Un Adultère En Noir Et Blanc
On approchait de midi et Sandra avait le trac. Dans quelques minutes, elle allait répondre à un rendez-vous galant dans un hôtel de la périphérie et commettre l'adultère pour la première fois depuis son mariage. Elle savait que c'était mal, que son mari Boubacar allait bientôt être cocu et qu'il ne méritait pas ça. Mais Sandra était mue par une force irrésistible. Elle ressentait une puissante envie de baiser avec ce commercial qui l'avait draguée à son bureau. C'était un brun aux yeux bleus, bien balancé, sourire craquant, belles mains, la trentaine et amateur de femmes noires comme elle. Allez savoir pourquoi, elle avait envie de baiser avec un blanc, ce qui ne lui était pas arrivé depuis son adolescence, quand elle était encore lycéenne et peu expérimentée. Quand Lise, sa chef de service, lui avait confié la mission de négocier avec ce commercial, elle n'avait sûrement pas imaginé qu'elle avait précipité sa collègue dans un engrenage érotique qu'elle serait incapable de maitriser. Elle approchait de la quarantaine, l'âge de la pleine maturité sexuelle et son corps voluptueux lui permettait encore de séduire un beau mâle. Pour elle qui était toujours d'une sensualité débordante, c'était impossible de résister. Mais serait-elle à la hauteur tout à l'heure ?
*******
Sur le chemin de l'hôtel, elle se remémorait sa rencontre avec Jordan, le commercial aux yeux bleus. Elle portait ce jour là un corsage légèrement échancré et il avait difficilement levé les yeux de son sillon mammaire, il est vrai bien marqué. Quand elle s'était levée pour chercher un dossier, elle avait senti son regard posé sur son fessier bombé, moulé par le jean. Elle s'était sentie flattée, même si elle s'efforça de ne pas le montrer. A la fin du rendez-vous, l'affaire était conclue et il l'invita à déjeuner le lendemain. Elle accepta d'autant plus facilement que son ordinaire était fait d'un sandwich avalé à la va-vite avant de reprendre le boulot. Elle avait eu l'audace d'ôter son soutien-gorge avant d'aller déjeuner.
Il lui proposa de la retrouver le lendemain, cette fois pour un simple café car il ne pouvait plus justifier d'une note de frais. Sandra avait troqué son pantalon pour une robe courte dévoilant largement ses jambes puissantes d'ancienne sportive (elle avait pratiqué à un bon niveau le handball dans sa jeunesse). Mais elle n'avait pas osé ôter son slip, dont la blancheur éblouit fugitivement son vis à vis du café. En la raccompagnant, Jordan osa ce qu'elle espérait : il l'embrassa. Pas sur la joue mais pleine bouche. Dans l'après-midi, il lui téléphona pour lui proposer de le retrouver dans un hôtel. Elle commença par refuser sous des prétextes moraux qui ne tenaient pas vraiment la route, vu ce qui s'était passé avant. Puis devant son insistance, elle accepta. Et elle se trouvait maintenant sur le chemin de la luxure...
********
A l'arrivée sur le parking de l'hôtel, son trac était devenu intense. Elle fut sur le point de rebrousser chemin, mais elle aperçut Jordan qui venait vers elle. Ses réticences fondirent d'un coup. Il l'embrassa, lui cerna la taille et l'entraina vers la réception où il demanda une chambre, déjà réservée. La réceptionniste joua l'indifférence mais Sandra ressentit un petit coup de honte. Si elle avait pu devenir transparente, elle l'aurait fait illico. Dans l'ascenseur, il l'embrassa de nouveau et elle se détendit. La chambre était vaste, le lit géant. Il ouvrit le bar et lui proposa un alcool. Elle fit une entorse à ses principes et accepta un petit verre. Ils s'assirent sur le lit côte à côte et il l'embrassa dans le creux du cou. Ses seins se soulevaient sous la respiration profonde. Il les regarda avec les yeux de celui qui va enfin pouvoir déguster ce dont il avait rêvé.
- Et si on faisait vraiment connaissance ? lui dit-il.
Elle comprit qu'il désirait un 69 et il s'allongea tandis qu'elle enfourchait son visage et plongeait sa bouche sur son gland. Il se gava de sa chatte rose, elle se gava de son pénis érigé. "Et voilà, je suis en train de baiser et de tromper mon mari", se dit-elle en pompant. Mais ce relent de culpabilité fut vite évacué par le besoin d'être pénétrée par ce beau mâle aux yeux bleus. C'est elle qui prit l'initiative. Après qu'il se fut coiffé d'une capote, elle vint s'empaler sur lui et lui offrit le spectacle somptueux de son corps noir en fusion, de ses seins opulents en bataille qu'il pétrissait à mesure et de son visage extatique de femelle en chaleur. Elle tressautait, louvoyait, arrondissait les hanches, donnait du cul puis se mit sur ses pieds pour allonger la pénétration et, ô ravissement pour l'homme, pencha la tête par en dessous pour observer la bite faire son travail de bite dans ses profondeurs. Il lui faudrait se maitriser s'il ne voulait pas gicler prématurément et réduire cet accouplement adultérin à quelques minutes. C'est pourquoi il la désarçonna et lui proposa une brève pause en se comprimant la queue.
*********
- Qu'est-ce qu'il y a ? Tu n'as plus envie ? lui dit-elle.
- Oh que si ! Regarde ma queue comme elle est raide. Mais je veux durer un peu, profiter de ton corps de rêve.
- Tu es gentil. Tu aimes les femmes noires ?
- J'adore. Vous êtes des passionnées. Et quel corps vous avez !
- Tu en as baisé d'autres que moi ?
- Ben... oui mais pas aussi belles.
- Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute...
- La Fontaine. Le corbeau et le renard... Et je veux bien vivre à tes dépens si tu quittes ton mari pour moi.
- Ne dis pas de bêtises. Alors, tu me baises ou pas ? J'ai envie, moi...
- T'inquiète. J'ai récupéré. Tu veux que je te prenne comment ?
- Prends-moi par derrière, j'adore ça. Mais pas par le cul, hein ? Enfin, pas tout de suite...
Et Jordan enfila Sandra debout au ras du lit tandis qu'elle se mettait à quatre pattes, le fessier haut levé. Chacun de ses coups de bite faisait trembler les volumineux hémisphères et il parvint difficilement à résister à l'envie de la sodomiser, tant son anus grand ouvert était un appel à son introduction. Pour chasser son désir, il glissa ses mains sous son ventre pour saisir ses seins dont il apprécia une nouvelle fois le volume et la fermeté. Elle répondit en attrapant ses couilles d'une main. C'était son point sensible et il dut interrompre une nouvelle fois son ouvrage. Bon dieu que cette fille était bonne ! Il sentait son sperme au ras du gland. Elle se retourna et lui sourit :
- On dirait que je te fais de l'effet. Ne te presses pas, on a le temps. Couche-toi, je vais te faire du bien.
Une fois allongé, elle lui leva les jambes et colla la bouche à son anus pour un anulingus prolongé allant jusqu'aux couilles et retour. La cochonne ! Il n'y a que les noires pour oser faire ça, et le faire aussi bien. Elle alla même jusqu'à le doigter jusqu'à sa prostate. Il eut l'impression que sa queue s'était allongée de plusieurs centimètres.
- Tu me rends fou ! lui dit-il
- Tais-toi et baise moi encore.
********
Cette fois, elle l'obligea à s'allonger en travers du lit, les pieds au sol. Puis elle vint s'empaler à nouveau pour lui montrer son cul. Forte de son appui sur le plancher, elle pouvait virevolter, tournicoter, louvoyer, tressauter, telle une toupie sur l'axe de sa bite et il dut précipitamment regarder le plafond pour ne pas tout lâcher. Elle le tenait à sa merci. Elle se retourna vers lui, hilare, sans interrompre ses rotations. Alors, se sentant défié, il décida de redevenir le mâle dominant. Il la leva d'un coup de reins, l'attrapa par les hanches, la bascula sur le lit et se mit à la pilonner de toute sa longueur. Elle ouvrit grand les yeux et montra une nouvelle phase de son comportement sexuel. Il était verbal. Elle célébrait sa virilité dans un mélange de français et de créole tout en jouant de ses pieds, de ses mollets, de ses cuisses et de ses ongles. Heureusement que le lit de l'hôtel était solide ! Et l'insonorisation efficace ! Tout en la creusant, il scrutait son visage passant de l'extase au rictus et sa voix du gémissement à l'exclamation. Il se demanda un instant dans quel état il allait sortir de ce rouleau compresseur, tant elle le comprimait de ses jambes et de ses bras puissants. Il avait l'impression d'être sur un cheval de rodéo. Quelle femme ! Quelle baiseuse ! Vite, il se retira pour ne pas éjaculer et il vit de la déception dans son regard.
- Tu m'abandonnes. J'allais jouir.
- Tu ne perds rien pour attendre. Retourne-toi.
Il considéra un moment la croupe somptueuse aux deux sourires verticaux. Il écarta les deux globes pulpeux et fit courir sa langue sur la raie avant de s'attarder sur l'anus qui semblait béer de désir.
- Fais-le, qu'est que tu attends, souffla-t-elle.
Alors, il s'introduisit et fut surpris de constater qu'il entrait facilement. La dame avait de la pratique. Et de fait, dès qu'il fut bien engagé, elle se mit à remuer avec conviction sans qu'il eut besoin d'aller à sa rencontre. Ce n'est pas lui qui enculait, c'est elle qui s'enculait. Statique, il la regarda rouler des hanches, la tête relevée, proférant à nouveau des propos incohérents. Elle galopait vers l'orgasme et il la laissa prendre son plaisir avant qu'elle ne se retourne, haletante, yeux embués. Elle lui arracha sa capote et se mit à le pomper avec une telle ardeur qu'il gicla rapidement sur son visage, laissant sur sa peau noire des trainées blanchâtres qu'elle transféra sur ses seins comme une crème de beauté. Il s'effondra sur le lit, vidé, et elle le regarda avec un sourire amusé avant de lui glisser :
- C'est bien, pour un blanc, tu n'es pas un mauvais amant.
- Merci mais tu m'as tué. Je ne suis pas sûr de pouvoir travailler cet après-midi.
- Petite nature...Bon, excuse moi mais je vais prendre une douche car moi, je vais aller au boulot.
Quelques minutes plus tard, le couple se séparait sur le parking aussi discrètement que possible. L'adultère nécessite un minimum de précautions...
********
Ils se retrouvèrent deux jours plus tard dans un autre hôtel, par prudence. Mais leurs rapports n'avaient plus tout à fait la même intensité. Non que le désir de Jordan s'était amenuisé, mais celui de Sandra s'était amoindri du fait de sa culpabilité. L'adultère est un poison lent. Pour supporter le mensonge, il faut une mentalité particulière et Sandra la possédait d'autant moins qu'elle n'était pas malheureuse avec son mari. Elle avait juste eu envie d'une aventure sexuelle et sur ce point, elle avait eu ce qu'elle voulait. Lorsque le commercial la sollicita pour une nouvelle rencontre, elle lui dit le plus gentiment possible :
- Je crois qu'il vaut mieux qu'on en reste là. Tu m'as donné beaucoup de plaisir et j'espère que je t'en ai donné aussi, mais continuer à se voir ne pourrait que nous décevoir mutuellement. Tu es beau, tu peux trouver une nouvelle maitresse. Moi, j'ai mon mari.
Pourtant dans son lit le soir, avant de s'endormir, Sandra pensait encore à la bite de Jordan, à leur 69, à la manière dont il l'avait sodomisée. Il arriva qu'elle mette la main entre les jambes de Boubacar pour voir si, des fois... Cet adultère eut paradoxalement pour effet de raviver la sexualité du couple légitime. Comme quoi son immoralité n'eut pas que des effets néfastes...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!