Lisa Épisode 11 Soirée Au Restaurant Avec Monsieur Marcel.

Merci pour vos commentaires quels qu'ils soient, sachez qu'ils me permettent de progresser.

Et surtout un grand MERCI a deux lecteurs (je devrais dire co-auteurs) assidu qui m'ont permis de m'améliorer et qui ont collaboré de façon géniale à l'élaboration de cet épisode.

Voici le suite….


Abou, démarra la voiture et conduisit une heure environ, pour se retrouver devant la devanture d’un relai château renommé de la région.
Tous trois descendirent de la voiture. Abou leur souhaitant une bonne soirée.
- Merci fit Monsieur Marcel.
Ils furent accueillis par un maître d’hôtel, qui les fit entrer et les installa a une table isolée.
Lisa put apercevoir quelques coulpes présents dans le restaurant, il lui a semblé que la plupart des hommes avaient un certains age et en contre partie les femmes étaient généralement de jeunes filles, la plus agée devait avoir tout au plus 30 ans.
- Lisa veux tu boire quelque chose lui demanda Monsieur Marcel.
- Oui, je veux bien Monsieur marcel.
Il appela un serveur, qui s’approcha de la table.
- Veuillez nous servir comme d’habitude s’il vous plait.
- Bien Monsieur Marcel.
Le serveur partit, il ne faisait aucun doute que Monsieur marcel était un habitué des lieux. La salle était décorée avec un raffinement non dissimulé, Lisa n’était jamais venu dans ce genre d’endroit et tout ce luxe l’intimidait fortement.
- détends toi ma belle, il s’agit d’un lieu qui est nous est réservé ce soir, ne te fais aucun soucis, il s’agit d’hommes comme moi, qui ont une attirance prononcé pour des jeunes filles généralement en couple, le but de ses soirées sont de faire découvrir de nouvelles choses a des jeunes femmes comme toi.
- Pour être précis, et bien clair nous venons chacun avec une fille généralement comme te l’ai dis se sont des femmes mariées qui ont voulu connaître soit l’adultère soit qui sont naïve comme toi et qui sont tombées dans les mains d’un homme comme Marc.

Le but est de profiter de votre jeunesse et de vous faire progresser.
- Ce soir, dès qu’un homme s’adressera à toi, il te faudra te montrer respectueuse, je n’admettrais aucune remarque concernant un de mes amis. S’ils veulent t’utiliser il te faudra accepter, sache que certains d’entre eux ont des exigences assez particulières. Mais quelles quelles soient il te faudra les accepter c’est une obligation.
- Pour te donner un exemple une jeune femme a refuser une pratique lors d’une soirée elle a été fouettée durant 12 heures durant, son conjoint n’a put la revoir avant un mois ou elle a été enfermé dans un donjon durant cette période. Bien entendu elle est tombée enceinte et ils ont du garder l’. De ce coté là tu n’a rien a craindre car je pense que ta fertilisation est déjà en cours.
Lisa eu un moment de recul lorsque monsieur marcel prononça le mot « utiliser », l’intonation de la voix de Monsieur Marcel, ne lui laissait rien présager de bon.
Le serveur approchait alors qu’elle semblait dans ses pensées.
- Voilà Monsieur Marcel, vos boisons, Lisa redoutait qu’il s’agisse une nouvelle fois d’une flûte contenant le sperme d’un des serveurs mais fut contente de voir qu’il était remplit de champagne.
- Lisa veux tu remercier comme il se doit le serveur s’il te plait !!!
Celui-ci s’approcha de Lisa et baissa la fermeture éclair de son pantalon laissant découvrir un sexe de belle taille et d’une largeur correcte. Lisa s’en saisit et le prit en bouche.Le sexe du serveur durcit immédiatement au contact des lèvres chaudes de Lisa.
La fellation ne dura qu’une petite dizaine de minutes lorsque celui-ci sentit sa jouissance arriver, il saisit la tête de Lisa de ses deux mains et planta son sexe en fond de gorge. Se déversant en plusieurs jets abondants. Lisa ne pu que se résoudre de tout avaler.
Le serveur se retira et présenta son sexe a nettoyer, Lisa le parcouru sur toute sa longueur et une fois propre il le remit dans son pantalon.
- Merci Monsieur Marcel fit il.
Pas un mot pour la jeune fille, qui venait de boire son jus, pas un regard non plus. Ces jeunes femmes comme Lisa, étaient là pour leurs plaisirs et seulement cela, rien ne devait leur laisser croire qu’elles avaient d’autre importance que de satisfaire leurs envies.
Lisa regarda Monsieur Marcel, elle était satisfaite d’avoir su exécuter cette première tache sans sourciller.
- Alors comment était il ?
- Il avait un beau sexe Monsieur Marcel, très dur et très doux.
- As tu aimé le sucer et recevoir son jus ainsi ?
- J’ai aimé le sucer, mais j’ai un peu peur de certaines maladies monsieur Marcel.
- Ne t’inquiète pas a ce sujet. Tous les hommes que tu vas rencontrer, que tu as rencontré qui t’ont prise ou bien que tu as sucer, sont tous des hommes qui font parti d’un cercle d’amis, mes amis sont testés, les amis de Marc le sont aussi, même ceux du bar et du marché. Nous aimons profiter de jeunes femmes mais nous ne sommes pas des irresponsables non plus. Le plaisir doit être la seule condition de notre existance.
Lisa fut enfin rassurée de cette bonne nouvelle, elle s’était demandée plusieurs fois si elle n’avait pas contracté une maladie quelconque à force de multiplier les partenaires différents et de tout horizon.
- Trinquons, si tu veux !!
Elle n’en demandait pas tant, l’odeur du sperme du serveur étant encore assez présent en bouche elle but immédiatement une grande gorgée de son verre.
La voyant faire il se mit a rire.
- Eh bien dis donc tu avait soif, a ce que je vois.
- Oui je voulais changer le goût que j’avais en bouche Monsieur Marcel.
- Oui je comprends, mais tu risque d’avoir ce goût plusieurs fois au cours de la soirée.
Le repas leur fut amené et ils commencèrent à manger l’entrée, lorsqu’un cri de jouissance se fit entendre dans la salle. Lisa se pencha pour voir d’où il pouvait provenir mais les emplacements étaient judicieusement disposés, qu’il était impossible de pouvoir voir la table concernée.
- Comme tu peux voir la discrétion est de mise. Chaque table est isolée et ceux pour garantir une certaine convivialité. Lorsqu’il te sera demandé d’accompagner un ami, il pourra soit s’isoler dans les chambres qui sont à l’étage, soit te disposer sur la table centrale, soit aller au sous-sol. Quoi qu'il en soit, seuls les hommes seront conviés à regarder, sauf si l’investigateur décide qu’une jeune femme doit venir participer.
- Mais je ne suis pas bisexuelle Monsieur Marcel. S’exclama Lisa.
- Çà je ne peux te le garantir que ce soir, tu ne le sera pas devenue, je t’ai expliqué, tu n’a pas la possibilité de refuser ce qui va t’être demandé ce soir. Je voulais simplement que tu sois au courant de cette possibilité.
Le ton était encore une fois sec et ne laissait pas d’autres alternatives possible.
L’entrée finie elle fut débarrassée, le plat principal fut amené et terminé, lorsque Lisa comprit que des choses se passaient au niveau de la table centrale, la jeune fille qui devait y avoir été déposée était en train de jouir fortement.
Monsieur Marcel se leva.
- Reste assise, c’est la règle.
La curiosité de Lisa était elle quelle voulut se lever pour voir, mais un serveur s’approcha, elle se rassit immédiatement craignant une sanction, dont elle n’en n’avait pas envie. Monsieur Marcel l'avait prévenu les codes des soirées organisées dans ce restaurant étaient bien établis.
L'instant ou Lisa se retrouva seule lui avait semblé durer un vingtaine de minutes.
Lorsqu’un homme s’approcha de sa table, il devait avoir 65 ans environ il était petit, dégarni, avec un ventre assez proéminent, il transpirait et ses mains étaient gigantesques.
Le sang de Lisa se glaça, l’homme ne lui plaisait vraiment pas. Il s’approcha d’elle, en ayant prit une chaise afin de pouvoir se placer à ses cotés.
- Bonjour mademoiselle Lisa, je suis Robert.
- Enchantée !!
Répondit Lisa, mais le mal être qu’elle dégageait se faisait sentir au près de cet homme qu’il est vrai de dire était d’une laideur assez peu commune. Elle savait ce que lui avait dit Monsieur Marcel, ne pas faire d’histoires être polie et avenante, aucune réflexion défavorable ne sera tolérée.
- Tu es vraiment très belle, lève toi que je t’admire un peu. Il ne m’a pas mentit ce sacré Marcel. Un canon !!!
Lisa leva comme il lui fut demandé. L’homme lui prit la main afin de la faire avancer vers elle.
- Marcel, m’a dit qu’Abou t’avait donné ta dose avant de venir !! Montre moi si tu as encore de son sperme en toi ?
Il saisit les pans de la robe et lui tendit.
- Tiens moi cela petite.
Elle était a présent exhibée a cet homme, la contempla un instant. Puis il glissa un doigt dans son sexe sans ménagement. Lisa eu un léger mouvement de recul, puis elle reprit sa place immédiatement. Il gigota son doigt sans ménagement dans les entrailles les plus intimes de la belle.
- Ah, voila qui est bien mieux approche toi plus près.
Il sortit son doigt gluant des secrétions de son accouplement bref avec Abou.
- Lèche mon doigt petite !!!
Lisa s’exécuta comme il lui était demandé, avec application elle lécha le doigt encore souillé du jus d’Abou , elle en reconnaissait le goût.
- C’est bien ma petite tourne toi maintenant et relève ta robe !!!
Lisa se retourna et prit l’arrière de sa robe pour la remonter, exhibant son fessier. L’homme lui saisit une fesse la serrant fermement entre ses doigts. Comme s’il pressait le reste d’un citron déjà passé au pressoir. Puis sans prévenir de son autre main, il asséna une magistrale gifle sur la fesse libre.
- AAIIIEEEee ! Fit ‘elle. Sans broncher, sans bouger, elle resta immobile, fière.
- Voilà qui est bien petite, tu encaisse sans bouger j’aime beaucoup les petite filles obéissantes qui savent rester à leur place, c’est bien ma jolie, je te félicite pour cela.
- Merci Monsieur.
Vlan une autre claque sur l’autre fesse.
- Qui t’a autorisé à parler petite idiote !!!
Lisa sursauta lors de la seconde claque, qui était bien plus forte que la première. L’on pouvait facilement voir la différence de teinture rouge sur ses fesses.
Lisa se tut, et l’homme continua tranquillement de claquer avec moins de ferveur, l’une puis l’autre fesse de Lisa, parfois en alternance et parfois donnant une série de plusieurs claques sur le même lobe.
La scène dura peu être plus de 30 minutes, lorsque Monsieur Marcel réapparut.
- Ah je vois que tu as de la compagnie Lisa !!!
Elle acquiesça de la tête de peur de répondre.
- C’est bien alors je te laisse entre de bonnes mains Lisa, fait moi honneur je t’en prie.
- Lisa ???
Lisa ferma les yeux en signe d’approbation, craignant que les claques soient plus fortes.
Monsieur Marcel se leva et partit en direction de la table en chêne ou une jeune fille d'à peine 20 ans était a prise avec deux hommes noirs. Il semblait que les deux hommes se trouvaient dans ses fesses en même temps. La jeune femme, pleurait, des larmes coulaient de ses joues, au même rythme que les orgasmes qui se succédaient à la chaîne.
Robert, se leva et saisit le poignet de Lisa.
- Suis moi !!!
Il prit la direction d’un escalier qui se dirigeait vers le sous-sol. Lisa tenta d'apercevoir Monsieur Marcel, afin d’avoir de l’aide mais ne put le voir.
Robert, la guida dans une pièce assez sombre, ou se trouvait une femme entravé, sa tête et ses mains étaient entre deux planches, et son buste était penché en avant, grand black était en train de la besogner, alors qu’un homme âgé lui déversait de la cire chaude sur le dos et ses fesses. Il encourageait le black a donner de plus grands coups de buttoir, « baise la bien cette petite chienne, son maître veut que son cul soit ouvert, pour la rendre a son mari », « défonce là encore plus fort ». Lisa se reconnut en elle.
L'homme qui dirigeait le black, regarda Lisa entrer il fit un sourire à Robert.
- Tiens une nouvelle ?
- Oui, c’est la première fois qu’elle vient, Marcel m’a dit de m’en occuper.
- Ah oui, une nouvelle recrue de Marcel et Marc, la pauvre elle va dérouiller avec toi ! Une fois de plus ils ont sut dénicher une fantastique pouliche !!!
Le sang de Lisa se glaça une nouvelle fois.
- Viens la petite.
Il la plaça devant une structure qui pouvait a première vue ressembler a un équipement que l’on peu voir dans les salles de sport, certes il y avait des poulies et des crochets. Mais cela n’étaient certainement pas fait pour accrocher des poids et faire de la musculation.
Il se mit en œuvre, et l’attacha de toutes part. Les poignets furent maintenus par des lanières en cuirs ses pieds, furent enserrés par des bracelets en acier. Elle se tenait désormais droite jambes et bras écartées. Au centre de la structure.
Face à elle se trouvait un grand miroir ou elle pouvait voir l'intégralité de son corps.
Il lui posa une boule dans sa bouche maintenue par une sangle qu’il sera assez fort.
- J’aime contraindre et mettre dans des conditions inconfortables, comme tu peux le constater.
Il est vrai que ses poignets lui faisait déjà mal, et que dire de ses cuisses qui étaient largement ouvertes. Il se glissa derrière elle et elle devinait qu’il était en train de choisir un objet. Elle compris immédiatement de quoi il s’agissait lorsqu’elle en reçut le premier coup.
Il lui assenât une vingtaine de coups de fouets, ces coups eurent pour effet de mettre sa robe en lambeaux. Les traces de lanières étaient présentes sur la totalité de son corps aucun endroit n’avait été épargné, même ses mollets avaient eu droit a des traces. Ses traces étaient visibles mais l'on pouvait deviner que Robert était un expert en la matière, les traces ne serraient devenues invisibles dès le lendemain.
Lisa n’avait émis aucun son, aucune plainte sur aucun des coups quelle avait reçut, elle se disait qu’il valait mieux subir que de se retrouver au cachot ou bien dans une posture certainement encore plus inconfortable. Ses yeux se remplirent de larmes, mais elle tenu bon, il ne fallait pas céder Robert en aurait été trop fier.
- Voilà qui est bien ma petite. Il est de coutume que les jeunes femmes qui viennent avec moi en principe sont déjà venus ici. Mais comme vous êtes des vacanciers et que bientôt vous allez rentrer, la formation est accélérée. Alors il m’a dit ce soir tu vas t’en occuper comme tu sais si bien le faire.
Robert retourna à la table et revint avec des pinces aux seins qu’il accrocha aux piercing de Lisa. Puis Il mit des pinces aux lèvres sur son sexe, c’est à cet instant que Monsieur Marcel descendit, voir ce qui s'y déroulait. Il avait dans sa main le téléphone de Lisa.
Elle s’en rendit compte immédiatement, un frisson la parcourue, il était accompagné d’Abou,  Monsieur Marcel s'adressa à Lisa.
- Marc m'a donné ton code de déverrouillage, mais je veux que tu me le confirme, car je compte prendre d'autres photos de toi et les envoyer à ton cocu, qu'il voit ce que sa petite femelle est en train de faire et de devenir.
- Il s'agit bien de ton année de naissance ? Est-ce cela ?
Lisa acquiesça de la tête, lorsqu'au même moment Abou l'empala d'une traite violemment et durement, lui procurant un plaisir non dissimilé, Abou la faisait tellement jouir, que dès que son sexe entrait en elle son corps réagissait immédiatement.
Monsieur Marcel, figeât l'instant magique ou Lisa fut transporté par l’orgasme procuré par le pilonnage en règle d'Abou. Il vérifia la photo prise, on la voyait les yeux mi-clos, de la bave coulait de sa bouche. l’on distinguait aussi les traces faites par les coups de fouets de Robert, ces traits rouges des lanières rendaient son anatomie vulgaire. Il contempla quelques instant la photographie, un large sourire vient emplir son visage,
-Parfait !!!!
Puis il envoya le MMS.
Immédiatement, Kévin répondit. « Mon dieu ma chérie, mais que te font ils faire ? c’est horrible ».
Une fois la photo envoyé, Abou se retira du vagin de Lisa et s'en alla la laissant haletante, tremblante.
Monsieur Marcel, interpella Robert.
- Robert, fais ce que nous avions convenu, perce lui le clitoris, et pose lui un anneau.
Lisa regarda Monsieur Marcel, tel un petit animal regardant son maître, l'implorant, le suppliant. Elle voulut protester, mais le bâillon l’empêchait de parler et puis de toute façon, malgré ses possibles protestations, elle savait bien que rien n’y ferrait elle devait accepter et ne rien refuser telles étaient les règles, ses règles désormais.
- Ne t’inquiète pas ma belle, tu vas voir, c'est douloureux, mais rapide et les sensations que tu auras par la suite te feront rapidement oublier cet instant et tu me remerciera souvent par la suite, tes orgasmes te seront décuplés.
Robert s'agenouilla mit une paire de gant en latex. Il prit une sorte de paire de ciseau composé en ses extrémités de deux œillets, puis une tige extra fine d’une bonne longueur. Le clitoris de Lisa pincé par la paire de ciseau le fit sortir de son capuchon le rendant fier, mais dénudé de sa protection naturelle. Il le transperça d’une traite, arrachant un cri strident à Lisa, malgré la présence de la boule, puis rapidement d’un geste précis presque chirurgical, il lui posa un anneau.
Malgré tout cela, Lisa eu une perte de connaissance.
- Robert reprend ce qui était convenu fait monsieur Marcel. 
Robert, mit du gel sur son gant en latex et commença doucement, lentement de pénétrer le sexe de Lisa. Dans un premier temps, avec un doigt puis deux, trois doigts sont en train de caresser l'intérieur du vagin. Il les enfonçait profondément en les faisant tourner, dilatant le vagin de Lisa petit à petit le rendant plus souple plus élastique.
Robert retire alors ses doigts, il rajoute du gel et reprend sa caresse. Il présente alors la totalité des doigts à l’entrée du vagin et pousse d’un coup afin de faire pénétrer la totalité de sa main. D’un geste brusque mais maitrisé, elle disparaît dans les entrailles de la belle, lui arrachant un un cri étouffé par la boule présente dans sa bouche.
Elle suffoque, blêmit, maintenant qu’a sonné l’heure de son premier fist.
Malgré tout son corps, commence a réagir, son bassin et ses hanches ondulent légèrement.
Robert insiste et remue à l’intérieur de son vagin, puis voyant la belle réagir a cette caresse, le corps de Lisa la trahissant .
Il accélérât ses mouvements. Lisa gémissait de plus en plus fort. Elle ouvrit alors ses yeux et se découvrit face au miroir qui avait été disposé devant elle. Elle était nue droite fière ses jambes maintenues largement écartées, son regard se porta sur la main de Robert qui la pénétrait et lui procurait ce plaisir immense, la main de Robert entièrement en elle la faisait jouir irrémédiablement.
HUUUMMmmm !!! HUUUMMmmm !!! HUUUMMmmm !!!
Fit ,Lisa le bâillon toujours en bouche. Elle tenta vainement de se tortiller pour échapper à la caresse, mais dans son ventre montait une fois de plus irrémédiablement une onde de chaleur. De son autre main Robert saisit le clitoris gonflé de Lisa qu'il pinça entre ses doigts tout en accélérant les mouvements de son poignet. Lisa découvrant la un plaisir insoupçonné se remit à gémir de plus en plus fort, malgré la boule, son visage exprimait une onde plaisir il était radieux.
Monsieur Marcel, en profita pour immortaliser la scène une nouvelle fois.
L’orgasme surgit d'un coup et terrassa Lisa la faisant s’évanouir une nouvelle fois. Mais cette fois ci elle sembla perdre connaissance. Sa tête tomba sur son épaule et ses yeux étaient mis-clos laissant voir la cornée de ses yeux, un filet de bave s’échappait de sa bouche.
Monsieur Marcel, saisit le téléphone et fit un nouvel envoi à Kévin cette fois ci accompagné d’un commentaire des plus humiliant. « dernière photo de la soirée pour toi, la sienne n'est pas finie comme tu peux le constater ».
La main de Robert insérée dans le vagin de sa promise.