre le mien. Jattrapai ses fesses dures comme de la pierre et la serrai encore plus. Les pointes de ses seins dressées vinrent sincruster dans la peau de mon torse. Elle déposa un baiser sur mes lèvres, et se dégagea dun coup pour sortir de leau. Elle courut se sécher. Quand je sortis de leau, elle était juchée sur ma moto, nue comme un ver. Je mapprochai et caressai son dos, puis ses reins, ses cuisses, ses seins. Elle lacha le guidon, et sétendit en arrière sur la selle. Faisant saillir sa poitrine. Jy posais mes mains, appréciant la texture moelleuse mais ferme de ses globes , et faisant rouler ses tétons bien pointés, entre mes doigts. Mes mains effleurèrent son ventre, contournèrent son nombril pour venir à la fourche de ses jambes pour y explorer sa fente entrouverte et luisante, complètement imberbe. Je trouvai son clitoris et le titillai un peu, provoquant un long gémissement. Ses jambes sécartèrent et remontèrent pour venir se poser sur les poignées du guidon, mouvrant largement laccès à sa féminité. Jy plantais deux doigts et commençai à la masturber, dabord doucement, puis, de plus en plus énergiquement avec trois doigts, la faisant se tordre sur ma machine, qui tanguait dangereusement. Elle eut un bref orgasme, et je profitai de laccalmie qui suivit pour la faire descendre et lentrainer vers le drap de plage ou je lallongeai sur le dos. Elle écarta les cuisses et mattira sur elle.
-« Viens, je veux encore. » dit elle.
Je menfonçai en elle sans effort, tant elle était lubrifiée, et me mis à la pistonner avec vigueur. Elle atteint lorgasme plus vite que moi, mais loin dêtre rassasiée, changea de position, et vint me chevaucher. Dans cette position, javais tout loisir de malmener sa poitrine qui se dandinait au rythme de notre coît. Elle replia ses jambes et saccroupit au dessus de moi pour venir sempaler à grands coups de reins, sa chatte venant taper sur mon pubis de plus en plus vite. Je sentis le plaisir monter en moi. Je râlais tandis quelle coulissait de plus en plus profond sur moi, une de ses mains, pressant mes testicules. Elle se mit à haleter en murmurant des mots inaudibles dabord, puis le murmure se transforma en éructations.
-« Vas-y ! Oui, cest bon. Baise bien ! bien au fond ! ça va venir ! aaaah ! plus fort ! »
Ses encouragements me firent redoubler de force, et je projetais violemment mon bassin à sa rencontre, en sentant la lame de fond qui montait en moi.
Elle se mit à crier de plus en plus fort
-« AAAAAH Cest ça, encore ! maintenant ! Ouiiiiii ! »
Ses cris de jouissance entrainèrent les miens et nous eûmes un orgasme magnifique qui résonna dans toute la crique, avant de retomber chacun de son côté, fauchés par cette vague de plaisir intense.
Je récupérai, mais elle fut vite sur pieds et se lança dans leau fraiche, minvitant à grands cris, à la rejoindre.
Après un bain, qui, je dois lavouer, fut réparateur, nous restames un long moment à laisser nos corps nus sècher au soleil ?
-« Je ne mattendais pas à ce que tu te baignes nue » dis-je, en cherchant sa main.
-« Ah ? moi je ne mattendais pas à me baigner, mais tu mas amenée ici. »
-« Ce nétait pas prémédité. Je te croyais plus pudique. »
-« Pourquoi ? »
-« Quand nous sommes allés au jacuzzi la dernière soirée, tu es la seule qui ait gardé une culotte. » emets-je
-« La situation était différente. » répond elle avant dajouter « Dans ce genre de soirée, il y a beaucoup de clients, et il nest pas question de les indisposer. Par contre, on est pas obligées daller trop loin. »
-« Pourtant La femme blonde, et Mélissa étaient nues. »
-« Cette femme, qui était avec son mari est connue pour être échangiste, et ça se sait partout. Quand à Mélissa, sa robe, beaucoup plus près du corps que la mienne, ne pouvait se porter avec des dessous. Voilà pourquoi elle nen avait pas. Et dès que la situation est devenue trop sexuelle, nous sommes parties toutes les deux. Nous ne sommes pas assez payées pour sacrifier notre corps. »
-« Humm, je comprends. »
-« Mais tu te poses encore des questions. »
-« EUH . »
-« Il y a longtemps que nos échanges ont dépassé le cadre professionnel. Je dirais même que nos discussions, assez délurées, mont ouvert lappétit. Tu ne ma pas amenée dans cette clairière isolée complètement par hasard ? »
-« Je reconnais que javais envie dun moment seul avec toi. »
-« Tu attendais que je fasse le premier pas. Cest pour ça que je me suis foutue à poil. Le message était il assez clair ? »
-« Limpide. »
Pendant cette discussion, nous avons recommencé à nous caresser et mon sexe reprend de la vigueur.
-« Tu sais de quoi jai envie ? » demande Urielle
-« ? »
-« de faire lamour sur ta moto. »
-« Cest assez instable. »
-« On essaie ? tu me prends en photo ! »
Pour accéder à sa demande, je vais déplacer la moto sur un terrain plus stable, à lorée de la forêt, et je cale bien la béquille centrale, avant de lappeler.
Urielle enfile son Perfecto et se dirige vers moi. La vision de son minou épilé et de ses jambes nues, sous son blouson est purement érotique. Sans hésiter, elle enfourche le cheval de fer, et empoigne le guidon. Jai pris son I-phone, et je fais des clichés de la belle sur ma monture. De profil, avec ses longues jambes repliées, les fesses nues sur la selle ; de face, lunettes noires sur le nez, le cuir entrouvert sur ses seins, presquentièrement dévoilés, le bas de son corps masqué par le réservoir ; de dos, enfin, le blouson cintré sur la taille faisant ressortir, les fesses largement écartées par la largeur de la moto.
-« Viens derrière moi ! » me dit elle.
Jenfourche la moto, à mon tour, et viens me coller à elle, en gardant les pieds au sol pour léquilibre. Elle sent mon sexe qui vient se presser sur son fessier, et recule un peu. Je passe mes bras autour de sa taille, et les remonte pour ouvrir la fermeture du blouson, qui sécarte pour laisser sortir ses roberts auxquels je me cramponne. Elle me laisse la caresser un moment, puis, prenant appui sur les cale-pieds, de lève, et vient se reposer en tendant son cul vers moi. Jai une vue imprenable sur sa vulve ouverte, et son petit anneau plissé. Se cramponnant au guidon, elle vient se frotter sur mon chibre, et petit à petit, le fait entrer en elle, avant de mengloutir complètement. Elle commence alors un mouvement de pompage, qui secoue lengin (je devrais dire les engins. Je sens sa mouille inonder mes couilles pendant quelle sacharne en basculant le bassin davant en arrière, frottant sa chatte sur mon pubis. Elle sort, dun coup, mais au moment de sempaler à nouveau, saisit mon sexe , entre ses jambes pour le diriger vers son petit trou, qui a déjà commencé à se dilater. Elle ajuste mon gland sur lanneau et je pousse pour franchir son sphincter. Linstant daprès, je suis en elle, et en quelques coups de boutoir, mon pubis claque contre son cul de marbre. Elle a passé une main entre ses jambes et caresse son clito, tout en continuant de coulisser sur mon chibre. Jai sous les yeux ses fesses écartelées et mon sexe qui va et vient, tel une machine, lui perforant les reins.
Ses mouvement sont tellement amples quelle me laisse ressortir plusieurs fois, me replaçant dans son antre dilaté, jusquà ce que nen pouvant plus, je finisse par suivre un de ses orgasmes, et gicle dans ses entrailles. Elle se fige et vient en arrière , poser son torse contre le mien, en riant.
-« Passager, ça te plait aussi ! » me dit elle, alors que jai repris possession de ses airbags.
Nous retournons sous baigner et elle réussit à me ranimer pour que je la prenne, debout dans leau, profitant de la faible pesanteur.
Un peu plus tard, après un nouveau tour de moto, je la dépose à sa voiture.
15 jours plus tard, japprends par un mail quUrielle a eu une promotion et devient directrice commerciale. Le mail mannonce quelle ne viendra plus me visiter. A sa place, je recevrai régulièrement la visite de sa remplaçante, nommée Mélissa. Ce mail marrache un sourire. Pas sur que ce nouveau changement soit entièrement le fruit du hasard.
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