Le Lendemain
Salut cest de nouveau Bob. Je ne résiste pas à vous faire partager la suite de notre trio avec Olivier. Je vous laisse lire et savourer. Jespère que cela vous plaira. A bientôt.
*******
Lorsquau petit matin nous nous réveillons, il faisait déjà jour. Il devait être dans les 9 heures à lhorloge de la ville. Nous allumâmes la télévision pour voir les actualités du matin sur une chaine dinformation en continue que nous regardâmes régulièrement, et nous prîmes notre petit-déjeuner tous les trois devant la télévision. Ma chérie était la dernière à se lever. Jétais le premier. Olivier me suivait de peu :
- Bien dormi, lui demandai-je ?
- Oui bien dormi, me répondit-il, la tête dans le coaltar. Jai un mal de crâne.
- Tu veux un aspirine ?
- Non, ça ira. Un bon bol de céréales, et ça ira mieux, ajouta-t-il.
Olivier fouilla dans les tiroirs et les placards de la cuisine, comme sil était chez lui.
- Les petites cuillères sont dans le tiroir du bas, précisai-je.
Olivier sortit un bol, des céréales et une cuillère. Je le regardai en buvant mon café.
- Ça va, pas trop dure ? me dit-il.
- De quoi du parles ? lui répondis-je.
- Dhier. On a baisé ta femme tous les deux en même temps. Tu ten souviens plus ? ajouta-t-il sur le ton de la plaisanterie.
- Ah ! non ! mexclamai-je, rassuré. « Non, tinquiètes pas pour ça. Cest à elle qui faudra demander ça ».
Virginie se leva à cet instant, les cheveux ébouriffés, revêtue dune simple nuisette. Elle était belle le matin même, à peine réveillée, abasourdie. Elle nous salua en nous embrassant lun et lautre :
- Bien dormis, les garçons ? fit-elle.
« Oui, Oui » répondit-on en chur, Olivier et moi-même.
Nous prîmes ensuite le déjeuner dans le silence, à regarder la télévision. Nous étions tous un peu dans le coaltar et avions du mal à émerger. Jobservais toutefois quOlivier et ma chérie avaient plus de mal que moi à se réveiller complétement.
Sans dire un mot de plus, ma chérie, exténuée, vannée, alla se doucher. Elle en revint plus en forme, comme revivifiée. Olivier pendant ce temps avait rassemblé ses affaires et préféra prendre une douche chez lui. Il nous quitta vers les dix heures du matin et ma chérie et moi restions ensemble à flâner dans lappartement.
Cest là, à ce moment-là, peu après, que je lui demandai comment sest passé sa nuit :
« Je tai entendu refaire lamour avec Olivier cette nuit ? » précisai-je.
Virginie nétait pas étonnée : nous étions tous les trois à dormir dans le même lit ; ment si lun fit du bruit, lautre lentendit. Elle nétait donc pas totalement endormie cette nuit-là à cet instant et avait pleinement conscience quOlivier la besognait dur jusquà jouir en elle.
« Jai vu aussi que tu nétais plus couchée vers les quatre du matin. Olivier non plus », ajoutai-je.
Virginie sentait que je devenais insistant ; mais elle ne voulait pas entrer dans ce jeu-là et moi non plus. Demblée, elle me raconta tout, dans les moindres détails pour que je nai pas à la questionner davantage. Son récit porta ses fruits : sitôt quelle eut terminé, je ne lui posai plus de questions. Jétais satisfait.
« Ça ta plu ? » ajoutai-je quand même.
« Énormément », me dit-elle.
« Ok », fis-je. « Va chercher tes bas et tes escarpins ».
Virginie me regarda interloquée.
« Va chercher tes bas et tes escarpins », lui répétai-je pour quelle réagisse vite.
La belle sen alla mettre ses bas et ses escarpins quelle avait rangés délicatement dans la chambre. Elle en revint dans la même tenue que la veille au soir, disons lorsquelle était seule en galante compagnie vers les quatre heures du matin.
« Viens par ici », lui dis-je.
Jattrapai ma belle par les hanches, comme le lui fit Olivier dans la description quelle me fit de son récit, et la poussa brusquement mais sans violence vers le canapé.
« Maintenant, tu vas te mettre à genou sur le canapé », lui dis-je.
La belle me regarda, sans broncher. Je ne sais pas si elle en avait envie vraiment, mais elle sexécuta sans rechigner, se mit à genou sur le canapé, à quatre pattes, de profil vers moi et les bras appuyés sur laccoudoir en tissu du canapé. Je la regardai : elle était belle avec ses escarpins et ses bas de couleur blanche. Curieusement, elle sétait saisie dun porte-jarretelles, le seul dans sa garde-robe et se létait enfilée avant de revenir de la chambre.
Inutile de vous dire la suite des événements. Jai pris ma belle en levrette sur le canapé, non sans la ménager. Je magrippais, à ses hanches, au canapé, à son porte-jarretelles, tout ce que je pouvais trouver. La belle croisait les jambes, à genoux sur le canapé, en levrette ; Je mactivai comme un fou.
Jai cru un moment quelle sétait endormie par ce que sa tête reposait sur laccoudoir. Je la regardais mais continua de la prendre de plus belle jusquà jouir en elle. Je venais de réaliser seulement à cet instant-là que ma belle venait en lespace de quelques heures, de se prendre une double dose de foutre chaud dans la chatte, celui dOlivier et le mien.
La suite de la journée a été plus calme. Nous sommes sortis laprès-midi marcher dans les rues de la ville et près du château. Il faisait beau, un peu froid, mais beau tout de même. Nous marchions en amoureux. Nous étions heureux
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!