Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Saison Ii (4/6)
Commandant Marion.
Ça y est, nous avons réussi notre mission, la cible est neutralisée sans que nous sachions pourquoi il fallait léliminer définitivement.
Ce que nous venons de faire peu de personnes sur cette terre est capable de le faire.
Tué de sang-froid des personnes sans défense et sans savoir ce quon leur reproche nous sommes une poignée.
une femme sans quelle sache quelle va mourir car notre intervention, c'est fait si vite quelle est morte avant quelle comprenne la situation.
Dans mes yeux, je vois son corps au moment de la planter, alors que ces salopards la torturaient.
Je préfère taire ce que jai vu au niveau de sa chatte.
Ça sera ce que je devrais évacuer rapidement dans les heures et les jours prochains si je veux que la vraie vie que jai construite me permette de choyer mes s sans avoir des fantômes qui viennent me bouffer les pieds la nuit.
Je reprends mon corps en main, gamberger risque de poser un problème à lagent spécial que je suis.
Le sous-marin est-il encore là à nous attendre ?
Sinon, il va falloir songer à trouver des vêtements pour rejoindre notre pays.
Cest ce que je me dis quand je fais des signaux en morse vers le large sans savoir sils sont reçus.
Au loin, dans le jour naissant nous voyons une forme noire sortir lentement de leau calme.
Heureusement que notre exfiltration se fait par temps calme, une fois jai fait ça par mer forte, simplement sur le canot jai dégueulé mes tripes alors que jaurais eu mainte fois loccasion de me vider lestomac au cours de lopération.
Jentends un bruit deau brassée et dans le même temps deux choses se produisent.
Je vois la forme du gonflable que deux marins amènent vers nous les pagaies à la main.
Ce sont elles qui faisaient un léger clapotis chaque fois quils les plongent dans londe claire.
Ça cétait la première, la bonne nouvelle, inutile de dire que la deuxième est bien plus dangereuse.
Les premières balles commencent à siffler.
Je me retourne tout comme le lieutenant et à notre tour nous arrosons à laveugle.
Nous savons tous les deux que nous avons seulement les quelques balles dans nos chargeurs.
Nous avons appris à appuyer sur la détente et faire sortir balle par balle ça nous fait gagner du temps en empêchant lennemie davancer.
À la dernière balle que ma Kala tire, jai gagné.
Pardons, cétait un petit jeu chez les commandos quand nos moniteurs nous entraînaient.
Celui qui tirait la dernière avant lautre, avait perdu et payait la tournée générale.
Jai pris mes plus belles cuites à ce jeu à chaque exercice.
Dommage que Boby ignore cette règle à ce moment de notre situation une bonne cuite serait la bienvenue.
Nous jetons nos armes inutiles à leau, le canot arrivant nous mettons là en pratique notre entraînement.
Quand les marins pagaient pour faire tourner lembarcation gonflable, je saute à lavant.
Je suis à droite à moi la place avant et Boby trois secondes plus tard se retrouve à larrière.
Cette manière dembarquer à droite et à gauche, cétait lun de nos premiers exercices.
La première fois avec le lieutenant Anne qui partageait ma chambre, nous avons réussi à faire chavirer lembarcation avec les deux élèves qui pagayaient.
Nous avons appris par là même la tradition de la tournée générale.
Tournée de bière et tournée de sexe quand bien bourrée nous avons fini dans notre carré.
Bref revenons à nos balles continuant de siffler autour de nous.
Heureusement ils sont loin et plus nous nous éloignons plus nous sommes en sécurité.
Le jour cest un peu plus lever et je vois les deux sergents pagayer les yeux sortant de leur tête.
Normale, jai ma chatte devant leurs yeux et il la regarde sans en perdre une miette.
Cest là quune balle touche le marin de droite le propulsant sur moi.
Il atterrit sur mes seins.
Jaime recevoir des mecs sur mes seins surtout ceux de Gontran mon mari à qui je suis fidèle entre chaque mission.
Comme on la vu cest bien différent quand je suis en mode commando pour mon pays.
Mon sexe, je devrais dire mes parties intimes sont source de survie et je sais men servir quand nécessité fait loi.
Or la mission est loin dêtre terminée quand je vois Bobby sauter sur la pagaie manquant de tomber à leau et de remettre dans la bonne direction notre embarcation.
Jignore si le garçon tombé dans mes bras collés sur ma poitrine comme jaime le faire avec mes s les dimanches matin quand nous faisons la grasse matinée est touché gravement.
Ce qui me rassure cest que je sens son cur battre et son souffle sur mon cou.
Les balles continuent à pleuvoir mais chaque fois le flop quand elles finissent dans leau me rassure.
Une dernière vient crever le boudin arrière mais nous sommes à la coque.
Grâce à la mer calme, le commandant a pu sortir le sous-marin le pont à fleur deau.
Boby se lève prend le marin blessé dans ses bras et dun bon saute retenu par plusieurs hommes sortis pour la manuvre.
Je fais sauter lautre jeune marin avant dabandonner le navire la dernière comme doit le faire un bon commandant.
Cest nue au milieu de ces hommes que je regarde le commandant dans sa bassine, tourelle de commandement quand le sous-marin est en surface.
Il me fait un salut militaire.
Je lui rends son salut bien que je sois en tenue un peu négligé.
Mais ceci se passe sans grande perte de temps surtout quand une balle plus puissante que les autres ricoche sur la coque sifflant à mon oreille.
Je tourne la tête, le jour est là, ils sont six sur la plage.
Quatre mitraillettes en batterie.
Deux apportent une caisse quils ouvrent et en sorte un lance-roquette.
Les hommes bondissent dans le trou dhomme dans lequel Boby est déjà descendu le matelot sur son épaule.
Je glisse le long de léchelle sans me servir des barreaux.
Là encore exercice pratiqué lors de notre formation à Lorient dans les commandos marines.
En bas un autre second-maître m'aide me recevant me mettant les mains aux fesses ignorant quil me met le feu au cul.
Je devrais moffusquer mais je dois dire que jaime bien sans le dire bien sûr.
À la diffusion nous entendons.
« Prêt à plonger, plonger. »
Le bâtiment se met en marche et une légère inclinaison mobligeant à magripper au matelot lui apporte une double chance, son bras se porte sur mon sein.
Je vois tous ceux qui étaient sur le pont crispés, ils ont vu le lance-roquettes.
De quel type est-il bien que le blindage du sous-marin soit bien capable de supporter une telle arme.
Le commandant nous rejoint avec le médecin.
- Emmener le second-maître Lionel à linfirmerie, vite.
Boby laisse le matelot.
- Venez dans votre cabine, vos affaires vous y attendent.
- Excusez commandant de vous contredire, lieutenant venez aux douches, nous avons besoin de nous rafraîchir.
Commandant avez-vous une bouteille de whisky.
- Non, pas dalcool à bord.
Attendez, dans mon coffre jai deux bouteilles de rhum qui doivent nous servir à faire des grogues à léquipage en cas de grande grippe.
- Allez en chercher une et rejoignez-nous.
Je vais vers les douches, nous passons au milieu de léquipage qui se rince lil.
À croire que le téléphone arabe a fonctionné et que tous sachent déjà que je me balade à poil autour deux.
Au moment dentrer dans le compartiment des douches, jentends.
« Le secteur des douches est momentanément interdit à tous les équipages. »
Deux minutes, le pacha nous rejoint avec sa bouteille.
Leau coule déjà sur nous.
- Voilà la bouteille.
- Donnez-la-moi.
Où allez-vous commandant, êtes-vous marié ?
- Divorcé.
- Alors si je vous plais à poil, deux beaux mâles comme vous seront suffisants pour éteindre le feu qui couve en moi.
En quelques minutes les galons tombent quand son pantalon et son boxer tombent.
Lhomme qui me rejoint alors que je porte la bouteille à la bouche bande déjà.
Cest drôle la découverte dune nouvelle bite.
Depuis que nous nous sommes équipés dans la cabine de celui qui vient se coller à moi pour mon plus grand plaisir, je sais quil fait du 18 à 20 centimètres.
Lui aussi se colle à moi par-devant.
Je lui mets le goulot dans la bouche et il tète goulûment comme il se met à téter mon sein droit suivi du gauche.
On a bien compris quil y a deux périodes bien distinctes dans ma vie, la commence celle où pour me décontracter de ce que nous venons de subir, alcool et sexe sont ma priorité.
Le pacha Samuel pour les intimes sétait marqué sur sa chemisette qui gît à quelques mètres de moi.
Samuel se masturbe dans la raie de mes fesses échauffant ma chatte.
Je lui tends la bouteille il écarte le goulot.
Je magenouille amenant mon visage à la hauteur de mes deux friandises.
Cest bien ce que je pensais, Samuel, circoncision, mon futur amant est juif.
La circoncision je connais avec Gontran.
Dans les premiers jours de notre mariage, il se déchirait le filet chaque fois quil me pénétrait.
Pourtant je faisais déjà de nombreuses missions et mon sexe avait déjà subi des dizaines de verges même celles que nous devions apprendre à subir dans notre formation quand jai intégré les forces spéciales.
Cest lors de lun de ces exercices que le commandant de lécole de formation ma sodomisé pour la première fois.
Lors de lopération que nous venons de terminer, ces exercices pouvant paraître barbare nous ont sauvé certainement la vie nos ennemis nous ont provisoirement gardé vivant pour mieux nous baiser avant de nous tirer une balle dans la tête.
Pour Gontran la circoncision a été la solution.
Je prends simultanément lune et lautre dans ma bouche.
Ils semblent aimer
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