La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1360)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode précédent N°1359) -
- Suffit ! Vient sucer maintenant, la chienne !
Marion sexécuta sans attendre et cest avec bonheur quelle sagenouilla dans leau chaude du baquet jusquà mi-cuisses. La verge droite en érection du Seigneur se dressait devant elle, émergeant de leau avec un gros gland violacé qui lui donna vraiment encore plus envie de le mettre dans sa bouche. Mais elle commença à masturber cette hampe avec délicatesse comme elle savait si bien le faire et comme le Maître aimait quelle le fasse. Des clapotis se firent entendre au contact de leau. Ensuite, elle se pencha en avant alors que le Seigneur dEvans sétait assis sur un petit tabouret positionné au fond du baquet, ce qui lui permettait de sortir son sexe érigé entièrement de leau. Marion le lécha, embrassa de bas en haut et de haut en bas par gourmandise, lembrassa sur toute la largeur également et sattardant particulièrement sur le gland. Après elle put le prendre entièrement en bouche et le suça avec avidité, aspira, lécha encore, alternant delle-même la vitesse parfois très lente en descendant cm par cm enroulant sa langue tout autour puis plus rapidement sans oublier de passer sa langue tout le long et des savants petits coups de langue sur et autour du gland gonflé du Maître. Modifiant aussi la pression de ses lèvres. Cet excitant traitement dura de longues minutes quand soudain, le Seigneur lui prit les cheveux, derrière la nuque pour imposer Son rythme, comme elle adorait ce moment, puis Il lui plaqua le visage contre Son bas ventre et Il jouit dans sa bouche chaude et humide en jets saccadés de sperme chaud dans des rauques digne dun cerf en rut. Marion avala le tout avec une évidente délectation et reconnaissance infinie. Quand elle eut tout avalé, elle nettoya avec application le sexe mollissant du Maître.
- Bien, parfait Ma chienne.
Marion sortit du bain, une fois que le Maître le fit en premier. Elle attrapa des linges à disposition afin de sécher le merveilleux corps du Maître. Alors quelle commençait son savoureux labeur par essuyer le torse, le Seigneur sadressa à Louise venue sagenouiller devant Lui.
- Louise je veux savoir ce qui se passe avec Adam. Il na pas arrêté de te fixer chaque fois que tu entrais dans la salle à manger, et toi jai remarqué tous tes efforts du monde pour ne pas lapprocher.
- Eh bien, à vrai dire, Maître, je souhaitais moi aussi Vous en parler. Cet après-midi, Messire Adam, ma dit que je lui plaisais et quil voulait passer du temps avec moi et mieux me connaître, même si nous nous connaissons déjà depuis notre enfance. Il estime que nous avons changé depuis le temps où nous jouions ensemble. Il voulait Vous parler et Vous demander de maccorder du temps libre à passer avec lui, mais au dernier moment il a changé davis et voudrais que nous allions Vous en parler ensemble, mais cest son idée.
- Et toi, que désires-tu?
- Messire Adam est un jeune homme charmant et de très bonne éducation, mais je ne partage pas ou du moins pas encore les sentiments quil semble éprouver envers moi. Voilà Maître Vous savez tout.
- La situation est délicate.
- Maître, jai oublié autre chose.
- Oui ?
- Si dans lhypothèse où Vous maccorderiez du temps pour voir Messire Adam, il faut que Vous sachiez que je nai nullement lintention de quitter Votre Château car ma place à Vos pieds. Je ne suis quau début de mon chemin de soumise et jai encore tant à apprendre et je ne souhaite pas arrêter.
- Jai bien compris que, pour linstant, tu ne partages pas ses sentiments, il nempêche que les siens sont réels.
- Cest parfaitement clair, Maître, et ce nétait pas dans mes intentions.
- Bien, laffaire est close...
Pendant tout le temps que le Maître parlait à Louise, Marion avançait à essuyer le corps du Maître. Elle en était au niveau de Son entrejambes et séchait délicatement le bas ventre, la verge ramollie, les bourses, sous celles-ci à lentre cuisse, les fesses, le sillon des fesses du Seigneur. Elle le faisait avec douceur et sensualité, ce qui provoquait un début dune nouvelle érection. Cest à lévidence, ce quelle cherchait à arriver à faire !
- Regarde Louise, ce quest en train de me provoquer cette salope de chienne de Marion ! Elle est en train de Me refaire bander et elle y arrive bien, en plus ! Mais elle a déjà eu droit à Ma semence ce soir. Donc, dans un esprit de partage, cest toi qui va avoir droit à Mon Nectar, cette fois-ci. Ainsi ce sera été ce soir, chacune à votre tour !
- Oh merci Maitre, répondit Louise avec gourmandise
- Marion, pendant ce temps, tu vas me lécher les orteils et les pieds et toi petite salope de Louise, tu vas donc Me sucer et si tu Me satisfais tu seras récompensée
Marion se mit donc en place, en position prosternée, le cul largement relevé aux pieds du Maître et commença par Lui lécher les pieds, pratique quIl appréciait, car Il trouvait cela fort relaxant.
Quand ne voulant plus lui laisser le contrôle de la cadence, Il saisit de Sa main puissante, sa queue de cheval lui imposant un rythme beaucoup plus rapide et profond jusquà éjaculer dans sa gorge en jets puissants, chauds, saccadés et épais de Sa noble Semence, plus abondante quIl ne lavait prévu au point que Louise manqua de d en avalant. Mais elle nen avait que faire, seuls comptait à ses yeux le présent, le cadeau et lhonneur que lui faisait le Seigneur. Ensuite, Il estima que lheure était venue daller dormir et les deux soumise suivirent en quadrupédie le Maître de la grande salle des ablutions, jusquà la chambre du Seigneur. Marion eut pour ordre de se positionner à Ses pieds comme presque tous les soirs, sauf certains où Il lui permettait de sétendre à Ses côtés. Et Louise sur un confortable tapis au sol, devant le feu de la cheminée de la chambre quIl lui avait fait raviver, avant de se coucher.
-Merci Maître de mavoir réveillée, je
jétais encore en train de rêver
(A suivre
)
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