Au Delà De Mes Espérances
La veille, lorsque le frère aîné nous avait fait visiter sa propriété, javais bien remarqué ses regards qui se posaient sur Véronique ainsi que le manège de son jeune frère qui tournait autour de nous comme une guêpe autour dun pot de confiture. Tous les deux semblaient sous son charme, singéniant à la faire rire avec de multiples anecdotes, se débrouillant pour la frôler dans les chemins étroits, rivalisant pour être celui qui lui tiendrait la main pour sauter un fossé ou passer au-dessus dun tronc abattu. Véronique les laissait faire en souriant, ne semblant pas insensible à leur prévenance, accentuant même ses mouvements qui faisaient voler sa légère jupe blanche, dévoilant largement ses cuisses bronzées.
De retour à la maison, ils avaient fait une démonstration musicale, défilant, le plus jeune avec une bombarde, son frère avec un tambour : le spectacle était dun tel comique que nous eûmes du mal Véronique et moi à reprendre notre souffle. Le reste de la journée et la soirée sétaient passés dans une ambiance très joyeuse, entretenue par la consommation de diverses boissons alcoolisées. Les deux frères sétaient faits charmeurs, draguant de plus en plus ouvertement Véronique au fur et à mesure que les verres défilaient, allant même jusquà essayer de la prendre dans leurs bras ou de lembrasser dans le cou. Celle-ci les esquivait en riant, consciente du pouvoir quelle exerçait sur eux.
Je regardais le ballet quils effectuaient tous les trois, légèrement excité de voir Véronique se laisser attr plus ou moins volontairement pour mieux séchapper hors de portée lorsque leurs mains devenaient trop précises; depuis de nombreuse années, le fantasme de la voir faire lamour avec dautres hommes hantait régulièrement mes jours et mes nuits, mais elle avait toujours opposé un net refus à mes demandes maladroites. Les deux frères, bien alcoolisés, étaient de moins en moins capables de tenir debout mais leurs mains navaient plus de retenue : ils la pelotaient ouvertement et tentaient de lembrasser lorsquelle se laissait coincer et me semblait y prendre un certain plaisir.
Le lendemain matin, je me levai sans bruit pour ne pas réveiller Véronique, attrapai une serviette que je mis autour de ma taille et sortis discrètement de la chambre pour me rendre aux toilettes. À peine avais-je pris le couloir, que débouchèrent de la chambre voisine les deux frères, lun avec sa bombarde, lautre avec son tambour. Ils passèrent devant moi, chacun uniquement vêtu dun pagne africain, entrèrent dans notre chambre, allumèrent la lumière et se mirent à jouer.
Je fis demi-tour, marrêtai sur le seuil, et les regardai. Véronique ouvrit avec peine les yeux, encore toute dans son sommeil, inconsciente de la vision délicieuse quelle offrait aux deux frères : en effet son drap, ayant glissé de côté, laissait apparaître toute la partie gauche de son thorax et de son ventre, ainsi quune bonne partie de sa hanche. Sa cuisse droite et sa jambe droite étaient également découvertes. Il sen fallait de peu que son ventre et son sexe ne soient exposés aux yeux qui le dévoraient. Son sein gauche, totalement visible, laissait admirer sa rondeur et sa large aréole brune. Véronique nétait pas consciente de lérotisme de sa tenue, lesprit encore ensommeillé.
Les deux frères, eux, nen perdaient pas une miette,tournant en rond devant elle tout en jouant de leurs instruments : moi même se sentis ma verge gonfler. Je vis un sourire apparaître sur le visage de Véronique tandis quelle étirait ses bras et ses jambes, nous permettant ainsi de découvrir ses deux seins dressés. La scène me parut dun érotisme violent, et jeus du mal à masquer sous ma petite serviette une forte érection. Véronique se remonta sur loreiller tout en tirant le drap pour cacher ses seins, mais découvrant par la même occasion la totalité de sa hanche gauche ainsi quune partie de son sexe fraîchement épilé.
Soudain, le plus jeune, après mavoir jeté un coup dil et constaté que je nétais pas indifférent à ce tableau vivant, sauta à genoux sur le lit tout en continuant à souffler dans sa bombarde en grimaçant. Véronique se tordit de rire, ce qui eut pour effet de faire glisser le drap et de dévoiler ses seins. « Elle le fait exprès », pensai-je ; ce que dut penser le plus jeune qui, délaissant sa bombarde, sallongea à moitié sur Véronique et chercha sa bouche. Je la vis tenter de le repousser mais, dans le même temps, lautre frère sagenouilla près du lit et posa ses lèvres en haut de la cuisse dévoilée, alors que sa main, se posant sur le genou, entamait un lent mouvement vers lintérieur de la cuisse. De sa main gauche, Véronique chercha à repousser cette main, alors que de sa main droite elle tenta déloigner le plus jeune, mais ses efforts me semblèrent peu convaincants et neurent comme unique effet que de faire glisser le drap sur le côté, ce qui la découvrit entièrement. Elle était maintenant totalement nue, exposée aux regards et aux désirs des deux hommes qui ne se privèrent pas de la contempler.
Jétais dans un état dexcitation phénoménal en regardant le jeune qui, ayant réussi à bloquer la main droite de Véronique au-dessus de sa tête, dévorait le cou et caressait les seins ainsi à sa merci, alors que le plus âgé plongeait sa tête entre les cuisses quil maintenait écartelées de ses mains puissantes. Je vis Véronique chercher encore une fois à se dégager mais sans y mettre plus de conviction quauparavant, puis soudain, elle sembla rendre les armes, elle me regarda droit dans les yeux pendant plusieurs secondes, me sourit, puis son corps se détendit complètement : ne luttant plus, elle soffrit aux deux hommes.
Bientôt, il me sembla même quelle allait au-devant des caresses des deux frères, et, lorsque le plus jeune chercha à nouveau sa bouche, je la vis répondre ardemment à son baiser.
Les deux garçons comprirent immédiatement que la partie était gagnée avec Véronique et que je ne mopposerais pas à leur désir.
Le corps de Véronique ondulait doucement sous les bouches et les mains qui lexploraient. Tétanisé, incapable de la quitter des yeux, je voyais ce plaisir, que je connaissais bien, monter de plus en plus. Exhalant un long râle, elle se cambra sous la bouche du plus âgé puis retomba inerte. Ce dernier ne se fit pas attendre : je le vis arracher son pagne, dévoilant un sexe turgescent de taille respectable, grimper sur le lit, se positionner entre les cuisses largement ouvertes, et sans autre procès, senfoncer dans le ventre qui soffrait à lui.
Je vis une main du jeune se glisser sous les fesses de Véronique où je devinais ce à quoi elle sactivait alors quil reprenait à pleine bouche la bouche qui soffrait maintenant avec avidité. Je ne ratais pas une miette de ce qui soffrait à moi : les hanches de mon amour se ruaient au-devant du sexe violacé que je voyais parfaitement entrer et sortir de ce ventre que je connaissais si bien. Le rythme saccéléra de plus en plus, le corps du garçon se cambra soudain, il senfonça au plus profond de Véronique et à ses spasmes désordonnés ainsi quau plaisir quexprima celle-ci, je compris quil venait de se laisser aller au fond de sa proie. Mon plaisir vint tout seul et je ne pus retenir mon éjaculation, maculant le parquet.
Le garçon qui venait de jouir se retira rapidement, me permettant de constater que deux doigts du jeune sur lesquels coulait maintenant le sperme de son frère avaient pris possession de lanus de Véronique. Il se leva, et sortit de la chambre en me souriant au passage. Le plus jeune ne perdit pas de temps : surexcité, il tourna sur le ventre ce corps qui soffrait à lui et, se plaçant entre les cuisses, je le vis appuyer son gland sur lanus de Véronique.
Le plus âgé revint, ouvrit en grand les rideaux, faisant pénétrer un grand soleil qui rendit la scène encore plus crue, puis il se mit à photographier le couple qui baisait, alors que son sexe reprenait de la vigueur. Véronique, le nez enfoui dans loreiller, les mains crispées sur les draps, gémissait de plus en plus fort.Tel son grand frère, le plus jeune éjacula rapidement au fond des reins de Véronique, mais lui ne se retira pas : toujours planté en elle, il bascula sur le dos et la fit passer sur lui, lui maintenant de ses mains les cuisses largement écartées, exposant crûment son sexe béant, doù sécoulait un sperme blanc et épais, et son anus toujours empalé sur la verge toujours raide du jeune; les doigts de ce dernier prirent possession du sexe luisant de Véronique, y allant et venant de plus en plus vite . Je regardais, hypnotisé, le corps que jaimais tant, empalé sous mes yeux, ondulant de plaisir,tandis que le plus âgé le mitraillait sans vergogne. Je me sentis de plus en plus excité et ma verge durcit à nouveau et se dressa vers le plafond. Le plus jeune invita son frère à venir le rejoindre À nouveau en forme, ce dernier me tendit lappareil photo, grimpa sur le lit entre les jambes de son frère qui maintenait ma femme écartelée et, sans plus attendre, senfonça dans le ventre luisant. Véronique eut un sursaut sous cette double pénétration, mais très rapidement je vis son plaisir revenir.
Les deux garçons, beaucoup plus résistants que lors du premier assaut, firent jouir Véronique comme jamais je ne len aurais cru capable. Devant ce spectacle dune pornographie extraordinaire, je ne pus mempêcher de prendre une puis deux puis de nombreuses photographies. Le visage de Véronique semblait transfiguré et lorsquà loccasion elle me regardait, elle semblait ne pas me voir, les yeux comme dans un autre monde, tournés vers ce plaisir dément qui la faisait voguer dorgasme en orgasme. Moi-même jétais hypnotisé par ces trois corps imbriqués, par ces deux sexes qui emplissaient ma femme et la faisaient jouir comme jamais je ne lavais fait jouir. Elle hurlait son plaisir sans retenue, les yeux mi-clos, les mains crispées sur les fesses du plus âgé, tandis que le plus jeune malaxait violemment ses seins. Elle se cambra brusquement en hurlant, les yeux révulsés, balbutiant « viens, viens » avant de sécrouler contre le plus jeune à demi inconsciente : à nouveau, jéjaculais sans pouvoir me retenir.
Les deux frères continuèrent à pilonner pendant plusieurs minutes le corps inconscient de Véronique, avant de jouir lun après lautre et de se retirer, la laissant allongée en travers du lit, ventre impudiquement exposé, sperme sécoulant de ses orifices béants. Ils passèrent devant moi ; le plus âgé me prit lappareil photo des mains et ils sortirent de la pièce sans un mot.
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